samba223

La police est intervenue. Ah ! Mon Dieu ! Pourvu qu'il n'y ait pas de bavure policière, ouvrant la porte aux gémissements habituels de nos pro-racailles.

J'ai déjà été à Singapour, l'Australie. Le rêve quant à la propreté. A Singapour, si tu jettes ton chewing-gum = amende. En Australie, j'ai vu la police débarquer à la moindre infraction grâce aux caméras.

Je me suis forcé à regarder la video. Désolant et toujours les mêmes. Mais chut ! Il faut se taire. Tout mon soutien à la prof.

Je crois qu'on peut fermer le topic ,j'en rouvrirais un autre plus tard sur le même thème et puis ça évitera les hors sujet récurents ! (New)

Normal que ça arrive quand on voit la quantité de "braves gens" qui soutiennent les délinquants comme on le voit par exemple sur ce forum avec les soi-disantes "bavures policières".

Idem pour moi et ma famille. Aucun problème. Normal, on ne provoque pas. Ca se passe en toute courtoisie.

Il y a aussi le fait qu'ils possèdent presque tous une arme (qui pousse à tuer).

Topic interminable. Ah ! Zebusoif, Zeuwing, zenpeupu.

Personnellement, pas.

Badinter n'a jamais montré la moindre compassion pour les victimes. Il voulait juste parader en bon avocat qu'il est.

Si on a pu présenter la guillotine comme la manière la plus sûre, la plus rapide et la moins douloureuse de terminer la vie, c’est faute d’avoir bien réfléchi « aux affections de la sensibilité, qui continuent encore après le supplice, ni avoir calculé la durée de cet état [21][21]Réimpression…, op. cit. in n. 6, t. XI (1862), 378. ». 19Pour Sömmerring, le sentiment n’est pas entièrement détruit par la décapitation dans la mesure où « le siège du sentiment et de son aperception est dans le cerveau », et que « les opérations de cette conscience des sentiments peuvent se faire, quoique la circulation du sang par le cerveau soit suspendue » [22][22]Ibid.. 20La guillotine inflige donc une mort horrible, non seulement en raison de la douleur physique, forcément intense étant donné la concentration des faisceaux nerveux et la violence d’un coup dont la courte durée ne peut contrebalancer l’intensité, mais encore en ceci que « dans la tête, séparée du corps par ce supplice, le sentiment, la personnalité, le moi, reste vivant pendant quelque temps, et ressent l’arrière-douleur dont le cou est affecté [23][23]Ibid. ». La douleur physique se double en quelque sorte d’une torture mentale : la terreur de se voir séparé de son corps, de se voir mort. 21Sömmerring cite plusieurs témoignages en faveur de cette thèse. Le médecin-philosophe Melchior A.Weikard [24][24]Melchior AdamWeikard (1742-1803). Sömmerring renvoie à son… a vu bouger les lèvres d’un homme dont la tête avait été coupée. Albrecht von Haller a vu une tête d’homme décapité faire les gros yeux à quelqu’un qui touchait sa moelle épinière [25][25]Sömmerring cite les Elementa physiologicae corporis humani…. Reste à savoir cependant – et les adversaires de Sömmerring ne manqueront pas de le lui faire remarquer – de quoi ces mouvements sont les signes : simple contractilité musculaire rémanente, ou bien mouvements volontaires commandés par le cerveau et attestant de la persistance d’une conscience et d’une sensibilité ? 22Pour s’en assurer, le médecin Leveling [26][26]Heinrich Palmatius von Leveling (1742-1798). a conduit sur les conseils de Sömmerring des expériences sur les lieux mêmes du supplice : ayant irrité la partie de la moelle épinière qui était restée attachée à la tête, il assure que le visage était saisi d’horribles grimaces. Devant l’évidence, Sömmerring avoue même regretter de l’avoir inconsidérément engagé à faire ces expériences. Il ajoute que si l’air circulait encore dans les organes de la voix, les têtes pourraient encore parler. Le rougissement de la tête de Charlotte Corday apparaît dans ce contexte comme un élément supplémentaire en faveur de la thèse d’une survie de la conscience dans la tête coupée. 23Mais combien de temps ce phénomène dure-t-il ? D’après la taille et la forme d’une tête, il est probable que la force vitale peut s’y maintenir relativement longtemps, comme l’atteste la conservation de la chaleur dans cet organe, un quart d’heure environ. La mort que l’on présentait comme instantanée apparaît en réalité comme une lente agonie. 24Le texte se clôt sur une accusation de barbarie à l’encontre de la France révolutionnaire et sur un appel pour en finir avec l’« horrible guillotine, ce jeu atroce » qui déshonore l’humanité. Si l’on tient à conserver la peine de mort, il faut en tout cas revenir à un genre de mort plus doux. Or on sait avec certitude que la pendaison est indolore, « puisque l’on connaît des personnes revenues à la vie, après ce genre de mort, et qui peuvent dépeindre un sentiment qu’il est impossible de connaître de la même manière dans le cas de la décapitation  https://www.cairn.info/revue-d-histoire-des-sciences-2008-2-page-333.htm

Ensuite il fait un EMI sans retour.

Oui, mais elle a empêché qu'il y ait d'autres victimes une fois l'assassin relâché dans la nature. Et combien coûte un parasite de la société pour son séjour de longue durée en prison ? Ce qui prouve que les défenseurs de la non application de la peine de mort sont en pleine contradiction. Ah ! oui, mais pour ceux-là, on peut...

Dis-le aux victimes du Bataclan, entre autres.

https://www.leparisien.fr/societe/peine-de-mort-une-majorite-de-francais-favorable-a-son-retablissement-14-09-2020-8384640.php