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Tout ce qui a été posté par Titsta
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Ce dont tu me parles me fait penser au phénomène des enfants sur-éduqués. Beaucoup de parent (riches) cherchent à faire de leur enfant un enfant "surdoué" et multiplient les cours "spécialisé"… faisant de leur enfant un être capable d'une certaine forme de maturité réflexive qui donne l'impression d'être un surdoué. Mais que les test de QI ne révèlent pas comme étant particulier. D'une façon générale, être heureux consiste surtout à correspondre à la norme. Ce genre d'éducation a tendance à faire des enfants malheureux, qui ont surtout été soumis à une très grande pression d'excellence, et ont grandie trop vite. Vouloir faire grandir trop vite les enfants, c'est une tendance dont il faut se méfier, ça n'est pas forcément bon pour leur épanouissement. Ceci dis, je te soutiens complètement ta remarque sur l'aberration des "classes d'âges". Ceux qui sautent des classes se retrouvent au milieux de personnes qui n'ont pas le même âge, et le vivent assez mal. Je pense (mais ça n'est que mon opinion) que classes d'autrefois, qui couplait dans une même classe des enfants de tous âges (du CP au certificat d'étude) était bien plus intéressantes pour l'épanouissement que les classes "industrielles" d'aujourd'hui. Les enfants plus âgés aidait les autres (ce qui semble important à apprendre sur le plan social). Et surtout, les enfants apprenait à fréquenter des gens de différentes maturités. ce qui me semble un gros plus, tant dans l'apprentissage de la vie sociale, que dans l'épanouissement personnel nous permettant de suivre nos propres capacités. Ma mère, qui est assez vielle ( dans les 80 ans ) a appris à lire 2 ans avant l'âge, parce qu'elle était dans une classe de ce type. Comme les plus vieux apprenaient à lire pendant qu'on donnait des dessins à faire aux plus jeunes… bah elle a appris à lire tout simplement, parce qu'elle trouvait ça plus intéressant. ça n'est que lorsqu'elle s'est retrouvé dans les "classes d'âges"… où on apprenait le ba-ba de la lecture, que les profs ont découvert (en fin d'année), qu'en fait elle savait déjà lire depuis longtemps, et parfaitement. (mais, très obéissante, elle appliquait "comme les autres" le ba-ba de l'apprentissage de la lecture… puisqu'on lui demandait de le faire) Elle aurait pu sauter 2 classes aux moins s'ils s'en était rendu compte plus tôt. ( mais ça aurai posé des problèmes de maturité ) Vouloir à tout prix que les enfants, parqué en classe d'âge (et non de leur capacité) apprennent tous exactement les mêmes chose, en même temps, correspond à une "industrialisation" de l'éducation de type taylorisme, qui est plus abrutissante qu'utile ou efficace.
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Quand coucher n’est pas tromper - Les nouvelles infidélités
Titsta a répondu à un(e) sujet de Elsa dans Amour et Séduction
Notez que c'est même pas forcément hors sujet comme remarque Qu'une chose à dire : Ce monde n'est pas fait pour les petites bittes. Le truc, c'est d'assumer ! ^^ -
Quand coucher n’est pas tromper - Les nouvelles infidélités
Titsta a répondu à un(e) sujet de Elsa dans Amour et Séduction
C'est là où on se rend compte qu'avec le culot, y a pleins de choses qui passent (si j'ose dire…) -
APL: les 5 euros de courses des Insoumis à l'Assemblée nationale
Titsta a répondu à un(e) sujet de Kyoshiro02 dans Politique
PS : Note que je n'ai rien contre le fait qu'on revendique clairement qu'on soit contre les aides sociales et "l'entretiens des parasites"… Ce que je pardonne beaucoup moins, c'est qu'un partit se prétendent vouloir aider les pauvres, alors que la seule chose vraiment recherché c'est surtout : comment les exploiter aux limites maximum de leurs capacité ? Dénommer "aide sociale" un truc qui est purement à but lucratif… désolé, ça passe pas. -
APL: les 5 euros de courses des Insoumis à l'Assemblée nationale
Titsta a répondu à un(e) sujet de Kyoshiro02 dans Politique
( edit : encore une fois, "marché environnant" est un synonyme de "prix de vente moyen"… le communisme fixait le prix du marché, il ne supprimait pas le marché. Il y avait un marché pour tout dans les pays communistes, avec des prix fixé par décret. ça n'est pas parce qu'un marché existe qu'il obéit à la loi de l'offre et de la demande. ) Si tu répondais à l'idée que les HLM soit une planification de l'exploitation des pauvres : Simple, l'avis est en lui-même un aveux d'échec Les logements sociaux auront réellement un but social quand les avis rappellerons qu'être trop généreux pose des problèmes. ^^ Pas tant qu'il rappellerons qu'il ne faudrait quand même pas trop monter les loyer… Au demeurant se soucier que les limites soit posées sur la solvabilité des gens n'est pas la même chose que les poser sur le critère que les gens puissent vivre heureux, être digne… Non. Tu noteras que derrière ce terme, la seule vraie recherche c'est surtout qu'ils puissent bien payer leur loyers, et bien rembourser leur dettes. Pas qu'ils s'épanouissent, pas qu'ils s'intègrent, pas qu'ils sortent du trou, pas qu'ils trouvent un emploi, pas que leur condition s'améliorent, pas que leurs conditions de vie soit correct… Non. Il faut surtout et exclusivement, qu'ils arrivent bien à payer leur loyer ! c'est ça la priorité… en dehors rien n'importe. Je rappel que le système des HLM, c'est avant tout l'état qui offre le service aux propriétaires qui le souhaitent, de percevoir pour eux les loyers, de s'assurer de toute la gestion et administration, de trouver des locataires etc… bref, la gestion complète de leur patrimoine… tout en se portant caution s'il y avait des impayés. Contre des loyers un poil moins élevé que ce qu'ils pourraient toucher en faisant tout le taf eux-même. Ce qui révèle l'attention toute particulière à poser des loyers qui soient, justement, payé… De surcroit, le parc HLM permet tout particulièrement de bénéficier des exonérations d'impôts voté par les lois sur le logement ^^ Une mane pour toutes les SCPI, OPCI ou autres OPCVM orientées explicitement "revenus exonéré d'ISF" ^^ Quoi ? dénoncerais-je l'aspect "valeur ajoutée boursière" qui semble obséder toutes ces lois sur le logement ? ^^ Noooon je n'oserai pas Le but, c'est bien sûr d'aider les pauvres gens ! ( En leur demandant de payer plus que ça ne coûte quand même… faudrait pas qu'on perde en rentabilité tout de même ! On fait pas dans le social quand même ! … à pardon si… oubliez ce que je viens de dire ! on aide les pauvres ! on les aime !! … Mais surtout quand ils payent leur loyer hein ! ) ^^ -
Je ré-écris donc ce que j'ai écris : Je n'ai pas dis que seule la religions apportait des réponses à cette question. Mais l'approche religieuse est toujours profondément liée à la question : comment devenir quelqu'un de meilleur ? Ton argument est aussi bidon que de dire que la philosophie ne pourrait pas s'occuper du problème de la justice (par exemple), puisque la sociologie s'en occupe aussi. Apprend donc que chaque domaine peut avoir son approche propre d'une même question. Donc, selon tes propres dires : Le bouddhisme enseigne comment être quelqu'un de meilleur du point de vu bouddhiste : en ayant une meilleure connaissance de sois. Les hindous indiquent comment être quelqu'un de meilleurs selon leur point de vu, à savoir en faisant de l'argent via le commerce selon la caste. "Venir en aide aux autres" n'est pas la seule façon d'être quelqu'un de meilleur. Et encore une fois, ça n'est pas parce que d'autre domaines, comme la philosophie se posent aussi la question que la religion ne se la pose pas. C'est ton point de vu, pas le mien. Je pense de mon côté que les inégalités entre être humains n'ont jamais été aussi creusé qu'à notre époque. Je pense que la notion même de justice à totalement disparu de nos préoccupations. Bien sûr, je pense aussi que notre société s'est considérablement judiciarisé, mais la législation n'a pas grand chose à voir avec la