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Tout ce qui a été posté par Titsta
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En vertu du principe de séparation des pouvoirs. Tu confond le pouvoir judiciaire, qui juge de la peine. Du pouvoir exécutif, qui lui juge de l'application des lois. Et du pouvoir législatif, qui juge des lois textuelles à mettre en place. (… Et les citoyens, jugent les candidats aux élections ) Un pouvoir implique une capacité de décision en pleine autonomie sur un domaine. Donc la capacité d'exercer un jugement sur ce domaine. Il ne faut pas confondre la capacité de jugement, inséparable de la notion de pouvoir, avec le mot "judiciaire", qui est réservé à la détermination de la culpabilité réelle et de la peine que devra subir quelqu'un. PS : L'armé est un autre problème. Il ne s'agit pas d'une organisation du pouvoir exécutif, pas même une organisation civile. Les militaires ne sont pas des fonctionnaires.
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C'est un exemple qui révèle les dérives qui se sont effectuée dans les institutions. L'ordre donné par le pouvoir législatif sera toujours légal. Même s'il vous demande de virer des gens de chez eux, de prendre leur biens ou même de détruire leur maison… ça sera toujours légal. Un régime fasciste n'agit jamais dans l'illégalité. L'obéissance à la loi ne fait pas d'une organisation armée une organisation républicaine. C'est au contraire la liberté de choisir la façon dont sera appliqué la loi, par les fonctionnaires eux-même (donc le peuple) qui est un principe républicain. Mais c'est un pouvoir qui n'a cessé d'être réduit au fil des années. Précisément parce qu'on vous l'a fait perdre de vue. Et c'est en gros surtout parce qu'on vous l'a fait perdre de vu d'ailleurs. Les CRS restent malgré tout des fonctionnaires de polices. C'est très difficile du fait de leur culture et de leur mission, mais ils possèdent donc malgré tout un grand pouvoir de résistance à l'oppression vis à vis de leur supérieur. Bien plus que vous ne le pensez en réalité. Il y a un avantage à ne pas avoir séparé légalement les 4 métiers de la police. Il y a entre la loi elle-même défendant le statut de fonctionnaire et les pratiques d'obéissance aveugle, un très grand écart. On ne peut pas désobéir à un ordre direct. Encore moins si on est isolé. Mais il y a de très nombreuses façons de résister dans la pratique, en particulier en groupe. C'est ces pratiques qu'il est vital de remettre en place. Ne serait-ce que montrer par un geste quelconque, clairement visible, que vous n'êtes pas d'accord avec les ordres donnés. Montrez vous les uns les autres que vous n'êtes pas d'accord. Montrez le à la population. Vous verrez ça changera beaucoup de chose. Peut être même que vos supérieurs directs vous suivrons et vous défendront. Et appliqueront eux aussi une forme de résistance. C'est à vous de vous ré-approprier votre indépendance, votre capacité de jugement, et votre autonomie, dans la pratique. Pour faire re-basculer les choses vers un fonctionnement et des principes plus républicains, justement. Toujours dans le cadre de la loi, toujours en obéissants aux ordres direct. Mais en résistant le plus possible dans ces cas là. Je ne suis pas certain que ça puisse se faire chez les CRS, mais vous devriez au moins essayer de faire évoluer les choses dans la bonne direction.
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Je sais que j'écris trop, et je m'en excuse sincèrement. Mais est-ce que vous pourriez arrêtez d'essayer de m'expliquer en quoi ce que je raconte n'est pas le fonctionnement actuel ? Vous croyez m'apprendre quelque chose ? Il vous faut quoi pour vous rendre compte que je ne suis pas entrain de décrire le fonctionnement actuel de la police (et en particulier des CRS) ? >_< Est-ce que vous pourriez un instant arrêter de défendre le point de vu absurde que le fonctionnement actuel serait un modèle parfait de démocratie (même celui des CRS) ? Pour accepter l'idée que, peut-être, nous avons intégré des fonctionnements qui ne sont pas super démocratiques dans nos institutions. Bref… Reste que tout ce que j'ai dis est vrai. ET je n'ai jamais parlé de désobéir à un ordre direct. Vous outrepassez les libertés dont j'ai parlé. J'ai parlé de la liberté d'un fonctionnaire d'exercer son métier comme il l'entend, et à sa façon. Qu'il soit de la police ou d'un autre domaine d'ailleurs. Ce qui est le principe même du fonctionnariat. L'obéissance à un ordre direct limite très fortement la capacité d'opération d'un supérieur. Il ne peut que très difficilement donner des ordres directs sur chacune des façons dont opère l'ensemble de ses subordonnés. Un supérieur est obligé de se plier à la volonté de ses subordonnés. De faire avec ce qu'il a. Vous devriez réfléchir à ça. Ensuite, les CRS sont vraiment un cas très particulier parmi la police. Vous êtes d'une mauvaise fois incalculable à assimiler l'ensemble des fonctionnaires de polices au fonctionnement très particuliers des CRS. Et vous parlez d'exagération ? Arrêtons un peu l'hypocrisie. Vous savez tous très bien que les CRS sont recruté et formés à une culture très particulière, qui n'a rien à voir avec la culture et la vision du métier de l'ensemble de la police ! Vous savez tous que leur missions est de maintenir le pouvoir en place au pouvoir, et qu'ils sont recruté explicitement pour ça. Merci de ne pas tout niveler par le bas seulement pour vous opposer à des idées républicaines. Oui, il y a des composante fascistes dans nos démocraties. En particulier dans la police, et expressément parmi les principes fondant les CRS. Je ne dis pas qu'ils sont fascistes, ils peuvent être contre les principes de leur propre organisation. Beaucoup d'employés sont contre les principes de leurs propre organisation, moi le premier. Mais savoir que c'est un président de la 5ème république qui a fondé le corps des CRS n'en fait pas un organisme obéissant aux principes démocratiques pour autant. ça en fait juste un principe obéissant au pouvoir en place. Fondé par un président très légitime, qui avait à cœur sur le moment de protéger sa place au pouvoir… La seule chose qui fait des CRS autre chose qu'une milice fasciste, c'est que le pouvoir en place est (très) relativement démocratique. Donc quelque chose qui n'a rien à voir avec cette organisation en elle-même. Si le pouvoir législatif devient fascistes, la police pourra éventuellement leur résister. Les CRS leur obéiront, point barre. Nous savons tous ça. Si une dictature prend la mains sur le pouvoir législatif, ça n'est pas les CRS qui nous défendrons contre le pouvoir en place. À défaut de le reconnaitre officiellement, il serait temps d'être au moins honnête avec vous-même. Intégrer un principe fasciste dans une démocratie peut, —peut-être— servir sa stabilité. C'est le pari qu'à fait ce président. C'est un point de vu politique qui se discute (dans une vraie démocratie), et c'est toute la question que vous essayez d'éluder sous l'injective et la caricature. Mais dans tous les cas, arrêtez d'essayer de faire passer ces principes fasciste que nous intégrons dans nos démocraties pour des principes républicains. Et de vous imaginez que tous les fonctionnaires devraient être des CRS, comme si c'était des modèles de démocratie à suivre … >_< Vous êtes effrayant d'aveuglement crasse.
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Oui, je suis d'accord avec toi. ( J'aurai dis illégitime pour les ordre, plutôt qu'illégaux. On peut légaliser n'importe quoi si on dispose des pouvoir législatifs. ) Mais ils devraient faire montre un peu plus de leur indépendance vis à vis du pouvoir politique, s'ils tiennent à être respectés. C'est leur soumission totale comme instrument du pouvoir qui font qu'ils ne sont pas respecté. S'ils cessent eux même de se considérer comme des être humain pensant et responsable, et se dé-responsabilisent en se considérant comme simple instrument, rien d'étonnant à ce qu'ils ne soient pas respectés. Je respecte infiniment plus un policier intègre, qui exerce son métier en fonction de sa conviction profonde de servir le peuple, qu'un autre qui cherche surtout à plaire et obéïr aux exigences de sa hiérarchie (quota etc…), où aux consignes politiques du moment… Je me méfie surtout, et de plus en plus, de la dérive grave de certains policiers qui s'imaginent que leur devoir serait d'obéir aveuglément aux ordres. Et ne comprennent même plus l'importance de leur indépendance de fonctionnaire. En d'autres termes des dérives fasciste de notre nation, de plus en plus oppressante et inquiétantes. Ils devraient s'en soucier aussi. Et montrer un peu plus qu'ils y résistent eux aussi, s'ils veulent conserver la confiance et la légitimité que le peuple leur accorde.
