-
Compteur de contenus
867 -
Inscription
-
Dernière visite
-
Jours gagnés
1
Type de contenu
Profils
Forums
Blogs
Calendrier
Vidéos
Quiz
Movies
Tout ce qui a été posté par de ghoul
-
Ma fille, le visage crispé et les yeux rivés à son téléphone, semblait absorbée dans une conversation tendue. Collée à son portable, elle pianotait nerveusement, l’air soucieux. Je la regardais du coin de l’œil, sentant bien que quelque chose n’allait pas. À travers quelques bribes échappées de sa bouche, j’ai compris que la situation était grave. Quelque chose se passait, et cela concernait le vol de la veille, celui du 10 juin — dans lequel se trouvait son fiancé. — Ils ont été parqués comme du bétail dans un coin reculé de l’aéroport du Caire. Ils ont passé la nuit là, sans aucune information, sans possibilité de sortir, m’a-t-elle lancé, la voix étranglée. — Comment tu l’as su ? lui ai-je demandé, un peu pris de court par cette nouvelle inquiétante. — Karim m’a contactée. Il était dans le vol . C’est lui qui m’a tout raconté. D’après lui, tous les Algériens, et même une bonne partie des Européens provenant de différent pays, partageaient un coin étriqué de l'aéroport. Ils étaient qui étaient été violemment malmenés. Ils ont reçu des coups, une vraie bastonnade. Et maintenant, l’ordre a été donné de les refouler vers leur pays. Et devine quoi ? Ils vont les renvoyer sur le vol retour… le nôtre. Un silence pesant s’installa entre nous. L’atmosphère s’était brusquement alourdie. Le voyage que nous pensions difficile, mais noble, prenait déjà des airs de confrontation imprévue. Alors que nous devions passer l'écueil de la PAF.
-
Enfin, le supplice prit fin. Pendant plus de quatre heures, j’avais enduré cette vision oppressante des ailes de l’appareil, ces énormes bras métalliques figés dans le vide, qui semblaient vibrer au moindre courant d’air, comme s’ils hésitaient entre la solidité rassurante de la technologie et une soudaine défaillance fatale. Chaque turbulence me renvoyait à cette angoisse sourde : et si l’une d’elles se détachait ? Et si cette masse de ferraille nous trahissait à mi-parcours ? Puis, lentement, l’avion entama sa descente vers Le Caire. Lorsque les roues touchèrent enfin le tarmac, un soulagement quasi collectif sembla parcourir la cabine. Les passagers, dans un élan spontané — ou peut-être par tradition — éclatèrent en applaudissements nourris. Était-ce un hommage au pilote pour son atterrissage maîtrisé, ou une manière d’exorciser la peur silencieuse qui avait plané durant tout le vol ? Je ne saurais le dire. Quant à moi, je n’ai pas applaudi. Non par indifférence, ni par snobisme. J’étais simplement trop absorbé par le fait d’être bel et bien arrivé, en un seul morceau, les deux pieds bientôt posés sur une terre que je n’avais encore jamais foulée — et dont je pressentais déjà qu’elle ne me laisserait pas indemne
-
Chapitre 1 — Le train déjà en marche Nous avons pris le train en marche. Les Tunisiens, eux, étaient déjà loin devant, en avance sur nous, organisés, décidés, et parfaitement au point sur la manière de rejoindre Rafah. Là où nous hésitions encore entre plusieurs options, eux avaient tranché depuis longtemps : ils partiraient en bus, ensemble, solidaires, déterminés. Cette décision, simple en apparence, allait bientôt se transformer en une formidable vague humaine. C’est autour du 9 juin que tout s’est réellement mis en branle. Des bus venus de différentes villes d’Algérie se sont dirigés vers Tunis, se joignant aux convois tunisiens. Et ce fut le départ. Un long cortège de véhicules, de visages tendus mais déterminés, de sacs à dos et de drapeaux, s’ébranla en direction de la Libye, dans une atmosphère de ferveur mêlée d’inquiétude. Ce n’était pas un simple voyage : c’était une marche vers un idéal, une réponse spontanée à l’appel des opprimés. La cohorte prit vite de l’ampleur. Ce qui n’était au départ qu’une initiative tunisienne devint une boule de neige humaine, attirant à elle des femmes, des hommes, des jeunes, des anciens, des anonymes venus de partout. De l’Algérie à la Libye, ils arrivaient par vagues, se joignant au mouvement comme s’ils retrouvaient une partie d’eux-mêmes en route. Pendant ce temps, ma fille, elle, semblait suivre tout cela avec une attention presque secrète. Je l’avais surprise plusieurs fois en train de consulter son téléphone, de lire des messages en silence, le regard grave. Ce n’est qu’un peu plus tard que je compris qu’elle était déjà en contact avec certains manifestants tunisiens, qu’elle échangeait des nouvelles, des conseils, des encouragements. Cela m’avait intrigué. Je découvrais chez elle une part de lucidité, de maturité peut-être, que je n’avais jamais vraiment perçue auparavant. Une conscience politique, une chaleur humaine, une inquiétude aussi. C’est peut-être à ce moment-là, en l’observant sans le dire, que j’ai compris que ce voyage ne serait pas qu’un déplacement physique. Ce serait une transformation. Pour elle, pour moi, pour beaucoup d’entre nous. Un face-à-face avec nous-mêmes, à travers les autres. 