justice. Il s'agit d'une normalisation par écrit de la société, qui est l'expression d'un pouvoir déterminant ce qui est permis et ce qui est interdit et non ce qui est juste ou ce qui est injuste. La confusion entre la notion de justice et l'institution légale est seulement un procédé politique de novlangue pour faire accepter l'autorité d'une souveraineté. Non. Je pense que l'éducation civique ne doit certainement pas parler de comment être quelqu'un de meilleur, mais qu'elle a pour fonction de décrire et d'enseigner les règles de fonctionnement de notre société, ainsi que les conventions selon lesquelles nous vivons ensemble. ( politesse, respects des points de vu des uns et des autres, et des personnes etc… ) Je pense aussi que son rôle devrait être d'enseigner la démocratie. ( et je ne parle pas du fonctionnement de nos institutions, mais bien des principes de la démocratie. ) Il ne s'agit pas d'inculquer des jugements de valeurs sur les individus. Et sur qui serait meilleurs qu'un autre. Je dirais même que s'il y a une chose que devrait justement apprendre l'éducation civique, c'est précisément à différentier le respects de conventions communes pour vivre ensemble, de nos propres jugements de valeurs avec lesquels nous classons les individus selon notre propre échelle. Le respect, par exemple, ou la politesse, sont des conventions sociales de comportement, et des notions qui n'ont précisément un sens que dans nos rapports avec les personnes que nous n'estimons pas. La religion est une chose, la croyance une autre. Je crois que la théorie de la gravité s'applique, c'est une croyance. Je crois que la gauche actuelle (FI) présente un système économique plus efficace et mieux construit que ne le propose la majorité, c'est une croyance. (comme toute opinion politique) Un processus démocratique, c'est mettre ensemble nos convictions intimes, sur des sujets de société, pour en déterminer une synthèse. Le processus démocratique se doit de désacraliser la question des règles, qui deviennent humaine et conventionnelle (donc critiquable), non sacrée. Mais il s'agit bien lors de ce processus d'exprimer notre conviction intime, nos croyances, sur ce que nous jugeons être de meilleurs comportements, ou de meilleures organisation de nos sociétés. Lorsqu'on "sait" comme tu dis, il n'y a pas besoin de démocratie. La démocratie, c'est lorsqu'il y a possibilité de choisir entre plusieurs possibles. Apprend que la démocratie est le principe même de la critique de la société. Une société qui refuse d'être remise en cause n'est pas une démocratie, par définition. Mais je ne parlais pas des fondement de la démocratie, je te parlais des règles de notre société… c'est à dire de la loi dans son ensemble. Savoir s'il faut ou non répartir les richesses dans notre société (par exemple) est une question intime. Notre point de vu religieux entre donc forcément dans le processus démocratique. Ce que tu confond dans la laïcité, lorsqu'on parle de séparation de l'église et de l'état, ça n'est pas que seul les athés auraient le droit d'exprimer leur avis. C'est le fait que les règles de société que nous nous proposons d'étudier et de mettre en place ne sont pas des règles sacrée, mais des règles humaines. Elles ne proviennent pas de "dieu", elles ne sont pas "meilleures", elles sont un choix qui peut très bien changer, être critiqué, être remis en cause, selon le processus démocratique, qui se doit donc d'intégrer toutes les approches, donc toutes les croyances, sans donner une priorité à l'une ou à l'autre de part une "spécificité" ou une "supériorité" qu'elle aurait comparée à une autre. Et bien apprend que c'est précisément ça la démocratie. C'est déjà comprendre que chacun a des points de vu différents (sinon, nous ne somme pas en démocratie), ensuite à partir de l'échange et de l'enrichissement sur les différents points de vu, de trouver des synthèses intégrant une plus grande richesses (parce que pas pensée par un seul individu), enfin de se mettre d'accord sur des compromis, qui ne sont l'idéal ou le point de vu de personnes, mais qui sont les moyens sur lesquels nous pouvons tomber d'accord pour vivre ensemble. Mais encore une fois, je vois que tu as de gros problèmes avec la notion de pluricités de point de vu ou d'approche d'un même sujet. Tu ressemble fort à un partisan de la pensée unique. Tu confonds complètement la notion d'intérêt et la notion d'investissement… ( mais ça ne m'étonne pas ^^ vu la construction de notre organisation financière totalement déconnecté de toute notion économique. ) Sache que les dividendes ne sont pas des intérêts… (et que l'investissement, lui même, ne se résume pas à l'investissement en capital) Mais c'est un autre débats. Justement, tu confond l'athéïsme et la laïcité. Considérant que l'approche religieuse des problèmes serait illégitime dans la conviction personnelles avec laquelle nous déterminons nos choix de sociétés. Alors apprend que la laïcité, tout comme la démocratie, sont bel et bien des choix de société. Beaucoup de société ne sont pas laïque, beaucoup de société ne sont pas des démocraties… Si tu imagine que la démocratie ou la laïcité "est tombé du ciel" et s'est imposée comme une loi sacrée… alors tu es encore plus atteinds que je ne croyait dans ta confusion totale entre laïcité et théocratie athée… Non. La démocratie, comme la laïcité, sont des choix de sociétés, qui a été humainement construit et portés par des individus, et que nous avons choisi de conserver. Le jour où nous cesserons de vouloir vivre en démocratie, nous arrêterons de vivre en démocratie… Si tu t'imagine que la démocratie va s'imposer d'elle-même, tu vas au devant de grandes déconvenues ! ^^ Non, c'est un choix de société. C'est fou cette ignorance totale de ce que c'est que la religion >_< Alors, apprend que les religions existent, et qu'elles indiquent (entre autres) comment les gens doivent se marier, s'ils ont le droit ou non de divorcer etc… Il s'agit, dans notre société, de choix personnels, et non législatif… Qui donc, légalement, ne s'imposent pas. En pratique, c'est une autre histoire, car sommes nous libres des influences sociales, de notre éducation, de l'environnement familiale dans lequel nous somme nés… Mais je vais t'en apprendre une bonne. Les personnes religieuses suivent les préceptes de leur religions, qui rassemblent toutes un ensemble de règles, de devoir, de droits, et édictent un ensemble de comportements à adopter… C'est fou que tu ne le sache pas… Oo. C'est à se demander dans quel monde tu vie toi. Il est évident que ces religions influent sur les choix de société que les gens déterminent en démocratie. à savoir que beaucoup de religieux savent faire la différence entre les règles et préceptes qui concernent leur religion, et les règles et préceptes de vie en commun qui devraient s'appliquer à tous. Avoir une religion n'est pas nécessairement associé à la volonté d'en imposer ses règles à d'autres. Mais ça n'est pas un point de vu partagé par tous, et de toute façon qui s'articule différemment pour chacun sur chaque question de société. Beaucoup considèrent que telle ou telle règle devrait être une règle de la société dans son ensemble. Est-ce que les hommes peuvent se marier entre eux, est-ce un crime de tuer un ambrions, à quelle date devient t'on un être humain, doit ont aider les pauvres… Les convictions religieuses des uns et des autres influent forcément énormément sur les choix de sociétés dans une démocratie. Seul les imbéciles peuvent penser qu'il peut en être autrement. Et bien, je suis heureux de t'apprendre que ce que nous faisons ici, c'est de la démocratie. Nous échangeons nos points de vu sur la société, et essayons d'enrichir nos points de vu des idées, remarques, critiques, des uns et des autres. Ce qui procède au processus de synthèses que nous essayons chacun de faire. synthèses par nos échanges qui forgera notre opinion politique, et déterminera nos choix politiques, donc l'orientation de la nation dans son ensemble.
