konvicted

Ce commandement étant censé venir d'un dieu ayant exigé multitude de bêtes en offrandes et demandé à l'homme de soumettre les animaux, je ne vois pas comment on pourrait décemment prétendre qu'il s'applique aux animaux (autres que l'homme). C'est complètement bidon comme argument. Les porcs qu'on mange ne sont pas morts par hasard, on les a tués pour qu'on puisse les manger.

Édition : Ouaip, si les histoires d'amour sont comme les voyages en train comme le croit Grand Corps Malade, rien de tel qu'un voyage en métro pour vous dégoûter des partouzes. D'après le rapport du Haut Conseil à l'Egalité entre les femmes et les hommes demandé par le gouvernement (voir l'article du Monde), cette statistique vient de : Si on suit ce genre de méthode, suffit de faire un sondage à la foire au jambon de Bayonne pour conclure que 100% des Français mangent du porc. N.B. : Qu'est-ce que c'est que cette lubie de parler de harcèlement sexiste ? Harcèlement sexuel, ça ne fait pas assez malsain ? Édition : Enfin, ce que je veux dire, c'est que je trouve le terme mal choisi parce qu'il désigne des comportements qui, bien que d'ordre sexuel, ne sont pas forcément intrinsèquement sexistes et qui relèvent rarement de harcèlement à proprement parler.

Elle dit qu'elle a toujours assez d'argent sur elle pour payer au cas où elle se ferait pincer, pas qu'elle aurait les moyens d'acheter tout ce qu'elle prend si elle payait à chaque fois. Ça t'exaspérerait peut-être moins si tu pensais sans te faire des films.

Bah, j'ai reçu des gifles dans mon enfance, je suis toujours un petit con. Et quand bien même la violence aurait des vertus éducatives, un individu lambda n'a aucune légitimité pour faire figure d'autorité sur un inconnu.

Ah oui, effectivement, celle qu'il a giflé ne l'avait pas (encore) insulté. Du moins pas sur ce qu'on en voit.

Le droit de ne pas se prendre une gifle n'est pas l'apanage des femmes. On peut sauvegarder ton post sur son PC, ça aussi, ça fera un bon souvenir. Je vais commencer un recueil de tes citations, tiens.

Un bulbe ? L'image, tirée de la série Futurama, est simplement là pour signaler la réanimation de mon blog après plus de trois mois de léthargie d'une manière ouvertement putassière ; l'idée étant de conditionner le lecteur à apprécier un texte médiocre grâce à la représentation hautement cool d'un robot fumant un cigare. Il est tétard, donc né pataud ?

À voir la vidéo, je dirais que les deux sont perdants. Et qu'ils soient en faveur du mec ou de la nana, la plupart des commentaires sont à chier, je ne donnerais aucun crédit à leurs auteurs, plutôt un Bescherelle.

T'es sûr qu'elle ne lui dit pas "sale fils de pute" d'abord ? À moins que l'énergumène qui s'est fait gifler soit une féministe reconnue, cette altercation illustre mal la contradiction que tu soulèves.

Oui, il est lac ou il est étang, c'est presque la même chose, je ne vais pas chipoter.


Le tour du lac 
Rester cloîtré des mois à rien branler Contre toute attente n'est pas si chouette, Ça soumet l'amour-propre et la silhouette À des ennuis qu'on n'a pas calculés. Mes fringues ont l'air d'avoir rétréci, Je suis même à l'étroit dans mes godasses Donc soit mon moral y prend trop de place, Soit mes pieds ont dû enfler eux aussi. Fini de manger comme quatre porcs, Surveiller sa ligne, ce n'est pas digne Que des pêcheurs et des juges de ligne, Et dorénavant je me mets au sport. À l'aurore, je mets un placard à sac Pour en extraire un survêt' et des grolles Que j'enfile sûr de tenir parole Et d'enquiller pénard les tours du lac. Mais c'est à peine si je sais courir Et, le cœur en avance sur son âge, Après un quart de tour je suis en nage, Je halète, j'ai mal, je veux mourir, Je suis même sur le point de coter Cette résolution « échec ultime » Au moment où je crois être victime D'une attaque, en cardiaque patenté. La faute à une joggeuse au minois Transpirant l'effort dans une grimace Qui peine à en dénaturer la grâce Cependant qu'elle galope vers moi. Soudain gonflé d'allégresse, je feins De ne pas avoir les jambes en mousse, Persévère pour revoir sa frimousse Et de nouveau respirer son parfum ; La recroise trois quarts de tour après, Et le jour d'après, et les jours qui suivent, Elle est pour moi comme une coach sportive, Mais sans m'engueuler et sans faire exprès. Aujourd'hui, presque un mois s'est écoulé Depuis que j'ai quitté mes pantoufles, J'espère avoir bientôt assez de souffle Pour ne stopper qu'afin de lui parler.

