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Tout ce qui a été posté par Pheldwyn
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Mélenchon ne dit rien d'autre. On peut lui reprocher le ton agressif (mais parce qu'il accusait en fait nommément le policier sur le plateau, c'était une agressivité vers l'individu), mais ce qu'il a dit sur le fond , c'est exactement ça : expulser les brebis galeuses qui n'ont rien à faire dans la police républicaine. Et puis LFI évoque par ailleurs depuis longtemps le manque de ressources, de formations et de reconnaissance, avant tout salarial, des policiers, s'alarmant sur le nombre de suicides. Ils veulent également rétablir des contacts apaisés avec la population, en retblissant une police de proximité plus présente. Et il faut évidemment bien davantage de moyens dans la justice, nous sommes d'accord Le mois de TIG ne me choque absolument pas, s'il est bien évidemment proportionné au délit, et surtout s'il intervient rapidement. Ces peines là doivent servir justement à éviter que des petits délinquants, pour des délits relativement mineur, soient aspirés vers pire. Et l'on sait que la prison n'est pas du coup le meilleur moyen pour éviter cela. Mais par contre, si la peine tarde trop à venir, si elle n'est pas fermement appliquée, oui il y un sentiment d'impunité qui peut se développer. En parallèle, à l'autre bout, lorsque tu surcontrôles systématiquement des individus, où la majorité dans le lot n'est pas délinquante mais se voit traitée ainsi, c'est également complètement improductif car tu crée une défiance qui peut mener d'autant plus facilement à la délinquance. Tu gommes l'intérêt de faire partie de la République et de suivre ses règles : c'est absolument dommageable. On peut du coup s'interroger sur le décalage entre la peine annoncée et la réalité, qui, je suis d'accord est là aussi est dommageable. Mais il faut noter que les professionnels de la justice (législateurs, juges, procureurs, avocats) sont parfaitement au courant de ce décalage. Aussi quand la loi dit tel délit c'est tant de mois, elle intègre le temps effectif. De même que le juge, qui lorsqu'il détermine une peine sait qu'elle est sa réalité effective en termes de temps. Du coup, je pense que c'est un faux probleme (on peut discuter de la durée des peines, mais c'est un autre débat). Je pense que le problème est avant tout, encore, un problème de ressources : pas assez pour juger suffisament rapidement les affaires, pas assez pour l'application des peines, pas assez pour le suivi, pas assez de moyens dans la police pour répondre à certaines exigences dans l'enquête (qui peuvent paraître discutables, mais qui sur le fond garantissent aussi le droits des citoyens). Il y a aussi un autre problème : trop de préventive. Beaucoup trop de prévenus se retrouvent inutilement en prison avant leur jugement : cela devient une habitude rarement justifiée. Du coup on encombre les prisons (alors qu'il faut de la place pour les gens reconnus coupables), du personnel et on met des gens (avec certains qui seront reconnus innocents tout de même !) dans les meilleures conditions pour basculer du côté de la délinquance.
