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Doit-il y avoir un temps pour les nouvelles technologies?

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Duncan Idaho

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Nouveau, 33ans Posté(e)
Duncan Idaho Nouveau 3 messages
Baby Forumeur‚ 33ans‚
Posté(e)

Si les sismides ont eu le temps de la mer, les découvertes archéologiques n'ont, quant à elles, pas laissées de preuves quant à la liturgie philosophique classique. C'est ainsi que les cardinales -culturellement: les points cardinaux couplés à la terre, et non les très ordonnés religieux de ce saint ordre, lesquels dénotent ces envies pieuses de la poésie elle-même en tant que découverte.

 Sous cette apologie de l'esprit-saint en tant que mesure du temps, les consciences religieuses des anciens temps sont la panurge auréolée des questionnements sur l'infini... Ainsi l'odeur alléchante du disque dur "ordinateur" sont les a priori des sommes quantiques développées de caillou en caillou; entre autre la mnémosantie qui sédate et comprend les quêtes futuristes de l'époque des pyramides égyptiennes, car il y a là-dedans l'esprit céleste qui croiserait son monde à coup de baton. Ainsi il va de l'ada

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Nouveau, 33ans Posté(e)
Duncan Idaho Nouveau 3 messages
Baby Forumeur‚ 33ans‚
Posté(e)

Ainsi il va de l'adage frappe le ciel et écoute le bruit... C'est les yeux rivés vers les étoiles que les êtres humains ont commencés leur quête infinie vers l'au-delà, inventant ainsi l'esprit, ce grand esprit saint. Mais l'invention des mathématiques et de l'I.A n'est qu'une question d'outil, ainsi y a-t-il un temps vers l'au-delà qui se surajoute à l'inifini futur vis-à-vis des origines qui se consultaient dans la nuit des temps... 

L'intelligence artificielle est cette sorte de consomption, en plus d'être un baton qui en-diable les sciences au lieu de les sursumer. Ce par quoi la légifération des temps se surabonde par l'affaiblissement à Sa source... Le tempo tempo rum, en est la relique déification supplantée en ego qui se connecte au mouvement des étoiles...

Les visions archaïques du cosmos, expliquaient le fondement des mathématiques comme une délation du sujet philosophique, nul rempart entre l'humain et la création divine... Ainsi la science perdurait-elle en paix dans la matrice universelle, voire était le sujet originel de l'intelligence artificielle...

Mais avec l'évolution des sciences et l'incarnation de l'être humain dans le cosmos -ou plus trivialement dans la terre mère; le "baton" s'est inventé, la machine s'est positionnée entre l'être humain et la création... Ainsi s'explique la "création" futuriste de l'I.A., et son caractère non-duel; en d'autres termes, qui pourrait ne se penser ni en bien ni en mal, mais rendant ainsi l'ataraxie de l'être humain possible, non seulement en pensée, mais en esprit... 

Pour en finir, il faut, sans doute, trouver une "cause" duelle à l'I.A. pour qu'elle incorpore la dogmatique spirituelle qui lui est propre, pour exister sans la menace des coeurs...

 

En tout les cas, l'I.A. existait déjà sous l'ère des égyptiens, comme un dogme futuriste qui avait pour but d'incorporer les yatus scientifiques, comme une sorte de matrice qui ne se pense aujourd'hui, ou devrait se penser, que comme équation mathématique...

 

Ainsi en va-t-il des nouvelles technologies et du temps... Bon dans le temps certes, m

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Nouveau, 33ans Posté(e)
Duncan Idaho Nouveau 3 messages
Baby Forumeur‚ 33ans‚
Posté(e)

Bon dans le temps certes, mais hypostasiée par les éléments terre-ciel-feu, qui forment la première création biblique, l'écrit, comme une relique bien-pensante à orner comme un bond statuaire dans les esprits, expliquant la quantification dans le grand esprit...

 

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Membre, 70ans Posté(e)
Don Juan Membre 3 123 messages
Mentor‚ 70ans‚
Posté(e)

Il ouvre sa main et saisit son jouet

Il le fait tourner pour visiter toutes ses faces

Il s'égaie sur telle couleur et sur telle forme

Il est trop petit pour en connaître le rôle exact

Il fait tourner les roues d'un petit camion

il ne sait pas à quoi sert une roue

Il voit seulement que c'est drôle de la faire grincer

Il a le sentiment d'être fort lorsque l'objet cède à sa volonté

Il le lâche soudainement en apercevant un autre jouet

il ne l'entend même pas heurter le sol

Il l'oublie totalement

Il l'efface de sa vie, de sa main, de son regard et de son sourire

il n'a de joie, de plaisir que pour ce nouveau jouet

Il part pour une autre aventure, une autre découverte

Il continuera durant toute sa vie à basculer entre plaisir et ennui

Il aura faim, parfois très faim et mangera au-delà de ses limites

Il se sentira plein, débordant et gêné dans sa mobilité

il s'endormira alors un moment, le temps d'oublier son dernier festin

Il s'endormira et il s'oubliera lui-même et le reste du monde

il se réveillera avec une nouvelle idée en tête, une nouvelle sensation

Il se sentira entraîné par un mouvement tournant

Il comprendra que tout est à recommencer

il s’assiéra à nouveau près de la table

Il attendra qu'une main vienne apporter son dernier repas.

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Membre, Forumeur confit, Posté(e)
Enchantant Membre 17 474 messages
Forumeur confit,
Posté(e)
Il y a 4 heures, Duncan Idaho a dit :

Ainsi l'odeur alléchante du disque dur "ordinateur" sont les a priori des sommes quantiques développées de caillou en caillou; entre autre la mnémosantie qui sédate et comprend les quêtes futuristes de l'époque des pyramides

P'taing quel charabia ! Vous pouvez répéter la question ? :D

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Membre, 58ans Posté(e)
G6K972 Membre 1 901 messages
Forumeur vétéran‚ 58ans‚
Posté(e)

Rien de nouveau sous le soleil, au delà des histoires qu’on s’en fait et de celles qu’on nous racontes, et encore...