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Disons que contrairement aux autres qui ne font que le ressentir sans le comprendre, je l'explique. ( Et je te montre surtout comment ne pas l'être… rien à voir avec la simple injective… ) Ensuite je ne t'explique pas ton boulot, je t'explique les fondements républicain de la police, et des corps de métier de fonctionnaires. Ce qui n'est pas ton boulot, puisque tu es dans une police qui a totalement oublié ces fondements républicains et ces principes. Il serait temps que tu remarques que ce que je raconte n'a rien à voir avec ton boulot. Ensuite, je n'ai jamais pensé que tu étais mou du bulbe. Seulement asservis et bien endoctriné, par un pouvoir qui cherche à conserver ta soumission. Il y a une différence entre dire n'importe quoi et ne pas répéter les idées toutes faites, que tout le monde a déjà entendue et dans lesquels tout le monde se conforte. Le contraire forcerai à réfléchir, et c'est fatiguant… Mais tu te trompe. Un policier n'est pas qu'un exécutant, c'est un fonctionnaire. Un fonctionnaire n'a qu'une hiérarchie administrative. Il possède toute liberté pour exercer son métier comme il l'entend. Il est sélectionné, il passe de nombreux test d'aptitude pour prouver sa bonne santé mentale, son sens du devoir, son sens des responsabilité etc… Mais une fois assermenté, il est libre d'exercer son métier comme il le souhaite, tant qu'il reste dans le cadre de la loi. (et son intégrité est continuellement vérifiés, on peut la lui ôter, mais seulement s'ils ne respecte pas la loi, perd le contrôle de ses actes, bref des choses très limités. ) C'est une erreur courante de confondre fonctionnaire et employés. Un fonctionnaire n'est pas un employé. C'est beaucoup plus un indépendant, au seins d'une administration qu'un employé. Il n'est pas responsable devant sa hiérarchie, justement. C'est la définition même d'un fonctionnaire. C'est ce que tu ne comprend pas. Ou plutôt, tu as dû en entendre parler, mais tu ne sais pas pourquoi ça s'est établis comme ça. Imaginant probablement que le statut de fonctionnaires n'est que "privilèges" données sans raison valable, seulement pour la "gloire" de travailler pour l'état… ( propagande, on te fait oublier les raisons réelles de ces avantages, pour tenter de les supprimer. ) Un fonctionnaire a un certains nombres de devoir réels. Un devoir de présence, un cadre très strict désignant quand il est en service et quand il ne l'est pas, un devoir d'uniforme… ce genre de chose. Mais certainement pas de comment il exerce son métier. La hiérarchie tente de le faire, je ne nie pas les rapports de pouvoir de la hiérarchie administrative sur le corps de métier. Elle possède un certains nombres de moyens de pressions pour faire faire à ce fonctionnaires ce qu'ils souhaitent. Mais des moyens administratifs uniquement. Par exemple la possibilité de choisir des mutations, de choisir des récompenses, de l'avancement, des dates des vacances… Mais un fonctionnaire n'est pas obligé de se soumettre a sa hiérarchie. ça n'est pas son devoir. Il a un devoir de respecter, lui-même, la loi à la lettre. Que ce soit un fonctionnaire de police ou un autre d'ailleurs. Sous peine de perdre son statut, justement. Mais c'est en son pouvoir de décider de comment il la fait respecter, de ce qu'il va chercher à faire respecter. Le statuts de fonctionnaire a été inventé précisément pour se différentier des systèmes "monarchiques" (ceux qu'on a dans le monde du travail par exemple) où les individus sont soumis de fait à une autorité. Un fonctionnaire est indépendant, et ne répond que devant sa conscience et la loi. C'est la différence entre la police et l'armée par exemple. Un ensemble de corps de métier sensibles a été définies, la police, l'éducation, l'administration territoriales (maire etc…). Afin qu'ils soit soustrait à toute forme d'autorité. Ces métiers stratégiques étant exercé par le peuple et pour le peuple, sans autre forme de soumission. Afin qu'il ne suffise pas de prendre la main sur le pouvoir législatif pour s'emparer de l'état dans son ensemble. Mais c'est aussi un peu plus que ça. C'est aussi une façon de pratiquer la démocratie autrement que par la désignation de chef hiérarchique. Les fonctionnaires sont défendus dans leur indépendance. Dans leur capacité (théorique) à déterminer la façon dont leur métier doit s'exercer, par eux-même, de façon personnelle et individuelles, par leur convictions, leur "vocation". C'est un pouvoir aussi important que celui de voter pour des chefs, qui vont décider de comment tu devrais te comporter. Le pouvoir de décider directement, de toi même, (mais seulement pour toi), de ton métier et de comment il doit s'exercer. Il y a certes d'un côté les élus, mais de l'autre les fonctionnaires. C'est un équilibre très important et l'un n'est pas soumis à l'autre. Ce pouvoir des fonctionnaires (du peuple sur lui-même) est profondément démocratique, et a toujours subit de nombreuses pressions du pouvoir centralisé, dans le but de pouvoir le contrôler. De prendre le pouvoir dessus, justement. Aujourd'hui, nous sommes à une sorte d'aboutissement de siècles d'efforts dans l'asservissement du pouvoir démocratiques directe des fonctionnaires à une autorité centralisée. De très nombreuses atteintes aux libertés et aux principes démocratiques se sont succédées pour arriver à notre état actuel. Mais les modifications légales sont très difficile a obtenir, le socle juridique défendant le statut d'indépendant des fonctionnaires est encore très fort. Car justement ces lois ont été très bien ficelé et conçu précisément pour éviter toute prise de pouvoir par le système législatif. Alors la prise de pouvoir s'est effectuée par des moyens détournées. Administrativement, par un contrôle du "confort de vie" des fonctionnaires (mutation etc…), et surtout culturellement. Par la mise en place et l'entretient de "tradition", d'habitude de soumissions, de propagande débecté à longueur de journée par la hiérarchie administrative, jusqu'à ce que chaque fonctionnaire "oubli" ses pouvoirs réels, ses droits, ses devoirs réels, et les raisons et principes pour lesquels on les lui a accordé. Je suis absolument convaincu, (on en a l'exemple ici même), que les derniers à connaitre les principes et l'origine des pouvoirs dont ils disposent, sont les fonctionnaires eux-même. Précisément parce qu'ils sont les premiers à se coltiner de pleins fouet cette propagande visant à les contrôler et les maintenir soumis. C'est aussi pour ça que je pense très important de les leur rappeler de temps en temps. Même si la propagande dans laquelle ils baignent leur fait trouver ces principes fondamentaux absurde. Tellement en contradiction avec ce qu'ils entendent tous les jours. Je pense que c'est précisément parce qu'ils trouvent ces principes fondamentaux absurde qu'il y a urgence à les leur rappeler. À les aider à se réveiller un peu…
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Pourquoi les gens ne respectent-ils pas la volonté d'un défunt ?