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Par les mêmes organismes parfois ? Et dans la cadre de sondages politiques ? (Sur un vote ou un avis sur une question)
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Bah si. Si ce n'est pas eux qui avaient capté toute la richesse produite (parce qu'au départ, il y a une richesse qui est produite par des salariés, et des consommateurs qui assurent l'existence d'un marché : l'argent ne se crée pas par magie), celle-ci serait allée à d'autres (plus ou moins captée ou repartie), qui auraient payés des impôts. Bien évidemment, au plus cette richesse aurait été répartie, au moins la redistribution aurait été nécessaire. Euh, non pas 12 briques : 1 200 briques. Et les riches vivent plus longtemps. Ouais, donc on file 1 200 briques à des vieux qui en ont encore moins besoin s'ils ont déjà fait leur vie, assurée par le niveau de vie de papa-maman. Je crois que beaucoup de gens se permettent de juger de "ceux" qui ne sont rien, des fonctionnaires, des chômeurs, etc ... Bref, je fais comme tout un chacun, je discute de la place que dois avoir le mérite dans notre société Et donc, le mérite dans le dico, ça a tout de même un rapport entre tes actions et la récompense que tu en reçois. Quel mérite peut-il y avoir juste à être né dans la bonne famille ? Tu le vois où le mérite, toi ? C'est quoi l'action exemplaire ? Tu sais, il y a un temps où l'on ne jugeait effectivement pas du mérite "légitime" de ceux qui héritaient de leurs parents. Mais ça, c'était avant le 4 août 1789 et l'abolition des privilèges. Ah, on parle donc bien de gens qui ont l'aisance financière de se construire un patrimoine (tu sais que ce n'est pas le cas de bon nombre de francais ?) Du coup, ce n'est pas eux qui ont le plus besoin de recevoir des millions d'euros. C'est déjà cool de leur en laisser 12 millions. Ah, parce que tous les français riches investissent en France, et rien qu'en France ? Et encore une fois, d'où tirent-ils leur richesse, en premier lieu ? Par leur travail ? Il ont travaillé 20000 fois plus longtemps que leurs concitoyens ? Ont fait des études 20000 fois plus compliquées ? Sont 20000 fois plus intelligents que le commun des mortels (et du coup, cette capacité innée doit être payée 20000 fois plus qu'un autre). Ah, tiens, Forbes nous apprend que 80% des 42 milliardaires français sont .... Des héritiers. Ah, oui, ils ont eut le "mérite" de bien faire fructifier leur héritage. Waouh, de grands méritants ! C'est affolant tout de même tout cet aveuglément, cette adoration complètement idéologique da la supériorité inconditionnelle du riche sans questionnement sur notre manière de fonctionner. Allez, je vais essayer un dernier exemple, même s'il ne portera pas. Tu connais le Monopoly ? Disons que je te propose une partie, mais que je fixe juste une condition de départ : je commence la partie avec les 4 gares, la rue de la paix et les champs Elysées, les 3 rues bleues et violettes les plus riches, et avec 600 000€ de cash. Allez, on joue pour voir qui est le plus méritant entre nous deux ?
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Bah remarque c'est un peu l'idée : faire qu'il y ait moins d'héritiers ultra-riches pour décider du sort de notre pays à notre place. Si l'accumulation d'argent de quelques uns leur donne la possibilité de nous faire chanter et de décider à la place d'un gouvernement démocratiquement élu l'avenir d'une nation, il y a peut être urgence à ne pas leur laisser ce pouvoir, tu ne crois pas ? Surtout, la où ton argumentation ne tiens pas, c'est qu'il y en a déjà des tas, des nations bien moins gourmandes, des paradis fiscaux etc ... Le marché investira toujours là où il y a du fric à se faire, quelque soient les conditions, que ce soit plus ou moins rentables que le voisins, du moment que ça l'est. Car plus que la rentabilité, ce qui compte, c'est le volume d'activité : une multinationale va peut-être davantage rentable en Angleterre par exemple, mais sa part de marché sera limitée par les consommateurs en Angleterre. Si elle veut aussi gagner des thunes supplémentaires sur les consommateurs français... Bah elle doit vendre en France, selon les règles françaises. C'est pour cela qu'il faut comprendre qu'avant les investisseurs dans un pays, la véritable richesse économique reste l'activité et donc la population : la force de production, et le nombre de consommateurs. Il faut je pense sécuriser le plus possible les deux, ne pas se faire piller notre activité par des intérêts étrangers au pays, à la collectivité : et pour le coup, une accumulation de capital privée se trouve de facto étrangère à cette collectivité,npusique dans les mains d'un particulier qui l'extrait de l'économie du pays.
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La redistribution. La vrai question serait plutôt : a quel titre un individu peut accumuler a lui seul 8 siècles de SMIC ? Quel individu peut "mériter" d'avoir 12 millions ? Surtout que là, on parle de gens (et je n'ai rien contre eux, il y auras des cons et des gens très sympas concernés) qui n'auront rien fait d'autre que... De naître. Et naître avec 12 millions d'euros en poche... Y'a pire comme vie, non ?