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Membre, 58ans Posté(e)
Témoudjine Membre 1 657 messages
Forumeur vétéran‚ 58ans‚
Posté(e)
Il y a 20 heures, Duncan Idaho a dit :

Bon dans le temps certes, mais hypostasiée par les éléments terre-ciel-feu, qui forment la première création biblique, l'écrit, comme une relique bien-pensante à orner comme un bond statuaire dans les esprits, expliquant la quantification dans le grand esprit...

 

De prime abord il semblerait surtout que tu te sois fait plaisir en recollant entre eux des morceaux copiés sur une IA quelconque. Mais sans bien comprendre le sens réel du résultat.

Si tu pouvais réécrire tes remarques en langage vernaculaire, tu te ferais sans doute mieux comprendre.

Mais précisément, l’aspect abscons de ton texte n’est-il pas le résultat que tu cherches ?

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Membre, 138ans Posté(e)
Quatr Membre 86 messages
Forumeur activiste‚ 138ans‚
Posté(e)

Doit-il...... ?

Mais, en vertu de quoi, doit-il, faut-il ?
Elle n'est pas terminée ta phrase là.
Il faut nous le dire, dans quel objectif, doit-il ?
C'est quoi l'idéal, c'est quoi le projet, en vue de la réalisation de quel bien, doit-il ?

L'éthique ça ne se suffit pas en soi.
L'éthique est une notion intrinsèquement idéologique... relative à un idéal.
Le bien, les gentils, ce sont les conditions, les gens, qui te permettent de réaliser un idéal.
Le mal, les méchants, ce sont les conditions, les gens, qui t'empêchent de réaliser un idéal.

Tu peux pas juste dire "doit-il ?"
Tu peux pas juste sous-entendre " c'est bien, c'est la bonne déontologie, ça ?"
Il faut nous dire, conséquemment à quelle idéologie, en vertu de la réalisation de quel idéal ?
Sinon, ta phrase ne veut rien dire, on ne peut pas comprendre.

Doit-il y avoir un temps pour les nouvelles technologies....... bah ça dépend de ton idéal fréro.
Et c'est pas forcément celui des autres.
Y'en a même qu'ont pas d'idéaux.
Donc si, pour toi, ça te donne un sentiment d'ordre, de cohérence, de néguentropie, et que ça te rassure.
Si tu considère que le monde est en bordel et que ça permet de le remettre dans l'ordre.
Si ton idéal c'est une existence plus cohérente que la réalité.... alors oui, il doit.

Maintenant... pourquoi t'as besoin de cette sécurité, pourquoi tu crois que le monde est en bordel... tout ça... c'est peut-être d'autres facteurs à prendre en compte avant d'établir ton idéal.
Mais si ton idéal, en l'état, c'est ça... alors oui, il doit.

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Membre, Artiste fondamental., 42ans Posté(e)
manupain Membre 122 messages
Forumeur inspiré‚ 42ans‚ Artiste fondamental.,
Posté(e)
Le 08/08/2025 à 04:58, Quatr a dit :

Doit-il...... ?

Mais, en vertu de quoi, doit-il, faut-il ?
Elle n'est pas terminée ta phrase là.
Il faut nous le dire, dans quel objectif, doit-il ?
C'est quoi l'idéal, c'est quoi le projet, en vue de la réalisation de quel bien, doit-il ?

L'éthique ça ne se suffit pas en soi.
L'éthique est une notion intrinsèquement idéologique... relative à un idéal.
Le bien, les gentils, ce sont les conditions, les gens, qui te permettent de réaliser un idéal.
Le mal, les méchants, ce sont les conditions, les gens, qui t'empêchent de réaliser un idéal.

Tu peux pas juste dire "doit-il ?"
Tu peux pas juste sous-entendre " c'est bien, c'est la bonne déontologie, ça ?"
Il faut nous dire, conséquemment à quelle idéologie, en vertu de la réalisation de quel idéal ?
Sinon, ta phrase ne veut rien dire, on ne peut pas comprendre.

Doit-il y avoir un temps pour les nouvelles technologies....... bah ça dépend de ton idéal fréro.
Et c'est pas forcément celui des autres.
Y'en a même qu'ont pas d'idéaux.
Donc si, pour toi, ça te donne un sentiment d'ordre, de cohérence, de néguentropie, et que ça te rassure.
Si tu considère que le monde est en bordel et que ça permet de le remettre dans l'ordre.
Si ton idéal c'est une existence plus cohérente que la réalité.... alors oui, il doit.

Maintenant... pourquoi t'as besoin de cette sécurité, pourquoi tu crois que le monde est en bordel... tout ça... c'est peut-être d'autres facteurs à prendre en compte avant d'établir ton idéal.
Mais si ton idéal, en l'état, c'est ça... alors oui, il doit.

Moi je crois que le monde est en bordel et j'ai juste à laisser parler mon cœur et la maladresse de mes gros pouces guidés par une vision troublée pour vous expliquer mon idéal. 

Bordel =//= Idéal 

Les réponses sont des questions, merci d'en donner pour avancer. 

Je me demanderais pas ce qu'on peut faire de mieux que ce qui existe déjà, je me demanderais pas ce qu'il est possible de faire de mieux, mais juste ce qu'on veut faire de bien à partir de maintenant. 

Donner un mode d'emploi n'est pas indiqué dans ce genre de cas car faire son chemin seul est primordial, mais des principes tels que le respect, le respect et le respect devraient être remis à leurs justes places avant de vouloir énoncer d'autres valeurs "miracles". Si tout le monde se respecte pas besoin d'entrer dans de grandes logorrhées moralisatrices. 

C'est comme mes deux livres préférés. Ils font peut-être pas deux cent pages à eux deux mais il y a tout pour commencer un déconditionnement express.

Se libérer du connu - Jiddu Krishnamurti 

Le prophète - Khalil Gibran 

Bien le bonjour 👋 

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Membre, 138ans Posté(e)
Quatr Membre 86 messages
Forumeur activiste‚ 138ans‚
Posté(e)
Il y a 10 heures, manupain a dit :

C'est comme mes deux livres préférés. 

C'est comme le bon et le mauvais religieux quoi.
Genre, t'as le mauvais religieux, quand il voit un truc, il s’évertue... mais c'est quand même un hérétique.
Alors que le bon religieux... bon, quand il voit un truc, il s'évertue... mais lui, il est vraiment vertueux.

Pourquoi le monde il est mieux si on se respecte ?