Titsta a répondu à un(e) sujet de January dans Religion et Culte
Il y a une différence entre être athée et être anti-religieux. Tous les athées ne sont pas nécessairement des fanatiques religieux. Certains (rare en France, soit) sont éclairés. Ils savent que leur croyance religieuse est quelque chose d'intime, et ne ressentent pas forcément la nécessité d'être prosélyte, et de convertir tout le monde à leur propre religion. De surcroit, il faut savoir que les cérémonies religieuse, et ce depuis l'aube de l'humanité, sont faite pour les vivants. Pas pour les morts. Chacun passe son deuil comme il le souhaite. Je mettrais sur un plan différent le devenir du corps lui même… mais si des gens souhaitent faire leur deuil en faisant une messe, grand bien leur fasse. Je trouverai pour le coup que ça ne regarde pas le défunt. Et qu'il n'a aucune légitimité à imposer aux autres la façon dont ils souhaitent passer ce cap, et manifester leur respect pour lui. ça n'est pas à celui qui reçoit les hommage de décider de comment on compte les lui donner. -
Bien sûr que si je suis au courant… Vous êtes marrant à croire que je ne sais pas comment ça se passe. Je sais très bien comment ça se passe. Ce que je vous raconte, c'est les principes de la République. Je n'ai jamais dis que nous vivions selon ces principes. Je vous dis ce que la République a défini comme étant le métier de la police. Aujourd'hui, ça ne se passe pas selon ces principes, je le sais très bien. Nous ne vivons pas dans une démocratie. wow, tu travaille peut être comme flic, tu es le nez dans le fonctionnement actuel… soit, c'est très bien. Et bien plutôt que penser que tu es la seule personne connaitre le monde. Apprend en lisant ce que je raconte ce qu'était (et est) sensé être ton métier. Tu apprendra peut-être des choses, en constatant l'écart considérable entre les principes de bases de la République que je te décris et ce que tu constates aujourd'hui de ce qu'est ton métier. Et ne me prend pas pour un con pour ne pas savoir qu'aujourd'hui, la police n'a plus rien à voir avec les principes Républicain. Le problème est justement là, au fils des siècles, décénie par décénies, vous vous êtes laissé entubé, et voler vos prérogatives, vos droits et vos pouvoirs, pour vous transformer en simple exécutant. Et non ! Le pouvoir exécutif, ça n'est pas obéïr. Le pouvoir c'est décider. L'assermentation que tu as passé, était un contrat de confiance. On avait déterminé que tu étais intègre, que tu avais l'intelligence et les compétences. Et dans la ligné des principes du métier de fonctionnaire, ça signifie qu'après cette assermentation, la nation te faisais confiance. Et tu pouvais par toi même décider de la façon dont mener ton métier. Alors ça peut ne pas plaire à ta hiérarchie, ça peut nuire à ton avancement… mais même encore aujourd'hui, on ne peut pas t'empêcher de le faire. Le pouvoir n'a fait que chercher à s'assurer le contrôle de la police en faisant oublier le plus possible à ses membres les pouvoirs (et les devoirs) dont ils disposent. à créer des pratiques "culturelle", des "tradition" qui font qu'aujourd'hui, c'est devenu quasi impossible de rester libre et indépendant. Mais vous auriez pu le faire, et vous auriez pu vous défendre. Vous ne l'avez pas fait. Et je vous annonce que c'est pour ça que vous n'êtes pas aimé. Plutôt que de continuer à être soumis et endoctriné, apprenez à reconquérir ce qui était vos droits et vos prérogatives. Et reconquérir votre légitimité, car c'était aussi la base de votre légitimité. Et commencez par appréhender les principes de bases qui soutenaient la création de votre métier. Je ne suis en rien un idéaliste aveuglé par les principes de bases de la République. Je sais très bien qu'aujourd'hui, dans la police, quasiment plus personne ne connait ces principes de la police Républicaine. Que vous avez été tellement endoctriné par des principes bidons qu'on vous a collé dans la tête pour vous faire abandonner vos pouvoir, que vous en êtes maintenant totalement convaincu. Je sais très bien que le contrôle du pouvoir exécutif par le pouvoir législatif a été une bataille mené depuis très longtemps, et qu'elle continue encore. Donc je te le ré-affirme. Le pouvoir et le devoir de votre fonction, c'est de décider de l'application des lois. Malgré tout ce que peut vous dire votre hiérarchie, vos prérogatives de fonctionnaire de police sont très précisément de juger des situations et de l'application de la loi. C'est très précisément pourquoi on a besoin d'un être humain. C'est un métier qui nécessite de l'intelligence et pas d'être une machine bête et obéissante. Un métier qui demande d'être responsable, au moins autant qu'un législateur quand ils pond une loi. Comme la République s'est bâties sur des choses très solides, ces prérogatives n'ont pas encore totalement disparues et vous êtes encore très protégés pour pouvoir exercer ainsi que je te le décrie. Ces protections n'ont pas été faite pour vous être agréable, pour vous offrir des "avantages". Ces protections vous ont été donnée pour vous permettre d'agir indépendamment du pouvoir centralisé. Je ne me leurs pas, aujourd'hui, c'est devenu extrêmement difficile. Car ça semblait vital à une époque qu'un certain nombres de corps de métier vitaux ne puisse en aucun cas devenir soumis à un pouvoir centralisé. Et donc trop facilement renversable. La police, l'éducation… ont été bâtie sur ce système. Pour que même en cas de prise de pouvoir sur le pouvoir législatif, la République ne tombe pas. Parce que la police refuserai simplement d'appliquer les lois qu'elle ne jugerai pas légitime. Et il est beaucoup plus difficile de changer la totalité de la police civile que de prendre le pouvoir législatif. C'est ça, la force du pouvoir du peuple, par le peuple et pour le peuple. Encore aurait-il fallu entretenir chez vous cette pratique. Encore aurait-il fallu vous former et vous apprendre ce que je te raconte aujourd'hui. Sur les raisons d'être de ces protections, et sur les origines de la légitimité du pouvoir qu'on vous a accordé. PS : Et les CRS sont une régression très anti-républicaine de la police. C'est bien pour ça qu'ils ont tant tenu à coller "républicaine" dans le titre. Les CRS sont très particulièrement formée dans l'idéologie la plus fasciste possible de la police. C'est à dire l'obéïssance à la loi et au pouvoir en place… quoi qu'il puisse décider, quel que soit sa légitimité. Les principes de la police, leur pouvoir, leur indépendance et leur libertés sont très précisément une des plus grosses différence entre les principes fasciste et les principes républicains. Les CRS n'ont pas grand chose de policier.
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Sérieux okman… vraiment… Apprend à utiliser les outils du forum. J'en ai marre que tu me fasse dire tes propres paroles. Le respect de tes interlocuteurs, ça commence par ça. Tu ne sais même pas faire une citation, ça complique terriblement nos réponses. Je penses que c'est toi qui a raté un épisode. Celui de la démocratie en fait. Le principe de la séparation des pouvoirs. Législatif, Exécutif et Judiciaire en particulier. Je sais très bien qu'aujourd'hui, nous (et toi en particulier) avons une définition fasciste de la police. Au service du pouvoir en place. Mais en démocratie, c'est sensé marcher différemment. Les trois pouvoirs constituent une chaîne, et un ensemble de contre-pouvoir. Pour qu'une loi soit réellement fonctionnelle, il faut qu'elle ai été voté, appliqué et jugé. Le principe de séparation des pouvoirs implique que chaque maillons est indépendant les uns des autres. Le pouvoir législatif peut toujours essayer de prendre le pouvoir en votant des lois abusives… elles ne seront pas appliquée par la police dans une démocratie, ni par les juges. Le pouvoir exécutif peut essayer de prendre le pouvoir en arrêtant pleins de gens pour la moindre bévue… Les gens seront relachés ou condamné à des peines mineures par le pouvoir judiciaire. Ces trois pouvoirs constituent une chaîne. Et l'accord de ces trois pouvoirs est nécessaire avant qu'une loi puisse devenir effective. C'est le principe démocratique. Pour établir cette indépendance des trois pouvoirs, la république a inventé la notion de fonctionnaire. C'est à dire un individu qui ne possède pas de chef, si ce n'est administratif, et qui a de très larges libertés pour exercer son métier selon sa conviction personnelle, sa vocation. Il ne peut être viré pour ces raisons. Pour que le pouvoir en place ne puisse en aucun cas décider à la place du fonctionnaire comment il pense devoir exercer son métier. ça peut sembler aberrant pour les fasciste, mais la démocratie, c'est ça. Une responsabilité civile importante des citoyens, en particulier ceux qui sont assermenté et qui se mettent au service de la démocratie. La somme des individualités exerce une sorte de synthèse, et construit le monde dans lequel on vit. Citation Les lois ne sont que des outils mis en place par les premiers, que les deuxièmes peuvent ou non choisir d'utiliser en fonction des circonstances. Depuis la création de la République. C'est leur métier, et la définition même du pouvoir exécutif. Il s'agit d'un pouvoir. Celui de décider de l'application des lois. Décider de l'application des lois, ça signifie qu'ils ont le choix de déterminer au