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Tout ce qui a été posté par Plimsoll
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Bonsoir, L'écrivain était-il aviateur ?
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Oui et des fois il y a aussi des loup-garou qui sont démasqué pour avoir vidé leur verre pendant la nuit (ce qui est ardu les yeux fermés..) Ou encore des loup assez vicieux pour boire le verre de leur voisin :D
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Ce jeu n'a qu'un seul inconvénient : il faut être au moins huit autrement c'est convivial et captivant. La deuxième extension, le village, rajoute des batiments offrant des capacités spécifique a son propriétaire, qu'il soit loup-garou ou villageois. On trouve ainsi pêle même le barbier pouvant trancher une gorge en pleine journée, le chatelain pouvant gracier un condamné, le boulanger se levant aux aurores, l'institutrice pouvant interdire deux votes etc.... bref une foule de combinaisons possibles qui rajoute encore du piment et permet aux villageois d'être un peu plus qu'un agneau attendant le sacrifice.
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Qui est le meilleur groupe rock de tout les temps ?
Plimsoll a répondu à un(e) sujet de LionMovie191Studio dans Musiques
Dure question, pouvant facilement tourner au pugilat. J'aime bien les rolling stones, oui ils sont commercial mais connaissez vous un groupe de rock bénévole ? Une grande et longue carrière avec des haut et des bas, des séparations, cure de desintox etc... bref un groupe des 70's Mais quand j'entends ça : Rien que les premiers accords et ça m'emporte. Sinon je vibre aussi avec Black sabbath Du côté français nous avons tout de même Noir désir qui domine la scène rock française avec brio. Quant a savoir quel est le meilleur de tout les temps, je ne sais guère, disons que pour ma part et pour les sept minutes a venir ce sera cela : -
Le premier volume du nouveau cycle de Glen Cook, après l'excellentissime Compagnie noire et le loufoque Garret détective privé, je retrouvais donc un auteur connu et apprécié. Mais sur ce coup là je dois avouer que j'ai eu énormement de mal a franchir le cap de la centaine de page, un univers trop vaste peuplé de moult peuple aux religions variées et le tout sans la moindre carte pour se repérer. On passe d'un personnage a l'autre sans trop creuser, bref la galère. Aussi ai-je laché l'affaire une fois la centaine de pages atteintes. Les mois ayant passés, j'y suis revenu en repartant de zéro (après un suicide cérébral a coup de twilight et une petite ronde avec le guet municipal d'Ankh Morpok :blush:). Et là je suis parvenu au bout, verdict : Glen Cook est ici très long a mettre en place son univers, les détails foisonnent mais sont amené pêle-mêle, la syntaxe est plaisante, de belles tournures d'esprit et une trame de fond interressante, de belles guerres de religion sans une once de manichéisme, des complots, trahisons, bref de la matière et pourtant il y a un grand manque : un personnage central. Et oui celui qui est censé tenir ce rôle se montre fade et sans ambitions, trop docile, pas assez humain. Bref je m'attendais a mieux venant du créateur de Toubib et Qu'un-oeil. En résumé une lecture qui laisse un arrière goût amer, ça ouvre l'appétit mais ne parvient pas a la rassasier pleinement, un peu comme les apéritifs dinatoire, sur le coup ça va mais une heure après on se retrouve avec l'estomac dans les talons.
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D'après vous, vous êtes un ange ou démon ?
Plimsoll a répondu à un(e) sujet de Wazu dans Inclassables
Ni l'un, ni l'autre, je ne suis qu'un homme, hanté par ses démons, poursuivant des chimères.... Patron, un autre demi ! -
En apparence l'océan est immuable et pourtant jamais vague ne se brise deux fois de la même façon, l'écume peut jaillir, révéler un arc ciel puis sombrer dans les abysses sans autre forme de procès. Tout comme elle peut se répandre sur le tapis océanique y laissant ses hiéroglyphes blanc dont nul homme ne comprendra le sens.... Les routes c'est le moyen qu'à trouver l'homme pour dominer la géologie, l'océan c'est ce qui balaye ses illusions....
