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Tout ce qui a été posté par de ghoul
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En Angleterre, les rôles sont carrément inversés Là-bas, ce sont elles qui viennent te parler ! Je me baladais tranquillement, et une fille m’aborde avec un anglais sorti tout droit d’un film romantique : "Do you want to walk with me, love?" Et moi, sans réfléchir, je sors : "No, I want to sit next to you." (avec mon plus bel accent franco-maghrébin bien sûr ) Et devinez quoi ? Ça a marché. Pas de stress, pas de stratégie à trois niveaux, pas besoin d’invoquer Sartre ou de commander un verre de vin bio. Juste un échange simple, sincère… presque mignon. Donc ouais, parfois, faut juste traverser la Manche pour respirer un peu. Et qui sait ? Peut-être que là-bas, c’est moi la French touch exotique.
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Comment draguer des filles en France.
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Les costards cravates ne draguent plus.
de ghoul a répondu à un(e) sujet de vizizio dans Amour et Séduction
Je n'ai jamais entendu ou vu des cravates qui draguent -
Être trop beau et ignorer totalement une femme.
de ghoul a répondu à un(e) sujet de vizizio dans Amour et Séduction
Ah, enfin un Apollon des temps modernes qui marche parmi nous, insensible aux sirènes du monde et résistant à l’appel de la chair comme un moine shaolin... version parfumée Dior Sauvage. Franchement, ton témoignage m’a touché : c’est pas facile tous les jours d’être victime de son propre magnétisme. Tu te lèves, tu vas juste chercher du pain, et bim, trois regards en coin, un silence mystérieux, une main qui "fait semblant" de tomber son sac pour capter ton attention... Quelle vie ! Tu dis que tu ignores les femmes et qu’elles croient que c’est un jeu de séduction : je te comprends. C’est vrai que l’indifférence, en 2025, c’est devenu le nouveau "je t’aime". Mais rassure-toi : continue à ignorer élégamment, elles finiront par croire que tu es une IA. Blague à part, ton approche est intéressante. Être guidé par ses émotions sans céder à la validation sociale, c’est rare. Peut-être que tu es une énigme pour beaucoup, un mystère à la fois rationnel et émotionnel. Et tu sais quoi ? C’est bien. On a tous notre style, et visiblement le tien, c’est d’être une œuvre d’art qui se contemple… mais à distance ! Reste-toi, continue à ignorer avec panache… mais pense à hydrater ton ego : trop brillant, il pourrait éblouir les satellites. -
C qui le pauvre mec?
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Pas du tout je voulais uniquement tabasser le pauvre mec.
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Elle était blonde, jolie, et faisait tourner toutes les têtes au collège. Mais chez nous, aborder une fille, ce n’était pas simple. Il fallait… ruser. Alors j’ai monté un plan. — Écoute, tu vas l’approcher. Tu joues les agresseurs, rien de méchant. Et moi, j’arrive en sauveur. Je te filerai une bonne somme, sois-en sûr. Il a choisi un coin désert, propice au cinéma. Quand il a surgi, la fille a blêmi. Avec sa gueule de tueur mal réveillé, elle a failli tourner de l’œil. — Une boussa... juste une boussa, avait-il murmuré en appuyant lourdement sur le b. C’est là que j’ai bondi. Version Zorro sans cape, mais avec les poings. Un direct dans le nez, propre, net. Il m’a regardé, les yeux écarquillés, comme si j’étais devenu fou. Puis il a détalé sans demander son reste. Et moi ? J’ai laissé la fille là, plantée, pour courir après lui. Allez savoir pourquoi.