cas par cas si cette loi, ils vont l'appliquer, et si cette autre loi n'est pas applicable sur le terrain, dans cet instant, et dans ce contexte. Leur métier, c'est précisément de juger au cas par cas de l'application (ou non) des lois. C'est la chaîne indispensable qui permet de nuancer la théorie des législateurs, la loi écrite étant toujours conçus dans des cas généraux. Et le devoir de la police, c'est de juger des situations réelles. Et de si la loi devra ou non être appliquée dans ces cas là. Dans un régime fasciste seulement. Dans un régime républicain, il s'agit d'un pouvoir, aussi important que le pouvoir législatif ou judiciaire. Celui justement de choisir au cas par cas, si les lois sont applicable et vont ou non être appliquée. La police à le pouvoir, et même le devoir dans certain cas, de ne jamais appliquer une loi qu'ils jugent être un abus de pouvoir du système législatif. ça fait partit de leur devoir républicain. Ils ne sont certainement pas au service du pouvoir législatif. Et certainement pas là pour appliquer ses "ordres". Le vieux poncif éculé !!! Sur la voie publique, les flics ont évidemment plus souvent à faire aux petits délits de droit commun ... mais le PDG qui roule à 200km/h n'est pas plus épargné que les autres. Quant à la délinquance en col blanc, ce sont des brigades que tu ne vois pas dans la rue qui s'en occupe ... il faut enlever tes oeillères ! C'est toi qui as des œillères. La brigade en question ne comporte que quelques dizaines de membre à peine. N'importe quel flic fonctionnaire est indépendant. (je trouve d'ailleurs que la non-séparation des métiers de la police est une bétise… mais c'est comme ça) Donc n'importe quel flic fonctionnaire peut agir partout où il le souhaite, dans le domaine qu'il souhaite, mener les enquête qu'il souhaite, et arrêter qui il souhaite du moment que c'est en se servant d'une loi. ( Ils n'ont pas le pouvoir d'exercer une contrainte en dehors de la loi. Ils ont seulement le pouvoir de décider quels outils ils vont ou non utiliser. ) Mes "délire idéologiques", c'est la République. Il est vrai que ce sont des idées qui disparaissent. La police constitue un pouvoir indépendant. Le maintient de l'ordre est plutôt une mission de l'armée. Pas vraiment de la police. La police est là pour s'occuper de l'application des lois. D'ailleurs, "l'ordre" est une question très relatives. Ils sont sensé être au service du peuple. Si le peuple est dans la rue, c'est le peuple qu'ils devraient soutenir… "l'ordre" en l'occurence, est perturbé par le pouvoir législatif. Tu va me dire que c'est une question de point de vu… je pense que c'est au législateurs de faire des lois en correspondance avec ce que veulent les gens. Et que si leur lois provoquent des révoltes, c'est eux les premiers responsables des désordres. Si la police faisaient vraiment leur métier, ils serviraient de rempart à ces désordre introduits par le pouvoir législatif. En refusant d'appliquer ces lois qui seraient alors lettre mortes, comme beaucoup d'entre elles. La police pourrai être un soutiens pour le peuple et résister aux prises de pouvoir excessives des législateurs… ce qui rétablirai aussi l'ordre. Le pouvoir législatif serait obligé de réfléchir à deux fois, avant d'écrire des lois qui ne sont pas accepté par la population, comme s'ils étaient des dictateurs… Les semeurs de désordre, les vrais responsables, ce sont plutôt clairement les législateurs. Et ils le font depuis longtemps. L'oppression de la population est manifeste et ils ne s'occupent régulièrement que de l'opprimer toujours un peu plus. Non, ça s'appelle un comportement citoyen. Et c'est leur pouvoir spécifique. Un voyou n'est pas assermenté. C'est un pouvoir qui leur est donné à eux, et à eux seul. Un type qui porte une arme dans la rue est un voyous… sauf si c'est un flic. Car c'est un pouvoir qui lui est accordé à lui. La différence entre un acte citoyen et un acte de voyous porte aussi dans le bénéficiaire de l'intérêt. Un flic qui choisi de ne pas appliquer une loi agit dans le même ordre d'idée qu'un législateur qui vote une loi. Si la loi est voté par le législateur pour servir ses propres intérêts personnels, c'est un voyous corrompu. Si la loi est voté par le législateur dans un intérêt général, c'est un acte citoyen. Et leur rôle démocratique. C'est pareil pour le pouvoir des flics. S'ils décident de l'application des loi uniquement dans leurs intérêts personnels, ce sont des voyous corrompu. S'ils décident de l'application des loi dans l'intérêt général, c'est un acte citoyen. Et leur rôle démocratique. C'est la célèbre phrase de flic d'il y a quelques décennies à peine : "Si vous continuer, vous allez me forcer à appliquer le règlement". Si un individu lambda se met à "ériger" de fausse loi, ou a faire appliquer des lois, c'est un voyou, parce qu'on ne lui a pas attribué ce pouvoir. Je sais très bien que la conception réelle de la police est totalement dévoyée aujourd'hui. Au point de paraître totalement étrange et farfelue au yeux de la plupart, qui ne connaissent que ce qu'on leur a bourré dans le crâne. Et ce bourrage de crâne est issue d'une propagande, visant à permettre au pouvoir législatif d'outrpasser de plus en plus ses prérogatives. Il serait temps de s'en rendre compte.
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Le problème que tu soulève est réel. Mais n'est que la conséquence de leur propre servilité au pouvoir. La police (pouvoir exécutif et centré sur des fonctionnaires, donc sans hiérarchie autre qu'administrative) a été construit à l'origine comme un pouvoir indépendant du pouvoir législatif. C'est le principe de séparation des pouvoirs. Un type qui a le pouvoir législatif juge des lois intéressante à mettre en place, à partir de son jugement personnel. Un type qui a le pouvoir exécutif juge de s'il va ou non appliquer les lois mise en place par le premier, en fonction des circonstances concrète sur le terrain, ET DE SON JUGEMENT. Un type qui a le pouvoir judiciaire va juger de la condamnation réelle à appliquer à quelqu'un arrêté par le deuxième… En fonction des circonstances générale de l'individu concerné, ET DE SON JUGEMENT PERSONNEL. C'est comme ça que marche une véritable démocratie. Effectué par des individus, des être humains ordinaire, soumis à une culture et des jugements personnels. Le "monde" dans lequel ont vit étant une sorte de mélange de toutes ces individualités. Les lois ne sont que des outils mis en place par les premiers, que les deuxièmes peuvent ou non choisir d'utiliser en fonction des circonstances. ça nécessite un vrai effort intellectuel, une vraie vocation, et une vraie conscience politique, d'une personne humaine et intelligente. ( le recrutement pourrait se discuter d'ailleurs… ) Mais au lieu de ça, les flics se sentent le devoir d'obéïr aveuglement à la loi… Ils refusent donc de pratiquer leur métier réel, qui est de décider si une loi va s'appliquer ou non, du moins localement à leur échelle individuelle. Ils refusent de fournir le rempart démocratique, dont ils ont pourtant la charge, à certaines lois qui abusent et exploite trop fortement des classes déjà défavorisées. Alors qu'ils sont dans une position de contre-pouvoir et de pouvoir indépendant, vis à vis du pouvoir législatif. Ils ne cherchent plus vraiment à éduquer la population, mais à punir… Même si je conçois que c'est plus dur d'éduquer, que c'est un vrai travail. Mais justement, on est reconnu par nos efforts… Et si tu me répond qu'on leur pose des quotas… qu'on les embêtes administrativement… Ils ne résistent pas très efficacement ni très dynamiquement aux évolutions législatives qui se mettent place, afin de les transformer en simple "outil mécanique" du pouvoir législatif. De surcroit, ils ne font jamais vraiment chier les riches, bien logé et bien sapé… alors que la délinquance en col blanc coûte considérablement plus à la société que les autres formes de délinquances. J'aimerai bien voir un flic entrer dans une banque pour obliger les caissiers à accepter les permis de conduire comme des preuves d'identité… Quitte à emporter le banquier responsable au poste pour l'interroger sur pourquoi il a donner ce genre d'ordre alors que c'est illégal ? Pourquoi ne voit on jamais ce genre de chose arriver ? Sont-ils encore des instrument de la justice sociale ? du peuple pour le peuple par le peuple ? Et si leur hiérarchie ne les laisse pas assez faire ce genre de tâche, pourquoi les flics de bases ne pressent pas un peu plus leurs supérieurs pour qu'il se décide à augmenter ce genre de missions ? Pour qu'ils leur laissent décider ou qu'ils les soutiennent dans de ce genre de mission ? En d'autre termes, ils se soumettent totalement au pouvoir législatif, qui devient un peu plus chaque jour une dictature anti-démocratique. Rien d'étonnant à ce qu'ils ne soient pas respectés. Le respect, surtout citoyen, ça se mérite. Et ça ne se mérite pas en étant purement obéissant et soumis. Je plussois donc PASCOU. PS : Tu a posté ton sujet à peu près au bon endroit. "L'asile" est une partie du forum pour les délires sans aucun sens, qui attend des réponses plus ou moins marrante sans aucun sens. Ce sont des remarques de trolls, un peu bêtes auquel il ne faut pas prêter attention, et surtout éviter de répondre. Ton sujet est honnête et intéressant.