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Un sixième tomes qui conclu une saga qui avait bien débutée : "Tant qu'une fille issue de la lignée de Thelatimos la gouverne et défend, Skala ne court aucun risque de jamais se voir asservir", ainsi avait parlé l'oracle d'Afra. Skala prospéra jusqu'à ce que Erius, prince royale, usurpe la couronne a sa soeur Ariani et ne fasse exécuter toute les femmes, filles et enfant de sang royale.... Des années plus tard deux magiciens aidés par une sorcière des collines, assiste a l'accouchement des jumeaux d'Ariani et à l'aide de la magie du sang donne à la fille l'apparence de son frère défunt.... Malheureusement celui-ci a eu le temps de prendre son premier souffle avant d'expirer.... Les premiers tomes étaient noir, avec une ambiance glauque, oppressante mais malheureusement ça a dévié. Un happy end par trop prévisible. Dommage.
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Dans la foulée, voici le nouveau volet, qui vous mènera du Havre a Singapour (encore :smile2: ) sur une traversée de 17214 miles marin (environ 31888km) a bord du Namur : (Remarquer que Yann Arthus Bertrand fait de plus jolie photo, ceci dit je n'ai pas d'hélicoptère )
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Salut a tous ! Pour répondre a jean-jacques8350, si tu projette de voyager en tant que passager sur un cargo les principales choses a embarquer sont tout simplement de quoi t'occuper, livre, musique, lecteur dvd. Tu trouvera très certainement une collection dvd assez fourni a bord dans des langues variées,(cependant regarder kill bill en coréen sous titré chinois c'est un peu déroutant..). N'oublie pas de bonne lunettes de soleil car ça tape dur sur l'eau. Inutile de te surcharger de fringue, il y a de quoi faire sa lessive a bord. Tu pourra aussi trouver les produits de première nécessité : dentifrice, gel douche, chocolat, déo..... Point de vue érotisme a bord tu risque de voir beaucoup de fille nue ou court vetue.......en poster A ne pas oublier surtout : l'appareil photo, peu de choses égalent un coucher de soleil sur une mer d'huile (ah si, un coucher de soleil sur une mer d'huile avec un verre a la main... et aussi autre chose mais je ne le dirais pas :smile2: ) Si tu désire parfaire tes connaissance astro, une carte du ciel te sera aussi utile, sauf si tu tombe sur un lieut sympa pour te mettre au parfum (par contre si tu tombe sur un lieut gps, c'est même pas la peine d'y penser..). Un ciel sans nuage a la nouvelle lune sur l'océan ça vous coupe la chique quand vous n'y êtes pas habituer, et ça vous transcende quand vous y êtes familier. Sinon sur quelle ligne compte tu aller ?
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La symphonie des siècles, Elizabeth Haydon Tome 1 : Rhapsody, vol I Tome 2 : Rhapsody, vol II Voici un série qui, si elle ne révolutionne pas le genre, réserve tout de même une bonne surprise. Des personnages attachants, bénéficiant d'une finition plutôt soignée. Seul bémol pour Achmed, j'ai trouvé que les ambitions qui sont les siennes dans le deuxième volume ne corresponde pas a la personnalité qu'il a dans le premier. Autrement j'ai bien aimée grunthor, une marmule fort attachante. Les Lirins sont aussi intérrèssant avec leur différentes peuplades et coutumes lyrique. Bref si vous êtes a court d'idées cette symphonie des siècles n'est pas désagréable a écouter malgrès ses deux ou trois fausses notes.
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Le soldat chamane, tome 3&4 Deux tomes de plus dans lequel Jamère se remet de la peste mais pas sans séquelles, de retour dans sa famille son embonpoint le met a l'écart, sujet des railleries de ses soeurs et de sa fiancée, croulant sous l'autorité de son père, le personnage principal n'est pas au mieux de sa forme.... Dans le quatrième tome, on suit son enrolement dans la garnison de guetis, a la frontière des territoires occelions où la magie suppure et mine le moral de la population. Si je devais résumer mon avis en trois mots je dirais : "bof, bof, bof" Le grand inconvenient de cette saga tient en deux points : -le manque de personnage hauts en couleur, le héros est peu reluisant et a autant d'énergie qu'un navet bouilli, point de vue personnage secondaire, c'est le néant (comme dirait le mangeur de pierre...) -le manque de fantastique, pour le moment il y a les ocelions qui sortent de l'ordinaire et point barre. On croirait presque lire un western, on se bat a coup de fusil, on construit une route pour aller a l'est, pas de quoi lever un lièvre...