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Bah en soit tu auras participé à hauteur de tes moyens, et reçu à hauteur de tes besoins. Que tu ne connais pas encore (même si je te souhaite d'effectivement avoir le moins besoin de l'état à l'avenir). Et si tu es à 30% d'impôts, c'est que tu as eu la chance d'avoir, par ton vécu et tes capacités (et grâce à l'état, qui grâce à ces impôts, a pu permettre une partie de ta formation) exercé un métier qui te conférait des revenus importants, au dessus de ce que gagne la moitié de la population. On a par exemple des gens qui assurent des fonctions avec des utilités sociales bien plus cruciales pour la société que nos métiers, qui n'ont pas la chance de payer 30% d'impôts.
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Pourquoi travestir la véritable proposition ? Prendre 100% au dessus de 12 000 0000 €, pour payer les études des jeunes français et préparer l'avenir de la nation.
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Non plus, mais bon, sur des panels qui se font sur un ordre de grandeur de 1000 personnes, sur une population de 70 millions (allez, 50 millions de gens majeurs, enfin j'ai pas vérifié les chiffres, c'est à la louche), la probabilité d'être interrogé pour un sondage est de 0,002%. Ça fait pas bezef. Et comme les instituts se reposent sur des panels, ça veut dire qu'ils interrogent des gens dont ils ont les moyens de connaître le niveau de vie, etc ... Bref, ils doivent effectivement toujours interroger "les mêmes", qui sont censément représentatifs de la population. Bref, le fait de ne jamais être sondé de toute sa vie ne me choque pas foncièrement. Par contre ton argument de dire que l'on ne connait personne de proches qui l'ait été m'interroge plus, car un réseau diminue forcément les statistiques de manière importante. Le truc, c'est qu'il est difficile d'etre certain qu'aucun des ses proches, amis, familles, collègue,... n'ait jamais été interrogé : tu ne fait pas non plus une annonce officielle quand cela t'arrives, et je suppose que de ton côté ce n'est pas non plus une question que tu poses systématiquement. Mais sinon, on peut faire l'experience sur ce forum : y'a t'il quelqu'un qui lit ce message qui a déjà été sondé, ou connait un proche qui l'a été ?
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?? Je ne vois pas en quoi. Pandémie n'est pas synonyme d'imprévisible. Bien sûr, aucun gouvernement ne pouvait connaître par avance le Covid en particulier. Mais tous les gouvernements savaient qu'il y avaient la possibilité d'une large épidémie ou d'une pandemie (et en France, ça fait des décennies que des médecins, scientifiques alertaient sur l'arrivée d'un tel phénomène et l'impréparation de nos politiques et systèmes de santé), et pouvait donc avoir une série de protocoles à mettre en place pour savoir comment s'y confronter, et certaines mesures de précautions. Ce n'est pas comme si une pandémie était une chose inédite dans l'histoire. Et encore, là c'était gentillet le Covid, au final assez peu létal. Mais sinon, si demain on a une bien pire saloperie, on naviguera encore une nouvelle fois à vue, avec une réactivité de moule ? Dire que la en quasi-deux ans de crise, on a été capable de fermer encore davantage de lit d'hôpitaux, ça donne de suite le ton.
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Et alors ? Après c'est l'escalade à la con, et c'est là que les drames arrivent. Bref, l'armement des policiers se doit d'être réfléchi et adapté : dans certains cas, il est plus néfaste qu'autre chose. Selon leurs missions ou le contexte, il ne serait pas idiot de désarmer certains policiers. Avec la possibilité de s'armer le cas échéant. C'est ce qu'il se fait en Angleterre : https://www.tf1info.fr/international/non-armee-plus-transparente-la-police-britannique-un-exemple-a-suivre-2171583.html De fait, nos voisins sont arrivés à obtenir ce qui nous fait cruellement défaut : une veritable autorité. Pas celle qui s'impose par la force ou la peur, celle qui est accepté par la population et qui est donc jugée légitime. Cela passe par l'image, la transparence et l'exemplarité de la police (et bien évidemment, rappelons le, des moyens importants), sa perception par la population. Qu'elle ne soit pas vue - comme dans bien des cas aujourd'hui en France - comme un ennemi.
