Javiere

Pour ne pas s'abaisser au niveau de ces individus qui prétendent avoir le droit de décider de la vie et de la mort d'une personne vivante ? :smile2:

Pour un verre ou un bowling à Troyes, pourquoi pas :smile2:

Par rapport à la justice, non, ça ne doit rie atténuer. Mais la prison est un bon compromis entre justement les proches du coupable et les proches de la victime, d'autant que c'est un processus réversible en cas d'erreur judiciaire. Je sais comment je réagirais si mon frère était tué. Je pense qu'effectivement je voudrais arracher la tête du meurtrier. Mais la justice est faite pour éviter que ce genre de vengeance personnelle provoque de graves dérives dans la société. Si nous nous vengions tous, on vivrait en enfer. L'escalade de la violence, sans réglementation, ça peut aller très loin et avoir de nombreux dommages collatéraux.

Je vois. Ceci dit, si ce n'est vraiment qu'une succession de bruitages, peut-on encore appeler ça du "rock" ? Mais néanmoins, je pense que l'antithèse du rock progressif est aussi et surtout une musique formatée qui ne fait que reproduire ce qui marche déjà et étouffe toute innovation sous prétexte que ça a des chances de ne pas marcher commercialement parlant.

Sous quelle forme ? Torture ? Humiliation ? Dirais-tu la même chose si ton frère était accusé (peut-être pour un crime qu'il n'aurait pas commis car la justice est faillible ?)

Tu sais bien qu'en pratique, ce n'est pas forcément le cas... Après c'est un autre débat...

Un peu comme ce qu'on peut retrouver dans l'Indus ? ( http://fr.youtube.com/watch?v=jjynEOElacQ&...feature=related )

Qu'est-ce que tu entends par musique négative ? Une musique destinée à entrer dans un rang plutôt que de favoriser la créativité ? Dire Straits c'est top ça... Tu m'as donné un bon alibi pour poster ça :smile2: Lynyrd Skynyrd - Free Bird Je ne te dis pas le nombre de calories perdues pendant le solo interminable...

Tout dépend de ce qu'on veut dans la vie et des personnes qui nous entourent. La réalité n'est pas la même dans un couvent, une maison de retraite, un lycée et une prison. Il faut être lucide et soupeser chaque acte en se demandant s'il nous est nuisible ou pas et surtout quelles seront les conséquences de la réaction qu'on y applique, je pense. A titre personnel, je n'ai pas un caractère "méchant", j'aime vivre en harmonie avec les autres. Mais il y a des moments où pour son propre bien, il faut savoir riposter et s'affirmer. Quant à la "méchanceté" gratuite qu'on voit dans les messages précédents... je pense que c'est une méchanceté qui génère de la méchanceté venant d'autres. Si je vois un mec comme toi faire une telle chose à ma grand-mère sous mes yeux, tu risques de déguster mon pote :smile2: A ce stade là, les autres ne te respectent pas, ils te craignent. Et s'ils ne te craignent pas, ils peuvent te faire regretter tes actes...

Moby - My Weakness http://www.deezer.com/track/10089 Pour moi une des plus belles chansons que j'ai jamais entendu.

Dans la même veine (orchestre + durée) il y a aussi le très dynamique "Deadly Sting Suite" des Scorpions : Ca pose la question aussi des limites du rock progressif. Parce que des longs morceaux qui sortent des sentiers battus au niveau musical, on en trouve un peu partout... Les classifications du rock, c'est un truc à s'en arracher les cheveux ça XD

Je ne pense pas que la plupart de ceux qui commettent des crimes (au sens frenchie du terme) le font en se souciant des conséquences... Je peux me tromper car je ne suis pas un expert de ce domaine mais je ne pense pas que le violeur ou meurtrier se posera la question, avant de passer à l'acte de savoir s'il pourrait être guillotiné ou emprisonné à vie pour ça. Les gens qui se demandent sérieusement ça, ne passent pas à l'acte, à mon très humble avis. La peine de mort est barbare, mais l'emprisonnement à vie l'est aussi. La justice n'est pas la vengeance... euh... je pense qu'elle l'est en faite. Je pense que la justice humaine est un fantasme et qu'elle ne sera jamais absolument "juste", c'est une vengeance mesurée, je pense. Se pose la question de la gestion des déchets de la société : au moins, une fois zigouillé, pas de risque de récidive, pas de problème carcéral, c'est un problème plus vite évacué. C'est cru, mais c'est vrai. En revanche, ça pose des problèmes moraux. Quant aux exécutions au Texas, qui suivent des procès bâclés et frappent en priorité les minorités, ça ne me donne aps envie de rétablir ça chez nous.