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Youpi elle passe en machine ! (a 40°c avec prélavage et séchage intensif) Et survit même au sèche-linge ! Le test n'était pas volontaire mais bon, c'est toujours bon a savoir non ?
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Marron shed, un personnage en effet fort intéressant cook arrive a nous faire passer de la compassion a la pitié puis au dégout pur et simple avant de nous laisser sur une note douce-amère, c'est un peu la nemesis de corbeau, d'ailleur je trouve que leur évolution sont justement parfaitement opposée, lorsque shed décide de se racheter, corbeau de son coté s'enfonce.... Bientot pouvoir reprendre.....
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N.B : Concernant l'article associé aux noms des navires, il existe de nombreux avis divergents, certain accorde l'article suivant le genre du nom (Le Normandie, La Jeanne-D'arc....), d'autre n'emploie que le masculin (Le France), un troisième courant consiste a accorder suivant le genre du type de navire (Le France s'il s'agit d'un paquebot, La France s'il s'agit d'une frégate), certain même supprime carrément l'article ("Je vous présente Normandie" fut-il dit au lancement du Normandie). Bref c'est une jolie pagaille A noter d'autre part que "ship" en anglais est considéré comme étant féminin et animé, "She is underway" diront-ils pour un navire en route et non "It is underway". Je n'irais pas plus loin car j'ai bien peur d'avoir commis plus de faute dans ce paragraphe que dans ma dictée. :smile2:
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Rien eu de notable après cette fameuse nuit, la relève a la sonde fut confirmée sous condition d'acceptation de notre affreteur.....qui mit une longue semaine avant de se décider. Le lendemain de la confirmation une dépêche m'informait que finalement je restait a bord car le 3è méca embarquant, celui-là même qui était parti en voilier lors de la dernière relève, était en vadrouille a l'étranger sans son passeport et n'était donc pas sur d'embarquer....... Pour le bien commun je ne retranscrirais pas la longue tirade sur les emplatrés qui se carapate cinq jours avant d'embarquer après avoir fait un coup similaire.... je me rappel quand même m'être jurer de me lancer dans une traversée en pédalo la veille d'embarquer le jour où j'aurai a relever ce protozoaire Deux jours avant de débarquer la compagnie arriva enfin a remettre la main sur cet olibrius et a le coller dans un avion avec ses papiers..... Le yo-yo de la relève ça commençait sérieusement a me chauffer l'occiput. La veille du grand jour, le commandant, dans une forme éblouissante, nous fit la plaisanterie fumeuse du "finalement personne ne débarque", provoquant ainsi l'envol d'une clé de 19 à travers l'atelier, propulsée par la rage d'un 3è méca. De mon côté je lançais un pied rageur dans un pied de l'établi, qui resta indifférent a mes humeurs Le soir venu, alors que le second capitaine nous avait révélé le pot-aux-roses (ou le poteau rose, tout dépend) nous rendîmes la monnaie de sa pièce au tonton en lui laissant croire que nous avions envoyé des messages incendiaires a la compagnie. Voir le singe se ruer dans son bureau pour annuler l'envoi des emails fut jubilatoire. Heureusement il l'a bien pris Sérieusement cela faisait plus d'un mois qu'on alternait entre des "je débarque"/"je débarque plus" et il n'y a rien de plus énervant. Savoir que l'on débarque dans un mois et demi est bien plus supportable que d'avoir un débarquement remis au lendemain durant 45jours... C'est donc a la sonde, a Merak sur l'ile de Java en Indonésie que pris fin ma fonction de quatrième mécanicien et où je quittais le pont pour rejoindre le plancher des vaches après 81jours de mer. Mauvaise surprise une fois arrivé a l'hotel, l'agent (la personne commissionnée par l'armateur pour