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Titsta

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Tout ce qui a été posté par Titsta

  1. J'ai assisté à tous les débats retransmis des deux trois dernier jours. (j'essaye de voir comment ça se passe avec cette assemblée remplie d'amateur ^^ … et ça se passe pas si mal ! Même s'il y a quelques moments cocasses sur le plan organisation… ) D'une part, cette "catégorie" est pour la suppression de la réserve parlementaire. C'est même dans leur chartes. Par contre, le projet de loi du gouvernement a honteusement évoluée pour ne plus s'occuper que de limiter le pouvoir des députés, et pas celui du gouvernement. Derrière cette "moralisation" de la vie publiques, qui s'est réduite comme peau de chagrin à la moralisation des parlementaires (exit les haut fonctionnaires… exit le gouvernement… exit le président… exit la corruption… ) On peut être pour quelque chose, et contre la manœuvre outrageuse du gouvernement, de prendre le pouvoir en réduisant délibérément exclusivement les pouvoirs du parlement (déjà minime en France) et se laissant les passes droits qu'elle leur refuse. Pas besoin d'être de gauche pour le comprendre… d'ailleurs ceux de droites aussi le comprennent et soutiennent ces objections. Si l'argent manque, on peut le trouver ailleurs que dans la poche de ceux pour qui 5€ comptent. Simple question de bon sens quand tu as des tranches de la populations qui s'enrichissent… et qui résoudrait tous les problèmes financier de la France s'ils "conservait simplement le même niveau de richesse". Je sais que ça peut paraître dérisoire pour certains ici. Moi, je me suis déjà personnellement retrouvé dans une situation où 5€ comptais énormément. Quand tu es à 400€ par mois pour nourrir deux personnes, je t'assure que 5€ ça ne te fais pas un repas, mais les deux repas de la journée ( pour 2 ). J'ai vécu dans ces situations pendant plusieurs mois, donc je vous garantie que c'est vrai. Et dans ces conditions, 5€ de moins dans ton budget, c'est un jour de plus ou tu ne manges pas. Parce qu'il y a un moment où les "petites économies", tu ne peux plus les faire. Bien sûr, ça passe pour totalement incompréhensible aux yeux de ceux qui peuvent claquer 50 ou 70€ pour se payer un petit voyage en train pour des vacances ou un week-end invité chez des amis. Sans trop y réfléchir. C'est tout le problème de la politique en France… on peut exploiter totalement une partie de la population, et le reste dans leur petit confort ignorent totalement la situation désastreuses que peuvent subir certains. Je me suis tué à vous le répéter pendant les présidentielles, la situations EST tendue… et il serait temps que les VSP+ et autres favorisés qui peuvent claquer 50€ sans trop y regarder ouvrent les yeux sur les problèmes réels et profond en France. Que la France face des économies… soit. C'est complètement con, voir suicidaire économiquement en ce moment, tous les économistes s'évertuent à le crier sur tous les toits, mais la démocratie à le droit d'être con… Donc soit, faisons des économies. Mais ça serait peut être le moment d'enlever des "paquets de clopes" à ceux qui peuvent se les payer. Plutôt que d'essayer de prendre les derniers sous de personnes qui sont déjà obligé de jeuner pour clôturer les fins de mois. À un moment il va falloir faire comprendre à tout ces imbéciles au gouvernement et derrière leur petite urne que leur économies suicidaire sur le plan économique qu'ils "s'offrent" par pur plaisir intellectuel, c'est en vie humaine qu'elles se payent aujourd'hui, et qu'ils ont du sang sur les mains derrière leurs petits choix "propret".
  2. Si tu me lis tu notera que je n'ai jamais dis que le taux de CO2 pouvais avoir une influence. Son intervention sur le CO2 m'a fait penser à l'oxygénation du cerveau, par la respiration. Et j'ai répondu que la qualité de la respiration, notamment perturbée par la pollution, pouvait certainement avoir un impact. Pour ce qui est de marcher, ou de faire un effort, si tu fais un peu de jogging avant de faire une activité intellectuelle, tu verra précisément que ton cerveau est beaucoup plus efficace… en rapport à l'oxygénation qu'il a reçu justement. (si tu ne fais pas trop de sport… après, le manque d'énergie aura un impact négatif ) L'immense majorité des gens respirent très mal. Et ça joue beaucoup sur la capacité du cerveau. Oui, parce que respirer s'apprend, et se pratique pour tenter de changer nos habitudes respiratoires. Donc je persiste. Je pense qu'il est possible que la qualité de l'air, et donc de notre respiration, ai un impact sur le QI. ça me semble une hypothèse assez raisonnable pour être testée scientifiquement, et pas rejeté immédiatement sur la base d'un "n'importe nawak" irréfléchi. Il me semble que la consommation du cerveau est constante. (du moins en veille) Réfléchir intensément ne fait qu'utiliser certaines parties, alors que d'autres seront actives si on regarde la télé… De plus, les neurone utilisent leur réserve lorsqu'ils sont sollicitées, réserves qui sont reconstituée plus tard. Ils ne "consomment" pas directement le glucose du sang, donc la variation, si elle existe, ne serait pas au moment de la réflexion, mais au moment de la reconstitution des réserves.
  3. Je ne vois pas le rapport. Je parlais de l'impact de la respiration sur l'oxygénation du cerveau, et sur l'intelligence. PS : y a un morceau dans ta citation de moi que je n'ai jamais écrit ^^
  4. Pas bête l'idée du CO2. Il est possible, avec toute notre pollution dans l'air, que la réduction de l'oxygène disponible par une moins bonne respiration joue, sur les grands nombres.