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Tous ensemble, ça ne veux pas dire tous ensemble habillé pareil… Sinon, là, tu donnes à un slogan de gauche un air un peu faschiste en uniforme. Je ne vois pas pourquoi les femmes voilée, ne pourraient pas crier "tous ensemble" avec les autres. Elles devraient peut être penser à le faire d'ailleurs. ça serait marrant, et ça en clouerai le bec à certains ^^ Montrer sa différence, ou son appartenance à une communauté, ça n'est pas s'exclure de la société, tout simplement. Les métaleux, ou les gothiques ont chacun des codes vestimentaires semblables. Ils montrent ouvertement qu'ils appartiennent à une communauté… je ne vois pas en quoi être métaleux ou gothiques manifesterai d'une volonté de s'exclure de la société. Faire communauté, en un sens… c'est déjà au contraire un premier élan social. Que les choses soient claire, je n'aime pas le prosélytisme, encore moins l'esprit unique où tous le monde devrait penser pareil. Mais appartenir à une religion, et adopter son code vestimentaire, même de façon ostentatoire et revendicatives, ça n'a rien à voir avec chercher à imposer ses idées ou ses croyances aux autres. Se revendiquer d'une croyance ou d'un groupe fait partit de la construction personnelle, et de l'affirmation de sois. Oui, ça va en surprendre beaucoup… mais le cheminement religieux est une construction personnelle et intime. Les prosélytes pseudo-féministes qui y voient la marque d'une soumissions à l'homme… oublient totalement que d'une, la religion n'est pas un rapport entre soi et l'homme, mais entre sois et dieu… Et de deux que dans un pays libre, c'est une liberté essentielle d'avoir le droit de choisir si on a ou non envie de se soumettre, à qui et comment. >_< Qu'on soit un adepte du SM ou une religieuses, notre soumission ne regarde que nous. Et pour le coup, c'est les pseudo-féministes qui sont prosélytes, et cherchent à imposer leur pensée unique à tous. Et surtout à toute, tant il est vrai que le "pseudo-féminisme" cherche souvent beaucoup plus à contraindre les femmes à adopter LE comportement "sociale" qu'elles devrait sois disant toutes avoir, plutôt que se préoccuper de les libérer… donc leur laisser le choix. ( car une liberté sans choix n'est pas une liberté ) Après, c'est sûr, la valeur de l'humilité, très prégnante dans l'ensemble de l'Islam (autant que l'amour de son prochain l'est pour le christianisme, pour donner une idée de l'importance de la notion), fait forcément qu'en matière de revendication sociale… ça passera beaucoup moins par l'idée très "occidentale" de se faire voir et de se faire remarquer à tout prix. Après, les musulmans (et musulmanes) pourraient apercevoir que derrière le militantisme, il y a de l'humilité personnelle, dans l'effacement de sois pour mettre une cause en avant. Militer n'est pas s'affirmer, sois, mais lutter pour une cause. Si la synthèse n'est pas facile à trouver, il me semble qu'il y en quand même une à trouver entre humilité Islamique et revendication sociale. Toutefois je pense qu'en particulier les femmes musulmanes travaillent à trouver cette synthèses (et enrichirons très certainement par cette synthèse d'une dignité forte et nouvelle, nos comportements sociaux… qui à mon avis en ont bien besoin. ) Bref, y a encore pleins de chose à travailler pour les musulmans (et musulmanes). ^^
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Je n'ai pas dis que seule la religions apportait des réponses à cette question. Mais l'approche religieuse est toujours profondément liée à la question : comment devenir quelqu'un de meilleur ? Les différentes religions ne sont pas forcément d'accord sur la ligne à tenir, mais c'est malgré tout le sujet central de toute religion. La question de la justice ne s'arrête pas au fonctionnement de l'organisation judiciaire. Est-ce que notre monde est juste ? Est-ce que nos lois sont justes ? Sérieusement ? Tu trouves que l'éducation nationale s'occupent d'enseigner à nos enfants ce qu'est un comportement digne ? D'une part, même si je reconnais que l'éducation nationale pourrais jouer un rôle, c'est une chose qui me crisperai un peu si elle se mêlais de définir ce genre de chose. C'est une réflexion, et une critique, qui doit rester profondément personnelle. Et participer dans nos convictions intime à la construction démocratique. ça n'est donc certainement pas au gouvernement de fixer ce genre de chose. L'alcool est interdit sur leur territoire… je ne considère pas les dirigeants de ces pays comme ayant une quelconque représentativité des musulmans. Et ce d'autant moins qu'ils ne sont même pas élus… Après, précision : l'islam interdit les intérêts, pas l'enrichissement. Sur le plan économique, je partage cette considération que la notion même d'intérêt est une aberration économique. Car seul le travail humain crée de la valeur. Les intérêts sont des montages économiques sans aucune réalité en terme de valeur, équivalent donc à faire tourner la planche a billet. (un peu comme les commissions des agents immobiliers proportionnelles à la valeur de l'immeuble… alors que c'est le même travail et qu'il n'a absolument aucun rapport avec la valeur des appartements, ni en travail, ni en ordre de grandeur) Mais c'est un autre débat. Toutefois, cette interdiction des intérêts, donc de l'argent qui produit de lui même de l'argent sans aucun travail, était aussi interdit par les chrétiens à une époque. La question a été bien pensée, et sans être religieux, c'est le point de vu religieux sur la chose qui m'a amené à y penser moi aussi. Qu'elle soit une merveille est une chose… Qu'elle soit apte à définir des limites beaucoup moins. Si tout est permis, quid du comportement digne dont nous parlions plus haut ? La liberté est une chose qui ne veux rien dire, et permet seulement de défendre des droits et des privilèges acquits sans avoir à les préciser. Je ne considère pas qu'avoir des droits ou des privilèges soient une mauvaise chose… mais je pense que chacun doit se discuter, et posséder évidement des limites. Tu as un gros problème avec la laïcité que tu confond avec l'athéïsme. La démocratie, c'est une construction commune des règles de vies en société. Elle se construit par l'échange de convictions personnelles et intimes. DONC notre point de vu religieux, ou philosophique, influe forcément sur notre vision de ce que devrait être nos règles de vies communes. La charité chrétienne est une des sources nous ayant guidé vers l'idée qu'il fallait aider les pauvres plutôt que de les laisser crever de faim. La démocratie nécessite la laïcité, dans le sens où chaque opinions et chaque point de vu doit pouvoir être discuté. Et que les lois de nos démocraties sont humaine, critiquable, modifiable, bref ne doivent en aucun cas être considérée comme "sacrée". ça ne veux pas dire que, lors de notre élaboration communes, nos points de vues ne tirent pas leur sources de nos visions intimes de ce qui est "bien", "mal", "digne", "juste"… et la religion est (entre autre) une des façons d'approcher ces questions. La séparation entre les églises et l'état porte sur le fait de considérer que nos lois sont toutes critiquables et négociable, donc humaine et certainement pas d'ordre religieuse. ça ne signifie pas que seuls les athées aient le droit de donner leur avis ou de défendre leur opinions politique. Comme souvent en France, les gens confondent laïcité et athéisme. Confondant totalement la démocratie avec une théocratie athée. écoute… si tu penses vraiment que les religions ne s'occupent pas de la notion de couple, de mariage, de relation… faut vraiment sortir de chez toi hein. Tu n'as visiblement pas la moindre idée de ce que sont les religions et de ce dont elles parlent. >_< C'est un peu triste, ça décrédibilise ton propos. Si tu penses que la religions se résume à savoir sous quels nom doit se nommer Dieu, toute ton éducation religieuse est à refaire. La religion s'empare aussi de la question de comment doivent être menée les mariages, ce que les époux se doivent l'un à l'autre, comment les relations doivent se mener… Toutes ces approches individuelles et intimes sont des questions de sociétés qui procèdent, par la réflexion commune et les échanges, au processus démocratique. J'apprécie tout particulièrement ta franchise ! ^^ Ne change surtout pas ! Je n'ai jamais pris les réactions des gens aux idées que j'exprimais comme des attaques personnelles, et c'est précisément ce que je considère être un débats d'idée intéressant ! Je détestes quand les gens sont totalement d'accord avec moi, et n'arrivent pas à apporter une once d'idée supplémentaire, ou une vision un peu différente, qui m'apprendrai des choses ou me ferai réfléchir aux choses sous un sens différent. ( au demeurant, puisqu'on en parlait, la démocratie c'est précisément ce processus d'échanges d'idées et d'enrichissement de points de vus. ça n'a rien à voir avec le vote en lui même qui n'est qu'un outils, pratique, mais dont la démocratie pourrait très bien se passer. )