s'occuper du débarquements, donc hotel, avion, taxi etc..) nous consigna a l'hotel jugeant trop dangereux une escapade en ville. Nous passâmes donc le début de soirée au bar de l'hôtel :smile2: , le milieu au restaurant de l'hotel, la fin de soirée au bar de l'hotel et une bonne partie de la nuit toujours a ce fameux bar qui ne proposait que des bières d'ailleurs..... les zefs furent plus raisonnable que le 3è méca et moi et ils regagnèrent leur lit après le resto. Au petit matin, je me réveillais au son du réveil dans une baignoire dont l'eau était froide. Je cognais aux portes pour réveiller la troupe, mon crâne cognait aussi douloureusement d'ailleurs. Les élèves étaient frais tandis que mon collègue et moi-même on était plus proche du maquerau au vin blanc, surtout du vin blanc Le périple de retour fut très long : 2 heures de taxi pour rejoindre l'aréoport de jakarta, trois heures de vol pour rejoindre singapour, six pour faire singap-hong-kong. 8 heures d'attente a hong-kong, du coup a essayer trois resto différents, on avait déjà fait trois repas dans les avions mais après 81 jours de rationnement il était bon de laisser libre court a notre estomac Rassasiés et décuités nous prîmes notre dernier vol de 13 heures vers Paris. Au 30 aout, j'étais de retour chez moi pour le petit déjeuner...... Voilà, de nombreux détails ont surement été perdu, en plus des clichés mais dans les grande ligne j'espère n'avoir rien oublié et que ce voyage vous a plu. J'en profite pour signaler une erreur dans le post précédent, il ne fallait pas lire Jean-paul Duss mais Jean-claude Duss, l'erreur vient surement du fait que je pensais a jean-paul vandame a ce moment là Ensuite je vous souhaite un joyeux noël, de bonnes fêtes de fin d'année et une bonne année. Je le fais maintenant car je ne serais plus là au moment opportun et mieux vaut un mois d'avance que trois de retard n'est-ce pas ? Pour paque en revanche je serais là, certain dirons que c'est normal vu que c'est le retour des cloches :D
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C'est pas faute d'avoir effectuer des calculs : Cette traversée de l'océan indien se déroula sous les auspices shadock une fois de plus: Et oui la maintenance était complète, tout marchait, donc une fois les travaux de routine effectués il fallait trouver du boulot, histoire que le temps passe plus vite. Dans un premier temps je remis mes établis a neuf. En effet chaque mécano dispose de plusieurs établis situé près des machines sous sa responsabilité, chaque panoplie est peinte dans une couleur propre pour éviter les déplacement d'outils entre service. L'un des sports consiste justement a "emprunter" d'autre outils qui une fois poncé et repeints viennent garnir votre collection vous évitant ainsi la grimpette de 20m pour récupérer une clé de 17 :D Autrement je fis quelques réparations de tuyaux vapeur fuyard, c'est a cette occasion que deux brulures vinrent zébrer mon avant bras, histoire que je me rappelle a l'avenir que les vannes de dix ans d'âge sont tout sauf étanche et que la vapeur c'est chaud Si l'été battait son plein en france, l'hiver était au rendez-vous dans l'indien. Pour le plus grand bonheur du mécanicien, travailler à 30°C au lieu des 45 c'est des plus agréable. C'est lors de la deuxième semaine de traversé que mon nom réapparu sur une hypothétique relève au détroit de la Sonde. Même si je me préparais à être déçu je ne pouvait m'empecher de trépigner... Vint un jour, alors que la lune était pleine, contrairement à moi , où la sonnerie de la console d'alarme me tira de mon sommeil sur le coup de deux heure du matin. Ca faisait bien un mois que ça n'était pas arrivé. C'est aussi réveillé qu'un lycéen en cours de philo que je descendis les ponts un à un jusqu'au pc machine où le moniteur m'appris qu'un puisard était en niveau haut (le puisard avant