Aller au contenu

Kégéruniku 8

Membre
  • Compteur de contenus

    8 039
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Jours gagnés

    5

Tout ce qui a été posté par Kégéruniku 8

  1. Je viens de terminer ce quiz. Mon score 10/100 Mon temps 79 secondes  
  2. Personnes quelconques, vie banale, Je crois que la télé nous a banane. On restera pas dans les annales, La chance nous a fait le coup de la panne. Tu voulais vivre dans les étoiles Et en fait ta vie s’étiole. T'aurais voulu mettre les voiles Mais t'étais qu'une petite tafiole. Et comme tous les autres tu t'es rangé Loin de ces rêves qui te démangeaient. Entre picole et canapé, Tu veux juste qu'on te foute la paix. Si l’amour propre est un moustique T’as prévu le stock de citronnelle. Aucune chance qu’il ne te pique Qu’il ne t’érafle ou te cherche querelle. T’as l’air plus zen qu’un moine bouddhiste Mais t’es juste mort à l’intérieur. A vivre sa vie sans prise de risque Elle y perd toute sa saveur. Ce qui t’entoure n’a aucun goût, Ceux qui t’entourent te dégoûtent ; Balance tout à l’égout, Dégueule jusqu’à la dernière goutte. Mais t’es trop lâche pour tout lâcher, Tu mérites juste de te faire lyncher. Tu sais rien faire sauf te cacher Et pleurer tes chances gâchées. Et tu sombres tout doucement Pour ne pas prendre de décision. Et tu te places en isolement Comme si t’étais ton propre maton. La vie c'est dur, ma bite aussi. Deux points de suture, pourquoi tu cries? T'engueules les murs, t'habite ici. Tu joues sécure et tu fais l'aigri?! Serait peut-être temps de changer de disquette! Disent que tu t'uses comme une gisquette. Tise gin, suze, juste une lichette; Tchin et motiv' finit en moquette. De jolis mots plein la bouche Mais y a rien quand t'accouches. Tu fais qu'attendre les cafouilles, Toujours à faire le guet. Mais souvent quand ça bafouille En fait c'est toi qui bégaie. Tu t'imagine comme géant Qui peine à s'éveiller. Mais t'es qu'un petit con gênant Qui a bien assez veillé! Tu sais la vie ne livre pas. Tu sais pas quoi dire, ne l'ouvre pas. Tu cherches l'avenir, délivre toi. Les faux départs ça n'arrive pas.
  3. En fait j'étais surtout en train de te donner un conseil. Quitte à ajouter une deuxième phrase, si ça te rassure, il fallait alors aller dans l'extravagant, du genre: Moi sur la défensive? j'ai une tête à être sur la défensive? Ou encore Moi sur la défensive? Je vais t'offenser, tu vas voir la défensive.
  4. On a compris, mais l'intention ne suffit pas, l'humour c'est sérieux mec. On plaisante pas avec l'humour. "Moi sur la défensive?" C'était pas mal du tout, subtile ce qu'il faut et c'était une jolie pirouette par rapport à mon QCM. En y ajoutant une autre phrase, ça casse l'effet par un surplus d'information. Du coup, soit on se dit que tu es effectivement sur la défensive et tu passes pour un idiot, soit on se dit que tu as voulu trop en faire et tu passes pour un forceur.
  5. C'était une question à choix multiple, alors ça ne veut clairement pas dire que toutes les propositions étaient vraies. Du coup, c'est marrant que tu te sois focalisé sur celle ci. Par contre, pour que ce soit vraiment drôle, la première phrase aurait suffit, la deuxième gâche le truc quand même.
  6. Que peut on en conclure? - Que les gens aiment rire ensemble, sauf avec toi, parc qu'avec toi il faut être méchant et puis c'est tout! - Que ce n'est pas parce qu'on veut faire de l'humour qu'on est forcément drôle. Les ratés, ça arrive. A certains peut être plus qu'à d'autres, mais ça c'est parce que l'humour, c'est technique en fait. - Que mettre un smiley qui rigole à la fin d'une phrase ne suffit pas forcément pour faire de l'humour. -Que changer tes propos peut être une façon de rire avec toi et qu'on ne rit à tes dépends que parce que tu te mets tout de suite sur la défensive. Indice: C'est une question à choix multiples.