  5. Attention, je ne parle pas de la portée pédagogique du procédé, mais du blocage du développement cérébral. Tu peux apprendre des trucs en empêchant ton cerveau de se développer, et inversement. Je parle aussi du développement cérébral des jeunes enfants. Les changements de plan à la télé sont très rapides, et n'ont cessé d'accélérer au fil des décénies. ça joue sur un acte réflexe : l'œil est attiré sur un point, l'oreille entend un changement brusque, et le cerveau focalise son attention sur tout ce qui pourrait survenir. 2 secondes après, c'est sur un autre point, un autre son… et ça toutes les 2 secondes environs. (durée d'un plan, faite le compte la prochaine fois que vous regardez la télé, c'est effrayant. ) L'impact est encore plus fort si la "vague émotionnelle" qui nous submerge par la mise en situation est importante… ( note qu'elle influe aussi sur les enfants proches qui ne regardent pas la télé, mais qui restent très sensible à nos émotions. ) ça renforce la capacité de perception d'urgence du cerveau. Mais c'est un mécanisme d'urgence, ça bloque toutes les autres fonctions de réflexion ou d'analyse, qui sont reportée à plus tard… (parce que le cerveau est mono-tâche) Même la perception du temps disparait, c'est vous dire le nombre de fonction désactivées, et plus tard… c'est des heures pour la télé. (qui n'a jamais demandé un truc à quelqu'un entrain de regarder la télé… vous voyez bien que les capacités d'attention ou de réflexion sont coupée, l'effet est manifeste… ) Dans la nature, ce genre de mécanisme n'est activé normalement qu'en de très rares occasions de danger, et ne dure jamais plus de quelques dizaines de minutes maximum. Les jeux vidéos basées sur la rapidité et les réflexes, sont encore plus bourrées de ce genre de mécanisme. Or c'est plutôt la mode depuis ces dernières décennies. ça n'est pas "le jeux vidéo" ou "l'écran" le problème en soit, mais plus l'excitation continue perpétuelle des arcs réflexes, qui sont en cause. Des jeux de type réflexion ou stratégies auraient beaucoup moins d'impact. Le blocage dont je parle porte sur l'action réflexe de l'attention. Et son effet se fait sentir pas seulement sur ceux qui regardent la télévision, mais sur l'ensemble des gens, nourrissons compris, qui sont confronté à ces perturbations… même s'ils jouent dans leur coins pas loin de la télé. ça joue sur le développement du langage, sur les moins de 4-5 ans. Et apparement, c'est un développement capital qui ne se rattrape jamais vraiment par la suite. (le vocabulaire se développe, mais un retard dans l'acquisition du langage va être très difficile à rattraper, et aura des conséquences sur la taille du vocabulaire final, adulte. ) ça impact d'autres choses aussi. Si l'enfant ne peut pas se perdre dans ses pensées en regardant son jouet, parce que l'ambiance sonore change toutes les 2 ou 3 secondes, le développement de sa capacité de concentration sera perturbée. Concentration et donc imagination. L'image présentant les impacts du blocage cérébral sur les petits enfants est connue maintenant… ( je rappel que l'étude qui a fourni ce dessin est sérieuse, et a effacé toutes les différences économique ou de milieux sociologiques entre les différents enfants de l'étude. Seule la durée d'exposition à la télévision joue )
  6. C'est une très bonne critique. Mais je ne pense pas qu'on se fasse berner. J'ai vu de nombreuses études qui montre l'effet désastreux de la télévision sur le développement cérébral. Pas liée à la télé en elle-même mais à la sur-exploitation des réflexes d'attentions mobilisé par la publicité ou les films pour maintenir le cerveau attentif. Les jeux vidéos, même si on est plus interactifs qu'à la télévision, provoqueront nécessairement les mêmes blocages neurologiques. La publicité d'une façon générale, et la solicitation inconsciente, basée sur ces mêmes principes de réflexes visuels intempestif. On apprend à ne plus en tenir compte, donc on ne les remarque même plus… mais ils continuent d'être perçu, et continuent de jouer les mêmes effets. On parle là non de test de QI, mais bel et bien de développement neurologique pendant l'enfance. Au delà de ce phénomène propre à la publicité. Et propre au développement cérébral de l'enfance (ça n'influe pas, passé un certain âge) Les appareils et notamment les téléphones portables empêchent la concentration de long terme. DONC l'assimilation des expériences, et la fondation des structures de réflexion, vitale à l'adolescence. ( Je rappel que le cerveau est en développement jusqu'à l'âge d'une vingtaine d'année. ) Les neurologues ont depuis longtemps tordue le coup à l'idée "que les jeunes étaient multitâche" alors que nous étions "monotâche". Non, le cerveau est mono-tâche, point barre. (Homme comme femme d'ailleurs) Les jeunes sont juste moins capables de rester concentrée sur une même tâche, parce que dans un environnement où il ne peuvent plus apprendre à l'être, c'est tout. On vit dans un monde où on demande d'être réactif à chaque instant, plus que capable de réflexion. Je gage qu'ils doivent avoir des réflexes et une attention considérablement plus développées, en contrepartie des capacités de réflexion perdue.
  7. Oui, je suis un mâle de 36 ans très caillouteux. ^^ D'aucun, même parmi ceux qui m'ont validé ici, confirmerai que l'envie de me travailler au burin peut surgir assez facilement chez mes interlocuteurs-trices. Et j'ai souvent le tact d'un pavé de granit. PS : Je n'ai pas traité les femmes d'huitre, je parlais de sa cible électorale. Je ne visais personne ici.