Moi, y'a des gens que je ne respecte pas.
Et d'autres que je respecte.
Pas parce que c'est une vertu... mais parce que c'est ce qui me tombe sous le coup de l'émotion.
Serais-je à moitié un hérétique à ton avis ?

Dis-moi, pourquoi devrais-je respecter les gens que je ne respecte pas ?
En vertu de quel "bien" ?

Pourquoi devrais-je mentir, pourquoi devrais-je altérer mon ressenti ?
Pourquoi devrais-je agir en fonction des conséquences de mes actes, plutôt qu'en cause des conditions immédiates de mon état ?
Et surtout, pourquoi devrais-je agir en vertu de la réalisation d'un idéal... que tu n'es pas capable d'expliciter ?

C'est quoi le respect ?
En ce moment, au Congo, ils sont en train de bâtir une capitale écologique et touristique.
-Réseau de fil barbelés / électrifiés, caméra de surveillance.
-Patrouilles de milices armées.
-Patrouilles d'escadrons de drones militaires.
-Interdiction totale et radicale pour les locaux d'accéder à la ressource naturelle, chasse, pèche, cueillette, bois, eau.
C'est le RESPECT de la nature.

Le respect.... c'est ne pas atteindre à l'intégrité de l'autre.
Ne pas entretenir de rapport d'influence et de dépendance, de relation.
Ne pas avoir d'influence sur l'état de son vis-à-vis.
Ne pas co-exister, ne pas inter-agir.

Et c'est marrant parce que, dans tes mots, le respect ça ressemble vachement à l'amour.
Alors que dans les faits... c'est pratiquement des antonymes.

Moi, quand je vois un autodidacte qui fait ses débuts dans le monde que la question.... je le respecte, je le laisse s'épanouir, hors de mon influence.
Quand je vois un double doctorant récompensé par l'académie des sciences, dont la conclusion tient dans l'axiome, et qui préconise une certaine ingénierie sociale en vertu d'un idéal qu'il n'est pas capable de formuler.... là, j'ai beaucoup moins envie de laisser son intégrité morale hors de mon champs d'influence.


Etre responsable de son comportement, réaliser un idéal.... c'est agir en condition du non-avenu.
Incarner l'influence du néant.
Littéralement, c'est pas une figure de style.
Tu agis, tu justifies, tu conditionnes tes actes.... en réponse à quelque chose qui ne s'est pas produit.
Et tu altères la réalité...tu incarnes l'influence... de ce qui ne s'est pas produit.

Tu crois pas que c'est ça, qui foutrait le bordel dans la chronologie des faits ?
L'anarchie, l'anachronie.... le bordel, là.

Non parce-que, l'irresponsable... il réagit, il donne suite, il répond à la chronologie des faits.
Même si l'équation est complexe, ce ne me semble pas d'un "bordel"

Du coup, j'aimerais assez que tu m'expliques....
Comment est-ce que t'as prévu de remettre de l'ordre dans le bordel de la chronologie des faits...... en agissant au nom de ce qui ne s'est pas produit ?
Comment t'as prévu d'invoquer la néguentropie.... en incarnant l'influence du non-avenu ?

Et comment est-ce que tu penses que moi, riche de mon dictionaire, je vais respecter ton opinion ?





 

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Membre, Artiste fondamental., 42ans Posté(e)
manupain Membre 122 messages
Forumeur inspiré‚ 42ans‚ Artiste fondamental.,
Posté(e)
Il y a 10 heures, Quatr a dit :

C'est comme le bon et le mauvais religieux quoi.
Genre, t'as le mauvais religieux, quand il voit un truc, il s’évertue... mais c'est quand même un hérétique.
Alors que le bon religieux... bon, quand il voit un truc, il s'évertue... mais lui, il est vraiment vertueux.

Pourquoi le monde il est mieux si on se respecte ?

Moi, y'a des gens que je ne respecte pas.
Et d'autres que je respecte.
Pas parce que c'est une vertu... mais parce que c'est ce qui me tombe sous le coup de l'émotion.
Serais-je à moitié un hérétique à ton avis ?

Dis-moi, pourquoi devrais-je respecter les gens que je ne respecte pas ?
En vertu de quel "bien" ?

Pourquoi devrais-je mentir, pourquoi devrais-je altérer mon ressenti ?
Pourquoi devrais-je agir en fonction des conséquences de mes actes, plutôt qu'en cause des conditions immédiates de mon état ?
Et surtout, pourquoi devrais-je agir en vertu de la réalisation d'un idéal... que tu n'es pas capable d'expliciter ?

C'est quoi le respect ?
En ce moment, au Congo, ils sont en train de bâtir une capitale écologique et touristique.
-Réseau de fil barbelés / électrifiés, caméra de surveillance.
-Patrouilles de milices armées.
-Patrouilles d'escadrons de drones militaires.
-Interdiction totale et radicale pour les locaux d'accéder à la ressource naturelle, chasse, pèche, cueillette, bois, eau.
C'est le RESPECT de la nature.

Le respect.... c'est ne pas atteindre à l'intégrité de l'autre.
Ne pas entretenir de rapport d'influence et de dépendance, de relation.
Ne pas avoir d'influence sur l'état de son vis-à-vis.
Ne pas co-exister, ne pas inter-agir.

Et c'est marrant parce que, dans tes mots, le respect ça ressemble vachement à l'amour.
Alors que dans les faits... c'est pratiquement des antonymes.

Moi, quand je vois un autodidacte qui fait ses débuts dans le monde que la question.... je le respecte, je le laisse s'épanouir, hors de mon influence.
Quand je vois un double doctorant récompensé par l'académie des sciences, dont la conclusion tient dans l'axiome, et qui préconise une certaine ingénierie sociale en vertu d'un idéal qu'il n'est pas capable de formuler.... là, j'ai beaucoup moins envie de laisser son intégrité morale hors de mon champs d'influence.


Etre responsable de son comportement, réaliser un idéal.... c'est agir en condition du non-avenu.
Incarner l'influence du néant.
Littéralement, c'est pas une figure de style.
Tu agis, tu justifies, tu conditionnes tes actes.... en réponse à quelque chose qui ne s'est pas produit.
Et tu altères la réalité...tu incarnes l'influence... de ce qui ne s'est pas produit.