Dream Theater ça a aussi été un coup de foudre pour moi. Je le classerais plus en métal que hard, ceci dit, même si la frontière est très floue. Ca montre qu'on peut faire du gros son raffiné...

Je sens qu'on va bien s'entendre. Concernant la scène progressive, certains considèrent que des groupes à succès comme Queen ou Muse en font partie, ou du moins, ont flirté avec. Bohemian Rhapsody représente bien le genre je trouve, avec son piano, ses choeurs, sa durée, les thèmes développés... Je vous laisse vous faire votre propre opinion là-dessus. En tout cas 2 grosses performances scéniques, qui marquent.

Le rock progressif... Sans doute de là que je tire l'essentiel de mes influences musicales lorsque je compose à la gratte. Je ne sais pas sic 'est déjà posté ici mais j'adore Oceansize dans ce registre :

Un peu à contre-pied du sujet, en aparté si vous préférez, je dirais : le sexe banalisé nuit à la magie de l'instant T. Pour moi ce n'est pas une chose qui doit être exposée, mais qui doit être plus intime. J'avoue être plus romantique que pragmatique. Concernant la prostitution : vaste sujet. Je pense qu'à la base la plupart des prostituées aspirent à autre chose. La perspective de "louer" son corps à n'importe qui est assez dégradante en soi, alors le fait d'y être souvent contraint... brr. Ceci dit, je connais des filles nympho qui adorent souvent changer de partenaire, et quelques unes pas fut-fut qui pensent que coucher avec le premier venu, c'est de l'amour... Vaste sujet...

Je suis de Troyes aussi

Ca dépend du garçon, on est tous différents... Soigne ton look (ni trop ni trop peu), sois naturelle au possible (pas toujours évident), et surtout, n'essaie pas de te faire passer pour ce que tu n'es pas (si tu veux des bases solides) parce que ça te retombe forcément dessus à un moment ou un autre. Après, y a pas trop de méthodes, improvise et essaie d'adapter ton approche à ton partenaire, sans te compromettre non plus. S'il est timide, normalement, il apprécierait de te voir prendre l'initiative. S'il ne s'intéresse pas immédiatement, un peu de persévérance. (Tout ça sans le bousculer, ni le gêner.) Tu peux le laisser mener la danse ou non, beaucoup de garçons aiment les invitations et ne pas avoir à briser la glace, malgré les stéréotypes galants. Pour ce qui est des signes... ils peuvent être volontairement cachés. Certains peuvent rougir ou se crisper si tu les fixes avec insistance, d'autres n'éprouveront aucune gène à te détailler du regard ou à te sourire, et d'autres peuvent paraître indifférents tout en te considérant d'un bon oeil... il ne faut pas s'arrêter là. C'est la même chose pour l'attitude, entre "qui aime bien châtie bien" et les petites attentions envahissantes, il y a un monde et ça ne veut pas forcément dire qu'il y a un rejet. Voilà, je ne dirais pas que tout est adapté à ta situation dans ma réponse, ce n'est que que quelques conseils

Certaines personnes vivent leur vie plus intensément que d'autres, et ressentent davantage la nécessité de pleurer... De mon côté, je pleure rarement mais je n'ai pas non plus souvent l'occasion de le faire... Je n'ai pas vraiment eu de peine de coeur ces dernières années car je m'attache difficilement aux gens. Je verse quelques larmes lors des enterrements et des bons films, rarement plus. Je comprends que certains hommes puissent ressentir une gêne à pleurer. Evidemment, les larmes d'émotion ou de joie, ça passe. C'est quand les larmes trahissent la douleur que c'est plus difficile, je pense. Il y a la fierté qui empêche un homme de pleurer tout court (ce qui peut paraître absurde aux yeux de certains, de ne pas laisser les pleurs exploser) et il y a également la virilité qu'il faut préserver en public pour ne pas perdre le respect des autres (ce qui n'exclut pas une bonne saucée dans la chambre). Dans tous les cas, je pense que ceux qui se refusent à pleurer ont leurs raisons. C'est très compliqué d'être dans le rôle du leader, de celui qui conduit la marche et qui reste d'actualité, quoi qu'on en dise et il y a comme une obligation morale personnelle de dégager une impression de force, que ce soit à côté de sa petite amie ou de ses potes. C'est peut-être un peu idiot, mais c'est comme ça. Dans le même genre, je pense que les garçons ont également du mal à comprendre pourquoi le maquillage est aussi vital pour de nombreuses filles. Je pense que c'est à peu près la même idée qui se cache derrière. Même si avec l'évolution constante des moeurs, ce shéma "classique" sera probablement de plus en plus caduque. En tout cas, tant que les filles rêveront d'être des princesses et les garçons des nobles chevaliers, je pense que ça perdurera...