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Tu sais, je suis d'accord avec toi JoJo. Un employé connard peut très facilement faire couler une petite boîte, voir même une moyenne qui exploite pas trop ses clients (donc qui est pas super-rentable) J'ai une tante qui était directrice d'une maison de retraite, elle a eu de gros déboires avec une employée qui volait les petits vieux… (entre autre, elle était impossible à vivre pour tout l'équipe.) Elle a fini par accepter de la licencier avec toutes les indemnités possible… tellement c'était devenu invivable. Cette nana a fait appel… et a obtenue, 3 ou 4 ans après, une annulation de son licenciement pour vice de forme… Ma tante avait écrit comme raison : licencié pour les vols ET pour autre chose… or il fallait mettre une seule raison, pas de ET. (les vols étaient très largement suffisant…) Bref, alors que cette employée était une salope finie, et n'a plus travaillé après son licenciement, ma tante a dû refaire son licenciement après le verdict de cet appel, et lui verser 4 ans de salaires… >_< Je pense très sincèrement que les plus exploités aujourd'hui sont les entrepreneurs. Ils sont les vrais héros modernes ( surtout ceux qui n'ont pas un "ami" qui investit des milliards dans leur boîte… dans ces conditions n'importe quel con avec une idée de merde réussi. ) Mais je fais une très grosse différence entre les entrepreneurs et les dirigeants d'entreprise. Surtout quand j'ajoute de grosses entreprises. Les entrepreneur sont minoritaires parmi les dirigeants d'entreprise. L'idée assimilant les dirigeants d'entreprises à des entrepreneurs est une énnorme propagande capitaliste. Elle vise à faire croire que les dirigeants d'entreprises sont légitime parce qu'ils auraient bossé comme des dingues, qu'ils auraient eu les idées ayant permis le développement de leur entreprise, qu'ils auraient développé les brevets de leur firme… que des conneries comme ça. Alors que l'immense majorité des dirigeants sont juste dirigeants parce qu'ils sont issue d'une bonne famille, qu'ils ont hérité des biens et de l'argent et qu'ils ont été posé comme chef sans jamais avoir obtenu quoi que ce soit par leur travail, leur compétences ou leurs idées. Les détenteurs des brevets ne sont quasiment jamais les inventeurs… sauf des brevets sans grande valeur. Les brevets ne protègent jamais les inventeurs, il protègent ceux qui les possèdent. Idem pour les entreprises. Les propriétaires des entreprises ne sont quasiment jamais les entrepreneurs, sauf des entreprises sans grande valeur… Le problème, c'est que les "classes" de la lutte des classes marxistes sont totalement obsolète aujourd'hui. Avec les "patrons" d'un côté et les "employés" de l'autres. Ceux qui sont exploité ce sont les petits. Entreprises, particulier. Ils le sont tous autant l'un que l'autre. Et pas seulement les particuliers "employés" : les chômeurs, RSIstes, étudiants, retraités, auto-entrepreneur… Tous les petits. Ils ne sont plus exploité par le contrat de travail. Ils sont exploités par les prix imposé et contrôlés par les grands monopoles. Tout le monde râle contre les impôts qui nous étouffent… mais si on ne faisait simplement que diviser par 10 les loyer, ça améliorerai considérablement le niveau de vie de tout le monde. Ou si les prix de nos services étaient divisés par 10, comme les téléphones, les abonnement internet, la poste (régulièrement condamné par la justice pour les tarifs exorbitant et illégaux de ses colissimo… ), les transports (SNCF, métro & bus … ) Tout ça pourrait être fait sans que ceux qui vendent ces services ne perdent d'argent, ils ne feraient que moins en gagner, mais ils n'en perdraient pas. Les prix ne sont plus fixé en fonction des coûts, mais en fonction du maximum de ce que peuvent payer les clients (particulier ou PME). Les prix des services fournis aux PME sont fixé au maximum de ce qu'ils peuvent payer… donc ça les maintient à un niveau de rentabilité très bas, voir en fait mourrir beaucoup, alors qu'elles sont les plus efficaces. Toute la rentabilité des entreprises est pompée par le bout de la chaine. Des grands monopoles. La lutte des classes d'aujourd'hui n'est pas "communistes" : employé contre patron. Elle est libérale : marché libre (personnes et entreprises non monopolistiques) contre les entreprises puissantes sur le marché. C'est à dire contre les oligopoles. La plupart des lois contraignants les entreprises normales, ont des "exceptions" pour les très grandes… ( même les impôts deviennent optionnel pour les très grande… ) Aujourd'hui, toute la chaîne est exploités. C'est vrai que leur client sont exploité… mais c'est vrai aussi que compte tenu de leur propre exploitation, les entreprises normales qui leur vendent ne peuvent pas vraiment baisser leur prix, monter les salaires, ou réduire les horaires… Ce ne sont pas elles les responsables de cette exploitation.
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J'ai tout compris au film au contraire. Les fanatiques-athée imposent par la loi des pratiques athées de façon à forcer la conversions de ceux qui n'ont pas la même religion qu'eux. Derrière l'hypocrisie, c'est ça la réalité : du pur prosélytisme.
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Ne pas obliger… c'est le mot en l'occurence, nos lois obligent à adopter un accoutrement particulier. Elles ne laissent pas la liberté de choisir. Ensuite ça n'est pas ce que j'ai dis. J'ai dis que réduire le comportement sexué à afficher son sexe ou ses seins n'est pas très civilisé. C'était en réponse à quelqu'un qui s'interrogeai sur le fait que j'affirme que le voile, ou même la burquas sont des vêtements sexués. Alors que nos vêtements, au contraire, masquent la sexualité. Et sont bien plus la manifestation d'une culture castratrice (castratrice des femmes autant que des hommes) Une culture castratrice pouvant être "civilisé". Toutefois la nôtre a un peu trop tendance à recourir à l'exposition, voir l'exhibition du corps des femmes pour que je l'exempte du qualificatif de "barbare". Tu juges donc les lois régissant l'accoutrement comme barbares ? Car c'est précisément mon point de vu. Il y a une différence entre obliger les femmes à porter le voile ou la burka, et les laisser libre de le/la porter. Beaucoup de gens prétendent vouloir libérer les femmes en légiférant, mais souhaitent en réalité surtout les contraindre à adopter LE comportement qu'ils souhaitent que les femmes adoptent. Vouloir enfermer les femmes dans un rôle, (même si c'est celui de femme active, salariée, "libérée" ) c'est absolument identique à vouloir toutes les enfermer à la cuisine ou à la maison. La liberté passe par la diversité des comportements, des points de vus, des cultures. Et la liberté des femmes ne sera vraiment acquise que si on permet à certaines de choisir de se soumettre, de vivre à la cuisine, ou de développer une intimité avec leur mari en ne permettant qu'à lui de la voir. Aussi choquant cela puisse paraître pour les bien pensant qui souhaiteraient que toutes les femmes se conforment à leur idéal. Or je crains que nous sommes très loin de vouloir libérer les femmes, et que nous agissons bien plus pour les formater à adopter le rôle qu'on a fixé pour elles.
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Je n'ai jamais dis TOUT les chefs d'entreprises. Tu n'étais pas payé 3 ou 4 fois le SMIC. Ton expérience corrobore ce que je disais. J'ai été entrepreneur. Je sais que souvent ce sont eux les plus exploités, et les moins payés. Les petites entreprises sont tout autant exploitées par le système que les particuliers. Et coincé entre ce qu'elles doivent payer aux gros, et aux particuliers. Toutes leur rentabilité est pompé par les plus gros. Après, peut être que maintenant, tu es payé 3 ou 4 fois le SMIC. Si c'est le cas, ça prouve que ta situation n'étaient en réalité pas aussi désespérée que tu la dépeints, et tes risques pas si grands que ça. Au regard des faits. Et tu le sais, puisque tu as même continué à être chef d'entreprise… C'est donc que l'expérience ne t'as vraiment autant déplus que tu essaye de le dépeindre. Je ne verserai pas de larme sur les déboires d'une entreprise. Créer une entreprise, c'est accepter de prendre des risques. La mort d'une entreprise n'est pas la mort d'un être vivant, elle n'a rien de dramatique. Et les risques sont mesurés et très limités. Tu as sût très bien limité les risques, en sachant que si ça ne marchait pas tu pourrais te tirer d'affaire. Tu parles de risque ? Risquer quelque chose dont tu ne te relèverai pas est un vrai risque. Le reste, c'est malgré tout ce qu'on peut en dire, du jeu. Ton erreur a été de croire que tout allait bien se passer. ça a été ton histoire avec ton employé, mais ça aurait pu être autre chose : un concurrent déloyal, la trahison d'un associé, un bête incendie qui te ruine… ça s'appelle la vie. Parois, on croise de vrais connards. On se prend de gros mur dans la gueule. Toi pas plus qu'un autre tu sais ? S'attendre à ce genre de chose est juste normal quand on crèe une entreprise. Les épreuves révèlent les personnalités. Certains deviennent meilleurs, d'autre plus égoïstes. Se recentrer sur soit est parfois nécessaire quand tout va mal. C'est normal et humain. La priorité, c'est parfois de se soigner. Mais quand les choses vont mieux, dire "je profites des autres maintenant, parce que j'ai teeeelement souffert en ne le faisant pas avant…" ça reste une excuse bidon. Avoir souffert ne rend pas légitime ou méritant pour autant. Si ce que tu fais, tu ne le ferai pas pour un salaire d'une ou deux fois le smic, alors ça n'est pas ton travail que tu aimes. C'est juste le fric. C'est une triste vie.