C'est terriblement vulgaire comme terme, MILF. Je propose MILK à la place : Mother I'd Like to Know ; l'euphémisme est tellement plus élégant.

Ce n'est pas parce qu'il en est l'initiateur qu'il en est le seul responsable. Qu'est-ce qui t'oblige à lui répondre si tu sais qu'il trolle ?

L'erreur, c'est de croire qu'un meilleur équilibre des rapports hommes-femmes ne pourrait profiter qu'aux femmes, alors que ça concerne tout le monde, les normes sociales tendant à imposer qu'une femme soit comme ceci et qu'un homme soit comme cela. Voir cet article.

Qu'on cherche une personne imaginaire ici ou ailleurs...

Elle est bien gentille, la madame, mais avancer des statistiques sans en donner les sources, ça n'apporte pas grand-chose au débat. Certes, les femmes travaillent en moyenne moins que les hommes (plus d'emplois à temps partiel, moins d'heures supplémentaires), mais l'INSEE indique aussi que cela n'explique qu'en partie les différences salariales : Source Ce gap de salaire horaire seul ne veut pas dire grand-chose puisqu'une différence de salaire entre deux individus peut s'expliquer par une multitude de critères : secteur d'activité, poste occupé, ancienneté, diplômes, etc. Mais d'après cette étude de l'INSEE et de la DARES, il semblerait que la multitude de paramètres pris en compte ne suffise toujours pas à expliquer cet écart de salaire horaire (voir tableau 7 et encadré 5).

Le "on" de la phrase de O))) fait écho au "on" de ma phrase qu'il cite, ce qui n'est évidemment pas le cas du tien. Et ce qui me dérange dans ton post, c'est que tu compares les bassesses rhétoriques et autres procès d'intention que O))) et moi évoquions et le faux argument du manque d'humour, comme si les deux s'équilibraient, alors que leurs auteurs ne se répondaient même pas. Si tu veux vraiment faire une comparaison, tu peux opposer le faux argument de l'humour de merde imputé par certains à ceux que la vidéo fait rire au faux argument du manque d'humour attribué par d'autres à ceux que la vidéo choque. Enfin bref, ça commence à devenir abstrait tout ça, let's agree to disagree comme on dit outre Atlantique, je propose qu'on en reste là. Ou du moins que j'en reste là.

Tu sais très bien qui, tu as suivi le topic. Mais je crois pouvoir dire que tu n'en fais pas partie, si c'est le sens de ta question. Qui ça "on" ? Tu assumes tout ce que les personnes qui ont de près ou de loin un avis proche du tien ont dit sur ce topic, ou tu essaies juste de noyer le poisson ?

Le mot était mal choisi, je n'entendais pas condamner au sens juridique. Mais je crois que je t'ai mal compris ; dans "Après, que les gens trouvent cela grave ou non, c'est l'objet du débat.", je croyais que tu parlais des gens commentant l'affaire, et en fait tu parlais des cibles de caméras cachées !? Quant aux réactions desdites cibles, je pense que dans un premier temps la stupéfaction est universelle et que ce qui la suit dépend de la personne. Eh oui, dire que Rémi Gaillard s'en serait pris une s'il avait fait ça sur un mec est une présomption (voir cet exemple de O)))). Édition : Le bon lien n'envoie pas sur le bon post... C'est sur cette page.

On nous l'a déjà sorti plusieurs fois sur ce topic, le raccourci "tu n'y vois pas une agression sexuelle parce que t'es miso", comme si vous saviez qu'on condamnerait cette caméra cachée si et seulement si la cible avait été un homme, mais présumer de ce qu'un interlocuteur pourrait penser n'est pas un argument valable.

Je ne sais pas... Peut-être : il est mal d'abandonner un chien sur la plage.

Tu n'as pas une question plus facile ? "Quel est le sujet d'entente ?", par exemple.