Si seulement c'était aussi simple... La vie c'est tout ce que j'ai, et je considère qu'il n'y a rien après la mort. Quant à choisir entre faire l'effort pour être heureux ou se contenter de son malheur, je préfère la première option, c'est assez logique. J'ai des impulsions instinctives et des raisonnements. J'essaie d'éviter les souffrances, de faire les choix les moins mauvais pour le futur. J'essaie d'avancer. Tant qu'on a du temps et de l'envie, je pense que la vie vaut la peine d'être vécue, même si elle n'est pas rose. Je ne parle pas des cas extrêmes où la vie devient insupportable et que je ne connais pas.

Je pense de plus en plus souvent à la mort ces temps-ci. Au fond de moi, je fais un caprice, l'enfant apeuré que je reste est dans une forme de contestation permanente bien que mon raisonnement soit fait : inutile de s'en faire, accepter le cours des choses. Je ne peux tout simplement pas m'y faire. Mais avec la mort, c'est surtout l'évolution des choses et le temps qui passe qui se font lourd. Je déteste les fins... Quelquefois, je me demande si je ne préférerais pas aller en enfer plutôt que de ne plus exister...

Troyes a bien redressé la barre. Bettiol est vraiment l'homme du début de saison, je suis heureux pour lui, il le mérite vraiment. C'est un joueur exemplaire, généreux, et s'il est décisif aussi, il va faire chavirer les coeurs.

J'aime le 13, je suis né ce jour là et tous les gens qui s'apprêtent à regarder la 4e saison de House M.D. vont aussi bientôt l'adorer

Personnellement j'ai été de temps en temps confronté à la police sans jamais avoir quelque chose à me reprocher (constat d'accident, contrôle de l'identité, fouille des supporters.) Une fois, dans un stade, un mec bourré à refuser d'obtempérer et quelques crs l'ont embarqué pour le foutre dehors. Globalement, ils m'ont fait plutôt bonne impression. Ils n'hésitent pas à utiliser la manière forte mais ne me semblent pas spécialement violents ou retors pour ce que j'en ai vu, c'est-à-dire très peu. Je pense qu'on dit plus de mal d'eux qu'il n'en font. Maintenant, ça vaut ce que ça vaut comme témoignage, je suis blanc, de classe moyenne et je n'ai pas l'air d'un voyou quand je marche dans la rue... Il faudrait voir comment ils se comportent face à d'autres. Mais je pense qu'il font un boulot très difficile, même si ça ne justifie pas d'éventuels écarts de conduite.

Honnêtement je peux concevoir que certaines personnes puissent croire ou non en la présence de Dieu. Mais qu'il y ait des gens qui considèrent que pour atteindre Dieu, il faut respecter les rites, la Bible et les bonnes moeurs ; au vu de tous les méfaits de la religion dans l'histoire et de son caractère passéiste et obsolète depuis que la science leur a cloué le bec, je trouve ça vraiment surprenant. Ca dépasse mon entendement, surtout vu les prises de position de l'Eglise vis-à-vis de l'homosexualité ou de l'euthanasie. Comment peut-on suivre sans broncher des gars pareils ? Je suis plutôt ouvert aux opinions des autres en général, mais pour dire les choses comme je les pense, là c'est vraiment suivre le prétendu berger comme des moutons. J'ai l'impression qu'on me prend pour un con, quand j'assiste à des messes pour des communions ou des baptèmes, à me dire ce que je dois faire comme ça... Et vive le rock'n'roll.