SN3 The last.

On ne peut qualifier un style musical de contestataire, par contre ce que l'on en fait, là ça sonne :smile2: La musique c'est avant tout du rythme puis de l'harmonie. En y ajoutant un texte ça devient une chanson. Une chanson contestataire peut se jouer dans plusieurs rythmes, ou styles, elle n'en restera pas moins contestataire. Ce n'est pas l'habit qui fait le moine.

Sans mauvais, pas de meilleur. C'est pourquoi tous se valent à mes yeux.

Le hic c'est de voir un débat plombé par l'attention portée au jugement du "meilleur" en devenir plutôt que l'attention portée au débat lui-même. Alors qu'en fin de compte chacun est le "meilleur" puisque il participe à l'élaboration du débat, créant ainsi une causalité : l'échange. Sans échange, comment en juger un meilleur qu'un autre ? C'est pourquoi tous se valent. Dans mon humble pensée de l'instant. Ce qui, je l'espère, ne vous empêchera point de le faire quand même :smile2:

Oui, le sein eut été préférable. :smile2:

Au fric.

Euh... un fumeur ne se comporte pas comme un non fumeur, mettre une cigarette aux lèvres est un comportement typiquement "fumeurs", être dépendant c'est avoir un comportement de dépendant, "je fais donc je suis". éa inclut que fumer modifie le comportement humain, comme toute drogue.

Est-ce une règle absolue de vouloir vivre vieux ?

La drogue, surtout le cannabis, existe depuis toujours ainsi que sa consommation ; il y a des animaux (autres que l'humain) qui se droguent. éa semble tellement naturel que j'ai du mal à croire que ça ne fasse parti des besoins primaires. De toute façon, vivre est une drogue, la plus dure qui soit, n'épargnant personne, effectivement.

Si je me fais la moustache à la Hitler, serais-je pro-nazi ? C'est bien de voir un côté, et le côté de Marilyn Monroe on l'oublie subitement ?

Quand tu allumes oui :smile2:

Le goût des choses bien faites. :smile2:

Oui, entouré d'eau le fou à soif. :smile2: Je parle partout.

Ce n'est pas vrai partout.

Abolir l'alcool, nan mais ça va pas bien ? :smile2: Plus sérieusement, ce n'est pas l'abolition la solution. Le problème de l'alcool, du tabac, de la pornographie, du trafic etc ... ce n'est pas l'alcool, le tabac, la pornographie, le trafic etc ... mais l'usage qui en est fait, comme d'habitude. Seulement le privilège reste toujours en la répression, qui plus est ! sous couvert d'une morale culpabilisante. On nous considère comme des irresponsables, des bons à rien ci ce n'est d'être exclusivement la ressource d'une société qui nous veut du bien... Qu'elle aille se faire enculer

Des sources... c'est quand même des personnes qui écrivent les sources, seulement on croit les sources mais pas les personnes :smile2: . Enfin, c'est fou comme il y a plus d'intérêt porté à celui qui dit plutôt qu'à ce qui est dit ! (Enfin en même temps je dis ça mais chez moi c'est pas mieux ).

:smile2:

Ben, sans vouloir t'importuner, penser des gens de l'hypocrisie, du préjugé... d'une certaine manière c'est avoir un préjugé sur eux, une forme d'hypocrisie également. A moins de se sentir impliquer dans "les gens". En creusant la chose. Ce qui me mène toujours à la même conclusion : pour changer les choses il faut se changer soi même, arrêter de vouloir que les autres le fassent. Parce que mine de rien, "les gens" déteignent sur "les gens". A force d'être entouré d'hypocrites, de rustres, on finit, malgré nous, par le devenir. Mais c'est comme pour l'automobile, ils te disent tous que les autres conduisent comme des connards, mais au final, qui est véritablement un connard au volant ? Bizarrement, personne

Encore plus même puisque l'argent est sale. :smile2:

En même temps c'est très bon aussi le boudin , enfin c'est juste une histoire de goût.

Tu as de l'espoir. éa existe une loi juste ? :smile2: La loi, par définition propre, est déjà une injustice.

Je n'ai pas compris. :smile2:

Tu as oublié de dire "représentatif", car ça l'est, pas dans une globalité certes, mais quand même.

Ha ! Ha ! Ha !!! Bien vu :smile2:

Je suis en total accord avec Georges : "La lune s'attristait. On comprend sa tristesse On tapait plus dedans. Elle se demandait quand est-ce Qu'on va se rappeler de m'enculer. Dans mon affreux jargon, carence inexplicable, Brillait par son absence un des pires vocables C'est: "enculé". Lacune comblée. Lâcher ce terme bas, Dieu sait ce qu'il m'en coûte, La chose ne me gêne pas mais le mot me dégoûte, Je suis désolé de dire enculé. Oui mais depuis qu'Adam se fit charmer par Eve L'éternel féminin nous emmerde et je rêve Parfois d'aller me faire enculer. Sous les coups de boutoir des ligues féministes La moitié des messieurs brûle d'être onaniste, L'autre d'aller se faire enculer. A force d'être en butte au tir des suffragettes En son for intérieur chacun de nous projette D'hélas aller se faire enculer. Quand on veut les trousser, on est un phallocrate, Quand on ne le veut point, un émule de Socrate, Reste d'aller se faire enculer. Qu'espèrent en coassant des légions de grenouilles? Que le royaume de France enfin tombe en quenouille, Qu'on coure aller se faire enculer? Y a beaux jours que c'est fait devant ces tyrannettes, On danse comme des pantins, comme des marionnettes Au lieu d'aller se faire enculer. Pompadour, Montespan, La Vallière et j'en passe Talonnèrent le roi qui marchait tête basse Souhaitant aller se faire enculer. A de rares exceptions, nom d'un chien, ce sont elles Qui toujours mine de rien déclenchent la bagatelle; Il faut aller se faire enculer. Oui la plupart du temps sans aucune équivoque En tortillant du cul ces dames nous provoquent, Mieux vaut aller se faire enculer. Fatigué de souffrir leur long réquisitoire Ayant en vain cherché d'autres échappatoires, Je vais aller me faire enculer. D'à partir de ce soir cessant de croquer la pomme J'embarque pour Cythère en passant par Sodome, Afin d'aller me faire enculer. Afin qu'aucune de vous mesdames n'imagine Que j'ai du parti pris, que je suis misogyne, Avant d'aller me faire enculer J'avoue publiquement que vous êtes nos égales, Qu'il faut valider ça dans une formule légale, Je suis enculé mais régulier. En vertu de quel pouvoire, injustes que nous sommes, Vous refuse-t-on les droits que l'on accorde aux hommes, Comme d'aller se faire enculer."

Interdire une liberté de culte sataniste (ou autre), ce n'est plus une liberté de culte.