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APL: les 5 euros de courses des Insoumis à l'Assemblée nationale
Titsta a répondu à un(e) sujet de Kyoshiro02 dans Politique
C'est infinitésimal… à notre époque de déconnection totale entre les individus. Et de mathématisation des rapports. Quand les propriétaires et locataires vivaient le même appartement, et se connaissaient. Quand les liens sociaux comptaient beaucoup plus qu'aujourd'hui, quand les valeurs morales (et religieuse) comptaient aussi beaucoup, les loyers correspondait beaucoup plus facilement à l'honnêteté (au sens moral du terme) des propriétaires. C'était aussi une époque (beaucoup plus sociale) où on se posait une marge comme "raisonnable", et où on ne cherchais pas à poser le prix mathématique maximum possible. Croire que passer en mode "fond de pension" investissant dans des entreprises de gestion immobilière avec des objectifs de rentabilité maximum, contre "locataires" totalement individualisés n'ai rien changé dans les rapports d'exploitation entre les gens… ça tiens de l'illusion. Je restais dans l'hypothèse libérale d'une non-intervention de l'état sur le marché ^^ Après, si tu te base d'emblée sur la fixation des prix des loyers par l'état, qui serait propriétaire d'assez de surface sur la zone pour en faire ce qu'il veux… bah ça conforte quand même ma position, qui était je le rappel que dans tous les cas, l'immobilier n'est pas, par nature un marché libre… Note un fait très important que j'ai découvert récemment. Les prix des HLM ne sont pas fixé par l'état. Il s'agit d'une réduction sur les prix "du marché"… ce qui fait des HLM des entreprises à but lucratif ( donc certainement pas des aides sociales, mais des exploitations sociales). Une aide, c'est quand on donne quelque chose à quelqu'un… Pas quand on se fait des sous sur son dos… mais juste un peu moins qu'un autre. (d'autant que sinon… il ne pourrait simplement pas le payer ) De surcroit, la réservation des HLM à une catégorie de population correspond économiquement à une segmentation autoritaire du marché. Avec des publics distincts désignés par l'état. Et correspond infiniment plus à une "planification de la tonte" en fonction des capacités de production de la laine (mesurée individuellement), qu'à une tentative de réduction des prix du marché. Ou à une quelconque politique d'aide sociale, ou de "répartition des richesses" ( enfin si… de la poche des pauvres dans la poches des propriétaires… appelons un chat un chat. Il s'agit toujours de prendre plus que ça ne coûte… ) Note bien que cette technique de segmentation selon les revenus des clients permet aussi de monter encore plus aisément le prix des loyers des "riches" (ou classe moyenne). En éliminant les risques d'impayés, ou les difficultés financières, qui restent coltiné aux HLM ( et cautionné par les impôts )… en fait par la segmentation possible du marché en fonction des revenus des locataires. ( ce qui est impossible dans un marché libre, tu notera ) De surcroit, les politiques de défiscalisation autours des loyers modérés, la caution de l'état sur les loyers (et je ne parle même pas des apls pour faire monter les prix des riches plus haut sans s'aliéner la population de pauvre nécessaires pour faire tourner les entreprises de services locaux faisant monter les prix au m2 )… Tout ça font que ces services sont particulièrement rentables pour les propriétaires… donc en plus d'être une exploitation des pauvres en faveur des riches, ce montage politique prend plus à la société globale qu'elle ne lui apporte. Y a pas à chercher bien loin, c'est une idée socialiste… donc ça a été monté comme un truc de droite, en lui donnant l'apparence d'un truc social de gauche, pour encore mieux entuber les pauvres et organiser leur pillages en faveur des riches, et pour plomber encore plus le déficit de l'état. ( C'est son rôle aux socialistes hein : servir les riches et les banques… faudrait pas l'oublier. ^^ ) Justement, dans un marché libre, personne n'a le pouvoir de fixer les prix. Les vendeur ne peuvent pas monter les prix jusqu'aux capacités de payement des acheteurs. Car dans un marché libre (donc concurrentiel), c'est le coût qui fixe le prix, pas ce que peux poser le client. Ce genre de comportement, qui te semble si naturel, est la preuve qu'il ne s'agit pas d'un marché libre. À ta décharge, dans de très nombreux secteurs qui devraient pouvoir être des marchés libre… les entreprises peuvent quand même fixer les prix "psychologique". Note que ceci est aussi la preuve que ces marchés ne sont pas libres. Mais contrairement à l'immobilier, dont c'est la nature même, qui empêche la possibilité d'un marché libre, là nous sommes dans les conséquences des monopoles. ( oligopole plutôt… mais c'est pareil économiquement ^^ ) L'idée libérale du marché libre s'oppose à la possibilité à quiconque de pouvoir fixer le prix des biens. Autant le vendeur que l'acheteur. C'est ce qui justifie idéologiquement que ce "prix du marché" deviennent représentatif de la "valeur réelle" du bien ou du service. Cette liberté du marché impose que lorsque quelqu'un à le pouvoir de décider d'un prix… alors ce prix n'est pas la valeur réelle du bien ( et donc il y a vol de la différence, par un pouvoir de monopole, ou par un pouvoir obtenu de l'extérieur sur le marché autrement que par les prix… ce qui est la norme aujourd'hui. ^^ ) Il n'empêche que même si ça n'est pas le cas, idéologiquement, on peut défendre l'idée théorique d'un marché libre sur les biens et services. (ce que j'apprécierai au demeurant). Mais l'immobilier sort de par sa nature des marchés libres possibles. ( À moins que nous vivions dans un monde nomade, où la norme serait de changer de maison et de région comme de chemise, tous les deux ou trois mois au moins… à la limite. ^^ Là le logement se résumerai à un service sur un marché qui ne serait plus localisé. ) Entre autre tu fais bien de le souligner. Théoriquement, c'est surtout la nécessaire configuration géographique de chaque bien qui pose la réelle impossibilité d'un marché libre dans le cas de l'immobilier. C'est un peu comme si tu considérais sur un marché au fruit de taille limité, que seul ceux qui ont le droit de propriété sur les stand ont le droit de vendre des pommes. Et qu'ils n'ont le droit de vendre qu'une seule pomme… Compare à un marché libre qui serait un marché illimité, où tout les vendeurs pourraient proposer leur pommes, et tout le monde en acheter à qui il veux. Au delà même de la limite temporelle, ce marché n'est pas libre. (après, tout ces facteurs sont cumulatif… marché par nature non-libre, temporalité considérable de libération des places, grand monopoles immobiliers et j'en passe… ) Il n'y a pas d'exemple plus parfait d'un marché qui ne peut pas obéïr aux lois de l'offre et de la demande que le marché de l'immobilier. ( ça ne veux pas dire qu'il n'y a pas des "lois économiques"… mais ça ne peut pas être celle de l'offre et de la demande ) -
Finalement qu'est-ce qu'être amoureux ?