  7. Bah non justement, il n'aspire, tu peux t'y complaire et chercher à l'apprivoiser, ou même en faire ton foyer. Mais même la gravité n'empêche pas de s'élever et d'être léger. C'est tout le contraire, rayonner c'est bien souvent une façon d'attirer à soi. Alors pourquoi cela devrait signifier n'avoir besoin de personne? On peut trouver ça con, mais il n'y a que les étoiles qui rayonnent tout le temps. Et encore. L'abîme, c'est ce qui t'abime.
  8. Elle regarde en toi, elle ne t'emporte pas pour autant. Rayonner, c'est une question de choix, pas d'altitude. D'ailleurs, il paraît qu'on ne brille jamais tant que dans l'obscurité.
  9. On peut goûter l'abysse et rayonner tout de même. Après, la permanence n'existe pas vraiment dans le comportement humain. Les monolithes sont des minéraux, pas des personnes.
  10. Tiens, ça me fait penser à une phrase d'Oscar Wilde, qui dit grossièrement qu'il faut être imparfait pour aimer. Compter sur quelqu'un d'autre pour nous compléter, c'est manquer d'être entier. Par contre, du coup, ça n'a rien à voir avec un manque de profondeur...
  11. Oh, pas besoin de forumer pour cela, et malgré le fait qu'ils tendent à l'objectivité, même les journalistes peuvent être amenés à exprimer ce qui leur semble. Gageons que vous devez avoir en mémoire au moins un article ou le terme sembler est inscrit noir sur blanc. A la lecture de ce dernier article, le premier chef d'inculpation ne me semble plus si aberrant, il est vrai. En vous en souhaitant tout autant.
  12. Même s'il se mettait à forumer, je ne vois pas comment il pourrait le dire, c'est dire. Mais c'est regrettable quand même.
  13. Merci bien, effectivement cela change quelque peu la donne sur le premier chef d'inculpation, même si l'article ne dit pas si c'est la mère qui a caché le passeport.
  14. Ah, je crois comprendre, vous pensez qu'il a été dissimulé avant l'interdiction de sortie de territoire, en faisant croire, par exemple qu'il était perdu? Et donc qu'il n'a pu être retiré, permettant ainsi au terroriste de quitter le territoire? Je n'avais pas du tout vu la chose comme ça. J'avais cru comprendre que la mère était accusée de dissimuler le passeport au moment de l'enquête. Ce qui, si c'était avéré, relevait de l'obstruction mais pas de l'aide illégale à quitter le territoire. Pourriez vous me citer l'article qui donne cette information?
  15. Je ne suis pas certain de comprendre en quoi dissimuler son passeport permet de sortir du territoire. Vous l'avez dit, assez récemment ce me semble, effectivement, par contre, vous n'avez pas seulement dit ça, autrement la discussion n'aurait pas lieu d'être étant donné que je me suis cantonné à répondre aux propos que vous m'avanciez et aux propos que vous disiez comprendre de moi. Pour ce qui est de la qualification d'aberration de mon point de vue, il ne me semble pas vous avoir rétorqué grand chose. L'avantage d'un avis, c'est qu'on peut le remodeler lorsque de nouvelles informations nous parviennent, ce que je ne manquerai pas de faire. Mais le fait qu'un point de vue puisse évoluer ne signifie pas qu'il soit impossible de l'exprimer, d'autant plus en le relativisant, avant qu'il n'ait atteint son parfait accomplissement. Et puis, j'aime vivre dangereusement. Je n'ai jamais dis que rien ne pouvait justifier l'accusation, mais qu'en l'occurrence rien, si ce n'est des soupçons, ne la justifiait; c'est différent. Encore une fois, il serait tout à votre honneur de ne pas me prêter les propos que je ne tiens pas. Quitte à me citer, autant le faire exactement, c'est bien plus propice à la discussion. Par contre, quand bien même le passeport aurait été dissimulé par la mère, ce dont elle est accusée mais qui n'est pas démontré a priori, je ne vois pas en quoi cela démontre une aide illégale à la sortie. Cela peut démontrer une entrave à la justice et/ou une dissimulation de preuves, pas une aide à la sortie.
  16. @titenath Voilà qui devrait faire office d'exception:
  17. /me récupère sa chaîne.