  8. Cette femme n'a pas allaitée discrètement dans son coin pendant l'assemblée, ça ne m'aurai pas choqué. (je pensais d'ailleurs que c'était ça le sujet avant de venir, et je trouvais ça marrant). Elle a allaité pendant son temps de parole, qui est extrêmement limité… Elle n'a pas demandé à reporter son temps de parole à un autre moment pour "urgence bébé"… Ce qui aurait très certainement été accepté par le président de séance… (ça me semble assez rare pour qu'ils passe le truc…) Donc arrête de faire semblant de ne pas voir que tout ça n'est que de la manipulation d'opinion. Si les autres sénateurs ne sont pas choqué, c'est d'une parce que les sénateurs sont bien souvent glauques en matière de manipulation des uns et des autres, et sont très certainement habitué à bien pire… Et de deux parce que ramener sa fraise à ce moment là leur aurai coûté beaucoup d'électeurs. (en plus d'être interdit par principe… car un temps de parole est "sacré") C'est aussi ce que je critique comme opération. Une sorte de prise d'otage médiatique, empêchant précisément un débat démocratique sur les concepts profonds, et les idées réelles qu'il faudrait adopter. Nourrir son enfant au travail pour une employée de base, c'est une chose. Parce qu'elle ne peux pas faire autrement. Comme je l'ai dis, c'est excusable. Et devrait être excusé tant qu'on n'a pas de meilleure solution sociale. En faire un acte militant, pour une militante de base qui n'y serait pas contrainte, c'est déjà beaucoup plus criticable, car il y a instrumentalisation d'un enfant qui mérite qu'on s'occupe mieux de lui que ça. Mais admettons qu'elles n'ai pas de meilleure solution, et n'ai pas forcément beaucoup plus de temps de réfléchir… On n'est pas forcément en droit d'attendre d'une militante qu'elle soit intelligente et compétente. Pour une élue par contre, qui a un pouvoir plus étendue pour porter le débat réel, c'est son métier de réfléchir aux solutions et de les proposer. Pas de monopoliser le temps de paroles d'autres élues qui auraient bien mieux porté le sujet qu'elle, pour faire de l'auto-promotion en se comportant comme une "militante de base" pour faire croire à ses électeurs qu'elle est "proche d'eux", qu'elle leur ressemble, qu'elle aurait (bien voyons) les mêmes problèmes que l'employée de base dont je parlais plus haut… et engranger les voies. tout ça au dépend de l'enfant, et de la cause qui se voit privé d'un débat sur des solutions sérieuse et réellement réfléchies.
  9. Je suis aussi entrain de penser quasi-modo qu'en matière de religion, on est souvent confronté à l'idée dangereuse qu'une religion serait la propriété de ses adeptes. Que seuls eux seraient habilité à en déduire les enseignements ou le sens. C'est absurde comme si la démocratie ne pouvait être critiqué que par les démocrates, les dictatures que par les dictateurs ou les soumis, la droite que par les gens de droite et la gauche que par les gens de gauche. (ou la peinture que par les peintres… ou les ufologues que par les ufologues… c'est pas qu'une question "politique", mais générale de la capacité de critique. ) ça nous semblerai absurde partout… sauf en matière de religion, étrangement. On a pris l'habitude de considérer que seuls les musulmans auraient le droit de considérer quelle serait la "bonne" interprétation de leur textes ou de leur religion. Sans se rendre compte que c'est une quasi-totologie qui ne permet pas la critique et l'évolution. Les religions sont plus vastes que leur seuls membres. En particulier les religions transcendantes comme le christianisme et l'Islam. N'étant pas catholique, je suis malgré tout capable d'interpréter les textes bibliques, et d'émettre des critiques sur l'interprétation que pourrait en faire certains prêtres catholiques. Au delà de la critique de la religion, je pense que l'évolution culturelle sensible précise que nous vivons, c'est la dissolution de la prérogative des prêtres (catholique ou de n'importe quelle autre religion) à seul être capable d'interpréter correctement une religion. C'est ne plus reconnaître que les prêtres occupent, par nature, une position intermédiaire entre Dieu et les êtres humains. C'est de considérer que la prêtrise est une compétences, mise au service des autres, mais dont le résultat est critiquable. Et non une prérogative ou un "don" intrinsèque à la fonction. Il me semble que l'Islam est plus apte que ne l'était le catholicisme à accepter l'idée que leur prêtres ne sont pas des "être supérieurs" mais des humains qui ne tirent leur savoir que de l'étude. Mais je pense que notre appréhension de l'Islam, en tant que "culturellement catholiquement influencé", a généré une "auto-limitation" de notre légitimité à participer à l'évolution de ses concepts et de ses interprétations. Donc à en générer une critique conjointe avec les musulmans. C'est une remarque que je me fais souvent quand je vois à quel point tant de gens abdiquent leur responsabilités en matière de pédagogie et de prévention face au terrorisme ou aux extrémisme, en demandant aux "musulmans" de se gérer entre eux… Ce qui a tendance à énerver les musulmans d'ailleurs… qui ne fréquentent en réalité pas plus de terroristes ou d'extrémistes que les autres… voir moins souvent. Car les terroristes sont recrutés parmi les non-instruits, non pratiquant, voir non musulmans… plus facile à pervertir que des gens instruit dans l'humilité et la paix.