Titsta a répondu à un(e) sujet de zera dans Amour et Séduction
Tu sous-estime la force profonde que peut acquérir l'intimité. Mmm à mon avis tu confonds la quête d'amour et l'amour. Ce que tu décris là, c'est la quête. Pas l'amour. Tu risques de te perdre dans le "potentiel" plus que dans le réel. L'amour est un sentiment que tu as pour une personne. (ou pour un sentiment, on pourrait dire que tu es). Un sentiment est toujours un présent. Un acquit. Il ne s'agit pas d'un sacrifice, ni même d'un effort. Tu aimes ou tu n'aime pas, ça s'arrête à ça. Inspirer le respect, entrainer l'admiration… non, je ne pense pas que l'amour viennent par ces choses là. Tout ceci, c'est de l'image, de l'apparence, de l'illusion. Après… si on rentre dans le côté psychologique-manipulatoire de la chose… Arriver à "tromper" quelqu'un, en lui faisant croire qu'il nous aime, alors qu'il n'est que "fasciné par l'image", et par ce qu'on lui apporte (plutôt que nous même)… Oui, ces choses là sont peut-être nécessaires dans un premier temps, pour pouvoir construire une relation, et vivre des choses avec, tisser des liens… et peut être après arriver à tisser l'intimité et faire apparaître l'amour à force de vécu. ^^ Mais à mon avis, avant, tu va te heurter à la pression phénoménale que tu t'imposes à toi même dans cet "objectif" d'être aimé par l'autre… Et tu risque aussi de t'ouvrir à de sérieuses déconvenues si votre relations se construit exclusivement sur ce que tu apportes à l'autre, sur son intérêt… donc un comportement égoïste de l'autre vis à vis de toi. J'ai très longtemps pensé pouvoir me faire aimer ainsi. ^^ Et je me suis toujours retrouvé avec des égoïstes-exploitante égocentriques. ^^ J'ai par la suite continué à aimer ainsi en l'assumant, parce que ces femmes sont les seules à qui on peut avoir le plaisir d'apporter des choses, sans que ça pose de problème. ( et j'aime apporter des choses à ceux que j'aime) Pour ce qui est de tisser des liens, ceci dis, à force de regarder les "salauds" sauter les nanas que j'aimais… J'ai fini par comprendre que les femmes (comme les hommes d'ailleurs) aiment apporter des choses à l'autre. (comme moi, en fait ) Donc qu'à ce jeux là, les "connards" qui prennent aux femmes (ou qui prennent les femmes en fin de compte), leur plaisent plus, et elles s'y attachent plus que ceux qui leur apportent. Qu'elles peuvent même s'y attacher jusqu'à la déraison totale et complète… Note qu'après tout, elles s'attachaient aussi très fortement à moi… et de façon beaucoup plus forte, intime et passionnée qu'elles ne le réalisaient elle-même. Mais elles ne se rendaient pas compte de l'amour qu'elles avaient pour moi, et ce genre de relation bâties sur un déséquilibre, fini toujours par devenir intenable. ^^ -
Une sénatrice allaite son enfant en pleine séance au Parlement
Titsta a répondu à un(e) sujet de pep-psy dans International
Non désolé, je ne valide pas du tout la propagande essayant de faire passer le travail comme un lieu de vie. ça ne marche que sur les gens qui confondent totalement la vie sociale et la vie professionnelle… et je ne parle même pas de la vie intime. Ces personnes seront les premières victimes de cette exploitation massive, et souffriront terriblement quand elles verrons (trop tard) la différence entre des collègues et des amis. Je ne dis pas qu'être amis avec ses collègues est impossible. Je dis que ça n'obéïe pas à la même logique, et qu'il est impossible d'être amis avec des collègues si on ne sépare pas très clairement les temps de l'amitié et les temps de travail. Par contre, il existe en ce moment une attaque extrêmement forte des grandes entreprises (et du managment car c'est devenu le métier de ces gourou ^^ ), portant sur cette nouvelle forme d'exploitation quasi sectaire (pas quasi d'ailleurs… la méthode est totalement sectaire). Elle vise à agir sur la vie sociale des employés, afin de rendre le maintiens du poste nécessaire pour le maintient de la vie sociale des employés. Ce qui permet une exploitation considérable des individus. Car s'il est déjà difficile de quitter son poste, s'il ne s'agit plus de quitter son poste mais de quitter son poste ET de perdre ses amis, le "choix" devient impossible à faire. On se retrouve à peu de chose près avec les situations d'autrefois, ou le "patron" de l'usine possédait aussi la maison de l'ouvrier, avait payé l'église, et entretenais l'école… et que lui déplaire revenait à être banni du village. C'est la "mode" aujourd'hui de faire de la vie sociale en entreprise… Et c'est extrêmement dangeureux pour les individus. Comme ça on creuse les manques profond des individus car on peut être sois-même avec ses amis… pas avec ses collègues, et encore moins quand dans ses collègues il y a ses superviseurs qui regardent et surveillent (voir évaluent) les "capacités sociales" de chacun lors des "incentives", et autre promotion de la vie "sociale" professionnelle… C'est totalement contraire à la logique sociale, où les gens sont acceptés quel que soit leur compétences ou leur capacités. (et oui… on est pas amis avec des gens "efficaces" ou "productif" ou "compétent socialement"… ) C'est exactement la pratiques des sectes les plus immondes qui se répand aujourd'hui dans les entreprises : couper les gens de la vie extérieure afin qu'ils deviennent totalement dépendant du groupe. Que les enjeux d'être expulsé du groupe deviennent sur-humain, de façon à renforcer le pouvoir et l'exploitation des individus. C'est pour cette raison qu'il y a des augmentations des suicides dans les entreprises, parce que quitter son poste revient à se suicider. Donc stop à ton message de l'"épanouissement" au travail avec pleins "d'amis-collègues"… non. C'est exactement ce genre de propagande qui conduit les gens à se suicider plutôt qu'à démissionner. Il est vital aujourd'hui, sur le plan politique, (j'entend par là, militant, pas politique-politicienne) de revendiquer fortement la séparation très claire et nette de la vie sociale et de la vie en entreprise. De revendiquer comme nécessaire et vital le temps de vie sociale extérieur à l'entreprise. Sur un plan d'égalité totale avec la "nécessité" de la productivité des entreprises dans une société. à ceci, je maintiens et j'ajoute, que le temps passé à l'éducation des enfants est aussi un temps qui devrait fortement être séparée de la vie professionnelle. Toute autre mesure contraires ne vise exclusivement que l'exploitation excessive des personnes. Il est faux, totalement faux, de dire qu'un enfant s'épanoui mieux quand il est trimbalé à gauche à droite pendant qu'on travaille, plutôt que lorsqu'on s'en occupe exclusivement, en jouant avec lui par exemple. Et je te met au défit de jouer avec un enfant pendant les temps de travail, on verra si ça augmente ta productivité ! Il est totalement mensonger de sous entendre que ça renforce la convivialité… les premiers jours, pour le bénéfice de la nouveauté, oui, ça va être charmant. Mais je t'assure que dans le monde réel, si ça devient un comportement habituel, tous les jours, ça ne va certainement pas augmenter la convivialité. Et ça ne servira absolument pas l'épanouissement des enfants. Et si, je l'affirme, c'est exactement ce genre de comportement qui névrose les individus. Car les enfants seront endoctriné dès le berceau par ce genre de comportement, leur montrant sans réserve que l'entreprise et les intérêts des actionnaires comptent beaucoup plus qu'eux et leur propre épanouissement. Non, les enfants ont besoins qu'on s'occupe d'eux, c'est important pour la construction personnelle qu'ils puissent sentir que leur bien être est une chose importante. Aucun doute que ce genre d'idée ne plaises aux actionnaires et à ceux qui cherchent à renforcer l'exploitation maximale des individus. Mais ne t'y trompe pas, ce genre d'évolution se payera en névrose… voir en psychose. -