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Sans parler de ce ministre de l'intérieur indigne, Gérald Dard-minable, qui n'a pas compris qu'il n'était pas là pour défendre les exactions d'une corporation, mais au contraire s'assurer de son bon fonctionnement. Réellement un sale type, exécrable, qui a tout de même eut la degueulasserie (le terme n'est pas assez fort) d'annoner son "quand j'entends parler de violences policières, je m'étouffe" ... En pure provocation envers la mort de victimes de policiers , Cédric Chouviat en tête ! Mais ça, au final, ça n'a l'air de choquer personne ! Je ne comprends même pas qu'un type pareil puisse continuer d'officier à ce poste, suite à cette déclaration (préparée qui plus est) qui est une insulte insoutenable aux Français. Et le déni... Dire qu'il est anti-nomique de parler de "violence policière" selon l'argument que la "police est républicaine". Mais cet abruti inverse cause et conséquence : c'est parce que la police se doit d'être républicaine qu'elle ne peut se permettre des violences illégitimes.
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Bah certains, mais avec la complaisance des autres. La primaire, c'était tout de même le concours de la mesure la plus proche de Zemmour.
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On peut aussi sortir de ce choix binaire en imaginant un autre fonctionnement ? Qui soit basé sur de la proportionnalité, mais qui organise autrement les débats entre les forces politiques, qui crée des majorités de circonstances sur certains textes, etc ... Sauf que malheureusement elles ne passionnent pas les gens, alors qu'elles sont paradoxalement sans doute plus importantes que les présidentielles. Donc la participation est plus faible, et surtout on serine tellement aux gens l'adage "Ah bah vous l'avez élu président, la logique c'est de lui donner une majorité", que ceux qui se déplacent ont tendance à suivre la règle. So, the winner takes it all.
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@PASCOU confond xénophobie et droite. Remarque, lorsque le LR braconne sur les terres de l'islamophobie, on peut partiellement l'excuser.
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La main d'oeuvre de de toutes façons un coût, donc dans l'absolu si un employeur peut payer moins, il le fera. S'il rémunère davantage certains salariés, c'est qu'ils représentent un intérêt pour lui, ou que cela lui permet de fidéliser, ou effectivement comme carotte pour améliorer la productivité. Dans tous les cas, c'est un investissement. Mais pour les salariés les moins qualifiés, là, oui, il y a une logique de réduction des coûts. Ce n'est pas une donnée intégrée par tout les managers ça. Au contraire, tu en as qui pensent que la pression est un moyen de faire travailler les gens : carotte, bâton, carotte, bâton. Ou certains qui ne savent pas faite autrement. Ou des cadres qui eux même subissent une pression de résultat déconnectée du terrain, et la transmette du coup aux gens sur le terrain. Bien évidemment, ça dépend des boîtes. C'est un souhait louable. Mais comme l'a dit je ne sais plus qui ici, les entreprises ne sont pas là pour faire de l'humain ou du social, mais des bénéfices : c'est la logique néolibérale. On l'a même introduite dans nos services publics. Quand c'est tous les jours, et qu'apres coup on reproche au salarié de ne pas suffisament s'investir, c'est une forme de violence. Plus molle, certes : une déconsidération lente. C'est le bon côté, oui Comme bon nombre d'activités sociales et humaines.