    Non mais ça va de prendre mes affaires pour faire des photos lubriques oui! Si ça continue comme ça, je t'attache plus au radiateur moi. :bad:

    1. cricket

      cricket

      Si je ne peux même plus rentabiliser mon temps d'enchaînement pour faire du racolage, les affaires vont chuter. :sleep:

    2. Kégéruniku 8

      Kégéruniku 8

      Que tu racoles, fort bien, d'autant plus que tu le fais bien, mais bon, y a des droits à l'image tout ça, même si c'est pour une bonne cause, je vais devoir te demander quelques billets de plus hein. Bien obligé. :sleep:

  18. Et c'est parfaitement votre droit. Vous pouvez, également, parfaitement exprimer votre avis concernant la futilité d'exprimer son avis. Par contre, je n'ai jamais dit, loin s'en faut, que je trouvais aberrant qu'il y ait suspicion, ni même poursuite. Et pour continuer dans la précision, lorsqu'on dit: "rien...sinon..." ça signifie que ce n'est pas tout à fait rien non plus. C'est une forme particulière, je peux en convenir. Sinon, je suis d'accord, la pertinence de l'accusation se dénoue au jugement, il me semble l'avoir déjà dit d'ailleurs. (Ce n'est pas le procureur que j'ai qualifié d'ubuesque, si? Je suis convaincu du contraire.) C'est ma notion du temps qui est mauvaise, pas ma mémoire (j'ai maintenant la date sous les yeux, mais avant ça, il m'était tout à fait impossible de la donner.) hors il est difficile de se souvenir de ce que l'on n'appréhende pas. (pour ma part, la notion du temps.) Au demeurant, j'ai retrouvé le topic en question, mais j'avais préféré le poster dans l'asile pour ne pas avoir à chercher les sources qu'il aurait fallu citer autrement (flemme) et parce que le but n'était pas d'informer mais plutôt de rire, de fait je ne sais pas s'il vous intéressera vraiment ou pourra vous aider. Le voici toutefois, pour ce que ça vaut. On ne peut pas se souvenir de ce qu'on n'a pas lu, je peux donc vous affirmer que ce n'était assurément pas cet article que je commentais. C'est d'ailleurs pour ça que je ponctue toujours mes phrases de précautions, et que j'avais précisé "il ne me semble pas" La dissimulation de preuve est effectivement une inculpation parfaitement recevable en l'état. Mais c'est là un autre chef d'inculpation que l'aide illégal à la sortie du territoire. Par ailleurs, la première partie de ma phrase reste vraie, il n'est pas reproché, à ma connaissance, à la mère d'avoir fourni le dit passeport. Mais quand bien même votre mémoire serait parfaitement défaillante, je n'ai jamais dis que ce qui me semblait aberrant devaient sembler aberrant à tout un chacun, si? Je suis pourtant certain de ne pas l'avoir fait. De plus, si mes souvenirs sont exacts, je n'ai jamais dis que je ne me souvenais pas du fond des différents articles que j'ai lu, ni même quels articles j'ai lu. Ce dont je ne me souviens pas, et que je pensais avoir exprimé clairement, c'est quel article j'avais lu à un moment T, parce que ce moment je suis incapable de le situer. De fait, je n'arrive pas à savoir si vous faites preuve d'un goût immodéré pour les raccourcis ou si je ne parviens pas à me faire comprendre de vous malgré les efforts que je fourni en ce sens. Au moment de votre intervention, j'avais déjà lu plusieurs articles, et si d'évidence il a été montré que je ne les ait pas tous lus, je ne sais même pas si je n'avais pas lus tous ceux qui étaient mis à disposition sur le topic à ce même moment. Néanmoins, qu'importe, je n'ai jamais prétendu être en possession de tous les éléments, c'est même pourquoi je vous demandais humblement de me corriger chaque fois que vous étiez au courant d'un élément qui contredisait mes propos. Ce que vous avez pu faire pour l'un de mes propos. Maintenant, chercher à répondre à tous mes propos en généralisant un élément singulier me semble quelque peu malhonnête. Et si ce n'est pas votre intention, j'ai déjà écris à plusieurs reprises que mes commentaires étaient forcément basés sur les informations dont je dispose et que fatalement je ne dispose pas de toutes les informations, de fait si votre intention est de démontrer ceci, je vous ai épargné le travail depuis un moment. (que je ne saurai pas plus situer dans le temps par contre. )