babord pour être précis). Ca aurait pu me mettre la puce a l'oreille étant donné que je pompe toujours mes puisards avant la fin de mon service mais comme on nettoyait la cale depuis deux jours, je me suis dit que c'était pas improbable (et oui les neurones commençait doucement a se reconnecter). Une fois descendu au parquet inférieur, j'enclenche la pompe de cale et jette un coup d'oeil a ce fameux puisard, le niveau était effectivement haut et un mince filet d'eau l'alimentait. Une petite ronde des alentours, rien qui fuit donc ça semblait coroborer ma théorie des eaux de lavage....... sauf que le niveau continuait sa montée, débordant désormais du puisard . Une inspection du côté de la traverse eau de mer acheva de me réveiller totalement (traverse eau de mer il me semble l'avoir expliqué antérieurement, mais n'ayez crainte de redemander). Un jet d'eau conséquent (le diamètre d'une pièce de cinq francs a peu près) sortait d'une pompe eau de mer auxiliaire On était 20 m sous le niveau de la mer donc 2 bars de pression.... La priorité dans ce cas la c'est avant tout de prévenir l'équipe machine, a cette fin j'appuyais sur le bouton "call all engineers" de la console.... manque de peau ce fameux bouton n'avertit pas que les mécaniciens mais déclenche la sonnerie générale dans tout le navire, j'ai réveillé tout le monde a 2h du mat' :smile2: . Pendant que tout l'équipage se levait en musique, je filais isoler ma pompe et découvrais l'origine de la fuite : l'injection d'eau du presse étoupe qui avait claqué, la ferraile et l'eau de mer ne font pas bon ménage. c'est tout de même surprennant de voir qu'un orifice de la taille d'un smiley puisse vous sortir un jet de cinq franc et vous remplir la cale en si peu de temps.... Le chef, le second et le troisième arrivèrent sur ces entrefaits, mon diagnostique fut confirmer et une fois remis un joli raccord en inox cette fois nous pûme rejoindre nos banettes. Le lendemain ça a bien jasé, mais mes actions n'ont pas été remises en cause et plusieur matelots ont reçu une soufflante du second cap pour s'être précipité aux embarcations de secours lors de l'alarme...... La prochaine fois je conclurais (Jean-paul Duss quand tu nous tiens.....)
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Sur la fin on a quand même la romance de Qu'un-Oeil et de grand-mère Gota dit le troll Alors je ne saurai que te conseiller le deuxième tome, le chateau noir est peut etre l'un des plus morbide mais aussi l'un des plus plaisant.....
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Depuis le temps que ça me trottait dans la tête voici le sujet sur La compagnie noire, cycle de Fantasy en 13 tomes écrit par Glen Cook entre 1984 et 2001 et paru en france aux éditions l'Atalante et J'ai lu. Ce cycle rédigé sous forme d'annales vous contes l'histoire de la dernière compagnie franche du mythique Kathovar, partie si loin et si longtemps du sud qu'elle en a presque oublié ses origines, seul subsiste son honneur et sa fraternité...... Commençons par le commencement : Premier livre des Livres du Nord dont la quatrième de couverture vous livrerait le résumé suivant : J'ai choisi de faire une étude toute linéaire, en spoilant un minimum et avec milles précautions donc : Chapitre I : Le Légat On y fait connaissance avec la Compagnie alors qu'elle sert le Syndic de Béryl, l'une des cités joyaux bordant la mer des tourments. Le premier paragraphe donne tout de suite le ton : Une compagnie affaiblie, avec un moral dans les chaussettes et un employeur ingrat qui les envoie au casse-pipe. Ecrira Toubib, médecin et annaliste en titre d'une "compagnie de gredins que lient le présent et des passés de solitaire contre le reste du monde" On trouve tout de suite le credo de la troupe : la fraternité et un respect scrupuleux du contrat ( ) Les principaux piliers de la compagnie nous sont