  10. Note que c'est la position que prenait aussi les esclaves noirs américains lorsqu'ils avaient de bons maîtres. Le plus affreux n'est pas que ça soit techniquement possible. Ni même économiquement possible. Ni même économiquement facile à faire… On est au delà de tout ça. Le problème, c'est que ça nous coûte énormément d'argent d'entretenir les famines artificielles dans le monde. Il faut arrêter de croire que notre système économique est bâtis dans l'intérêt économique. Il est bâtis dans l'intérêt de quelques uns, même s'il faut pour cela adopter des comportements économiques totalement contre-productifs. ( comme balancer sur des pays des centaines de bombes qui coûtent chacune un an d'éducation du pays dans son ensemble. Ou moins lointains l'obsolescence programmée. ) Faire croire que nos "solutions" choisies sont les solutions "économiquement viables", et qu'elles sont dure mais prise objectivement pour le mieux global fait partit de la démago. Au final, on creuse des trous qui seront rebouché par d'autres, tenu par des délais extrême, générant beaucoup de stress et de précipitation pour le faire le plus vite possible… parce que l'idée, c'est surtout de ne pas nous laisser le temps de penser à comment renverser celui qui commande celui qui tiens le fusils. Le "mieux global" n'est jamais même l'ombre d'un début de prémices d'intention dans la tête de ceux qui ont le pouvoir capitaliste et qui organisent tout ce baltringue. Notre système économique à l'intelligence et l'efficacité économique d'une moule. Et encore, peut être insulterai-je les moules. Nos organisations économique, bancaire, ou notre comportement politique au niveau des nations tiens plus du comportement du primate avec son gros os qui tape toutes les têtes qui l'entourent en montrant les dents, que de la manifestation d'une quelconque trace d'intelligence humaine. Pas besoin de grosses analyse économiques avec de grandes statistiques, ou de grande propagande idéologique vantant les mérite de l'entrepreneur et de sa start-up comme d'antan celle du paysan soviet et de sa coopérative, pour essayer de faire croire qu'il en est autrement. Ou plutôt si… c'est leur seule fonction : endoctriner les imbéciles. Nos organisations sont bâties pour réduire l'intelligence globale. De façon à ce que le gros con avec le gros os qui tiens les commande puisse rester à sa place. C'est visible partout, cet effet cumulé sur toute notre nation, et sur toute la planète en démultiplie les effets. L'intelligence, elle reste en bas. C'est le principe même de notre système. La critique du capitalisme moderne n'est que la critique de ce genre d'organisation primatogène.
  11. J'ai dis : se servir de son enfant pour faire sa pub est glauque. Je ne sais pas où tu as vu que j'aurais dis qu'allaiter est glauque. Je n'ai aucun problème avec le fait que les femmes allaitent, et je trouve même ça charmant. Cette femme n'a rien de charmant, elle manipule l'opinion, fait de la démago, et surtout maltraite son enfant pour servir ses intérêts politiques. Non, je ne vois rien de respectable. Ni sur le plan de l'honnêteté intellectuelle, ni sur le plan de l'éthique politique, ni sur le plan des devoirs de la maternités vis à vis des enfants à protéger. Vois tu la différence entre allaiter, et faire sa pub ? Il y en a une qui concerne l'attention qu'on a pour son enfant dans l'intérêt de l'enfant, où on arrête ce qu'on est entrain de faire pour la priorité de nourrir le petit. L'autre qui concerne l'attention pour les caméras qui sont braqués sur la mère, dans le gros intérêt de la mère. Où on affame le petit pour la priorité des caméras. C'est pas vraiment la même chose. Si tu ne vois pas ce que ça a de glauque d'affamer son enfant pour servir sa carrière politique, je ne peux rien pour toi. D'une façon générale, emmener son enfant au travail n'est pas une bonne chose pour l'enfant. C'est lié au fait que notre société ultra-professionnalisée ne permette pas aux mère de rester à la maison avec leur enfant en continuant de toucher leur salaire. Le faire est excusable dans les cas de nécessité, et dans l'intérêt de l'enfant. Mais ça n'est certainement pas une situation à revendiquer. Politiquement, ça serait une régression. Elle ferait mieux de revendiquer le droit des femmes à obtenir des congés maternité suffisant ! Ou au minimum des indemnités suffisante pour se payer quelqu'un à domicile pour s'occuper de l'enfant. Ou mieux, comme les pays scandinave : représenter l'intérêt pour la nation que les femmes aient des enfants et les élèvent correctement et avec affection pour ne pas faire des adultes détraqués en offrant une prime aux entreprises quand leur employé(e)s ont un enfant (en plus de congé de maternité-paternité important). De façon à ce que la maternité soit une chose positive pour les entreprises, et pas perçu uniquement comme une perte financière objective. ça c'est d'un autre level, point de vu militantisme, que la démago de bas-étage de cette pseudo-militante arriviste. Là, elle milite pour le droit d'exploiter les mères au travail, et de régler le problème en faisant supporter des environnements stressant, bruyant, dangereux, pollué, aux enfants. Parce qu'elle est trop concentré sur sa carrière politique démago pour réfléchir aux vraies solutions qu'il faudrait porter à la société pour règle réellement le problème des mères-employée… Ce qui est simplement faire son métier dans son cas. Non. Aucune féministe ne devrait soutenir ce genre d'initiative. Mais c'est de la démago destiné aux pseudo-féministe, sans aucune conscience politique et avec le cerveau d'une huitre. PS : Et si nourrir son enfant au sein était si naturel que ça pour toi, tu aurais remarqué que je disais "se servir de son enfant pour faire sa pub, c'est glauque". Et pas "allaiter c'est glauque".