  19. Je pense pouvoir affirmer que je suis un pont.
  20. Le fait qu'il l'ait jugée pertinente ne signifie pas que ce soit pertinent, même si rien ne dit qu'il l'ait effectivement jugée pertinente. Et le fait qu'il ait testé ne signifie pas non nécessairement que ce soit pertinent. Je suis certain d'avoir vu des procès tenus pour des chefs d'inculpation autrement ubuesques. J'avais fais un topic, il y a, je crois, quelques années, sur une femme accusée de discrimination parce qu'elle avait refusé de coucher avec un homme au motif qu'il était trop vieux. Le simple fait que le procès en question ait été tenue me semble aberrant. Il ne me semble pas qu'il ait été reproché à la mère d'avoir fourni le passeport en question, ni de l'avoir caché. Qu'une enquête soit diligenté en ce sens me semblerait tout à fait entendable au demeurant. Vous êtes bien parvenu à me répondre jusqu'ici en ignorant sur la base de quel article je m'appuyais, ou même si je m'appuyais sur un article en particulier, plusieurs, aucun. Pourquoi ce soudain revirement? En tout cas, c'est fort aimable de votre part de me laisser commenter sur la base d'arguments que j'ai exposé tout au long du fil afin d'exprimer un point de vue, que je n'impose à personne au demeurant. C'est tout à votre honneur.
  21. Sauf que, si l'achat d'un billet d'avion pour une personne interdite de sortie de territoire ne s'avère n'être pas nécessairement une aide illégale à la sortie du territoire, l'inculpation ne peut tenir sur ce seul fait et doit être étayée par d'autres éléments permettant de considérer l'achat d'un billet dans ce cas comme relevant de l'aide illégale à la sortie du territoire. Ici, il semblerait que ces autres faits soient les actes commis par le fils, ce qui me semble être aberrant. Mais j'espère bien que ce n'est pas le cas. Qui se base sur son interprétation de la relation mère fils pour déterminer l'intentionnalité. (de la même manière que les magistrats sont bien mieux placés que moi pour juger de l'affaire, il me semble que le procureur n'est pas le mieux placé pour parler de la relation que pouvaient entretenir cette mère et son fils. ) De plus, même si le procureur avait demandé que cela soit considéré comme une circonstance aggravante, ce qui ne me semble pas être le cas ici, ça ne signifie pas pour autant que la circonstance aggravante soit retenue. Du coup, je répète, je ne vois rien ici, si ce n'est vos propos, pour dire qu'il s'agisse effectivement d'une circonstance aggravante. Ce n'est pas parce qu'il est sanctionné qu'il est remis en cause. La sanction n'a pas vocation à dénigrer les compétences du professionnel, de même qu'une erreur/faute ne remet pas en questions les dites compétences, et encore moins le professionnel. Pour ce qui est de la mère Michel, je préfère ne pas me prononcer. Euh... Pour être honnête, là, maintenant, je ne sais plus quels articles j'avais lu au moment où j'ai répondu. J'ai une extrêmement mauvaise notion du temps, et même en remontant le fil, je ne pourrai pas l'affirmer clairement sans souffrir le moindre doute. Même si la loi ne dit pas clairement qu'acheter un billet afin de permettre à une personne interdite de sortie du territoire de sortir soit illégal, l'inculpation