décris : Toubib, sarcastique, sentimental et passionné d'histoire tant humaine que politique Qu'un-Oeil, sorcier amateur de boisson et de marché noir, sa principale distraction est avant tout ses querelles avec son confrère Gobelin Rajoutons a cela Silence, sorcier également agissant "sans bruit, ni éclat, ni rage" et nous obtenons les trois sorciers "moyennement doués pour nous prévenir contre les lendemains ravageurs mais pas compétent loin de là, au point de savoir lire l'avenir dans des entrailles de moutons" L'une des pièce centrale de ce chapitre c'est le Forvalaka, un "léopard-garou buveur de sang, dévoreur de foie. Une race ancienne, nourrie de ténèbres, animée par un millénaire de haine et de fringale. Un vrai cauchemar", créature qui a son importance dans la saga et que l'on retrouve tout au long des tomes.... La fin de ce chapitre nous évoque rapidement la Domination, le Dominateur et sa Dame. Histoire rapide de l'Empire du Nord : Le Dominateur, grand nécromancien a fondé l'Empire dans un temps reculé avec l'aide des Dix asservis, dix grands sorciers, maitres dans leur domaine qu'il avait vaincu et obligé a rentrer a son service. A son côté se trouvait la Dame, ensemble ils régnèrent sur leur empire de terreur jusqu'à ce que la Rose Blanche, le général au féminin des forces rebelles, pas assez puissante pour les détruire, les enfermes avec les Dix dans les Tumulus. Plusieurs siècle ont passé lorsqu'un sorcier du nom de Bomanz libère par erreur la Dame. Quand la compagnie rentre a son service, elle a déjà repris le pouvoir avec ses dix asservis et sans le Dominateur, mais peine encore a écraser les rebelles galvanisés par une prophétie qui annonce la réincarnation de la Rose Blanche..... Chapitre II : Corbeau Comme l'indique le titre, ce chapitre est axé sur le personnage de Corbeau. Premier frère du Nord, personnage mystérieux et peu bavard, voici un individu qui donne froid dans le dos et qui est très probablement a l'origine de la brouille entre le Boiteux, l'un des dix Asservis et la Compagnie, il conserve néanmoins une part d'humanité, notament lorsqu'il sauve Chéri, une jeune sourde et muette dans un village ravagé par les troupes du boiteux. Son entrée en scène est particulièrement marquante C'est dans ce chapitre que l'on commence a entendre parler des autre asservis, notamment du Hurleur, de Rôde-la-nuit, de Tempête et du Boiteux. On y fait aussi connaissance avec Trnasformeur, le premier des dix Asservis, un géant ayant un baton de marche repésentant une femme grandeur nature, la légende raconte qu'il s'agit de son épouse qui ilui aurait été infidèle :smile2: On s'enfonce plus profondément dans la fraternité de la compagnie et ses coutumes "on ne quitte la compagnie que les pieds devant" C'est aussi dans ce chapitre que débute la passion romanesque de Toubib pour la Dame Chapitre III : Fureteur Où nous voyons le mode opératoire de la Compagnie. Un gout prononcé pour les chausses-trappes, ils ne recherchent pas la gloire ni la fortune aussi évitent-ils les batailles rangées couteuse en vie. Leur objectif est l'élimination de Fureteur, l'un des généraux du cercle des dix-huit. Pendant cette traque Toubib essaiera de faire parler l'asservis Volesprit pour assouvir sa soif de connaissance sur la Dame de Charme. Volesprit est qualifié(e) comme étant "la plus humaine des Asservis"
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J'ai eu la chance de débarquer a Dubaï une fois, c'est assez sympa mais j'ai un GROS reproche a leur faire : Impossible de trouver un bar ailleurs que dans l'hôtel (et oui que voulez vous le marin débarquant a toujours des préocupations très éthylique :smile2:) Et d'autre part j'ai vu très peu de femme en ville, faut dire que mon armateur ne nous avait pas mis dans un quartier luxueux.... Dubaï à au mois le mérite de faire bosser pas mal d'architecte.