  12. Peut ont critiquer l'islam ? Difficile effectivement, mais plutôt que d'accuser les "anti-nazi". ça tiens peut être au fait qu'il est difficile de critiquer quoi que ce soit dans un contexte de crétinisation générale. ^^ Un peu pour les mêmes raison qu'il était devenu difficile de critiquer la théorie de l'évolution de Darwin il y a quelques années. Ou les théories de Freud sur les pulsions sexuelle aujourd'hui. ( qui subissent à peu près le même genre d'attaque, je ne sais pas si vous avez remarqué ) Elles sont attaquée par tellement de crétinisme qu'il est normal de préjuger qu'un attaquant est un crétin de base. Le préjugé est un mécanisme vital et intelligent pour appréhender l'inconnu. Quand on ne connait pas quelqu'un (ou quelque chose) on le préjuge. On agit comme si la situation était semblable à la majorité des cas que notre expérience limité connait. C'est une façon intelligente d'agir. Le problème n'est pas le préjugé, c'est de ne pas le remettre en cause si la situation ne le confirme pas. C'est donc normal d'être appréhender comme un crétin de base quand la mode est à ça. C'est à ça que sert l'échange et a discussion. À la décharge des méfiants qui prennent un peu de temps avant de lâcher les armes, il faut aussi avouer que parmi les crétins sur des sujets politiques, il y a aussi souvent quelques intelligents dangereux qui manipulent leur monde. C'est aussi un préjugé qu'il faut arriver à dépasser. Mais il faut se rassurer, ceux qui sont compris du premier coup, c'est les crétins qui arrivent avec les idées préconçues. ^^
  13. Mmm peut-être. On ne connait jamais quelqu'un vraiment. Mais je dirais qu'il y a une intimité lié au vécu. Qu'on peut ressentir seul si l'autre ne s'en rend pas compte, ou partager si la relation est réciproque. Donc peut être pas le connaitre, mais en tout cas avoir un passé commun qui a tissé une intimité inaltérable. ( même si parfois, on peut presque s'entretuer… s'entretuer, c'est aussi quelque chose d'intime. ) Un peu sacrificiel comme approche. Je ne suis pas d'accord ^^ Parfois, tout faire pour rendre l'autre heureux, c'est surtout vouloir "paraître bien" à nos propres yeux. Je suis beaucoup passé par là. Le sacrifice, c'est pas de l'amour. C'est une distance qu'on place entre l'autre et sois. Très lié à la volonté d'être "parfait". Au passage, je pense que ça n'aide pas l'autre à nous aider, et à construire une intimité. Certes. On peut l'aimer avant. Mais je pense qu'être amoureux nous cache souvent le sentiment d'amour. Qui est toujours beaucoup plus fin et subtil que les ravages passionnel. plus intime. Je pense qu'aimer se manifeste plus par l'intimité que par nos comportements. Et il y a tellement de façon d'être intime.
  14. Aimer quelqu'un, c'est le connaître. Être amoureux, c'est purement égocentrique. C'est un état émotionnel qui tiens infiniment plus de nos manques, et de l'illusions qu'on se fait que l'autre pourrait les combler. ça ne dépend que notre état "hormonal" et des états affectifs causé par ce qui précède la relation. Et n'ont absoluement rien à voir avec l'autre. (qu'on ne connait pas encore) Résultat : quand nos manques sont effectivement comblé, ça tombe. Et on commence seulement à ce moment là, à avoir une chance de pouvoir l'aimer… Si on sait ce que c'est, pas si on pense que seul notre petit état émotionnel égocentrique passionnel a de l'importance. ^^ Aimer quelqu'un, c'est quand nos sentiments ne dépendent pas de notre relation. Quelqu'un qu'on aime, on l'aime qu'on soit en couple ou non. Qu'on cherche à construire quelque chose ensemble ou non. Sinon, c'est la relation qu'on aime, pas la personne. et ça aussi c'est de l'égocentrisme.
  15. Chacun croit ce qu'il veux. C'est des points de vu qui se défendent ^^ Moi je pense justement qu'on ne bouge pas vite sous la tempête. Et même que, parfois, braquer les gens les uns contre les autres trop fort peut créer la clefs de voute d'un immobilisme séculaire.
  16. Je préfère que le monde moderne soit éduqués sur des exemples de comportements plus dignes et moins instrumentalisé. Tu sais, la provocation peut-être utile, mais seulement pour attirer l'attention sur les choses que tout le monde ignore… pas sur les sujets de sociétés qui font débat depuis trèèèès longtemps. Provoquer dans ces contextes, ça ne fait que se braquer les gens les uns contres les autres, et ça ne fait certainement pas avancer le shmilblic. Tu sais quoi ? je ne suis pas australien, mais je suis sûr qu'il doit y avoir en ce moment un vrai sujet de fond très important, que ce genre de show éclipse. Un peu comme le mariage gay pour éclipser la crise économique mondiale, le chômage de masse etc… La provoque est trop facile. Et je ne pense pas que ça ai la moindre utilité.
  17. Pour la cause je pense qu'elle serait mieux défendue par quelqu'un qui chercherait à montrer que c'est un acte digne. Et un acte digne, c'est un acte qui irait dans l'intérêt de l'enfant, pas de la mère, dont le profit est trop évident, désolé… Pour le message " allaitement égal plus de défenses immunitaires, moins de maladies, moins de cout santé etc..." Non désolé, je ne valide pas non plus. Ceux qui ne le savent pas ne le saurons pas plus en regardant ce genre de comportement. La seule chose qu'on voit, c'est une nana qui cherche infiniment plus à faire de l'exhibitionnisme qu'à nourrir son enfant. Tu pari combien qu'elle l'a laissé crever de faim avant, pour qu'il puisse "faire son show" devant les caméras au bon moment ? Toujours convaincue que c'est pour le bien de l'enfant qu'elle agit ? Qu'elle montre l'exemple d'une mère digne ? Oui, l'enfant n'aura très certainement aucune séquelle du truc. C'est le symbole qui me débecte. C'est ce que ce comportement révèle de la mentalité de la mère, qui instrumentalise son enfant pour sa promotion professionnelle.
  18. Je trouves que c'est glauque de se servir de son enfant pour faire sa pub. >_< En théorie, je n'ai rien de mal à ce que les femmes allaitent leur enfants n'importe où. Qu'elles s'en servent pour se faire mousser par contre, désolé, ça passe pas. Si j'étais féministe, je dirais même que c'est totalement contre-productif, (et comme je le suis, je le dis). ça fait passer les revendications pour l'allaitement des enfants pour des "caprices" d'égocentriques exibitionniste qui tripent sur le nombres de personnes qui vont les mater, et le nombre de like qu'elles feront sur Youtube… Les femmes ne méritent pas d'être défendue par des gignolettes de ce genre. Elle peut aussi le faire avant ou après son temps de parole, il n'y a donc aucune nécessité à ce qu'elle le fasse justement à ce moment là. Et si ça n'est pas une nécessité, elle n'a aucun droit à revendiquer quoi que ce soit. On devrait lui envoyer la DASS tiens. Et le droit à la vie privée et à l'image de l'enfant dans l'histoire ? Elle y a pensé ? Instrumentaliser les enfants pour des besoins politiques, je trouve ça aussi débectant que de leur imposer une religion avant qu'ils soient en âge de décider par eux-même.