Oulala, le sujet a vachement avancé depuis ma dernière intervention ^^ Vous m'excuserez si je ne lis que les 2-3 dernières pages. Pour ce qui est de la critique de l'islam qui serai toujours perçu comme une attaque imbécile et illégitime… Je dirais que la faculté à ne pas se positionner en "opposant systématique" doit beaucoup jouer sur la perception de ce que j'appelais la crétinisation. Puisque je vois qu'on en est à poser quelques exemple de critique de l'islam, je proposerai la mienne. (et je précise quand je parle de l'Islam que je parles des vrais musulmans… pas des pseudo-musulma comme Daesh et companie qui ne sont que des mercenaires qui se feraient clown ou derwivch tourneur si ça faisais plus peur que musulman… ) Je pense que l'Islam est entrain de connaître un renouvellement dans ses positions, et une deuxième jeunesse dans son utilité sociale et personnelle. (une religion, c'est toujours tenter de répondre à la question : comment être quelqu'un de meilleur) Il connaît à mon avis son renouveau en positionnant comme une critique de la société de consommation. Dans une société où il n'y a plus de limites, ou tout est permis tant qu'on a l'argent pour l'acheter et pour se défendre, ou l'argent est roi et où plus aucune structure sociale ne semble capable d'entretenir (ni même de tenir) des choses importantes comme : "qu'est-ce que la dignité", "qu'est-ce que la justice"… L'Islam se rappelle aux souvenir des jeunes comme une indication, d'ordre spirituelle certes et c'est ce qui fâche, de "qu'est-ce qu'un comportement digne". Oui, ça heurte en collision sévère avec les libertés et le relativisme culturel de notre société de consommation. Qu'il s'agisse de la question : qu'est-ce qu'un habillement correct, qu'est-ce qu'un comportement correct vis à vis de l'alcool, des drogues, qu'est-ce qu'un comportement correct vis à vis de l'argent ou des intérêts (je rappel que toucher des intérêts est interdit dans l'islam… ou déconseillé je ne suis pas assez spécialiste pour faire la nuance ) Je précise que je ne suis pas forcément d'accord avec leur vision de la dignité de comportement, mais je reconnais le mérite qu'ils semblent être les seuls à poser le problème. Alors que nous n'y opposons, justement, qu'une vision d'une liberté totale et absolue de tout faire et n'importe quoi… Alors que c'est précisément cette liberté et ce relativisme sans limite le problème. Quels sont les limites ? Je pense que l'Islam aujourd'hui se pose comme une réponse sociale possible à ces questions. Je pense, en tout bon démocrate et tout bon laïc qui se respecte, que cette réponse ne doit pas porter sur le plan légal, mais culturel, individuel… donc une réponse religieuse au problème me semble parfaitement acceptable. Et comme pour toute pratique religieuse, du moment que l'acceptation est volontaire, qu'elle s'applique avant tout à sois même, qu'il n'y a pas de pressions sociales excessives pour contraindre telle ou telle personne à adopter tel ou tel comportement… (ce qui reste toujours à vérifier), je pense que cette réponse est parfaitement légitime, et qu'il n'y a rien à redire sur l'Islam. Par contre, et pour les mêmes raison… je trouve qu'il y a beaucoup à redire sur le comportement de notre république sois disant laïque, mais qui impose des choix vestimentaires comme "correct", et d'autres "incorrect" en ciblant expressément les comportement jugé digne par les musulmans … Oo Je m'explique. C'est sur le plan social qu'il doit y avoir des échanges, pas légaux. Si je pense que le port du voile (que je respecte tout à fait comme choix) ou son absence ne porte en aucune manière à la dignité d'une femme. C'est mon point de vu, et c'est à moi de convaincre les autres de mon point de vu. Si une musulmane en face considère que c'est moins digne de montrer ses cheveux en public… soit. C'est son point de vu. Ce que je ne comprend pas, c'est pourquoi de telles bêtises comme le port du voile deviennent des questions politiques "majeures" ? Qu'est-ce qu'on en a à foutre que les gens montrent ou cachent leur cheveux ? Sérieusement ? Je me souviens de discussions que j'avais eu avec des musulmanes que j'avais invité à un pic-nic (avec pleins d'autres personnes de ma formation), qui pensaient, pas totalement à tords, que je cherchais à rencontrer des nanas, et qui donc voulait refuser ce qu'elle jugeais comme une propositions pas convenable. On a eu un excellent échange, ou j'assumais parfaitement vouloir éventuellement rencontrer des femmes, mais où je leur faisais remarquer que, même dans leur religion, le mariage est autorisé… Et qu'il faut bien commencer par fréquenter des hommes avant de pouvoir se décider qui épouser, ou qui refuser… Qu'un pic-nic n'a rien d'un échange indigne en soit, qu'il n'a pas vocation à créer des couples. Mais peut, c'est vrai, être aussi l'occasion de rencontrer des gens intéressants. Et peut être se lier. Mais que fréquenter des hommes, même dans l'éventualité de créer des couples, n'avait rien en soit d'incompatible avec leur religion. Ce dont elles ont parfaitement convenu. Comme quoi l'échange est possible. Et la réflexion commune sur ce qu'est, ou n'est pas, un comportement digne, ( tant qu'on laisse chacun avoir son opinion et pouvoir librement exercer sont jugement), est une chose à encourager sur le plan social. Je me souviens qu'ensuite, puisqu'il était question que certains boivent de l'alcool, (là c'est moins bien passé), que la question s'était posé sur : est-ce qu'il est interdit pour des musulmans de fréquenter des gens qui ne pratiquent pas la même religion qu'eux. Elle ont convenu que ça n'était pas interdit, mais un des mecs musulman du groupe est intervenu, et à fait une grande tirade sur le fait que l'alcool portait à la "sincérité", et qu'il ne souhaitait pas forcément voir la "sincérité" qui se dégageait des gens qui avaient bu. Bref… ça s'est fini par le fait qu'ils étaient d'accord avec le fait qu'ils pouvaient fréquenter des gens qui ne pratiquaient pas leur religion… mais qu'ils n'avaient pas envie de prendre le risque d'en assumer les éventuelles conséquences… ( et il fut impossible de leur faire accepter l'idée que nous pouvions boire avec modération, en se contrôlant. ^^ ) On peut pas gagner à tous les coups ^^ Mais je pense que l'échange était profitable à tous. Ne serait-ce que parce que j'ai réussi à faire passer l'idée aux femmes que fréquenter les hommes, même en étant éventuellement intéressé (elle ou les hommes), n'était pas synonyme d'indignité, tant que l'échange restait respectable.
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APL: les 5 euros de courses des Insoumis à l'Assemblée nationale
Titsta a répondu à un(e) sujet de Kyoshiro02 dans Politique
Au fait, j'oubliais… c'est de la propagande d'insinuer que les 30% des gens qui migrent ont la moindre influence sur l'immobilier. Parce que l'immense majorités des gens qui payent un loyer n'ont pas bougés depuis des années… La part des nouveaux arrivants ou des sortant est infime dans l'immobilier… et 30% d'une part infime, c'est encore plus infime. Considérer que cette part de personne ai la moindre influence sur les prix (encore plus de l'immobilier)… c'est une ignominie économique, et d'une malhonèteté intellectuelle sans nom. Encore plus quand on prend la mesure leur "poids" dans la négociation des prix, de cette part minoritaire de la part infime des locataires. Cette propagande journalistique vise justement à faire oublier aux gens qui ont fait un peu d'économie, que la location est un marché particulier, qui n'obéit pas aux lois du marchés. Histoire que les gens "oublient" que la fixation des prix (car ce sont des prix fixés), sont de simple privilèges, déconnectés de toute réalité économique. Visiblement, ça marche… >_< Je suis pour la fixation des prix des loyers par les municipalités, et la suppression des apl. ^^ Il s'agit de la location d'un droit, c'est à la municipalité de fixer le prix de ce droit. OU mieux : Je suis pour le cadrage de la marge effectuée par le propriétaire. Par exemple une marge de 30% sur les charges, c'est correct. Ensuite, on pourrait faire une taxe progressive sur ces loyer, jusqu'à ce que la marge atteignent 100% des charges. Et ceux qui dépassent, on les attaque pour escroquerie. Ce qui serait juste normal, d'ailleurs. ( aller, je suis gentil : On pose la durée de vie d'une maison à 100 ans — tant pis pour les imbéciles qui construisent des taudis au rabais — et on accepte une intégration de l'amortissement de la maison dans les charges. ) -
APL: les 5 euros de courses des Insoumis à l'Assemblée nationale
Titsta a répondu à un(e) sujet de Kyoshiro02 dans Politique