Tu crois pas que c'est ça, qui foutrait le bordel dans la chronologie des faits ?
L'anarchie, l'anachronie.... le bordel, là.

Non parce-que, l'irresponsable... il réagit, il donne suite, il répond à la chronologie des faits.
Même si l'équation est complexe, ce ne me semble pas d'un "bordel"

Du coup, j'aimerais assez que tu m'expliques....
Comment est-ce que t'as prévu de remettre de l'ordre dans le bordel de la chronologie des faits...... en agissant au nom de ce qui ne s'est pas produit ?
Comment t'as prévu d'invoquer la néguentropie.... en incarnant l'influence du non-avenu ?

Et comment est-ce que tu penses que moi, riche de mon dictionaire, je vais respecter ton opinion ?





 

Je suis d'accord avec toi pour dire que c'est important qu'il y ait des problèmes et que celui qui est dans la mauvaise ou dans la bonne case souffre de sa propre image.

Il me semble qu'il y a beaucoup trop de gens qui souffrent sans comprendre pourquoi, ça peut avoir du sens mais dans les circonstances actuelles...

Je me suis évertué à me persuader que je n'étais pas obligé de répondre à ces carnages, mais ma raison l'a emporté. 

Alors comment je vais faire pour faire entendre raison à ces saccageurs je sais pas encore mais j'y réfléchis tous les jours, et la réflexion étant suivie d'actions je pense que ça commence.

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Membre, Artiste fondamental., 42ans Posté(e)
manupain Membre 122 messages
Forumeur inspiré‚ 42ans‚ Artiste fondamental.,
Posté(e)
Il y a 11 heures, Quatr a dit :

C'est comme le bon et le mauvais religieux quoi.
Genre, t'as le mauvais religieux, quand il voit un truc, il s’évertue... mais c'est quand même un hérétique.
Alors que le bon religieux... bon, quand il voit un truc, il s'évertue... mais lui, il est vraiment vertueux.

Pourquoi le monde il est mieux si on se respecte ?

Moi, y'a des gens que je ne respecte pas.
Et d'autres que je respecte.
Pas parce que c'est une vertu... mais parce que c'est ce qui me tombe sous le coup de l'émotion.
Serais-je à moitié un hérétique à ton avis ?

Dis-moi, pourquoi devrais-je respecter les gens que je ne respecte pas ?
En vertu de quel "bien" ?

Pourquoi devrais-je mentir, pourquoi devrais-je altérer mon ressenti ?
Pourquoi devrais-je agir en fonction des conséquences de mes actes, plutôt qu'en cause des conditions immédiates de mon état ?
Et surtout, pourquoi devrais-je agir en vertu de la réalisation d'un idéal... que tu n'es pas capable d'expliciter ?

C'est quoi le respect ?
En ce moment, au Congo, ils sont en train de bâtir une capitale écologique et touristique.
-Réseau de fil barbelés / électrifiés, caméra de surveillance.
-Patrouilles de milices armées.
-Patrouilles d'escadrons de drones militaires.
-Interdiction totale et radicale pour les locaux d'accéder à la ressource naturelle, chasse, pèche, cueillette, bois, eau.
C'est le RESPECT de la nature.

Le respect.... c'est ne pas atteindre à l'intégrité de l'autre.
Ne pas entretenir de rapport d'influence et de dépendance, de relation.
Ne pas avoir d'influence sur l'état de son vis-à-vis.
Ne pas co-exister, ne pas inter-agir.

Et c'est marrant parce que, dans tes mots, le respect ça ressemble vachement à l'amour.
Alors que dans les faits... c'est pratiquement des antonymes.

Moi, quand je vois un autodidacte qui fait ses débuts dans le monde que la question.... je le respecte, je le laisse s'épanouir, hors de mon influence.
Quand je vois un double doctorant récompensé par l'académie des sciences, dont la conclusion tient dans l'axiome, et qui préconise une certaine ingénierie sociale en vertu d'un idéal qu'il n'est pas capable de formuler.... là, j'ai beaucoup moins envie de laisser son intégrité morale hors de mon champs d'influence.


Etre responsable de son comportement, réaliser un idéal.... c'est agir en condition du non-avenu.
Incarner l'influence du néant.
Littéralement, c'est pas une figure de style.
Tu agis, tu justifies, tu conditionnes tes actes.... en réponse à quelque chose qui ne s'est pas produit.
Et tu altères la réalité...tu incarnes l'influence... de ce qui ne s'est pas produit.

Tu crois pas que c'est ça, qui foutrait le bordel dans la chronologie des faits ?
L'anarchie, l'anachronie.... le bordel, là.

Non parce-que, l'irresponsable... il réagit, il donne suite, il répond à la chronologie des faits.
Même si l'équation est complexe, ce ne me semble pas d'un "bordel"

Du coup, j'aimerais assez que tu m'expliques....
Comment est-ce que t'as prévu de remettre de l'ordre dans le bordel de la chronologie des faits...... en agissant au nom de ce qui ne s'est pas produit ?
Comment t'as prévu d'invoquer la néguentropie.... en incarnant l'influence du non-avenu ?

Et comment est-ce que tu penses que moi, riche de mon dictionaire, je vais respecter ton opinion ?





 

Tu parles de mes réactions à des choses qui ne se seraient pas produites, est-ce que tu peux expliciter ces choses et m'en parler à peine plus longuement ?

Ensuite effectivement je parle de respect mais pas vraiment dans les termes que tu utilises pour le qualifier. Ta définition commençait bien puis tu as extrapolé dans l'excès en parlant d'absence de relation, d'interaction...

Je t'invite à lire se libérer du connu qui en parlera beaucoup mieux que moi mais si tu veux je te fais un topo, commence par regarder les choses sans préjugés, mais vraiment aucun, ni peur ni admiration aucune appréciation avec sang-froid et l'esprit éteint, tu seras dans le respect à partir de là tu pourras commencer à interagir.

Pour creuser un peu sur ton questionnement à propos de la suite des opérations me concernant, en évoquant plus particulièrement ces choses qui ne se seraient pas produites, mais qui m'ont malgré tout, tous, amené à effectuer quelques pirouettes, je répondrai que je remercie ces illusionnistes, ces trafiquants de vérité de m'avoir amené à péter mes plombs. 