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La religion, veut-elle dire "façon de vivre" ?
de ghoul a répondu à un(e) sujet de Mowgli dans Religion et Culte
C'est exactement le sens de religion. Celui qui a compris ça, il a tout compris de la religion. Tout ce qui se passe autour, n'est que remplissage Le sens de la religion est réellement la meilleur façon de vivre -
Coup d'un soir Relation sexuelle sans suite Langue Télécharger le PDF Suivre Modifier Pour le film de Pasquale Festa Campanile, voir Amour sans lendemain. Pour le film d'Olivier Nicklaus, voir Plan cul (film). Les expressions « coup d'un soir », « aventure sans lendemain » et plus vulgairement, en français européen, « plan cul » désignent le fait d'avoir une relation sexuelle ne connaissant pas de suite, les participants à cette activité n'ayant pas l'intention de développer une relation durable, ou même de se revoir. L'expression désigne aussi les partenaires eux-mêmes. Néanmoins, il est possible que les partenaires décident de se revoir pour former un « plan cul régulier ». Types modifier Coup d'un soir modifier Le coup d'un soir est un rapport sexuel entre deux personnes n'ayant pas de lien affectif, et ne se revoyant pas par la suite[1]. La pratique s'est banalisée au XXIe siècle avec l'émergence des applications mobiles de rencontres[2]. Selon des chercheurs ayant réalisé une étude sur le sujet, sur les campus américains, le coup d'un soir (ou one-night-stand[3], généralement abrégé ONS) est considéré par certains comme un rite de passage, une culture[4], mais selon des études de l'Institut Kinsey, réalisées aux États-Unis en 2021, les relations sans lendemain auraient « perdu leur attrait »[5]. Plan cul régulier modifier En français européen, on parle également de « plan cul régulier » (souvent désigné par le sigle PQR) pour une relation dans laquelle les partenaires ont des relations sexuelles plus ou moins régulières mais sans se sentir engagés, c'est-à-dire que leurs relations peuvent s'interrompre brutalement sans que les partenaires doivent s'en émouvoir parce qu'ils n'ont le plus souvent pas de sentiments l'un pour l'autre[4]. Plan cul régulier affectif modifier Le sociologue Jean-Claude Kaufmann évoque « l'avènement d'un nouveau mode relationnel, ni fondé sur l'exclusivité du couple traditionnel, ni totalement orienté vers la pratique du sexe-loisir », désigné sous le terme de « Plan Cul Régulier Affectif » (PCRA). Il s'agit d'un PQR (plan cul régulier) auquel s'ajoute un lien affectif et intellectuel entre les partenaires, la notion de « partenaire unique » étant présente dans la relation, faisant ainsi du PCRA un mode de relation à part entière[6]. Notes et références modifier A.P., « Coup d'un soir: "Avec moi, c'est soit une nuit, soit une histoire" [archive] », sur L'Express, 11 mars 2016 Christine Mateus, « Applis de rencontres : «Le coup d’un soir s’est banalisé» [archive] », sur Le Parisien, 2 mars 2019 Chloé Fournier, « Comment réussir son coup d'un soir [archive] », sur GQ magazine, 4 avril 2017 Peggy Sastre, « Des scientifiques définissent le « plan cul » : entre rite de passage et facteur de risques » [archive], Le Nouvel Observateur, 23 juillet 2013. Maïa Mazaurette, « Les coups d’un soir ou la fin du tableau de chasse [archive] », sur Le Monde, 5 décembre 2021 Jean-Laurent Cassely, « Sex@mour, une sociologie du plan cul [archive] », sur Slate, 7 juillet 2010. Articles connexes modifier Sur les autres projets Wikimedia : coup d’un soir, sur le Wiktionnaire Libertinage Promiscuité sexuelle Sexualité libre Portail de la sexualité et de la sexologie
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Non je viens de voir dans google , le mot provient coup du soir. Ce que tu as cité est le deuxième cas
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Quelles réponses
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Trop limité, placer deux mots, c'est le summum pour moi. J'attends que tu m'aides à parler plus.
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Certainement j'en suis maître et propriétaire
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Je veux établir un plan de mon cul.