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Mais il est à côté de la plaque. Les nains de blanche-neige ne sont pas des humains atteints de nanisme. (Et d'ailleurs en passant, dans le dessin animé de Disney, ils ne vivent pas non plus dans une grotte, mais dans une maison dans la forêt). A ce compte-là, on ne représentera plus de gnomes, lutins, farfadets, hobbits, nains ou autre personnages du "petit-peuple" des univers fantastiques, parce que ce serait une ségrégation des humains atteints de nanisme ? C'est complètement crétin. J'aime beaucoup Peter Dinklage (du moins ses interprétations et effectivement son charisme), on peut complètement saluer sa réussite, le fait qu'il symbolise que les individus atteints de nanisme ne sont pas des êtres de seconde zone. Mais cela n'empêche pas de ne pas être d'accord avec son point de vue, non ?
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Deux électeurs sur cinq de Melenchon séduits par le RN
Pheldwyn a répondu à un(e) sujet de DroitDeRéponse dans Politique
Pourquoi avoir besoin de remonter 2 sujets qui ont plus de 2 ans ? Autant, je peux comprendre pour l'autre sujet, puisque l'on voit ce que l'individu est devenu quasiment 3 ans après avoir quitté LFI (et même si l'on se doute de l'envie cachée derrière ton remontage de post .... car on doute que ce soit l'envie de donner des infos sur la campagne du RN). Autant sur ce sujet, je ne vois pas l'intérêt. (Enfin si, je vois très bien l'intention derrière). -
Le problème de certains athées
Pheldwyn a répondu à un(e) sujet de Tatiana00001 dans Religion et Culte
C'est jouer sur les mots. Et sur l'ambiguïté du terme croire dans le sens d'opinion (premier sens) ou dans son sens religieux/métaphysique. En l'occurrence, si l'on pose la question de l'origine de l'existence, on a des gens qui croient en une explication, qui ont une croyance (c'est a dire une proposition à laquelle ils donnent du crédit). C'est cela le sens de croire dans le contexte qui nous intéresse. Ce qui définit l'athée n'est que le fait de ne pas partager cette croyance : l'athéisme est une réaction face à une croyance, une explication avancée par d'autres. Bref le terme athée définit un individu qui ne croit pas en l'hypothèse de Dieu. Cela ne définit absolument pas en quoi il croit comme hypothèse, ou s'il a même une hypothèse qu'il juge crédible sur la question (la plupart des athées n'en ont d'ailleurs sans doute pas). C'est pour cela qu'il est impropre de dire que l'athée a une croyance au même titre que le croyant. Car on ne parle pas de la même chose, on opère un glissement sémantique de ce que recouvre le terme croyance en faisant une analogie ou une mise en miroir. "Croire" en Dieu n'a pas du tout le même sens que "croire" qu'il pleut. Dans un cas on adhère à une thèse, une explication sur un sujet (et il convient donc de définir cette thèse), dans l'autre on émet juste une opinion basique. L'athéisme est l'opinion basique face à la croyance divine. Il n'entraîne aucune thèse, ou aucune explication particulière : encore une fois, il signifie juste l'absence d'adhésion face à une thèse pensée, élaborée, développée par d'autres. La différence majeure est le crédit (la croyance) que l'on donne à une idée. Le croyant donne du crédit a une idée (celle de Dieu) : il croit, il développe cette croyance dans l'idée d'une force supérieure. L'athée ne donne pas du crédit a cette idée : il ne croit pas. On ne sait pas s'il développe ou pas une idée sur l'existence. (Peut être l'individu le fait-il, a lui aussi une explication à laquelle il croit... mais le qualificatif athée ne renseigne pas sur cela). -
C'est le problème de l'extrême-droite : la France manque de suffisament de racailles partout pour déverser sa haine xénophobe. Ça dessert la cause tout ça.
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Voire bien davantage.
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A priori LFI dit que le PC fait pression sur ses élus pour ne pas accorder de parrainages. Les autres années, ils étaient ensemble. Forcément, les partis qui ont déjà des élus en place sont forcément favorisés par ce système, et ces partis ont donc le pouvoir de fermer la porte. Poutou dit que pour eux c'est pareil que les autres fois : un combat difficile et un peu imprévisible (la dernière fois, ils avaient déjà peu de marge).
