Relent d 'amour .

Il y a 1 heure, Engardin a dit :

ça me ferait presque penser que l'Amour, le vrai amour n'est qu'imaginaire ! 

Peut-être alors que le "vrai amour" est une "volonté d'aimer", un désir d'aimer. Une pulsion, une force motrice, pas un... havre ? Comme une croyance ?

Tu es presque le seul à me comprendre

Il y a 1 heure, Engardin a dit :

Pas mieux !

Le dualisme qui régit le monde

Il y a 11 heures, de ghoul a dit :

Donc le vrai amour se construit, et sa construction se fait à deux.

L’amour est un lien d’attachement à l’autre, pas exclusivement entre un homme et une femme, mais ce lien existe aussi avec ce qui nous lient à nos enfants, (si nous en avons ?) nos parents…

Bref, l’amour n’est pas exclusivement charnel, si l’on n’admet pas cela on ne connait rien à l’amour !

Il y a 1 heure, Engardin a dit :

ça me ferait presque penser que l'Amour, le vrai amour n'est qu'imaginaire ! 

Peut-être alors que le "vrai amour" est une "volonté d'aimer", un désir d'aimer. Une pulsion, une force motrice, pas un... havre ? Comme une croyance ?

Comme une croyance ?

Dans un monde où la religion perd parfois de son influence (surtout en Occident), l’amour semble avoir pris une place quasi-sacrée. On y cherche un sens, une transcendance, une rédemption. Comme dans la foi religieuse, on y projette souvent des attentes absolues : le bonheur, la complétude, l'éternité.

On parle même d’amour "vrai" comme d’une révélation ou d’un salut. Dans ce sens, l’amour est devenu un idéal quasi-mystique.

2. Une quête spirituelle moderne

Beaucoup se tournent vers l’amour pour combler un vide existentiel. On espère que l’autre nous sauvera, nous comprendra, nous complétera — comme autrefois Dieu. L’amour devient une quête de sens, une manière de s’élever au-dessus de la banalité du quotidien.

Mais comme pour la religion, il peut y avoir des dérives : dépendance affective, désillusion, idolâtrie de l'autre...

3. Le marché de l’amour

 à la religion, l’amour aujourd’hui est aussi très marchandisé : applications de rencontre, coaching amoureux, "compatibilité" algorithmique... Il y a presque un culte du couple réussi, qui remplace parfois la spiritualité traditionnelle.

---

En résumé :

Tu as raison de dire que l’homme moderne semble avoir troqué Dieu contre l’amour — ou du moins contre une certaine idée de l’amour. Mais est-ce que cet "amour-croyance" est plus libérateur ou plus illusoire ? C’est peut-être là toute la question

il y a 16 minutes, Enchantant a dit :

L’amour est un lien d’attachement à l’autre, pas exclusivement entre un homme et une femme, mais ce lien existe aussi avec ce qui nous lient à nos enfants, (si nous en avons ?) nos parents…

Bref, l’amour n’est pas exclusivement charnel, si l’on n’admet pas cela on ne connait rien à l’amour !

Personne ne dit le contraire, et je suis d’accord avec ça. Mais en l’occurence, le sujet parle de l’amour entre un homme et une femme. Et je ne serais pas aussi formelle que toi, pour parler d’un amour un seul et unique qui regroupe tous les cas de figure. L’amour entre parents et enfants est-il le même qu’entre un homme et une femme ? 
Fin du hors sujet. 

il y a 48 minutes, Enchantant a dit :

L’amour est un lien d’attachement à l’autre, pas exclusivement entre un homme et une femme, mais ce lien existe aussi avec ce qui nous lient à nos enfants, (si nous en avons ?) nos parents…

Bref, l’amour n’est pas exclusivement charnel, si l’on n’admet pas cela on ne connait rien à l’amour !

Tout à fait

Il y a 5 heures, de ghoul a dit :

 

Comme une croyance ?

Dans un monde où la religion perd parfois de son influence (surtout en Occident), l’amour semble avoir pris une place quasi-sacrée. On y cherche un sens, une transcendance, une rédemption. Comme dans la foi religieuse, on y projette souvent des attentes absolues : le bonheur, la complétude, l'éternité.

On parle même d’amour "vrai" comme d’une révélation ou d’un salut. Dans ce sens, l’amour est devenu un idéal quasi-mystique.

2. Une quête spirituelle moderne

Beaucoup se tournent vers l’amour pour combler un vide existentiel. On espère que l’autre nous sauvera, nous comprendra, nous complétera — comme autrefois Dieu. L’amour devient une quête de sens, une manière de s’élever au-dessus de la banalité du quotidien.

Mais comme pour la religion, il peut y avoir des dérives : dépendance affective, désillusion, idolâtrie de l'autre...

3. Le marché de l’amour

 à la religion, l’amour aujourd’hui est aussi très marchandisé : applications de rencontre, coaching amoureux, "compatibilité" algorithmique... Il y a presque un culte du couple réussi, qui remplace parfois la spiritualité traditionnelle.

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En résumé :

Tu as raison de dire que l’homme moderne semble avoir troqué Dieu contre l’amour — ou du moins contre une certaine idée de l’amour. Mais est-ce que cet "amour-croyance" est plus libérateur ou plus illusoire ? C’est peut-être là toute la question

J'avais vaguement senti ça et toi tu mets les points sur le "i" ! C'est parfait ! Je copie ton texte !  

L'idée que l'Amour vient (chez nous) remplacer la religion, un besoin d'absolu, est excellente ! Essentielle !

Est-ce que c'est bien ou est-ce qu'on est dupe de cette mode ?

J'imagine que quelqu'un qui viendrait nous dire que l'Amour c'est ridicule ou que c'est stupide serait rapidement mis au ban ! On assisterait à une levée de boucliers !

Bouclier ? Mars qui défendrait Vénus ! 

Finalement les deux restent assez proches...