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Même remarque que pour l'autre. Si on sort une loi te forçant à sortir les seins à l'air, sous prétexte que ces vêtement ne sont fait que pour cacher ta féminité… tu valides ? Ou tu juge que c'est à toi de décider de ce que tu veux montrer ou non, que tu as le droit à ta pudeur, et pas à une loi de le faire ? En l'occurence, en France, les musulmanes ont précisément le droit de montrer les contours de leur corps. C'est leur choix de ne pas le faire. Ceux qui posent un problème de droit, sont les imbéciles qui veulent les obliger à le faire. Grosse différence. Ils utilisent les mêmes procédés que dans d'autres pays, ceux qui se servent de la loi pour obliger les femmes à porter ces vêtements. Exactement les mêmes comportements, pour exactement les mêmes raisons : imposer aux femmes le rôle qu'on veux leur faire tenir. Sinon, oui, quoi qu'on en dise, ces vêtements sont sexués. Car attribués aux femmes. Ceux qui gomment la sexualité sont ceux qui sont porté indistinctement par les hommes et les femmes. Et de fait, si tu prend une femme coiffé et habillé comme un homme… il te faudra être beaucoup plus attentif pour savoir si c'est un homme ou une femme. ça s'appelle gommer la sexualité. Dans le même ordre d'idée avec des choses qui te sont plus habituelles, une robe (même ample et longue) est beaucoup plus sexuée qu'un pantalon. ça me semble pourtant évident. Avec ce genre de vêtement dans cette culture, tu vois à des km qu'il s'agit d'une femme. Ces vêtements sont donc très fortement sexués. J'espère que tu réalises clairement que ceux qui gomment la sexualité ne sont pas ceux qu'on croit. Ce qui te trompe, c'est que dans les cultures évolués et civilisés, on ne montre pas forcément la sexualité en montrant les seins ou le sexe. Mais en portant les attributs féminin, et les attributs masculin. (les robes par exemple) Notre culture est relativement peu civilisée, très barbare, donc pas facile pour nous de comprendre ce genre de chose. Nous, il faut que les hommes montrent leur queue et les femmes leur seins pour qu'on comprennent la sexualité de la chose. Dans des civilisations plus subtiles, on a des comportements féminins et masculins plus subtils. Notre société est de fait extrêmement castratrice, et tente au contraire infiniment plus d'effacer la sexualité des individus que cette culture. Je penses même que c'est une des choses qui dérange plus ou moins consciemment avec ce vêtement, il est tellement évidement féminin que ça doit déranger les partisans de l'a-sexualisation et la castration des individus. Qui sont la plupart du temps les pseudo-féministes d'ailleurs, comme par hasard… ^^
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Surtout sur les vidéos sur le net… ^^ Les 3 quarts du temps, les bêtes en questions cherchent juste à tirer la charogne dans un coin tranquille pour la bouffer… Ou à se battre, et on fait passer ça pour des câlins où des tentatives de sauvetage. :D Après, je dis pas que les bêtes n'ont pas d'empathie. Mon chat savait très bien quand je me foutais de sa gueule ou quand j'étais fière de lui. Ce qui exige une capacité à percevoir mes émotions. Les chiens sont très capables de savoir quand on a peur, quand on est en colère, ou au contraire joyeux. ( l'empathie, ça n'est pas partager les émotions, c'est être capable de percevoir celles des autres. ) Mais plutôt que l'empathie, Crabe_fantome, ton expérience porte plus sur la notion du sacré lié aux morts… et là, effectivement, je penses que l'être humain est un des seuls à vraiment avoir un sens du sacré autours de ça. C'était un des critères important distinguant les êtres humains des animaux autrefois. Je crois que les animaux sont plus pragmatique avec la mort.
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Pas si libre, et certainement pas aussi varié que ça. Les femmes ont le droit de porter un habit qui représente leur croyances. C'est plus que simplement porter un habit, et c'est très clair que c'est ça qui dérange les imbéciles. Porter un habits qui a un sens pour celui qui le porte. Mais elles ont le droit de le faire. Si elles sont d'obédiance politico-religieuse obscurantiste, c'est leur droit de l'être, et ça n'est pas à des imbéciles comme vous de les forcer à adopter vos positions. Mais ça révèle bien la réalité de la démarche, qui n'a rien à voir avec la liberté. Mais bien plus avec la volonté de conversion des femmes à VOS systèmes religieux et VOS valeurs. Quitte à employer la loi et imposer des accoutrement pour y parvenir. Rien à voir avec un débat politique ou religieux avec elles, qui consisterai à échanger vos points de vus, et tenter de le leur faire changer. Et peut être d'accepter de restez ouvert sur vos ignorances et d'apprendre à éliminer vos propres erreurs de points de vu. En l'occurence, les habits de cette culture ne gomment pas la féminité. Puisqu'ils sont au contraire particulièrement sexués. En toute objectivité, ce sont plutôt nos vêtements occidentaux, mettable aussi bien par des hommes que des femmes, qui gomment la féminité. Et si tu parles de montrer le corps féminin… j'aimerai bien voir ce que tu penserai d'une loi qui oblige toutes les femmes à sortir les seins nues. Parce que cacher ses seins seraient "gommer la féminité". Parce que ta mesure est aussi con et dictatoriale que ça. C'est exactement la même chose. Les individus ont le droit d'être pudique sur ce qu'ils veulent. S'ils jugent que leur cheveux ne doivent pas être montrés en public, c'est leur sensibilité, et leur putain de droit ! On a le droit d'être pudique, et pudique sur ce qu'on veux. Je me fiche des pays musulman. Ce qui m'inquiète ce que la démocratie et la liberté soit bafoué sur notre propre territoire. Et par des imbéciles qui prétendre hypocritiquement luter pour les libertés >_< Foutaises ! Mais personne ne t'empêche de critiquer et de t'opposer à l'islam. En l'occurence, j'ai aussi le droit de critiquer et m'opposer aux comportement fascistes. Et personnellement, je préfère m'opposer à ceux qui veulent imposer leur accoutrement aux femmes, pour leur inculquer à coup de bourrage de crâne et de brimade perpétuelle leur croyances et leur culture. Encore une fois, je pleure plutôt pour les libertés que l'immaturité et la bêtise profonde de vos comportements abat régulièrement en France.
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Oui, parce que tristement les femmes en France ne s'occupent pas de leur libertés. Elles s'occupent de diriger la vie des autres et de prendre du pouvoir pour leur dire ce qu'elles devraient faire et comment s'habiller. >_< Note bien que je suis pour qu'on libère les femmes de toute domination. Mais ce que vous faite n'est pas de la libération, c'est de l'asservissement. Vous ne cherchez pas à ce que les femmes soient libre. Vous cherchez à les enfermer dans un rôle social. Celui de la "femme moderne occidentale". Accepter que votre enfant s'émancipe, c'est accepter qu'il fasse ce qui ne vous plait pas. Assez d'hypocrisie, vous ne cherchez pas l'émancipation de ces femmes. Je suis le seul à toujours penser aux évolutions culturelles de la société. Sur l'ensemble des postes je me heurte sans arrêt à une incompréhension complète, car la majeur partie des gens n'ont aucune conscience de ce que c'est que l'évolution culturelle. Ils n'arrivent souvent même pas à capter ce que c'est que la culture, et son influence sur nos comportement, volonté, décisions, sentiments… J'ai fini par comprendre que cette façon de penser nécessite un entrainement de longue haleine, dont j'ai bénéficié mais qui est difficile d'accès quand on n'y est pas habitué. Un peu comme si je demandais à des quidams de comprendre des lignes de code d'un programme informatique sans qu'ils n'y aient jamais réfléchis. Non, vos réflexions sont beaucoup plus limitées sur le plan culturel, pour la plupart d'entre vous. ( Je ne parle pas que des femmes hein ) Vous "revendiquez" une évolution culturelle que sois-disant vous craindriez. Mais la réalité est très différente. Vous constatez simplement directement des gens "bizarre", qui ont des comportements qui vous dérangent. Qui n'ont pas la même culture que vous et qui vous font peur. Et vous essayez de normaliser leur comportements, pour qu'ils se comportent "bien" selon vos critères vestimentaires et sociaux. ça vous rassure de soumettre les autres (femmes) aux contraintes sociales qui vous enferme vous-même. Parce que vous ne supportez pas la liberté. J'ai toujours considéré les femmes comme des égales (et ne change pas d'avis), c'est pour ça que je me permet de vous rentrez dans le lard sans ménagement. Mais maintenant que j'en fréquente de plus en plus, je constate une chose : C'est fou l'énergie que vous mettez pour prendre le pouvoir sur ceux qui vous entourent. Sur comment ils devraient se comporter, sur comment ils devraient s'habiller, sur ce qu'ils devraient manger… et j'en passe. Et ça n'a rien à voir avec le respect où la volonté de permette aux gens d'être libre. C'est votre façon de prendre le pouvoir et d'assurer un sentiment de domination sur ceux qui vous entourent. C'est un comportement quasi systématique, très fortement encré dans notre culture. (et à mon avis depuis assez longtemps, et dans assez de culture différente pour qu'on se demande si ça ne serait pas même un comportement naturel ) Cette volonté de pouvoir se manifeste différemment de celles des hommes, qui ont tendance à chercher une domination plus abstraite et plus large, moins proche et matérielle. Mais ne vous y trompez pas. Ce que vous cherchez, c'est le pouvoir et la domination. Votre pouvoir et domination personnelle, pas celle des femmes. Et de façon tout aussi malsaine que les manières masculine de procéder. Quitte à asservir les femmes qui vous déplaisent pour y parvenir, et les contraindre à vos "normes" sociales et vestimentaires. C'est ça la réalité. Vous ne cherchez pas l'émancipation, vous cherchez l'asservissement des autres femmes aux mêmes contraintes dont vous n'arrivez pas à vous libérer vous mêmes. C'est d'un égoïsme et d'un égocentrisme à faire peur.