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J'attend fermement ta nomination commissaire
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Pour ne pas dire Laisse tomber, et à toi aussi laisse tomber. Tu n'as pas à savoir pourquoi, si tu veux répondre، c'est bon, sinon laisse tomber, inspecteur.
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Nous arrivâmes enfin à l'hôtel. Une hôtesse, femme chaleureuse au visage marqué par les traits d'Afrique, nous accueillit avec un sourire lumineux. Son "bienvenue" avait cette douceur rare, comme un baume après les secousses du voyage. La réservation fut rapidement vérifiée. Nos passeports, une fois encore entre des mains étrangères, furent soigneusement inspectés, puis rendus avec politesse. Un employé s’approcha pour nous accompagner jusqu’à notre chambre, les mains déjà tendues vers nos bagages. — Non, non, laisse ça, dis-je d’un ton plus sec que prévu. Je m’adoucissais aussitôt : — Ce n’est pas dans nos habitudes de laisser un homme se rabaisser à porter nos affaires. Il insista, sans dire un mot, mais je restai ferme. Pas par orgueil. Par instinct. Une façon de garder le contrôle. L’hôtel était propre, presque trop silencieux. Les couloirs sentaient le désinfectant et la climatisation, les murs renvoyaient un calme figé. Une fois dans la chambre, nous découvrîmes un intérieur simple mais net. Draps tendus, lumière tamisée, climatisation ronronnante. Nous étions éreintés. Après une bonne douche, l’eau chaude glissant sur nos corps tendus comme un retour à la vie, chacun de nous s’allongea, sans un mot. Pas par froid. Mais parce qu’il n’y avait rien à dire. Pas encore. Le silence avait ce soir-là quelque chose de rassurant. Et dans ce silence, nous sombrâmes. Le temps, parfois moqueur, se joue de l’humain. Il avance ou ralentit selon ses propres caprices, indifférent à nos désirs. Les persiennes laissaient filtrer quelques rayons de soleil qui venaient doucement pénétrer dans la chambre. Par réflexe, ma main tâtonna le lit à la recherche du mobile — en vain. Puis, brusquement, le réel reprit ses droits : le téléphone était dans mon sac à dos. Il indiquait neuf heures. La panique. Cette sensation sourde, déstabilisante, monta en moi comme une marée. Il fallait vite réveiller ma fille. Nous devions rejoindre un lieu précis au Caire pour entamer notre marche vers Rafah. Et surtout — détail à ne pas négliger — le restaurant de l’hôtel fermait ses portes à dix heures. Mon estomac, lui, ne négociait rien : une faim de loup me tordait les entrailles. Nous n’avions rien avalé depuis ce maigre déjeuner d’avion, aussi fade qu’oubliable.
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En réalité, une intrigue s’était doucement immiscée dans ma caboche. Une sorte de dissonance sourde. Eux, refoulés sans ménagement après une nuit blanche à l’aéroport… et nous, passagers du vol du 12 juin, passés sans la moindre embûche. Pourquoi cette différence de traitement ? Pourquoi cette indulgence soudaine ? Tout cela cachait quelque chose. Un coup fourré, oui, mais que je préférais ne pas ébruiter. Pas encore. Pas ici. L’essentiel, pour l’instant, c’était de sortir de cet aéroport. Respirer enfin l’air chaud du dehors, retrouver un semblant de calme, et rejoindre notre hôtel. Nous avions procédé au change, dans une atmosphère encore saturée de tension. Les visages autour de nous étaient flous, comme derrière une vitre embuée par le doute. À peine sortis, une nuée de chauffeurs de taxi nous encercla. Des mains qui se tendent, des regards qui fouillent, des voix qui appellent. On aurait dit des vautours tournant autour d’une proie encore debout. Mais ma fille, lucide, droite, refusa une à une toutes leurs offres. Moi, je regardais autour, sentant le piège se resserrer sans comprendre encore où il était. La première vague fut remplacée par une seconde. Plus dense, plus insistante. Pourtant, nous étions restés de marbre. Stoïques. S’ils attendaient un geste de panique, ils allaient devoir patienter. Ils restèrent plantés là, nous collant comme une ombre persistante, même quand ma fille, imperturbable, commanda un taxi via une application. Un vieux tacot des années 90 finit par s’arrêter devant nous. Sans dire un mot, nous montâmes à bord. J’avais cette sensation étrange d’abandonner quelque chose derrière moi. Pas une meute, non. Une menace. À peine la portière claquée, elle souffla calmement, presque froidement : — Ils travaillent pour la junte militaire. Si on était montés avec eux, ils nous auraient conduits à l’hôtel… pour mieux alerter la police. Le but, c’était de savoir où on dort. De nous tracer. Un frisson glacé me traversa l’échine, malgré la chaleur extérieure. Je compris à ce moment-là que nous étions déjà sur un fil, tendu quelque part entre la prudence et la paranoïa.