Je ne dément pas un principe fondamental de l'économie. J'explique où s'applique ce principe fondemental de l'économie, et où il ne s'applique pas. Ce principe ne s'applique pas au marché locatif. C'est tout, c'est comme ça. Donc tu acceptes les bases, ou tu ré-écris toutes les lois de l'économie. Note que si tu souhaites ré-écrire toutes les lois de l'économie, tu aura mon soutiens plein et entier ! Et réfléchi deux secondes, s'il n'y a aucune raison de baisser son prix, c'est la preuve qu'il ne s'agit pas d'un marché libre. Parce que dans un marché libre, il y a une excellente raison de baisser son prix du croissant, c'est de rafler le marché. Dans l'immobilier, effectivement, tu ne raflera rien du tout. Tu ne fera que gagner moins. DONC la loi de l'offre et de la demande ne s'applique pas. CQFD. Et pour ce qui est de la raison, un propriétaire pourrait très bien décider de ne pas exploiter ses locataires. simplement pour le plaisir moral de se dire qu'il gagne assez avec ce qu'il leur demande, et qu'il n'est pas obligé d'extorquer plus aux gens. Or la loi oblige, les propriétaires à vendre plus, même s'ils accepteraient de vendre moins cher. C'est une atteinte au droit de propriété que je trouve totalement absurde. Non. La règle de l'économie, c'est que le marché de la location n'obéis pas à la loi de l'offre et de la demande. Mais il y a quand même un prix moyen. Il n'obéis pas à la loi de l'offre et de la demande, parce qu'il ne s'agit pas de la vente d'une production, comme celle des croissants, où tu pourrais produire plus ou produire moins, et donc rafler un marché en jouant sur les prix. Mais d'un monopole absolu, sur chaque place disponible, détenue par le privilège du droit de propriété. Chaque loueur a un monopole absolu sur l'espace de son logement, qui représente de par sa surface (et non de par son prix), une part du marché. Alors que sur un vrai marché, obéissant à la loi de l'offre et de la demande, ça n'est pas la surface de l'usine qui détermine tes parts, c'est le nombre de vente que tu fais. Or un propriétaire qui aurait 10% de Paris, il aura toujours 10% du marché, quel que soit ses prix. C'est la simple conséquence du fait que la location n'est pas une production, ni de bien ni de service. Mais la location d'un droit. ( celui d'user de l'habitation dont tu es propriétaire ). C'est donc un marché qui tiens exclusivement du privilège de la propriété de la surface, et non de la rémunération d'un travail de production. (d'un bien comme le croissant, ou d'un service comme la femme de ménage ) Quelques exemples pour comprendre : Un commerçant qui fabrique des croissants moins cher (production de bien), raflera le marché, et fera baisser les prix de ses concurrents. Une femme de ménage qui vend des prestations moins cher (production de service), idem. Elle récoltera l'ensemble du marché ( enfin… si elles sont plusieurs… ) Pour l'immobilier locatif, si tu loue moins cher, il n'y a que TA surface qui sera vendue moins cher. Grand bien t'en fasse, mais les voisins ne changerons pas leur prix, et leurs locataires payerons toujours la même chose. Parce qu'ils ne sont pas sur le même marché que toi (pas sur la même surface que toi) Cet article n'infirme rien du tout. (et aucun des journalistes un tant sois peu compétent de ce journal ne me contredirait sur ce plan). ça n'est pas parce que les prix baissent que ce marché obéi à la loi de l'offre et de la demande. Les prix baissent parce que les grands propriétaires fonciers, et les agences de gestion des entreprises immobilières savent que les revenus baissent… et qu'il est temps de lâcher un peu de lest s'ils ne veulent pas qu'on les expropries purement et simplement de leurs biens dans les années qui viennent. Tu confonds la planification d'un marché avec la loi de l'offre et de la demande. >_< Le prix du blé avait baissé en URSS pendant leur grand plan d'autonomie agricole. ça ne faisait pas moins un marché à prix fixé par l'état, et pas un marché obéissant à la loi de l'offre et de la demande. -
Ne me faites pas porter la responsabilité de vos propres dires. C'est vous qui avez commencé sur le plan de "la France c'est idyllique qu'est-ce qu'ils ont à se plaindre ?". Un pays où on rit 15 fois plus est un pays où on peut être, en fin de compte, 15 fois plus digne. Un pays où les gens passent leur temps à s'exploiter les uns les autres, et à ne jamais se respecter, est un pays où les gens ont raison de se révolter. Finalement, la composante "financière" de l'exploitation n'est pas la composante la plus importante, je pense. :-/
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Si tu venait chez moi, en France, tu déchanterai beaucoup sur l'utopie qu'elle paraît vue de là bas. Beaucoup viennent en France pleins d'idéal… et une fois sur place ne rêve plus que d'une chose : repartir. Ils entretiennent le mythe "au pays", pour rassurer leur proche, et leur faire croire qu'ils vont bien. Mais il ne faut pas se laisser avoir par l'esbroufe. C'est un peu comme si tu jugeais la vie en Afrique sur la vie des Hôtels grands luxe qu'on peut y trouver. De surcroit, dénier son droit à la révolte sous prétexte qu'à côté les gens sont encore plus exploité, ça s'apparente presque à du chantage. ^^ Les gens sont exploités en France aussi. Et leur vie est pas forcément meilleur que celle d'Africains. Il faut faire attention aux moyenne aussi. Des gens qui dorment dans la rue, ou qui vivent à 10 dans des maisons insalubres, il y en a en France aussi. De surcroit, c'est quoi cette mentalité ? Depuis quand l'émancipations des uns seraient mal vue par les autres ? Depuis quand il faudrait empêcher les gens de se révolter parce qu'on vivrait moins bien qu'eux ? Si vous ne souhaitez pas vous révolter, libre à vous d'accepter vos conditions.
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APL: les 5 euros de courses des Insoumis à l'Assemblée nationale
Titsta a répondu à un(e) sujet de Kyoshiro02 dans Politique
Encore une fois, les loyer n'ont rien à voir avec l'offre et la demande. Si un marchant vend ses croissants 50% moins cher, tout le monde ira lui acheter ses croissants, et celui qui vent ses croissants plus cher, il perd ses clients, et sera obligé de baisser ses prix. ça c'est la loi du marché. Si quelqu'un loue son appart 50% moins cher… bah seul son locataire sera content… ça ne fera jamais chuter les prix des autres appartements. Les autres propriétaires n'en auront rien à carrer. Les loyers n'obéïssent PAS à la loi du marché. C'est des cas d'école quand on étudie l'économie pourtant… Rentrez-vous ça dans le crâne. Le loyer tiens plus du privilège seigneurial sur ses terres, que d'une loi économique. ( PS : de surcroit, il est interdit par la loi de baisser les prix de ses loyers en dessous des prix du "marché". La seule loi qui intervient sur les prix de la location, c'est pour empêcher de les baisser ^^ ) -
À la fois, je suis du côté du policier. Et trouve que dans la circonstance d'une agressions effective, qu'elle soit à cout de batte de baisball, de pierre ou de flingue, ça ne change pas grand chose. De l'autre, en voyant la haine qui s'égraine contre les agresseurs qui sont content qu'un gamin (aussi con soit-t'il) se retrouve stérilisée… Je me dis que la violence populaire n'est pas forcément le monopole de ces bandes. D'une façon général, si le "respect" des flics ne m'a jamais intéressé… (on ne les paie pas pour être respecté… et s'ils pensent le contraire, il faut qu'ils change de carrière le plus vite possible) Le fait qu'ils ne soient plus crains me semble par contre beaucoup plus problématique. Et manifeste d'une population, sois sur-protégée… … sois d'un phénomène de révolte contre la société peut-être plus profond et plus légitime. Qui se manifeste par un faussée de plus en plus profond entre les intérêts des populations et les intérêts des dirigeants de ces policiers. Si je vivais dans un état aussi peu démocratique que le nôtre, qui se fiche de l'avis des gens, qui m'exploite, ruine mes parents, ne me donne comme espoir de vie futur que d'être exploité comme une carpette et viré à la moindre contrevenu par des chefs tout puissant, et irais à l'encontre d'une simple vie heureuse ordinaire, humble et digne… je gage que je prendrai le maquis moi aussi. À trop excuser la police (qui n'est pas responsable) on en oublierai presque les vrais responsable de ce faussé… Ceux qui estiment que si tu n'as pas 50% des voies dans la société, tu n'as plus de droits…
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Une sénatrice allaite son enfant en pleine séance au Parlement
Titsta a répondu à un(e) sujet de pep-psy dans International