  19. Comme pour la sexualité, il y a le libertin social et le libertin intime. ^^ Celui qui est libertin pour s'afficher socialement libertin (ou se percevoir lui-même socialement libertin). Voir même qui prend sur lui "intimement" cette situation qui le mine en réalité, pour le plaisir de pouvoir s'affirmer l'être… ( les gens aiment se faire du mal pour parfaire leur image sociale, et paraître plus intéressant que ce que paraîtrai le vide intime qu'ils ont au fond d'eux-même, s'ils le montraient… ) Et celui qui est libertin, mais intimement. Qui ne le montre pas, ou ne le communique pas (forcément). Pour qui la pression sociale est terrible, car il doit se conformer aux sentiments "classiques" qui, pour lui, sont une déviance : Le rabaissement des sentiments à de simples bouffées d'égo, de volonté de pouvoir, et de conditionnement de sensations physique. Comme si les autres étaient incapables de ressentir la différence entre leurs sentiments, leurs envies, et leurs émotions conditionnées. ( mais peut être le sont t-il, précisément… ) Je ne parles pas de la "pseudo souffrance" de l'égo de celui qui souffre de ne pas pouvoir coucher ailleurs… Qui a moins à voir avec le libertin qu'avec le "célibataire en couple par facilité", et qui se pense toujours seul dans le cocon de ses grosses tête, égo, et immaturité. Je parlais de la souffrance de ce libertin intime aimant, forcé de "jouer" une relation fidèle… Celui qui sait qu'il doit cacher ce qu'il ressent réellement, qu'il doit toujours le travestir, simuler la jalousie, partager sur la "valeur de la fidélité" en laquelle il ne croit pas. Sans jamais pouvoir partager à l'autre la nature profonde de ses sentiments pour elle (ou lui)… sous peine de casser sa relation. par une incompréhension qui ruinera à terme la confiance, sans laquelle aucune relation ne peut exister. Quand passe l'âge d'être idéaliste, on sait qu'être en couple et même être aimé est une chose, pouvoir être compris affectivement (et pas qu'intellectuellement) une autre. Mais je pensais à la souffrance de celui qui sait qu'il ne partagera jamais ce sentiment. Mais après tout… aimer quelqu'un est peut être toujours un sentiment qu'on ne peut jamais vraiment partager. Au delà de mon avis sur le libertinage, Elsa, ton article révèle l'évolution d'une statistique qui m'inquiète. Non pas parce que je chercherais à promouvoir les unions libres (chacun à la relation qui lui convient le mieux… ça n'est pas une forme ou une autre qu'il faut promouvoir, mais ce qui convient le mieux aux gens). Mais elle m'inquiète parce que je crois qu'elle manifeste non pas la diminution des points de vus libertins, mais la disparition de l'intimité réelle des couples. Où la liberté et les sentiments cèdent peu à peu la place à la facilité pratique et superficielle, à la consommation et à l'appropriation physique de l'autre par le couple. Bref, à la "professionnalisation" des relations de couples, où "combler réciproquement ses besoins affectifs", devient un principe de consommation et une relation inter-utilitaire, contractuelle "gagnant gagnant" comme une autre dans un environnement concurrentiel… Voir pire, le couple (ou la vie de couple) deviendrai la "compensation" nécessaire de la dureté de la vie professionnelle et sociale actuelle. Où la vie intime ne serait plus qu'un moyen de récupération pour une meilleure efficacité professionnelle. Et comme si l'envahissement de ces valeurs professionnelles n'étaient pas suffisantes, je pense la relation sentimentale assaillie aussi d'un autre côté. Car je ne saurais aussi que trop rapprocher cette évolution statistique, de celle l'évolution des conceptions religieuses un peu obsolète du couple, qui elles aussi se développent. J'y vois trop la marque conjointe de la professionnalisation et de la religion. Il paraît que dans la lutte des extrêmes, c'est celui qui se trouve entre le marteau et l'enclume qui disparaît le premier.
  20. Dans cette phrase, quand je parlais du système monarchique, je ne parlais pas que du dirigeant. On est entrain de créer des castes de riches (nobles) dont les enfants seuls auront accès aux stages dans le CV (lettre de noblesse), pour devenir à leur tours nobles… sans que cela se justifie par la compétence, mais par la naissance. On est dans la régénération d'une forme de noblesse en France. Pour l'instant, les vieux retraités sont riches… donc même les classes moyenne peuvent entretenir leur enfants. Mais quand les vieux auront été pillés, et que les jeunes exploités d'aujourd'hui se retrouverons avec une retraite réduite… (qu'ils auront commencé très tard…), eux ne pourront pas entretenir leurs enfants, qui ne pourront pas obtenir de stages. C'est là que la noblesse véritable des classe aisée va voir le jour. (les riches c'est encore une autre histoire) Une "bonne" mesure d'exploitation, on n'en voit pas les effets au moment de son implantation. C'est quand elle sera passé définitivement dans la pratique qu'on commencera seulement à percevoir les problèmes. ^^ Sinon, elle ne tiendrai pas.