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"Merci pour ce petit shoot de panique gratuite, c’est vrai qu’on manquait cruellement d’anxiété en période de départs en vacances. Rien de tel qu’un petit exercice de visualisation traumatique pour bien commencer la journée ! Imaginer son gosse en morceaux sur l’A8, c’est la nouvelle version du yoga matinal ? Et ce mépris pour 'les merdias'... Heureusement que toi, du haut de ton coin de bureau, tu nous livres une prose pleine de finesse, digne d’un édito de fin du monde. Allez, la prochaine fois, n’oublie pas de nous parler de crash d’avion pour ceux qui prennent l’avion, ou de noyade collective pour ceux à la plage, histoire d’être bien complet. Vraiment, merci pour cette bouffée d’angoisse poétique."
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Phénomène social : La Misère Sexuelle
de ghoul a répondu à un(e) sujet de Osons débattre dans Société
Je vois… Tu essaies de caricaturer ma façon de voir les choses, non ? Ce « somptueux » ressemble à un clin d’œil à mon style… ou peut-être à une petite moquerie bien dosée. Si c’est le cas, aucun problème. Je reconnais le jeu — et franchement, c’est presque flatteur. -
Phénomène social : La Misère Sexuelle
de ghoul a répondu à un(e) sujet de Osons débattre dans Société
Merci pour ta réponse, c'est de cette manière que l'instruction s'invite chez Ghoule. Ah, tu m’as démasqué ! Me voilà réduit à un élève dissipé, jouant les candides dans une pièce de théâtre mal écrite, entre deux heures de colle imaginaires. Mais rassure-toi, j’essaie parfois le costume du troll, parfois celui du naïf, parfois même celui du sage incompris (mais là, c’est les jours de grande prétention). Rien de nouveau sous le soleil, certes… mais moi j’aime bien remuer un peu la poussière du décor, voir si les rideaux bougent encore. -
Phénomène social : La Misère Sexuelle
de ghoul a répondu à un(e) sujet de Osons débattre dans Société
Trop simpliste et dans un forum , je ne demande pas je prends. -
Phénomène social : La Misère Sexuelle
de ghoul a répondu à un(e) sujet de Osons débattre dans Société
J’aime ce qui est étrange, ce qui dérange un peu l’ordre établi. Il m’arrive volontairement de brouiller les pistes, de faire passer le faux pour le vrai, non pas par malice, mais pour voir jusqu’où l’autre est prêt à aller, ce qu’il cache derrière ses certitudes. Je titille, je provoque parfois — mais toujours avec l’intention d’ouvrir une brèche, de faire réagir autrement. Parce qu’au fond, c’est souvent dans l’écart, dans l’inattendu, que les choses deviennent intéressantes. -
Phénomène social : La Misère Sexuelle
de ghoul a répondu à un(e) sujet de Osons débattre dans Société
Tu n'y crois pas moi aussi. C'est de la p....dans le ciel Des traditions incroyables que beaucoup gobent.