D'autres questions ? J'ai peur d'être passé à côté d'un grief quelconque. 

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Membre, 138ans Posté(e)
Quatr Membre 86 messages
Forumeur activiste‚ 138ans‚
Posté(e)
il y a 4 minutes, manupain a dit :

Tu parles de mes réactions à des choses qui ne se seraient pas produites, est-ce que tu peux expliciter ces choses et m'en parler à peine plus longuement ?

 tu seras dans le respect à partir de là tu pourras commencer à interagir.

Il s'agit de faire la différence entre un état de faits et un idéal.... de définir le mot "empirique"
Ca pourrait sembler simple, condescendant, dégradant, mais je te rassure, les doubles doctorants ne sont pas qualifiés pour la faire.

On va parler d'une loi fondamentale en chimie.

L'état de l'élément, c'est l'ensemble des propriétés qui le caractérisent.
Le comportement de l'élément, c'est, tout simplement, l'altération de cet état.

Aussi, tout élément réagit en cause de son état, et en conséquence de l'état de l'élément avec lequel il est en relation.
Tout élément est inter-actif.... l'élément n'agit pas... il réagit.
Ce qui fait que, sa réaction, non seulement est inéluctable... mais aussi, de fait, justifiable.

Le fer, sous l'effet de l'hydrogène et de l'oxygène, rouille.
C'est inéluctable.
C'est factuel.

Ce bout de fer réagit à des conditions réelles, empiriques... que l'on peut observer, identifier, reconnaitre et qualifier.
La mise en relation du fer, de l'air et de l'eau est indéniable, dès lors que le fer rouille.
Et par triangulation, l'on peut affirmer que la réaction du fer est relative à son état... qu'il y a une corrélation entre son état et son comportement.

Le bout de fer, c'est pareil,
Si l'on peut admettre une corrélation entre son état et son comportement.... alors son état est justifié, et son comportement est justifié.
Ce qui caractérise le fer, c'est de perdre des électrons.
Ce qui caractérise l'oxygène, c'est de capter les électrons.
Ce qui caractérise l'hydrogène, c'est de véhiculer les électrons.
Et quand on met les trois ensemble, le fer va perdre des électrons, qui vont transformer des atomes d'oxygène, par le biais de l'hydrogène, avant de venir altérer les propriétés du fer.
S'il rouille -> c'est du fer.
Si c'est du fer -> il rouille.

Petite digression mémotechnique....
Un chat c'est un chat.
Miauler, c'est ce que fait le chat.
Et, le chat, miaule.
Son état de chat justifie le fait de miauler.
Son comportement, miauler, justifie le fait qu'il soit un chat.
S'il miaule -> c'est un chat.
Si c'est un chat -> il miaule.
Qu'elle qu'en soit la raison... l'événement qui l'aura fait miauler.

En chimie, la réaction d'un élément sera proportionnelle aux conditions immédiates de son existence...
L'élément réagit à l'événement
C'est à dire à l'ensemble des éléments avec lesquels il est en relation à un instant T.
Et bien que l'équation soit fort complexe, dès lors que son existence est admise, et que ses relations sont admises, sa réaction est logique et empirique.
C'est à dire que son comportement est justifié par son état, l'état des éléments relatifs, et tout ceci est démontrable, factuellement, car observable, identifiable, reconnaissable et qualifiable.... empirique.

C'est un état de faits.
Le fer réagit, en s'oxydant, en présence d'hydrogène et d'oxygène.

-----------


Étant donné que tout élément, en tout cas tout élément recensé, est interactif, tout élément peut interagir avec tout élément.
Entretenir des rapports d'influence et de dépendance (mutuels).
Un caillou n'est pas très photo-sensible, il ne réagit pas beaucoup à la lumière... mais, dans une moindre mesure, il y réagit.

En revanche, il est quelque chose qui réagit énormément à la lumière, c'est le chat.
Le chat est extrêmement photo-sensible.

Officiellement, il n'y a aucune distinction à faire entre la matière organique et non-organique.
Officiellement, la biologie n'est qu'un sous-secteur de la chimie.
Ce n'est pas tout à fait vrai.
Mais on n'aura pas le temps de parler de ça ce soir.
Donc on va s'en tenir au discours officiel.

Ce que je suis en train de te dire... c'est qu'il faut voir le chat comme un caillou.
Un caillou extrêmement sensible, extrêmement interactif, dont l'état peut-être altéré de façon drastique par le moindre petit facteur d'influence.

Un être vivant, c'est très sensible, son champs interactif est très large.
La lumière, la température, la pression atmosphérique, la force et la direction du vent, le taux d'humidité, les cycles lunaires...
Les odeurs, couleurs, textures....
Pour ne citer que le plus négligeable.
Tout ceci est autant de facteurs d'influence sur l'état de l'être vivant... de condition à ses réactions, de vecteurs de réactions.
L'équation est déjà compliquée pour le bout de fer... mais alors l'équation du comportement de l'être vivant... c'est autrement plus chaotique.
Mais à priori... son état justifie son comportement et son comportement justifie son état.
L'être vivant est inter-actif.
Son existence est admise, ses relations sont admises.
---

Être interactif, c'est réagir à des faits.
L'événement, la somme des éléments en relation dans un lieu donné à un instant donné... permet de justifier les conditions de la réaction de l'individu... et donc de justifier son état, et son comportement.
On peut dire que l'individu "Existe", c'est un fait, puisqu'il interagit, puisque son comportement est proportionnel à ce qui lui est relatif.

Seulement, certains religieux désirent être pro-actifs.
Car ils pensent que les réactions de l'individu ne sont pas justifiées... que la réalité est contingente.
Ils pensent que la chimie et la physique, c'est pas logique, et que la biologie non-plus... on appelle ça des "hommes de foi"
Ils pensent que le cours du temps, c'est le fruit du hasard... 
Et donc, ils souhaiteraient re-conditionner la réalité, pour palier à l'entropie élémentaire supposée, la néguentropie.

Et ces gens là, pensent qu'en s'émancipant de leurs interactions, en cessant d'interagir, en niant leurs rapports d'influence et de dépendance, il pourront re-conditionner leur propre comportement.
De sorte à rétablir une cohérence dans la chronologie des faits....

