Black3011

J'ai trouvé ton talon1 d'Achille ! : bancal, bancale, bancals adjectif 1. Littéraire. Torse, en parlant des jambes. 2. Dont l'un des pieds est plus court que les autres : Fauteuil bancal. 3. Qui est mal établi, sans base solide : Raisonnement bancal.

"Anarchiste chrétien", déiste, voltairien... ce philosophe a tout pour me plaire ! Je ne suis pas sûr de bien comprendre ta dernière phrase : il doit y avoir une faute de frappe, mais je n'arrive pas à rétablir la phrase correcte que tu voulais énoncer. En tout cas, n'oublions pas que la Passion de Jésus avait pour but sa résurrection (selon les dires de Jésus lui-même !). Mais en tout cas je pense que cette notion de "non puissance" est intéressante d'un point de vue théologique. La distinction entre "toute-puissance" et "non puissance" permet notamment de résoudre le problème du mal dans le Monde. En fin de compte, cette notion ne se rapproche-t-elle pas de celle d'épochê (suspension du jugement, voire même de toutes ou de certaines formes de passage à l'acte) ?

Bonjour ! Voici des exemples de phrases trouvées dans des ouvrages officiels et reconnus, et qui sont clairement bancales, mal construites. Ce qu'on appelle des exemples de solécismes. Tout le monde peut apporter sa brique ! Premier exemple, trouvé dans le Memo Larousse de 1989 : "Le costume grec classique est fait de rectangles d'étoffe de laine, lin, coton, voire soie après l'invasion de Xerxès et les contacts avec l'Asie, qui ne sont pas cousus". (Commentaire : on n'a pas cousu les contacts avec l'Asie ??? )

Vous avez lu le commentaire de l'article ? "Le gars a roulé 20h au lieu de 20 minutes, il a fait plusieurs fois le plein d'essence, et il a réussi à réserver un hotel dans une langue qu'il ne parle pas... Le gars a juste voulu disparaitre et il s'est fait avoir." ...et on ne dit pas non plus qui était avec lui dans la chambre d'hôtel ! (Je croâ qu'il y a des très jolies Croates... )

La meilleure réponse, c'est un bisou. (sur la joue ou sur la bouche, selon le cas)

C'est ce qui s'appelle un doublon... mauis bon... Je préférais mon image !

C'est vrai qu'on est "désinhibé" sur un forum, on ose dire des choses qu'on ne dirait jamais en face à face. Mais c'est un peu comme le vin : chez certains, ça rend gai et amical (voire même "collant", si vous voyez ce que je veux dire), alors que chez d'autres, ça rend méchant, hargneux, ou même carrément crapuleux ! Personnellement, quand j'ai tout le temps pour formuler mon message, ça me permet de choisir mes mots, d'éviter de dire des énormités, de m'exprimer de façon plus "élégante" ("qu'en termes élégants ces choses-là sont dites"... qui a écrit ça ?... Son nom commence par M !).

C'est un peu hors-sujet : je parlais de rêve au sens plus poétique du terme : s'évader du réel, méditer, se rappeler des bons souvenirs, fantasmer, etc... Mais soit. En réponse à ta question : oui, personnellement cela m'est arrivé plusieurs fois (mais pas toujours !). Quand on dort, il y a une partie du "cerveau rationnel" (hémisphère gauche, je crois) qui fonctionne et qui peut dire : "non, ça ce n'est pas possible, je dois être en train de rêver". D'ailleurs, quand c'est le cas, je me dis que donc "tout est permis" et je fais des choses un peu folles, comme sauter d'une falaise pour me mettre à voler (et ça marche !)

Mourir, cela n'est rien Mourir, la belle affaire Mais vieillir ! Oh oui... vieillir !... (ça c'était de Jacques Brel). --------------------------------------------------- Vieillir peut être dur, mais ça peut aussi être une belle aventure, c'est vrai... surtout si on la vit "aux Marquises" (du moins en rêve...). D'ailleurs je pense qu'on ne vieillit vraiment que quand on ne rêve plus ! (ça c'était mon opinion personnelle...)

Mes oreilles entendent Mes yeux voient Mon nez sent (smells) Ma langue goûte Ma peau sent (feels) Mon cerveau pense... ...et moi, je fais quoi ?

