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Tout ce qui a été posté par konvicted
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Je ne suis pas sûr d'avoir compris ce que tu veux dire mais en tout cas, "c'étaient", pour reprendre un sujet pluriel, c'est grammatical. N.B. : l'expression figée, c'est : "toute à l'heure".
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bah si pas de h, on le prononce de manière très rapide, si il y en a un, on doit s'attarder sur le son, et pour le tchou-ogue (en plus "mâché" :D) Enfin bref, c'est possible que je me plante, mais quand je faisais de l'anglais en cours, sans lire les mots, si on me les disait je savais (la plupart du temps) dire comment ils s'écrivaient.. Mais bon, quand j'ecoute des chansons UK/US je lis souvent les paroles en meme temps que de les ecouter, donc forcément je pense que ça a joué un peu^^ Entre /t^f/, /ðəʊ/ et /θruː / (j'espère que tu es à l'aise en phonétique), il y a plus qu'une question de longueur. L'anglais regorge de mots dont l'orthographe ne se déduit de la prononciation, ou réciproquement, qu'en les corrélant avec des mots semblables, et encore, ça ne marche pas toujours : cough ne rime pas avec tough, par exemple. Ou alors, tu as un don pour l'anglais dont l'immensité dépasse mon entendement qui fait que tout ça t'est naturel. En allemand, par contre, on peut très aisément déduire la prononciation d'un mot en le lisant, même pour des non-natifs, ou réciproquement - même si là c'est moins évident quand on n'est pas né dans la langue de Goethe. Mais bon, on sort du sujet, là.
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Euh, tu parles de l'allemand, là. :p Juste un exemple : tough, though, through, trois orthographes quasiment identiques, trois prononciations complètement différentes.
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Au temps pour toi.
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D'ailleurs, question illogique, l'anglais n'a rien à envier au français, au contraire. La prononciation en anglais est bien plus erratique qu'en français.
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Au temps pour moi. Le latin, c'est un plus, mais si on a un doute sur une orthographe, on peut parfois le dissiper en comparant des mots issus de la même racine. Conception a la même racine que concept et concept s'écrit comme ça se prononce. J'admets cependant que ça suffit rarement, ce genre de raisonnement n'est d'aucune aide face à des mots comme piscine, diarrhée ou cynophile. Mais si on commence à uniformiser les orthographes, on va faire de simples homophones des homographes et on ne fera notamment plus la différence entre cynophile et sinophile.
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Je t'accorde qu'il existe des choses illogiques dans la langue française, les exceptions aux pluriels des mots en -ail par exemple, mais je ne trouve pas tes exemples pertinents. "Conception" dérive du latin conceptio et "temps" de tempus, la conjugaison irrégulière du verbe "être" vient de celle du verbe latin esse. Les terminaisons du verbe dire, et la conjugaison en général, permettent d'éviter des ambiguïtés.
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Je viens de penser à un magnifique texte de Grand Corps Malade intitulé En vers et contre tout, truffé de calembours autour du son et du mot vers. Évidemment, c'est censé s'écouter mais si jamais on veut le lire, il vaut mieux ne pas tomber sur une transcription où un homonyme de vers est employé à la place d'un autre. Si quelqu'un a la curiosité de l'écouter ou de le lire, voici la vidéo : Et le texte :
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Ou parce que loupiot est le diminutif de loup. J'ai croisé des étudiants de prépa avec une orthographe bien pire que la tienne.
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Je ne comprends pas cette volonté à niveler par le bas. Entre adapter la langue français aux Français et adapter les Français à la langue française, pourquoi choisir la médiocrité ?
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Sans homophones, adieu les calembours.
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Ma copine veut devenir témoin de Jehovah
konvicted a répondu à un(e) sujet de Cedric1979 dans Religion et Culte
Ce n'est pas parce que vous êtes nombreux à avoir tort que vous avez raison. -
Ne t'inquiète pas pour le titre. Tu n'avais déjà pas de fans. J'attends tes critiques avec impatience. :) Je est un autre. :p
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Je me demand’ si je pourrais l’écrire, En aucun cas, je ne saurais le dire. Tel un bâillon, ma pudeur a réduit Au silence mon cœur pourtant séduit. Il me faudrait pouvoir dans ce poème Mon cœur livrer à quelque piégeux thème En insérant dans quelques pieds : « je t’aime ».