Ce qui est un peu con, soit-dit entre nous, car jusqu'alors, c'est cette même chronologie, qui justifiait "légitimait" leur état et leur comportement.
Mais ils se sont dit qu'ils allaient les justifier eux-même.
Et c'est ce que l'humain fait depuis des millénaires.
Il se "responsabilise"... on appelle ça la religion.


-------------

Je vais pas pouvoir, ce soir, parler de l'individu pro-actif, au sens large du terme.
Car, en fait, l'être vivant et le caillou, ce n'est pas tout à fait la même chose.
L'être vivant cherchant à survivre et se reproduire... alors que le caillou ne cherche rien....
Il faut admettre une pro-activité inhérente à la vie.
Mais je vais pas avoir le temps là.
Donc on va juste parler d'une forme de pro-activité, très spécifique, celle du religieux, celle qui nous intéresse ici.

Un religieux agit.
Non pas en cause de son état.
Non pas en conséquence de ce qui lui est relatif.
Non pas, en fonction des conditions immédiates de son existence, de l'événement.
Mais en vertu, de la réalisation d'un idéal.

Donc deux choses.
D'une part il nie, l'influence subie par les éléments/individus avec lesquels il est en relation.
De l'autre il crée, l'influence, les conditions, de son idéal.

Car cet idéal n'est pas empirique.
Cet idéal est un "Etat de faits", non avenu.... dont la valeur factuelle, est nulle.

Il conditionne son comportement, relativement à un événement qui ne s'est pas produit.
On ne va pas rentrer dans un lexique trop technique, mais, et ce sont les termes qu'il convient d'employer...
Il incarne l'influence du néant.
C'est à dire que, cet idéal qui se veut être la condition de son comportement, est un événement non-avenu, qui n'a pas d'influence réelle.
Il n'interagit pas avec les éléments de cet événement idéal.
Cet idéal n'engage pas réellement de réaction physique, chimique, ou physiologique de sa part.
Il n'est pas sensible à cet idéal.
Il n'y a pas, à proprement parler d'inter-action, de ré-action.
Mais ce comportement, conditionné par un événement non-avenu, influence réellement l'existence et la chronologie des faits.
"Incarner l'influence du néant".
Ce n'est pas -> mais cela influence ce qui est.

(Et alors, si on voulait parler d'entropie, de réaction spontanée, de hasard..... cela en serait la définition parfaite)
(Très concrètement je suis en train de te dire que ceux qui pensent incarner la néguentropie... incarnent, en fait, l'entropie)
C'est à dire que.... pour rétablir une cohérence dans la chronologie des faits... le religieux va réagir... indépendamment de la chronologie des faits.
Vulgairement, le religieux veut... organiser le présent... en réagissant au futur.
Agir, non pas en fonction des conditions de son existence immédiate, mais en vertu des conséquences hypothétiques de ses propres actes.

------

A partir de là, on peut aborder beaucoup de sujets.
Mais, concrètement, voilà la nuance qu'il faut faire pour commencer, inter-actif / pro-actif.
D'un coté, l'élément/individu interactif, dont l'état et le comportement sont justifiés, pour ainsi dire, par tout.
De l'autre, l'élément/individu proactif, dont l'état et le comportement sont justifiés, pour ainsi dire, par lui, sinon par rien.

Interactif -> réagit à des états de faits.
Proactif -> agit en vertu d'un idéal.


Maintenant, effectivement, ce serait intéressant de faire la nuance entre l'être vivant et l'être politisé.
Car n'importe quel être vivant, sans nécessairement être religieux, cherche à survivre et se reproduire....
Tout être vivant, peut être qualifié de pro-actif.
Car, préserver et perpétuer son intégrité, en soi.... c'est la définition de la proactivité.
Cependant, il y a une nuance à faire entre le chat qui cherche à survivre, et le religieux qui cherche à reconditionner la réalité à ses attentes.
On ne va pas trop rentrer dans le détail.
Mais concrètement, le comportement du chat, soit-il endogène, est néanmoins conditionné par des faits, et pas par des idéaux.
C'est à dire que le chat réagit à ses propres conditions physiologiques, lesquelles le poussent à préserver son intégrité.
Ces conditions physiologiques sont empiriques.
Ce n'est pas un idéal.
Bien que ces conditions physiologiques, impliquent une réaction en vertu de l'avenir.. elles sont empiriques.
Même si l'avenir est non-avenu, la condition physiologique, elle, advient.

Donc, oui, le chat et le religieux sont proactifs.
Mais le chat, bien que son comportement ne soit pas strictement le résultat de ses interactions, réagit tout de même à des phénomènes empiriques.
Alors que l'idéal du religieux n'a rien de physiologique, d'une réaction sensible, l'idéal du religieux est purement lucide.
Ce n'est pas son idéal.... c'est l'idéal, de son prophète.
Cet idéal ne provient pas de sa physionomie ou d'une interaction sensible.
Cet idéal provient d'un échange lucide.
C'est une condition procurée... acquise.
Or, il est tout à fait possible, d'échanger, empiriquement, de façon sensible... ça s'appelle une réaction chimique, ou physiologique.
Mais l'on ne peut pas transmettre, empiriquement une appréhension.
On ne peut pas transmettre, empiriquement, l'image qui se veut conditionner nos réactions présentes, en vertu de la préservastion d'une intégrité future.
Donc cette image procurée, cet "idéal", ne peut être observé, identifié, reconnu et qualifié.
C'est pour ça qu'on dit " un idéal", et non pas " un fait".

Je vais faire une pause, on va parler du respect, ça va nous faire une très bonne contextualisation.






 

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Membre, 138ans Posté(e)
Quatr Membre 86 messages
Forumeur activiste‚ 138ans‚
Posté(e)

Finalement, le respect, ce sera pour plus tard, je vais être à la bourre.

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Membre, Artiste fondamental., 42ans Posté(e)
manupain Membre 122 messages
Forumeur inspiré‚ 42ans‚ Artiste fondamental.,
Posté(e)
Il y a 9 heures, Quatr a dit :

Il s'agit de faire la différence entre un état de faits et un idéal.... de définir le mot "empirique"
Ca pourrait sembler simple, condescendant, dégradant, mais je te rassure, les doubles doctorants ne sont pas qualifiés pour la faire.