Ce topic m'a l'air pas mal. Je vais continuer à le lire. Tiens, j'ai envie d'un café. Avec deux sucres. Quelle heure est-il ? Midi et demi. Bon, je vais sortir prendre l'air, ça me fera du bien.

La définition de départ n'est pas seulement simple, elle est simpliste et trompeuse. Il y a confusion de la notion de mythe fondateur, qui sert de métaphore aux psychanalystes. Oui, c'est un mythe grec, et alors ? Pour expliquer le processus, il valait mieux partir de quelque chose de connu. Au début, Freud s'adressait essentiellement à des Occidentaux. A part ça, toutes ces remarques sont intéressantes, mais on sait bien que Freud est dépassé, ceci est un combat d'arrière-garde assez dérisoire. Ca peut avoir juste un intérêt historique ou paléontologique !...

- Bon, dit une femme à son mari, je vais passer la soirée chez ma mère. Alors, pour ton dîner, tu prends dans le congélateur une boîte de chili con carne; tu enlèves le couvercle, tu le mets sur une assiette, tu mets le four micro-ondes à 1000 w et tu le fais marcher pendant 3 minutes. OK ? Le mari soupire. - Franchement, dit-il, je suis vraiment trop fatigué après une journée au bureau. Je ne me sens pas la force de faire la cuisine ce soir. Non, je vais plutôt téléphoner pour qu'on me livre une pizza !

Je réagis au 1er paragraphe. Les autres suivront en son temps... Donc : la psychopathie est une entité clinique bien définie au niveau psychiatrique et/ou psychologique. C'est un item du DSM-III, en particulier, ainsi que des versions ultérieures ! (on est déjà au V). La définition est assez complexe, bien sûr. Mais de toute façon, intuitivement déjà, cela m'étonnerait fort qu'un psychopathe avéré (diagnostiqué comme tel par un praticien diplômé) soit accepté dans une quelconque communauté scientifique. Reste le sens métaphorique, très prisé chez les jeunes adolescents actuels : et dans ce cas, oui, peut-être - mais ce n'est plus un sujet scientifique... D'ailleurs, si ce topic est placé en "Religion et cultes", déjà, c'est évident. Le problème, c'est que je n'ai pas encore saisi le rapport avec ce thème. Peut-être dans un an ou deux, quand j'aurai terminé de lire le post ci-dessus ?

Effectivement, dans certains cas il y a un aspect fonctionnel très important. S'il n'y avait pas de code de la route ni de lois, il est clair qu'on tomerait vite dans une situation assez anarchique. Sans doute, la police et l'armée, malgré la présence de rituels d'ordre symbolique (ex. les uniformes, les grades, ...), cherchent à maximiser le versant "efficacité" au dépens de la ritualisation. Pour les jeux de société et les sports, bien que ce soit moins marqué, il y a aussi des règles "utilitaires" : en football, par exemple, pour éviter les agressions physiques... Merci pour ces nuances !

J'attire votre attention sur cette charmante expression, typiquement québécoise, qui signifie qu'on a des chouettes perspectives dans un contexte urbain. Pourtant, c'est à la campagne en général qu'on a le plus la foi ! Nous, en Belgique, on n'a pas des expressions typiques, une fois !

C'est l'un des livres de comics pour attardés les plus édités et vendus dans le monde. Les autres livres de comics pour attardés sont donc moins appréciés. Mais finalement, Umpokito, est-ce que tu sais ce qu'est un livre ?