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Et voilà c'est effectué :smile2: (merci pour cette bonne idée et sa réalisation) A bien y réfléchir j'aurai du prendre l'option lavable en machine
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Le démontage du piston fut remis mainte fois à cause du roulis. Balader une culasse de 7 tonnes sur un pont roulant quand on roule bord sur bord c'est pure folie. Je profitais de ce sursis pour boucler ma maintenance et offrir une cure de jeunesse a mon incinérateur, au programme du filtre, des pompes, du bruleur, du ciment et du ventilateur. Une fois remis a neuf, il battit des records avec 1.8 m3 de boue incinérée quotidiennement (jusque là j'étais heureux quand il me brûlait 1m3 :D) C'est au mouillage au large de l'angola que nous fîmes ce satané piston. Une journée entière de travail, de 6h30 jusque 21h pour effectuer cette tâche. Isoler les circuits, enlever les tuyaux, décullasser, désolidariser le piston de la bielle, sortir le piston, nettoyer la culasse, refaire tout les joints, nettoyer la culasse, regréer le nouveaux piston, prendre les côte de la chemise, enquiller le piston, le rattacher a la bielle, nettoyer le carter parce que l'on a péter une lampe dedans, recullasser, remettre les tuyaux, redisposer les circuits en vérifiant l'étanchéïtée, remettre en route en veillant au grain. Bref une journée arrassante, et je ne dispose même plus des clichés pour vous montrer le travail titanesque que cela représente :smile2: Au lendemain nous chargions sur bouée sans voir la côte. Pendant le chargement j'en profitais pour nettoyer ma chaudière récupératrice. Constituée d'un serpentin de conduit d'eau situé dans le conduit d'échappement du moteur principal elle permet de produire la vapeur quand le navire est en route libre. Le nettoyage n'est pas compliqué en soit puisqu'il suffit d'asperger abondamment à l'eau mais c'est bien salissant et ça irrite l'épiderme, aussi me suis-je fais une joie et un devoir de partager ces petits plaisirs avec les zefs (Après tout ça faisait un mois et demi qu'ils étaient a bord et ils n'avaient même pas eu la chance de récurer une série de 98 assiettes de séparateur fuel) Dans les jours qui suivirent nous allâmes compléter notre chargement au congo en vue des plages de sable blanc où de magnifique sirènes bronzait entièrement nue (selon les dires du commandant ) Et une bonne nouvelle tomba : je devais être relevé au cap Aussi employais-je les quelques jours qui me séparaient de la liberté à mettre mon service propre et à faire ma suite écrite... Tout cela en vain puisque deux jours avant la quille, alors que mes valises étaient quasiment bouclées, les roulettes huilées et testées, une nouvelle dépêche tomba : Le 3è méca embarquant étant partit faire du voilier en mer du nord et le 3è méca du bord devant débarquer a tout prix pour suivre une formation, mon armateur me bombardait 3è pour un mois et demi de plus puisque les relèves en chine n'étaient plus d'actualité (vive les J.O. ). Bref mes valises étaient prête juste pour traverser la coursive Comme un malheur n'arrive jamais seul, c'est également a cette période là que mon ordinateur rendit l'âme avec un joli panache de fumée, une bonne odeur de bacon grillé mais sans effet pyrotechnique..... Il n'a jamais fait d'étincelles de toute façon Autant dire que ces ingrats de zefs débarquants se sont bien fendu la poire en apprenant mes mésaventures. Manque de bol pour eux la relève du cap tomba à l'eau. La loi de murphy que voulez-vous.... La veille de notre arrivé au cap un navire perdit des billes de bois (des troncs d'arbre si vous préférer) devant le port donc les barcasses ne sortait plus que de jour, et nous arrivions de nuit bien entendu. Restait encore la possibilité de l'hélicoptère, qui tomba en panne 6h avant notre venue. En ralentissant notre allure, nous réussîmes à tomber dans les heures ouvrable pour les barcasses.....qui tombèrent en rade dans l'heure précédant notre arrivée... La guigne ? Si peu, si peu Bref nous repartîmes dans les eaux de l'océan Indien avec le même équipage et sans nouvelles vivres. Déjà qu'avec c'était pas terrible, sans je vous laisse imaginer ce que ça a donné. Mon aversion pour le chou et le maïs n'en fut que renforcée. ("La pizza huile-maïs, hummm, un délice")
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Quelle console avez vous ? et combien de temps vous passez a jouer ?
Plimsoll a répondu à un sujet dans Central Jeux Vidéo
Gratuite ? "Il faut manger pour vivre" disait rabelais, or pour se nourrir il faut payer ou chasser et dans le cas de la deuxième option cela nécessite un permis de chasse payant :smile2: Le jeu du silence lui est gratuit et même rétributeur puisque le silence est d'or -
Glen Cook, La tyrannie de la Nuit, "Les instrumentalités de la Nuit"
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1116 votes depuis lundi 2h (si mes calculs sont bons :smile2: )