On va parler d'une loi fondamentale en chimie.

L'état de l'élément, c'est l'ensemble des propriétés qui le caractérisent.
Le comportement de l'élément, c'est, tout simplement, l'altération de cet état.

Aussi, tout élément réagit en cause de son état, et en conséquence de l'état de l'élément avec lequel il est en relation.
Tout élément est inter-actif.... l'élément n'agit pas... il réagit.
Ce qui fait que, sa réaction, non seulement est inéluctable... mais aussi, de fait, justifiable.

Le fer, sous l'effet de l'hydrogène et de l'oxygène, rouille.
C'est inéluctable.
C'est factuel.

Ce bout de fer réagit à des conditions réelles, empiriques... que l'on peut observer, identifier, reconnaitre et qualifier.
La mise en relation du fer, de l'air et de l'eau est indéniable, dès lors que le fer rouille.
Et par triangulation, l'on peut affirmer que la réaction du fer est relative à son état... qu'il y a une corrélation entre son état et son comportement.

Le bout de fer, c'est pareil,
Si l'on peut admettre une corrélation entre son état et son comportement.... alors son état est justifié, et son comportement est justifié.
Ce qui caractérise le fer, c'est de perdre des électrons.
Ce qui caractérise l'oxygène, c'est de capter les électrons.
Ce qui caractérise l'hydrogène, c'est de véhiculer les électrons.
Et quand on met les trois ensemble, le fer va perdre des électrons, qui vont transformer des atomes d'oxygène, par le biais de l'hydrogène, avant de venir altérer les propriétés du fer.
S'il rouille -> c'est du fer.
Si c'est du fer -> il rouille.

Petite digression mémotechnique....
Un chat c'est un chat.
Miauler, c'est ce que fait le chat.
Et, le chat, miaule.
Son état de chat justifie le fait de miauler.
Son comportement, miauler, justifie le fait qu'il soit un chat.
S'il miaule -> c'est un chat.
Si c'est un chat -> il miaule.
Qu'elle qu'en soit la raison... l'événement qui l'aura fait miauler.

En chimie, la réaction d'un élément sera proportionnelle aux conditions immédiates de son existence...
L'élément réagit à l'événement
C'est à dire à l'ensemble des éléments avec lesquels il est en relation à un instant T.
Et bien que l'équation soit fort complexe, dès lors que son existence est admise, et que ses relations sont admises, sa réaction est logique et empirique.
C'est à dire que son comportement est justifié par son état, l'état des éléments relatifs, et tout ceci est démontrable, factuellement, car observable, identifiable, reconnaissable et qualifiable.... empirique.

C'est un état de faits.
Le fer réagit, en s'oxydant, en présence d'hydrogène et d'oxygène.

-----------


Étant donné que tout élément, en tout cas tout élément recensé, est interactif, tout élément peut interagir avec tout élément.
Entretenir des rapports d'influence et de dépendance (mutuels).
Un caillou n'est pas très photo-sensible, il ne réagit pas beaucoup à la lumière... mais, dans une moindre mesure, il y réagit.

En revanche, il est quelque chose qui réagit énormément à la lumière, c'est le chat.
Le chat est extrêmement photo-sensible.

Officiellement, il n'y a aucune distinction à faire entre la matière organique et non-organique.
Officiellement, la biologie n'est qu'un sous-secteur de la chimie.
Ce n'est pas tout à fait vrai.
Mais on n'aura pas le temps de parler de ça ce soir.
Donc on va s'en tenir au discours officiel.

Ce que je suis en train de te dire... c'est qu'il faut voir le chat comme un caillou.
Un caillou extrêmement sensible, extrêmement interactif, dont l'état peut-être altéré de façon drastique par le moindre petit facteur d'influence.

Un être vivant, c'est très sensible, son champs interactif est très large.
La lumière, la température, la pression atmosphérique, la force et la direction du vent, le taux d'humidité, les cycles lunaires...
Les odeurs, couleurs, textures....
Pour ne citer que le plus négligeable.
Tout ceci est autant de facteurs d'influence sur l'état de l'être vivant... de condition à ses réactions, de vecteurs de réactions.
L'équation est déjà compliquée pour le bout de fer... mais alors l'équation du comportement de l'être vivant... c'est autrement plus chaotique.
Mais à priori... son état justifie son comportement et son comportement justifie son état.
L'être vivant est inter-actif.
Son existence est admise, ses relations sont admises.
---

Être interactif, c'est réagir à des faits.
L'événement, la somme des éléments en relation dans un lieu donné à un instant donné... permet de justifier les conditions de la réaction de l'individu... et donc de justifier son état, et son comportement.
On peut dire que l'individu "Existe", c'est un fait, puisqu'il interagit, puisque son comportement est proportionnel à ce qui lui est relatif.

Seulement, certains religieux désirent être pro-actifs.
Car ils pensent que les réactions de l'individu ne sont pas justifiées... que la réalité est contingente.
Ils pensent que la chimie et la physique, c'est pas logique, et que la biologie non-plus... on appelle ça des "hommes de foi"
Ils pensent que le cours du temps, c'est le fruit du hasard... 
Et donc, ils souhaiteraient re-conditionner la réalité, pour palier à l'entropie élémentaire supposée, la néguentropie.

Et ces gens là, pensent qu'en s'émancipant de leurs interactions, en cessant d'interagir, en niant leurs rapports d'influence et de dépendance, il pourront re-conditionner leur propre comportement.
De sorte à rétablir une cohérence dans la chronologie des faits....

Ce qui est un peu con, soit-dit entre nous, car jusqu'alors, c'est cette même chronologie, qui justifiait "légitimait" leur état et leur comportement.
Mais ils se sont dit qu'ils allaient les justifier eux-même.
Et c'est ce que l'humain fait depuis des millénaires.
Il se "responsabilise"... on appelle ça la religion.


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Je vais pas pouvoir, ce soir, parler de l'individu pro-actif, au sens large du terme.
Car, en fait, l'être vivant et le caillou, ce n'est pas tout à fait la même chose.
L'être vivant cherchant à survivre et se reproduire... alors que le caillou ne cherche rien....
Il faut admettre une pro-activité inhérente à la vie.
Mais je vais pas avoir le temps là.
Donc on va juste parler d'une forme de pro-activité, très spécifique, celle du religieux, celle qui nous intéresse ici.