Qu'est-ce qu'un rituel religieux ? C'est une série d'actes destinés à relier les fidèles avec Dieu, et entre eux dans un contexte cultuel. C'est le sens premier du mot "rituel". Mais ma thèse est que nous sommes baignés par les rituels dans tous les domaines de notre vie quotidienne, et ce, que nous soyons croyants ou pas. Les sens principaux du mot "rituel' sont d'ailleurs : (1) "ensemble de règles fixant le déroulement d'un cérémonial" ou (2) "manière de faire dans un groupe, une société". Si on prend une certaine distance, on trouve des rituels : 1. Dans le domaine religieux : c'est le sens le plus courant. Il y a la messe (l'eucharistie), qui est le fait de recevoir l'hostie après lecture d'une série de textes considérés comme sacrés, suivant une séquence immuable. OK, tout le monde connaît je pense. Mais il y a aussi : le fait d'associer les jours de l'année à des "saints" (des gens qui ont eu une vie exemplaire d'après les critères de l'Eglise; Et encore, même chez les non-croyants : les jurons : "nom de Dieu", "Sacré non", "My God", etc.; je pense encore à la façon dont sont médiatisés certains événements religieux, comme l'élection d'un nouveau Pape, la messe de Noël, les grands pèlerinages (ex. pour les fêtes musulmanes, le "Hadjj" à la Mecque). 2) Dans le domaine du droit: les règlements, les lois, le parlement, les amendes, les procès, la police, le code de la route, les "3 pouvoirs" (exécutif, législatif et judiciaire), la politique, ... 3) Dans le domaine commercial : l'argent, la Bourse, la spéculation, les prix, les banques, ... 4) Dans le domaine ludique ou du divertissement : les jeux de sociétés (avec règles), les sports de compétition (même "amateurs"), les paris, ... 5) Dans le domaine artistique : les événements musicaux (concerts, festivals, compétitions diverses), les expositions (en peinture, sculpture ou autres), les shows (danse, théâtre, représentations diverses), ... Bref, nous sommes environnés de rituels ! Il est bon d'en être conscient avant de critiquer un domaine particulier, comme justement la religion !

Le mythe du péché originel concerne l'humanité toute entière. Mais c'est un mythe. A lire entre les lignes. C'est le symbole du mal humain... des guerres en particulier. Bien sûr il y a des "justes", notamment ceux qui croient en Dieu justement. Ou en tout cas ceux qui ne commettent pas le mal. Tout ça est bien plus compliqué je pense. Mais je m'adresse à toi, @Phylou : situe-toi, est-ce que tu crois, ou est-ce que tu as cru, en Dieu ? Et en la Bible ? Tu la critiques, mais il y a bien des livres critiquables. Pourquoi justement celui-là plutôt qu'un autre ? NB : J'aimerais bien que tu ne répondes pas à des bribes de mes posts, en mettant à la trappe tout le reste, mais que ta réponse tienne compte de l'ensemble de mon discours ! Merci.

Voilà ! Vous venez de donner une excellente citation. "...pour que le Monde soit sauvé par lui". Et Jésus, même s'il a douté quelque peu (d'où le "Lamma sabakhtani"), est quand même mort. MAIS surtout, surtout... il est ressuscité, ce que vous semblez éluder !

Ce n'est pas Dieu qui a "fait crucifier" Jésus : d'après la Bible, celui-ci aurait très bien pu refuser de "faire la volonté du Père". Il s'est offert volontairement, en tant qu'homme, au supplice, et ce pour racheter les humains. Enfin, tout ça peut se lire de façon métaphorique, hein !. On dirait que vous êtes à la fois "plus catholique que le Pape" et "plus athée que toute la Russie et la Chine des années 60"... Il faudrait savoir !

Dieu est aussi infiniment bon. Donc incapable, par définition, de créer de la souffrance. En fait, quand on dit qu'il est tout-puissant, il est sous-entendu que c'est dans le cadre de la logique, qui elle-même n'a pas été créée mais qui fait partie du tissu de la réalité (qui englobe tout ce qui existe : donc Dieu aussi). Si on sort de ce cadre, on sort aussi du "domaine" de Dieu et on se retrouve dans le néant. (personnellement, je vois le néant comme l'inverse du Créateur). De toute façon c'est difficile de traduire tout ça en mots humains, qui sont dérisoirement inadaptés pour décrire le transcendant (qui nous dépasse... par définition aussi !). D'ailleurs, j'ai dit dans un autre topic que Dieu "n'existe pas" : il est, ce qui est un peu différent. Mais ceci est une autre histoire...

Mais qui ou qu'est-ce qui a créé la souffrance ? Vous dites : "à part la souffrance, tout se crée sans souffrance". La souffrance se crée-t-elle elle-même ? Si oui, alors elle est Dieu, puisque seul Dieu est sa propre cause ! Et quelles sont les "conditions favorables" qui permettent de créer sans souffrance ? Tout ça est un peu obscur, n'est-il pas faux que ce n'est pas faux à condition que ce soit vrai ?

Au sens du nain de Blanche-Neige ? Je ne crois pas. Ca dépend... Il y a des "naïfs-crédules-peu intelligents" qui sont aussi très méchants !