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V pour défaite Pendant quelques années, J’en pensais condamnée Chacune des issues : Les vitres et la porte. Mais me voilà déçu : De la cave à l’aorte, Il envoie de nouveau Tout sang dessus, dessous ; Pas pingre pour deux sous, Déverse à grandes eaux Ce liquide ponceau, Me rendant comme saoul. De rares émotions N’étant pas à court d’air Empruntaient ses artères, Fonçant sans précaution ; Puis, mon cœur, regagnaient A bout de souffle, veines, Pour y agoniser, Elles qui naissaient à peine. Aujourd’hui, cependant, C’est en un flux constant Qu’elles parcour’nt, encore Et encore, mon corps. Lavoisier n’eut pas tort : Pas de perte sans gain. Mon système sanguin Le démontre et déplore. Si je suis plus humain, Je suis aussi moins fort. Je gagne la passion, Je perds des contreforts. Je gagne en frustration C’ que je perds en raison. Mon cœur en perd la tête, Et crie : « V » pour défaite.
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Je dirais que, ne serait-ce que parfois, la connaissance de soi s'acquiert de la même manière qu'on retrouve par hasard un objet perdu : on en a besoin, on le cherche, on ne trouve pas, on laisse tomber et on tombe dessus quand on ne le cherche plus. Personnellement, depuis que "j'ai arrêté de me chercher", pour reprendre les mots de Grand Corps Malade, j'ai l'impression d'en apprendre petit à petit bien plus sur moi que ce que j'ai pu découvrir auparavant. L'idée de ce que je voulais être et que je voulais donc trouver biaisait très probablement mes recherches, alors que maintenant je tire mes enseignements de ce que je vis en étant ce qui est sûrement moi-même.
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Printemps soit peu L’hiver se montra âpre un tant soit peu, Mais maintenant, pour un printemps, soit peu, Le beau temps nous donne tout ce qu’il peut. La grenouille coasse dans l’étang, Le bourgeon éclot en rameau latent, C’est certain, le printemps est dans les temps, Et il augure l’été qui l’attend, Inaugur’ le ciel bleu ; l’été l’étend. Il est les abeilles ; l’été, les taons. Dans les champs de fleurs, le printemps se sent, Dans les chants d’oiseaux, le printemps s’entend. Nul ne peut fair’ le tour, même en cent ans, De cet éternel recommencement.
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Ici, il n'est pas question d'un supermarché mais d'une petite boutique de cosmétique.
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C'est un travail d'être choqué par un comportement naturel ? Tu fais de la sensiblerie me semble-t-il , non ? je pense que si il l'a fait c'est qu'il y avait une bonne raison On ne doit pas avoir la même définition du mot sensiblerie. Je n'ai que peu faire de tes conjectures, seuls les faits m'intéressent et en l'occurrence, je lis : "Au moment précis où celle-ci rangeait sa carte bancaire avec une facturette de 413 euros, une des vendeuses (pas celle qui s’était occupée de nous, et qui avait été très bienveillante) m’a demandé de quitter le magasin car l’allaitement choquait le vigile". Le vigile n'a rien fait, si ce n'est peut-être se plaindre à la vendeuse.
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C'est un travail d'être choqué par un comportement naturel ?
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Beaucoup de bruit pour pas grand-chose. Je doute fort que ladite mère soit exhibitionniste et ait sorti son sein par gaieté de cœur. Elle a, au contraire, eu la pudeur d'allaiter son rejeton discrètement. On ne peut pas lui reprocher le manque de pudeur des gens soi-disant choqués qui ne sont pas capables de ne pas regarder ce qu'ils disent ne pas vouloir voir.
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Tu m'as l'air fâché avec l'ironie. Je plaisantais. Je n'aurais évidemment pas laissé Merah dehors. Mais je ne l'aurais pas exécuté non plus, du moins pas contre sa volonté. Sauf que ces soi-disant monstres sont des êtres humains, que tu le veuilles ou non. Enfin bref, j'ai l'impression que parler à un mur serait plus constructif.
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Le mettre en prison ? Pff, je ne suis pas irresponsable. Je l'aurais relâché. Est-il nécessaire de préciser que je plaisante ? Comme c'est commode de déshumaniser un criminel ! Vouloir la mort d'un être humain, au grand jamais ; mais celle d'un monstre, oui, ça ne donne pas mauvaise conscience.
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Tu as l'impression d'être cohérent, là ?
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Tarentule Tu es élégante, malgré tes poils aux pattes, Aimée ou détestée, tu fais fuir ou épates, Rarement tu ennuies ou laisses indifférent, En tout cas, je te suis, pour ma part, déférent. Nulle autre que toi ne tisse sa toil' sans soie, Tu fonds sur tes proies sans même qu'elles comprennent.* Un pas après l'autre, j'avance, tu recules, L'image est floue, comment veux-tu que je te prenne... En photo, dis-moi tout, petite tarentule. konvicted *Les tarentules sont des araignées-loups, elles chassent en courant et en bondissant sur leurs proies.