  21. Non pour être compris, il faut donner son message et l'accompagner des précisions sur le sens des termes qu'on emplois. Ce que j'ai fais. Et celui qui cherche réellement à comprendre, il essaye de comprendre le message transmis, avec les définitions qu'on lui a donné. ça a marché, tu as très bien compris ce que je raconte. Donc je communique très bien, ne t'en déplaise. Mais je ne suis pas dupe. Derrière tes air pédagogues, tu n'es pas du tout entrain d'essayer de me comprendre. Tu essaye de transformer subrepticement les idées et les concepts que j'aborde, pour y introduire inconsciemment des notions que je cherche expressément à exclure de l'analyse. C'est à ça que je résiste vigoureusement. Arrête de vouloir transformer les mots que j'utilise. C'est un procédé de manipulation très délétères, parce qu'il transforme la pensée des gens sans même qu'ils s'en rendent compte. Certes, moi aussi je présente des sens différent des sens habituels. Mais je le fais en choquant, pas de façon subreptice. J'expose directement à la face des gens la contradiction du sens habituels qu'ils utilisent, ils réfléchissent consciemment aux concepts et aux notions. Ils découvrent les nuances et implications qu'ils ont oublié dans les mots qu'ils utilisent, nuances dont ils n'ont pas l'habitude. En choquant, j'alerte la conscience. Je force la réflexion. C'est ma façon de respecter les autres. Je ne les manipule pas, ils ont tout loisir de prendre leur distance avec mes concepts, et de prendre le temps qu'il leur faut pour les comprendre et les appréhender. Je n'utiliserai pas le mot "aider", et je ne valide pas ta définition du mot "profiteur" qui devraient ne pas avoir de scrupule, ou qui devrait maintenant ne pas en avoir besoin… Ma définition est claire : Profiter c'est prendre plus qu'on ne donne. Et un profiteur est quelqu'un qui profite. Je n'en démordrais pas comme ça. Et je rejette la définition que tu cherche à poser, qu'un profiteur serait quelqu'un qui profite sans en avoir besoin. Mais je vais t'expliquer pourquoi : Outre le fait que le besoin est quelque chose de très subjectif… Avec ta définition, comme personne d'autre que nous-même ne peut déterminer notre besoin, il n'existe plus aucun profiteur sur terre. Et ce mot n'a plus aucun sens. Après tout, si je viole une fille, j'en avais besoin, dont je n'en ai pas profité… Si je suis un grand patron d'industrie, j'ai vraiment besoin de mon jet privé plaqué or, pour sentir que j'ai réussi ma vie, donc je n'ai pas profité… Le sens que tu essaye d'introduire détruit toute capacité de jugement. Or le propre d'une description objective, c'est d'améliorer par la suite son jugement. Les chômeurs ou les retraités sont des "profiteurs" uniquement si on exclue de l'analyse ce qu'ils ont apporté à la société… ce qui est une déformation fallacieuse de l'analyse économique. Elle est un peu semblable à celle qui consiste à faire passer les impôts pour des charges, en ne prenant en compte que le coût, et sans prendre en compte ce qu'ils rapportent par les services publiques gratuits. Si je tiens réellement à exclure les considérations subjectives de l'analyse économique, c'est précisément pour éviter de tomber dans l'erreur de la justification par les sentiments… alors que dénoncer l'aspect fallacieux de ces raisonnements me semble plus efficace. Pour ce qui est de la politique, je préfèrerai un monde qui sépare très distinctement le financement de la sphère sociale (donc le soutient à tout être humain, sans considération de son utilité), de l'organisation économique de la sphère professionnelle. (le salaire, et les "rentes" de l'assurance chômage, ou retraite ) Le problème, c'est que notre ancien monde à tout mélangé. Social et professionnel. Assurance d'une vie descente pour les handicapés et personnes âgée, avec le maintient (partiel) de la rémunération professionnelle … Le principe de la répartition me semble adapté à une répartition des richesses… mais en fin de compte justifie assez peu le maintient du salaire de chaque retraité comme lorsqu'il était productif. Si un plus haut salaire qu'un autre peut se justifier par l'utilité sociale, quid de la justification d'une plus haute retraite qu'une autre… puisqu'on ne peut plus faire appel à l'utilité sociale pour la justifier. La répartition, prise sur la société dans son ensemble, se devrait d'être sociale, et donc égalitaire. Sans considération sur "l'utilité" qu'on pu avoir les individus dans leur vie professionnelle. Et la propriété cumulée pendant la vie active utile persiste, et devrait être la seule source de différentiation entre les individus. Mais bon… tout ça est une question d'ordre politique, il ne s'agit plus d'une analyse économique objective, mais de choix de société qui auraient ma préférence. Je cherche expressément à ne pas attirer la confiance Mon but, c'est que les gens réfléchissent. Pas qu'ils me donnent du pouvoir, et certainement pas d'acquérir une influence sur eux.