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Putain, mais pourquoi on laisse pas les gens s'habiller comme ils veulent bordel ?! Pourquoi il faut toujours qu'il y ai des imbéciles bien pensant, tellement imbue de leur personnes qu'ils sont persuadé d'être des gens bien, et qui salissent les grands principes des libertés individuelles en voulant imposer leur fascisme. >_< Les pseudo-féministes modernes sont à gerber. >_< Et si vous essayez de libérer vraiment les femmes, pour changer un peu ? Plutôt que de vouloir imposer votre mode vestimentaires occidentale à la con, pour vous donnez bonne conscience en vous fichant totalement de la liberté des femmes ? Vous savez ce que c'est que la liberté ? Vous savez vraiment ce que c'est ? C'est la liberté de cacher ses cheveux si on en a envie. C'est même la liberté d'obéir à un homme, et même de se soumettre si on en a envie. La liberté vous fait chier ? Bah aller vivre ailleurs bordel. Là où on on fait des lois sur comment les gens doivent s'habiller, comment ils doivent se comporter avec leur maris, comment ils doivent penser… bref votre monde idéal ! Celui que vous voulez à tout prix nous imposer ! Et laissez la France tranquille avec vos idées de fasciste de merde ! Le pire, c'est que vous oser vous croire des gens biens ! >_< Désolé pour le coup de gueule, mais j'en ai mare de ces gens qui veulent à tout prix enfermer la femme dans un rôle. Et le même pour toutes ! Les femmes sont libre bordel ! Libre ! Allez vous faire voire. Libre, ça veux dire qu'elles ne sont pas unie, qu'elles sont différentes, qu'elles ont le droit d'avoir des opinions différentes des vôtres, une culture différente de la vôtre, une religion et des croyances différentes des vôtres. ha ça vous fait chiez ? ET bien apprenez que c'est ça la liberté ! Le droit de vous faire chier et de vous demander de fermer vos gueule et de les laisser libre d'agir comme elles veulent ! Il serait peut être temps que vous appreniez ça, bande de pseudo-féministe de pacotilles. ça vous fait quoi d'être passé dans le camps des liberticides sans même vous en rendre compte ?
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Des stages de sensibilisation pour les clients des prostituées
Titsta a répondu à un(e) sujet de DroitDeRéponse dans France
En fait, plus j'y réfléchi, plus je trouve cette mesure bien faite. J'ai toujours considéré qu'une loi bien faite ne fait qu'offrir des "outils" aux flics, qui par la suite jugent de l'utilisation ou non de la loi, en fonction des circonstances ( environnement du délit, comment il se passe réellement ), et qu'ensuite un juge estime le bien fondé, la culpabilité et la hauteur de la peine en fonction du contexte. (les personnes, leur réalité, leur moyens, les rapports de forces réels, leur histoire personnelle… ) Ces trois jugements équilibrés, l'un après l'autre, constituent une bonne démocratie. Et ce d'autant plus que le versant peine légale de cette loi intègre d'autres moyens que les simples amandes. ( Ne pénalisant en aucune manière les riches. ) Et permettant aux client les plus cons d'appréhender certaines réalités. J'ai trop eu l'habitude d'une pseudo-démocratie où la peine devait être systématique, et le flic un simple exécutant mécanique totalement soumis au pouvoir législatif tout-puissant. Mais cette loi ne sera évidement pas systématique. Après réflexion, j'imagine la police des mœurs bien plus apte à juger de l'utilisation de ces lois que les quidams plus ou moins coincés des rues, ou même que les intervenants du forum. Bien plus au fait des réalités, des besoins de protection des prostituées, de la réalité de la différence entre une réelle exploitée et une "occasionnelle" qui arrondit ses fin de mois en s'éclatant avec des amants choisis. Et je penses qu'elle reste un des domaines où elle pratique sur le terrain une démocratie réelle. D'autant qu'étant moins reluisante que les autres polices, elle doit certainement être moins hypocrite. Dans ce contexte, si je n'idéalise pas trop la police des mœurs, je pense que cette loi est vraiment une avancée démocratique réelle. Du moins un bon compromis devant une légalisation qui aurait plus mes faveurs, mais trop utopiste et difficilement réalisable aujourd'hui, compte tenus des résistances politiques actuelles. Il semble qu'ils ont été consciencieux en réalisant cette loi. ça change finalement des lois "bidons" débiles et attrape-électeur-couillons. -
Oui ! ça a été enrichissant ! Le fait est constitué si on parle du correspondant. ( je trouve ça con d'ailleurs, de diffamer notre propre correspondant… :D :D Mais pour l'insulte, c'est déjà plus instructif. ) Le certainement et probablement portait sur dureté de la peine et la "branche légale" concernée. Qui ne sont pas précisé dans ton article. Détrompe toi, ce que pensent les gens m'intéresse autant que la vérité. La réalité est composé de la vérité historique des faits, mais aussi de nos représentations de la réalité. Ces dernières influant de façon importante le déroulement du monde matériel (parfois même plus que la vérité Historique). Or tout ce qui influence le monde matériel fait partit de la réalité. ( Oui, même le père noël donc :D ) Merci ! Et excuse moi pour le ton un peu agressif !