Un religieux agit.
Non pas en cause de son état.
Non pas en conséquence de ce qui lui est relatif.
Non pas, en fonction des conditions immédiates de son existence, de l'événement.
Mais en vertu, de la réalisation d'un idéal.

Donc deux choses.
D'une part il nie, l'influence subie par les éléments/individus avec lesquels il est en relation.
De l'autre il crée, l'influence, les conditions, de son idéal.

Car cet idéal n'est pas empirique.
Cet idéal est un "Etat de faits", non avenu.... dont la valeur factuelle, est nulle.

Il conditionne son comportement, relativement à un événement qui ne s'est pas produit.
On ne va pas rentrer dans un lexique trop technique, mais, et ce sont les termes qu'il convient d'employer...
Il incarne l'influence du néant.
C'est à dire que, cet idéal qui se veut être la condition de son comportement, est un événement non-avenu, qui n'a pas d'influence réelle.
Il n'interagit pas avec les éléments de cet événement idéal.
Cet idéal n'engage pas réellement de réaction physique, chimique, ou physiologique de sa part.
Il n'est pas sensible à cet idéal.
Il n'y a pas, à proprement parler d'inter-action, de ré-action.
Mais ce comportement, conditionné par un événement non-avenu, influence réellement l'existence et la chronologie des faits.
"Incarner l'influence du néant".
Ce n'est pas -> mais cela influence ce qui est.

(Et alors, si on voulait parler d'entropie, de réaction spontanée, de hasard..... cela en serait la définition parfaite)
(Très concrètement je suis en train de te dire que ceux qui pensent incarner la néguentropie... incarnent, en fait, l'entropie)
C'est à dire que.... pour rétablir une cohérence dans la chronologie des faits... le religieux va réagir... indépendamment de la chronologie des faits.
Vulgairement, le religieux veut... organiser le présent... en réagissant au futur.
Agir, non pas en fonction des conditions de son existence immédiate, mais en vertu des conséquences hypothétiques de ses propres actes.

------

A partir de là, on peut aborder beaucoup de sujets.
Mais, concrètement, voilà la nuance qu'il faut faire pour commencer, inter-actif / pro-actif.
D'un coté, l'élément/individu interactif, dont l'état et le comportement sont justifiés, pour ainsi dire, par tout.
De l'autre, l'élément/individu proactif, dont l'état et le comportement sont justifiés, pour ainsi dire, par lui, sinon par rien.

Interactif -> réagit à des états de faits.
Proactif -> agit en vertu d'un idéal.


Maintenant, effectivement, ce serait intéressant de faire la nuance entre l'être vivant et l'être politisé.
Car n'importe quel être vivant, sans nécessairement être religieux, cherche à survivre et se reproduire....
Tout être vivant, peut être qualifié de pro-actif.
Car, préserver et perpétuer son intégrité, en soi.... c'est la définition de la proactivité.
Cependant, il y a une nuance à faire entre le chat qui cherche à survivre, et le religieux qui cherche à reconditionner la réalité à ses attentes.
On ne va pas trop rentrer dans le détail.
Mais concrètement, le comportement du chat, soit-il endogène, est néanmoins conditionné par des faits, et pas par des idéaux.
C'est à dire que le chat réagit à ses propres conditions physiologiques, lesquelles le poussent à préserver son intégrité.
Ces conditions physiologiques sont empiriques.
Ce n'est pas un idéal.
Bien que ces conditions physiologiques, impliquent une réaction en vertu de l'avenir.. elles sont empiriques.
Même si l'avenir est non-avenu, la condition physiologique, elle, advient.

Donc, oui, le chat et le religieux sont proactifs.
Mais le chat, bien que son comportement ne soit pas strictement le résultat de ses interactions, réagit tout de même à des phénomènes empiriques.
Alors que l'idéal du religieux n'a rien de physiologique, d'une réaction sensible, l'idéal du religieux est purement lucide.
Ce n'est pas son idéal.... c'est l'idéal, de son prophète.
Cet idéal ne provient pas de sa physionomie ou d'une interaction sensible.
Cet idéal provient d'un échange lucide.
C'est une condition procurée... acquise.
Or, il est tout à fait possible, d'échanger, empiriquement, de façon sensible... ça s'appelle une réaction chimique, ou physiologique.
Mais l'on ne peut pas transmettre, empiriquement une appréhension.
On ne peut pas transmettre, empiriquement, l'image qui se veut conditionner nos réactions présentes, en vertu de la préservastion d'une intégrité future.
Donc cette image procurée, cet "idéal", ne peut être observé, identifié, reconnu et qualifié.
C'est pour ça qu'on dit " un idéal", et non pas " un fait".

Je vais faire une pause, on va parler du respect, ça va nous faire une très bonne contextualisation.






 

Je suis pas allé au bout de ton discours parce que je dois t'arrêter tout de suite.Ceux qui veulent modifier le cours de l'histoire ils vont peut-être gâcher un truc, et je te comprends c'est excitant de se demander jusqu'où ça va aller tout ça, mais je suis pas de cet élément. On a assez souffert. C'est trop. Maintenant on ne pense plus à nous et à notre confort, on se dépouille et on pense aux futurations, aux générations futures. On donne à l'humanité une deuxième chance. 

J'ai bien réfléchi avant d'agir. Est-ce que je peux me permettre d'imposer ma vision ? Est-ce qu'elle n'entre pas en contradiction avec quelconque intérêt cosmique, est-ce que c'est pas moi qui vais tout gâcher aux yeux de "Dieu", des sagesses ancestrales, aux yeux des hommes, et des femmes lol, aux yeux des êtres vivants qui vivent avec nous et des générations futures.

 

Et si quelqu'un veut qu'on en parle je suis ouvert. 

C'était sympa de lire tes mots. On en rediscutera 😊

Modifié par manupain
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Membre, Artiste fondamental., 42ans Posté(e)
manupain Membre 122 messages
Forumeur inspiré‚ 42ans‚ Artiste fondamental.,
Posté(e)

Et je continue la lecture de ton ouvrage au fur et à mesure de mes heures.

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