  22. Non. Et j'ai même dis que je ne voyais pas sous quelle principe on interdirait les chiens et pas les cochons. D'une part, nous parlons d'une enseigne de supermarché, pas d'une loi. Ceux qui veulent manger du chien iront simplement se fournir ailleurs. D'autre part, je ne pense pas que la Chine soit forcée à s'occidentaliser. Comme on a pu le faire sur certaines colonies. Elle devient plus riche, (ce que je trouve par ailleurs être une bonne chose ), et sa population accède à la technologie. Mais je pense qu'ils développent leur culture à eux, pas une culture occidentale. Une culture de la vision à long terme, et de la planification économique intelligente à l'échelle d'une nation entière. Aux antipode du système occidental, exclusivement centré sur la consommation et la rentabilité à très court terme. (faut vraiment être très con pour continuer de défendre notre système) Son gouvernement reste très puissant, et a corrigé le tir de sa révolution culturelle communiste, en ré-intégrant et défendant désormais sa culture millénaire. Là bas, ce sont des ingénieurs et des techniciens qui arrivent au pouvoir, pas comme en occident des villérards sénile ou des grande fortune totalement déconnecté des besoins de la population de base. Ce gouvernement jeune, pragmatique, intelligent, décide de la planification économique de la Chine. D'où toutes ses évolutions extrêmement bien menée. Le problème c'est qu'ils reviennent de très loin. Tu n'éduques pas une population d'un milliard d'habitant sans prof en quelques décennie. Eux on pourtant presque réussi à le faire. L'enrichissement extrêmement rapide de leur population crée des problèmes de pollutions majeur, mais ils sont entrain de s'en occuper très activement. Ils sont assailli par des défits immenses, mais en ont bien conscience, et s'en préoccupe très attentivement. Il ne faut pas les confondre avec nos politiques qui ne savent faire que l'autruche, ils ont une démocratie plus efficace que la nôtre. Ils ont planifié leur transition énergétique, et sont déjà à plus de 30% d'énergie renouvelable. Ils vont continuer de décolleront économiquement quand nous, trop con que nous sommes pour le faire, nous coulerons quand il n'y aura plus de pétrole dans 15-20 ans. Il est à peu près certain que dans quelques décénies, leur villes seront considérablement plus écologiques que les nôtres, puisque nous, nous ne faisons pas de recherche dans ce sens. Nous on a une recherche privée, l'écologie, on s'en balance… seul la rentabilité à très court terme nous motive. Donc de petits produit hi-tech très cher, faisant semblant d'être écolo, et nous rendant surtout dépendant de très grosses structures industrielles. Eux se soucient réellement du bien être de la totalité de leur population, ça ne sera pas le genre à ne proposer que des solutions hi-tec pour donner bonne conscience aux riches. Ils développerons des solutions efficaces pour tous, ce que nous sommes incapable de faire. (parce que ça n'est pas rentable) Outre de très grandes écoles qu'ils sont entrain de mettre en place, dans tous les domaines, leur planification écologique vise à faire évoluer d'immense territoire désertiques pour les rendre verdoyants. On peut critiquer la volonté de faire évoluer écologiquement des régions entières, mais une chose est sûr, ils sont entrain de devenir des centaines de fois plus compétents que nous sur les questions écologiques. Ils sont un très gros problème présentement. Mais je ne pense pas qu'ils soient en "danger d'occidentalisation". Et je pense que la solution ne viendra pas vraiment de nous. Parce que notre organisation sociale, politique et professionnelle est trop archaïque et imbécile pour leur tenir la dragée haute.
  23. Est-ce que tu sais lire ? Je te dis exactement le contraire. Qu'une société à aussi une facette sociale, qui doit veiller à entretenir et accepter des gens sans se préoccuper de leur utilité professionnelle. Pour ce qui est des coûts, je ne parlais pas des coûts pour l'état, mais les coûts pour la société. Vous faite partie de la société. Tout ce que vous devez dépenser de votre poche pour entretenir un handicapé fait aussi partit des coûts de la société pour l'entretenir. C'est seulement que c'est la famille qui supporte ces coûts, et pas la société dans son ensemble. Encore faut-t'il être capable de compter les coûts si tu veux pouvoir justifier que le support de la société est insuffisant. Le choix de qui doit supporter les dépenses des handicapés est aussi un choix de société. C'est en analysant ces échanges de valeurs qu'on se rend compte, par exemple, que les stages des jeunes non(ou très peu) rémunérés sont une forme d'exploitation des personnes âgées. Faire travailler des gens sans les payer (normalement) n'est possible que parce que ce sont les parents (et grand-parent) qui assurent la survie des jeunes. En gros, ce sont les parents qui payent le salaire du travail du stagière dans l'entreprise, car sans eux, le stagiaire ne pourrait simplement pas travailler gratos : tout simplement il mourrait… ou plus probablement volerai pour survivre. On a ainsi reporté la charge du salaire sur les parents, qui payent pour que leur enfant travaille gratos ^^ ( C'est juste fantastique de cynisme d'avoir mis au point un truc pareil ! ) C'est d'ailleurs parfaitement organisée. Outre la volonté de siphonner l'épargne des vieux. L'idée c'est aussi que seuls les riches pourront entretenir leur enfants assez pour qu'ils fassent des stages. Ceux qui auront fait des stages seront les enfants de riches, les pauvres resterons pauvres. On favorise la sélection culturelle, et on défavorise la sélection par la compétence. Notre société évolue de plus en plus vers une société de type monarchique.
  24. J'en doute… mais tout ton discours mélange allègrement espèce en voie de disparitions et espèces animales qui ne sont pas en danger. Et encore une fois, moi, je fais une différence entre l'urgence des espèces qui disparaisses, et les considérations éthiques et culturel de long terme, dans nos rapports avec les animaux. On consomme plus d'animaux. Mais ce ne sont pas des animaux en danger… et si tu étais un peu moins obtus, tu verrai que l'occidentalisation de la chine est extrêmement problématique. Car ils se mettent peu à peu à passer d'un régime végétarien à un régime aussi carné que le nôtre. Sauf qu'avec plus d'un milliard d'habitant, ça va vite poser un problème écologique global. Le problème est d'ailleurs équivalent, et même amplifiée sur la consommation de poisson. Les mers de chines deviennent de vraies déserts… évidement, je pense que tu confonds les "arrestations" et les "crimes". En occident, on détecte et arrête beaucoup plus facilement et rapidement les contrevenant qu'en mer de Chine et en plein océan pacifique. Le problème s'amplifie aussi avec l'explosion colossale du nombre de ferme de saumons d'élevage en chine… nourris avec plus de poissons de l'océan qu'ils ne fournissent de matière. (en bref… manger directement des poissons de l'océan prélèverait moins de poisson que de nourrir les saumons pour s'en nourrir après) Et pour ce qui est de la nationalité des navires… ça serait bien de préciser que c'est justement l'explosion de la consommation chinoise qui les fait se remplir et vider les mers. Bref… l'explosion de la population en chine, et leur enrichissement, provoque de gros problème écologiques… Je ne nie pas nos propre tares, mais nier que la chine est un gros problème écologique, c'est juste de la désinformation. Note que l'Afrique avec ses 2 milliards d'habitant dans quelques décénies posera encore plus de problèmes du même ordre.
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