Je suis d'accord qu'il ne faut pas sur-protéger les enfants. Oui, emmener son enfant au travail, ça n'est pas forcément en soit une situation "plus dangereuse" qu'à la maison… mais quand tu travailles, tu ne peux pas t'en occuper : tu l'abandonne dans un coin et tu bosses. ça n'est pas une situation très enrichissante pour le gamin qui serait infiniment mieux s'il était libre de ses mouvements, et si on avait le temps de s'en occuper sans être pressé par des délais ou des dossiers compliqués. Il serait temps de reconnaitre surtout que s'occuper d'un enfant, ça ne se limite pas à le nourrir et le maintenir en sécurité, mais ça exige de passer du temps avec lui. Temps qui n'est pas productif pour l'entreprise… mais qui est très productif pour la société, puisqu'on lui fabrique un nouveau petit être qui a tout intérêt (pour la société) à être épanoui et le moins névrosé possible. Alors je sens venir les pseudo-féministe économiquement endoctrinée, mais vouloir qu'on passe du temps avec l'enfant n'est pas vouloir que les femmes soient cloisonnée à la maison et n'aient pas de vie professionnelle. On pourrait déjà équilibrer les congés maternité et paternité, ( ça règlerai les inégalité de traitement à l'emplois déjà )… Mais surtout, c'est considérer que la vie professionnelle n'a pas à être tout dans la vie d'adulte. Et qu'un temps social d'éducation des enfants, devrait être accordé par la société dans son ensemble, aux parents. Considérer qu'élever ses enfants soit aussi un devoir tant pour l'enfant, que pour la société (au même titre que la productivité professionnelle le serait pour une entreprise), ne me semble pas non plus une idée absurde. Je ne dis pas que ce serait un devoir d'avoir des enfants. Mais si on en a, qu'on soit "contraint" socialement à nous en occuper ne me semble pas une mauvaise idée. ça permettrai aussi de faire prendre conscience aux gens de l'intérêt social qu'il peut y avoir à défendre les congés maternité et paternité, et d'arrêter de les prendre pour des "loisirs" ou des "vacances" qui seraient accordé à des "profiteurs". ^^ Il y a un équilibre certain à re-trouver entre les besoins de la vie professionnelle et les besoins de la société. L'entreprise n'est pas "tout ce qui compte" pour l'économie de la nation. La vie sociale et l'épanouissement des enfants est aussi génératrice de richesse. Une très grande part de l'exploitation des femmes se fait dans la non-reconnaissance de la richesse nationale produite par le travail effectuée auprès de leurs enfants. ( et je dis exploitation des femmes, non parce que ça ne pourrait pas être fait aussi par les hommes, mais parce que ce sont souvent les femmes qui le font… ) ( Notez au passage que c'est le féminisme - sous la manipulation politique qui l'a porté- qui a développée cette forme d'exploitation des femmes… En faisant passer leur travail réel effectués au foyer pour quelque chose "d'improductif". Et en vantant les mérites de l'entreprise… seule productive de richesses. Le but politique réel du féminisme étant surtout, je le rappel, l'exploitation professionnelle à très bas coût d'une population non syndiquée et infiniment plus exploitable. ) -
Une sénatrice allaite son enfant en pleine séance au Parlement
Titsta a répondu à un(e) sujet de pep-psy dans International
Oui… maltraiter son enfant est excusable quand on ne peut pas faire autrement. Une femme qui nourri son enfant en pleine guerre civile au milieux des tirs de kalachnicov, elle est excusable (et même admirable) si elle ne peux pas faire autrement. Par contre, une malade mentale qui irai avec son gosse au milieux des tirs de kalachicov, pour le nourrir au sein sous les yeux des caméras, afin de faire un acte politique "militant" qui va booster sa carrière… moi j'appelle la DASS direct et je lui retire son enfant. C'est pourtant le même acte pour les deux femmes, les mêmes circonstances. Mais la différence, c'est le choix. On juge les gens sur leur choix. Une femme pauvre et exploitée qui emmène son gamin au travail, le laisse dans un coin pour pouvoir bosser, et le nourri de temps en temps… c'est presque de la maltraitance pour l'enfant, mais c'est excusable, et presque admirable. Quand c'est une députée qui a largement les moyens de faire autrement, et qui le fait pour booster sa carrière politique… ça me débecte. Et je pense que le gamin mérite une meilleure mère. -
La mesure du QI est beaucoup critiquée car elle fait croire à tout le monde qu'il s'agit d'une chose "en plus". Alors qu'il s'agit surtout d'une façon différente de penser. Elle fait aussi peser une pression sur ceux qui obtiennent de haut QI, en leur faisant croire qu'ils devraient "mieux" réussir que les autres… ( ou auraient dû mieux réussir que les autres… bonjour la culpabilité. ) Alors qu'en réalité, ceux qui réussissent le mieux sont ceux avec un QI moyen (voir bas). La capacité de conformisme joue énormément plus dans l'acceptation sociale (donc la promotion sociale) que l'intelligence. De surcroit, plus on est intelligent (en terme de QI) plus on est sensible affectivement et émotionnellement. ça aussi, c'est un très lourd handicap pour réussir professionnellement, dans le monde dans lequel on vit. Si un gros QI passe des tests en sachant ça, ça peut lui permettre de "comprendre" pourquoi il ne réussissait pas dans sa vie. ça peut confirmer la "cause" de la différences, et donc de ses multiples échecs ( professionnels, amoureux… ) ça peut être très libératoire. Des communautés de gros QI se rassemblent souvent, pas tant pour être élitiste (un peu… car il y a aussi souvent de gros égos frustré par les échecs pré-cité…) mais surtout pour être entouré de gens qui pensent de la même manière ( pas qui sont du même avis, mais qui pensent de la même manière ) ce qui est très reposant.
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Quand coucher n’est pas tromper - Les nouvelles infidélités
Titsta a répondu à un(e) sujet de Elsa dans Amour et Séduction
ça me rappel le viol du voisin qui s'était subrepticement glissé dans le lit conjugal, s'était éclatée avec l'épouse, consentante mais "ignorante que ce n'était pas son mari". Et paf… quand ça pose un problème avec le mari… elle n'était pas au courant, donc c'était un viol. bah vi, il faisait noir, vous comprenez… Tordu… mais juridiquement recevable. ^^ C'est une jurisprudence qui peut ouvrir la porte à pas mal de trucs… -
Je ne veux pas paraître rabas-joie, mais à mon avis, ces tests en lignes sont tous sur-évaluée Leur revenus proviennent de la pub… donc du fait que les gens viennent sur leur site. Et si tu as un mauvais score, tu ne leur fera pas de pub. De surcroit, l'intelligence réelle du QI se mesure précisément à la capacité à ne pas entrer dans les cases prévue par le concepteur du test… mais à la faculté d'interprétation nouvelles. Mieux vaux donc passer un vrai test avec un vrai spécialistes
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APL: les 5 euros de courses des Insoumis à l'Assemblée nationale
Titsta a répondu à un(e) sujet de Kyoshiro02 dans Politique
Tu me fais marrer Morfou ! Les loyer sont des rentes, ça n'a rien à voir avec un quelconque coût mais avec la détention d'un monopole géographique. Les locations ne sont pas un marché. ça tiens plus de privilèges de seigneurs sur leur terres que de lois économiques ou de concurrence. ( Les coût des loyers, c'est les charges, pas le prix du bâtiment. Le bâtiment tu le gardes quand les locataires s'en vont. ) Mais passons sur ces "petits" détails. Même si les locations étaient un marché… Les loyers, comme tout les prix dans notre société civilisée, sont décidée exclusivement sur la "capacité à payer" de l'acheteur. ça fait longtemps que notre économie marche sur la tête et que les coûts n'ont plus aucune influence sur les prix. Toute économie qui peut être fait sur les coûts ne fait qu'influer sur les bénéfices. il n'y a qu'un imbécile en gestion qui répercuterai une baisse de coût sur une baisse de prix de loyer… un tel gestionnaire serait taxé de folie et viré direct avec dommage et intérêt, des sociétés de gestions immobilières. Dans le même ordre d'idée, si la "capacité à payer" augmente globalement, par des augmentations d'apl, ces même gestionnaires augmentent d'autant les loyers… ça marche comme ça le monde aujourd'hui, la "marge", on se la paye au forceps, en grappillant chaque fois qu'un peu d'air se fait, et en "bloquant" dès qu'il se retire. Notez que les gouvernements savent très bien ce qu'ils font, ces mesures "d'air" qui arrivent quand elle sont voté ne visent pas à aider les pauvres, mais à "engranger des électeurs", et enrichir les riches. On ne multiplie pas par 230 sa fortune de milliardaire en 20 ans sans un soutiens très actif de la part du gouvernement. -
Oui, on y a bien œuvré ^^ Les esclaves noirs avec de bons maître non plus, ne se sentais pas si esclave que ça, tu sais ? ^^ même si ça fait très "impolitiquement correct" de le dire dans les films de propagandes américain… Demande toi quel serait ta vie si tu arrêtais d'être productif pour tes maîtres, et on en reparle