peut être tenue, puisqu'il est évident que la loi, qui tend à être générale, doit s'appliquer également aux cas particuliers. Néanmoins, le fait que l'inculpation puisse être tenue ne signifie pas qu'elle soit nécessairement pertinente, il s'agit alors d'un cas parfaitement discutable. Hors, il ne me semble pas que la loi précise que le fait d'acheter un billet afin de permettre à une personne interdite de sortie du territoire de sortir soit illégal. S'il s'agit d'une interprétation, la démarche peut parfaitement être remise en cause. Et bien, j'ose espérer que pour une personne interdite de sortie du territoire, il y ait un élément (confiscation du passeport, indication sur le dit passeport, l'indication sur un registre ou je ne sais quoi d'autre d'ailleurs) qui permette de le constater afin d'empêcher une sortie effective du territoire. Autrement, l'intérêt de l'interdiction de sortie du territoire est quelque peu limité. Comment se fait il qu'il disposait de son passeport, c'est effectivement une question pertinente, mais je ne crois pas que la mère soit accusée de lui avoir fourni le dit passeport. Pour le coup, il s'agirait indubitablement d'une aide illégale à la sortie de territoire, contrairement au fait de payer un billet.
  22. L'aide illégale à la sortie du territoire est contraire à la loi. Ce qui ne signifie pas nécessairement que le fait de payer un billet d'avion à une personne étant sous le coup d'une interdiction de sortie de territoire soit contraire à la loi. Ce que je vous demandais donc c'était ce qui expliquait que l'achat d'un billet d'avion relevait nécessaire de l'aide illégale, dans le cas d'une personne étant sous le coup d'une interdiction de sortie de territoire. Je vous prie de m'excuser si ma formulation prêtait à confusion. En somme, est ce un élément qui est inscrit dans la loi ou est ce un élément qui demande une extrapolation de ce que la loi dit et qui est donc discutable? Que les liens familiaux puissent constituer des éléments aggravants ou atténuants en fonction des affaires, je le savais, mais je ne pensais pas qu'ici il s'agissait d'une circonstance aggravante, il ne me semblait pas l'avoir lu; si c'est bien le cas, alors oui, ça m'a échappé. Pas du professionnel en tout cas, ni de la personne. On sanctionne pour un épisode qui n'est pas représentatif de l'ensemble de la carrière
  23. Wut, le fait que ce soit son fils est une circonstance aggravante? Pour être honnête, je n'en sais rien, mais cela me surprend, j'aimerai bien voir ce qui le stipule, ça me semble tellement...bah surprenant. Par contre, pour avoir cherché rapidement là dessus contrairement au point précédent, je n'ai absolument rien trouvé stipulant qu'acheter un billet, même a une personne sous le coup d'une interdiction de sortie de territoire et même en connaissance de cause, était contraire à la loi. J'ai pu mal chercher, j'en conviens parfaitement, mais si c'est le cas, votre aide est la bienvenue. j'ai mentionné le fait qu'il avait reçu une sanction, et ça ne change en rien le fait que l'affaire ne l'a pas empêcher d'avoir de l'avancement par la suite. C'est d'ailleurs indiqué dans votre source également. Il y a eu réprimande pour la faute, pas remise en cause du professionnel à priori. Ce qui est on ne peut plus affirmatif c'est la deuxième partie que vous citez. Dans la première partie, même si vous l'estimez vague, la précaution est bien là. J'aurai pu la préciser d'avantage, il est vrai, mea culpa, mais de là à l'occulter purement et simplement, tout de même. J'aurai pu préciser, d'après ce qui nous est montré, et ce à chaque commentaire; il m'a semblé que c'était induit, j'ai sans doute péché de ce point de vue, il est vrai. Par