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Ils ne le seraient pas plus. Encore une fois, lorsque tu as les gens autant divisés sur des projets différents, en choisir un que l'on impose à tous n'est pas le choix le plus démocratique qui soit. Surtout que l'on ne vote pour une mesure en particulier, mais pour un package. Bref, j'ai déjà dit ici en quoi j'étais opposé au vote majoritaire, et même au principe d'un président-monarque. Alors, attention, lorsque l'on dit "légitime", ce n'est pas dans le sens de la loi (il est de fait légitime, légalement) : c'est plus dans le sens de la légitimité à représenter l'ensemble des français. C'est d'autant plus vrai lorsque le projet que l'on porte ne sert que les intérêts d'une minorité. Oui, sauf que ton "bon signe" démocratique rend de fait ces candidats écartés du pouvoir, puisque leur division signe leur défaite. Et que si la multiplicité baisse "la marche" pour accéder au second tour, on voit bien que la différence ne se fera au final que sur quelques voix. Encore une fois, si tu prends l'élection de 2017, à la limite Macron avait 3% d'avance, mais les 3 suivants étaient malgré tout très proches. Bref, on avait 4 forces politiques principales, et 3 de fait écartées du pouvoir. Alors que ces différentes forces politiques devraient peser davantage sur les différentes prises de décision du pays, qu'au moins leurs propositions puissent être davantage débattues sur chacun des thématique. Là, on a un système qui donne toutes les cartes à une seule vision. Bah on s'en rapproche tout de même pas mal. Bref, je dirais libre à chacun de préférer justement un système loin de ces schémas binaire, qui ne confie pas les clés à un camp pendant 5 ans, et où la démocratie serait davantage vivante au quotidien.
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Bah du coup je ne vois pourquoi sur ce message en particulier tu disais : ah bah voilà tu es franc. Et entre nous, je préfère largement voir un débat serein où l'on voit clairement les points de vue, ou mêmes les candidats avec lesquels je ne suis pas en accord développe leurs arguments (ça me permet de cerner mes différences), qu'un débat qui n'est fait que d'invectives Et donc tu trouves que c'est bien ? Allez, continuer à nous raconter des salades et à vous foutre de nos gueules, amis politiques. C'est bien !
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Ah , il s'est investi envers le peuple ? Quand ? Quand il a dit qu'il en emmerdait une partie ? Quand il a parlé de ceux qui ne sont rien ? Quand il a fait passé une loi dégueulasse sur le chômage qui fait payer aux chômeurs le manque cruel d'emploi ? Quand il a pris des mesures pour ses copains (suppression de l'ISF, Flat tax) ? Quand il cherche à démolir le système de retraite ? Quand il évoque le fait de faire payer les études ? J'ai dû rater le moment ...
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Je ne vois pas où j'ai dis dans mon intervention que je n'en avais rien à foutre de son programme ? ( Bon, c'est effectivement le cas, mais je ne vois pas sur quoi tu t'appuyais pour conclure cela). Mais je ne veux pas que Macron débatte pour moi : rncore une fois, c'est normal que TOUS les candidats à la présidentielle puisse exposer et confronter leurs points de vue. Personnellement, ce ne sont pas les débats qui détermineront mon choix (qui est déjà fait), ça ne m'empêche pas de souhaiter que le débat démocratique ait lieu ! Bref, je ne passe pas mon temps à prôner des choses pour moi. Ensuite, rien ne dit qu'il serait "perdant" dans ces débats, il a au contraire un certain talent pour embrouiller les gens. Et si ils lui tombent tous sur le rable, cela peut même au contraire jouer pour lui. Mais encore une fois, ma position ne s'appuie pas sur ce critère dont je me fous. C'est juste que par principe, je trouve normal que pour une élection les candidats soient soumis aux mêmes règles. Sinon, j'essaie toujours d'être franc, je ne vois pas trop l'intérêt sur un forum où je connais personne IRL de ne pas l'être. Je suis là pour dire ce que je pense, pas faire semblant.