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Des stages de sensibilisation pour les clients des prostituées
Titsta a répondu à un(e) sujet de DroitDeRéponse dans France
Je suis mitigé sur cette mesure. C'est une excellente chose de dé-"culpabiliser" les prostitués. Et tout ce qui aide à lutter contre les traffic d'être humain est une bonne chose. Notamment permettre aux prostituées d'accéder à la défense légale ! ( enfin ! ) Mais toutes les prostituées ne sont pas forcément des exploitées. On reste sur la criminalisation de la prostitution. Alors qu'on ne devrait criminaliser que l'exploitation. Après j'imagine que c'est le pouvoir exécutif (les flics) qui ferons la différence. Et n'attaquerons que les clients des filles exploités, et laisserons tranquilles ceux qui pratiquent ça de façon respectueuse, et réciproquement consenties. Je n'aime pas trop imbéciles qui ne font pas la différence. Et qui jugent qu'à partir du moment où il y a de l'argent, c'est forcément de l'exploitation. Et bien sûr qu'aucune femme ne pourrait jamais trouver que finalement, c'est moins déplaisant que beaucoup d'autres boulot, et que ça rapporte beaucoup plus et beaucoup plus facilement. >_< -
Sauf que c'est pas en France qu'il n'a pas été déclaré coupable… C'est peut être aussi parce qu'en France, on n'arrête pas les procès, on les mène à terme. De surcroit, tu te trompes. Un non-lieu, ou un vice de forme, n'est pas la même chose qu'être déclaré innocent. ça signifie qu'on échappe à la peine, pas que la personne est innocente. Même si, en pratique, ça ne change pas grand chose, il y a différent mot, alors arrête d'essayer de débiliter ton assistance en tentant de réduire son vocabulaire et sa perception de la réalité. Oui… Et tu sais quoi ? j'ai même le droit de porter plainte contre toi parce que j'aime pas ta gueule ! Si si ! on a le droit de porter plainte pour ce qu'on veux. ça ne veux pas dire qu'on va gagner le procès. On peut même le perdre, et même se voir attaqué en retour. En l'occurence, il peut toujours tenter de porter plainte. Il perdra son procès parce que le droit n'est pas pour lui. Limpide. De surcroit, la diffamation ou l'injure non publique ne sont certainement pas aussi punie, et ne font probablement même pas partit du droit pénal. Mais surtout, encore faut il que ce soit une diffamation. Donc un exposé de fait (et non d'opinion ou de jugement) dont on SAIT qu'ils sont faux. Pour ton information, exposer des faits qu'on croit vrai n'est donc en rien de la diffamation, et ce même si tu le publie. Juger que quelqu'un est coupable (un jugement, et non un fait) n'est pas de la diffamation. ( Et de surcroit, ça exprime une opinion. ) J'ai le droit de juger qui je veux, comme je veux. Dire "DSK est coupable", ça n'est pas dire : "les tribunaux l'ont jugé coupable." La deuxième pourrait être de la diffamation, mais certainement pas la première. Les tribunaux jugent s'ils le veulent à leur manière, mais moi aussi. Les conséquences ne sont pas les mêmes, mais le fait que les tribunaux aient le droit de juger ne m'enlève en rien le droit de le faire aussi. Je peux donc allègrement dire que DSK est coupable, et même le publier. Il ne pourra absolument rien contre moi. J'ai même le droit de dire qu'il a violé cette femme. Parce que c'est ce que je pense vrai, et je n'ai jamais croisé la moindre information me montrant qu'il ne l'a pas fait, alors que j'ai croisé beaucoup d'informations, et même de preuves juridiques, l'accablant. Donc va te coucher ( Je dis ça, parce que si la discussion sur la diffamation ne t'intéresse pas… ne ramène pas ta fraise sur des dizaines de postes là dessus )
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Pas de diffamation, il a bien versé les 6 millions pour éviter un procès public. Après, ça n'est pas à la justice de décider de la réalité. Une cours peut déclarer que quelqu'un est innocent, ça ne veux pas dire qu'il l'est. Et il y a une différence entre être déclaré innocent et ne pas être déclaré coupable. Notamment si la justice s'est arrêté avant le procès. De surcroit, on a tous le droit de penser ET DE DIRE qu'on considère qu'il est coupable. ça s'appelle avoir une opinion, et la liberté d'opinion c'est un truc un peu plus important que la diffamation. Et pour info, la diffamation est une limitation des libertés de la presse… Elle ne saurait s'appliquer aux particuliers, ou aux discussions de boulevard… ( même sur un lieu public ) Le mot "publique" est très loin d'être négligeable dans "diffamation publique", il doit s'agir d'une publication, qu'on se le dise.
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ça n'est pas un jeu à somme nulle. Un cheval de course rapporte plus qu'il ne perd au bout du compte. Puis on ne te demande pas de rembourser ton salaire (ou pire, ta retraite) si ce que tu as fait s'est révélé inutile ou inefficace. C'est le rôle de l'employeur d'assumer les risques, pas de celui qui bosse. Je penses que faire cotiser les animaux qui travaillent pour leur retraite n'est pas une si mauvaise idée que ça. Mmmm que ça ne soit pas la même que la nôtre… certes :D Mais même entre sociétés humaines, on peut avoir des surprises de ce genre. Je ne vois pas pourquoi le décalage culturelle avec les animaux serait moins important qu'avec les humains entre eux… De surcroit, tu parles de pulsions, et d'animaux enfermés, pas de morale. Si la seule femme que tu voyais de toute ta vie était ta mère, j'imagine que tu aurai une conception de l'inceste très différente. Je penses aussi que les animaux sont moins "chrétiens-frustrés" vis à vis de la sexualité que les êtres humains. Cependant, j'ai observé que mon chat avait un comportement extrêmement respectueux des autres, comportement clairement inné, que je ne lui ai jamais appris. ( J'aurai même plutôt eu tendance à lui apprendre le contraire… :p Mais il m'a clairement donné des leçons de respect… ) Ce chat a peut être "deviné" ce qui était bien ou mal… mais ça n'est pas moi qui le lui ai apprit. Je penses donc qu'une forme de connaissance innée du bien ou du mal n'est pas nécessairement à exclure. Après, ça peut tenir à la personnalité des individus. Mais il me semble difficile de faire une distinction entre une "morale" qui serait externe à l'individu et une morale "interne", lié à notre personnalité. Ce que nous aimons et n'aimons pas faire ne constituerai t'il pas une forme de morale individuelle ? Ou même, est-ce que la morale n'est pas un grand mot pour, finalement, ne parler que de ça ? Remarque, les humains non plus ne sont pas tendre entre eux. Là aussi, il y a une différence dans la forme des agressions et souffrances que nous nous infligeons. Mais à la réflexion, je suis loin d'être sûr que nous fassions partit des espèces les plus emphatiques ou bienveillantes. Je pense même que nous avons sélectionné comme animaux de compagnie des espèces bien plus emphatiques et bienveillantes que nous, précisément pour compenser les lacunes de nos semblables en la matière.
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S'acquitter de nous même d'une fonction, si. Encore une fois, c'est une chose que d'avoir le sens du devoir, c'en est une autre que d'être capable de philosopher sur ce qu'est le devoir, et d'avoir conscience qu'on agit par devoir. Je ne pense pas les animaux capable de philosopher sur le sens du devoir… et en toute objectivité scientifique, tu n'en sais strictement rien non plus. Mais une chose est certaines, les animaux sont capable de s'acquitter par eux même d'un certain nombre de tâche, qu'ils savent devoir faire. Ils ont donc le sens du devoir. Idem pour les interdictions. Ils savent ce qui est permis et ce qui n'est pas permis. Peut importe la méthode pédagogique en réalité, ce qui importe c'est qu'au bout, ils le savent. CQFD. Selon toi, ils ont donc même le sens du bien et du mal… Je n'allais pas jusque là. Posséder le sens du devoir et de l'interdit me semble déjà largement suffisant pour parler de droit. Je n'allais pas jusqu'à parler de morale. Et je ne suis pas sûr qu'il soit si facile que ça d'établir qu'ils ont réellement le sens du bien et du mal. Je le penses, pour les espèces les plus évoluées. (chien, chat… ) Mais l'établir objectivement est plus difficile. Le problème de tes raisonnements, c'est que tu ne parle que d'observation sur les animaux… sans te rendre compte que tout ce que tu dis pourrait aussi s'appliquer en remplaçant l'animal par un être humain. À partir du moment où tout ce que tu dis est applicable aussi à un être humain… tout ce que tu raconte ne permet pas de différentier l'humain de l'animal. Pourquoi sait-tu que tuer ou faire souffrir c'est mal ? Parce qu'on t'as conditionné à le penser, et c'est tout. Tu aurais été éduqué dans une culture guerrière ou tuer c'est une excellente chose, tu ne penserai pas que tuer c'est mal. Tu as beau être humain, tu fonctionnes exactement pareil. Par conditionnement social. nos capacités de projections sur les "récompenses" et "souffrance" que nous amènerons nos actes sont supérieure, donc ça change les méthodes pédagogiques applicables. Mais tout se ramène en fin de compte dans tous les cas et de toute manière à un pur conditionnement. Après, tu pourra me sortir des croyances religieuses, dans l'idée que le "bien" serait senti par les être humains au delà de tout conditionnement… Peut être. Mais ça n'a pas été plus démontré pour les humains que pour les animaux… Et personnellement, je ne le crois pas pour les humains. Je penses que la pensée humaine en matière de droit & devoir, et même en matière de morale, est seulement issues de conditionnements physique. Si tu étais rigoureux, tu verrai bien que tu ne peux pas plus la montrer pour les humains que pour les animaux, et que ta différentiation ne porte que sur des croyances, pas sur des raisonnements. Oui, les méthodes pédagogiques sont différentes… Et tu juge que celle par conditionnement physique directe est moins "noble" que celle par conditionnement physique "imaginé" (projection) Mais la méthode n'importe pas, c'est le résultat qui compte. Et je ne pense clairement pas que le résultat soit différent. En toute objectivité, j'observerai même plutôt que les humains ont même tendance à montrer un sens du devoir bien moins développé que nombres d'animaux. ça ne m'étonnerai pas que ce soit une sorte de déficience intellectuelle spécifique à notre espèce. Penser que les animaux nous seraient toujours inférieur en tout psychologiquement parlant est surtout très infantile.