contre, lorsque vous me reprochez l'usage d'un terme en particulier, il serait de bon ton de ne pas prendre la défense de ce terme particulier pour me reprocher l'usage d'un autre terme par la suite, alors que cet autre choix trouve sa justification ailleurs. Ce ne me semble ni très cohérent ni très pertinent. La qualification d'aberration était bien l'expression d'un point de vue qui n'avait nullement valeur de sentence. Cette dernière phrase que vous citez est un jugement de fait basé sur les données auxquelles j'ai accès. Jugement qui peut s'avérer erroné, je vous le concède, puisque corolaire des données à ma disposition. Vous prenez en compte une affirmation pour qualifier l'expression d'un point de vue d'affirmation également. Acheter un billet n'est pas non plus une infraction à la loi. Lorsque des contrôles sont en place, le fait d'avoir un billet ou non ne devrait pas aider à sortir illégalement du territoire. User d'un subterfuge pour passer les contrôles par contre, c'est effectivement une infraction. Mais là, il ne me semble pas avoir vu quoique ce soit impliquant l'usage d'un subterfuge quelconque, vous si? Pour les dédits, je suis d'accord, cela plaide même en sa défaveur et à raison. Mais il ne me semble pas qu'il s'agisse là d'un motif justifiant le procès et la peine requise. Désolé, mais je n'ai pas compris cette intervention. N'étant pas sous le coup d'une interdiction de territoire, j'ose espérer que les contrôles que je passe lorsque je prend l'avion et/ou le bateau ne sont pas strictement les mêmes que pour une personne ayant une interdiction de quitter le territoire. Lorsque l'on contrôle mon identité, cela ne renvoie pas à un grand chose. Mais si le contrôle d'identité d'une personne ne permet pas de constater que celle ci n'a pas le droit de quitter le territoire, j'ai grand mal à voir l'intérêt de la chose et la pertinence de l'interdiction de quitter le territoire. Mais dès lors qu'on a un billet, on peut prendre l'avion, même si l'on est interdit de sortie du territoire? Dans une seule et même phrase, j'ai exprimé un point de vue et émis un jugement de fait; c'est une chose tout à fait possible et ça ne signifie pas qu'on peut arbitrairement qualifier toute la phrase de jugement de fait, ou la considérer entièrement comme l'expression d'un point de vue. La ponctuation était bien là pour montrer la différence entre les deux composantes de la même phrase, c'est l'une des utilités de l'incise. Vous me parliez de l'incise justement "ce qui ressemble [à mes yeux, si vous préférez d'avantages de précision] à une aberration." Voilà l'expression d'un point de vue. Ressembler est synonyme de sembler, toujours pas d'être. La partie de la phrase dont vous parlez maintenant est un jugement de fait. L'article montre qu'on suppose une duplicité de la mère et du fils et que c'est cette duplicité qui justifie l'accusation de financement du terrorisme, mais aussi l'accusation d'aide à la sortie du territoire. Aucun élément ne vient attester factuellement cette duplicité dans l'article. Maintenant, je vous l'accorde, mon jugement se base sur l'article, celui des magistrats se base sur les faits directement, il y a donc des chances non négligeables qu'ils disposent d'informations supplémentaires. Ne les ayant pas, je ne vais pas les imaginer, ce qui ne m'empêche pas de m'exprimer sur les faits dont je dispose a priori; et ce sans remettre en cause les magistrats étant donné que je suis au fait du distingo que je vous explicite là. A la limite, on pourrait dire que d'une certaine manière, je remet en cause l'article, même si ce n'est pas mon intention non plus, puisqu'il est possible aussi que l'auteur présente ici tous les faits à sa disposition.
×