1 heure, de ghoul a dit : Le 11 juin 2025, c'était le grand départ. Nous embarquons avec Air Algérie, direction Le Caire. Ma fille, fidèle à son tempérament organisé et prévoyant, avait tout préparé dans les moindres détails : les billets, les copies des passeports, quelques provisions, et même une stratégie pour ne pas attirer l’attention. Elle avait opté pour un simple cabas en toile, discret, sans rien de suspect. « Il ne faut surtout pas éveiller les soupçons de la PAF égyptienne », m’avait-elle soufflé d’un ton sérieux, presque militaire. Moi, un peu plus détendu — ou naïf, peut-être — j’avais choisi un sac à dos classique, avec quelques affaires et mon carnet de notes. L’avion était à l’heure, ce qui est en soi un petit miracle sur cette ligne. Sur le tarmac de l’aéroport, le ciel était d’un bleu éclatant, sans un nuage pour troubler notre envol. L’embarquement s’était fait dans un calme étonnant, presque solennel. Les passagers, silencieux, se glissaient à leur place avec des gestes lents, presque cérémonieux, chacun absorbé dans ses pensées. Il y avait dans l’air une tension feutrée, celle des départs qui ne sont pas tout à fait des voyages ordinaires. Je m’étais retrouvé à la place C, loin du hublot, hélas... la plus mauvaise place qui soit : tout ce que je pouvais voir, c’était l’immense aile de l’avion, ce bras métallique figé dans le ciel, encombrant, froid, sans horizon. Une vue frustrante pour qui aime rêver à travers les nuages. Ce tas de ferraille, avec ses boulons visibles et ses volets articulés, me donnait l’étrange impression qu’il allait se détacher à tout moment. C’était irrationnel, bien sûr, mais allez dire ça à l’imagination quand on s’apprête à franchir la Méditerranée pour une mission qui dépasse de loin le simple tourisme.
-
Je ne savais pas que dans ce forum, il existait des personnes dotées d’un don mystérieux : celui de lire l’avenir des hommes, de sonder leurs intentions les plus profondes, avant même qu’ils aient fini d’écrire une ligne. À les entendre, ils savent déjà qui je suis, ce que je pense, et surtout… ce que je vais faire. Et parmi eux, cette femme, que je ne connais ni d’Ève ni d’Adam, s’est mise en tête de me prêter des pensées, des convictions, presque une stratégie cachée, alors que je ne fais que partager une expérience vécue — humaine, sensible, et douloureusement sincère. Elle me juge sur un récit encore en chantier, un texte que je construis pas à pas, avec l’aide précieuse d’un regard extérieur — le vôtre. Ce que j’écris n’a rien d’un manifeste, encore moins d’une propagande. C’est un témoignage, une trace. Et je refuse qu’on m’enferme dans une intention que je n’ai jamais eue.
-
Le 11 juin 2025, c'était le grand départ. Nous embarquons avec Air Algérie, direction Le Caire. Ma fille, fidèle à son tempérament organisé et prévoyant, avait tout préparé dans les moindres détails : les billets, les copies des passeports, quelques provisions, et même une stratégie pour ne pas attirer l’attention. Elle avait opté pour un simple cabas en toile, discret, sans rien de suspect. « Il ne faut surtout pas éveiller les soupçons de la PAF égyptienne », m’avait-elle soufflé d’un ton sérieux, presque militaire. Moi, un peu plus détendu — ou naïf, peut-être — j’avais choisi un sac à dos classique, avec quelques affaires et mon carnet de notes. L’avion était à l’heure, ce qui est en soi un petit miracle sur cette ligne. Sur le tarmac de l’aéroport, le ciel était d’un bleu éclatant, sans un nuage pour troubler notre envol. L’embarquement s’était fait dans un calme étonnant, presque solennel. Les passagers, silencieux, se glissaient à leur place avec des gestes lents, presque cérémonieux, chacun absorbé dans ses pensées. Il y avait dans l’air une tension feutrée, celle des départs qui ne sont pas tout à fait des voyages ordinaires. Je m’étais retrouvé à la place C, loin du hublot, hélas... la plus mauvaise place qui soit : tout ce que je pouvais voir, c’était l’immense aile de l’avion, ce bras métallique figé dans le ciel, encombrant, froid, sans horizon. Une vue frustrante pour qui aime rêver à travers les nuages. Ce tas de ferraille, avec ses boulons visibles et ses volets articulés, me donnait l’étrange impression qu’il allait se détacher à tout moment. C’était irrationnel, bien sûr, mais allez dire ça à l’imagination quand on s’apprête à franchir la Méditerranée pour une mission qui dépasse de loin le simple tourisme.
-
Avant de m'engager dans ce forum, riche en points de vue et en expériences diverses, j’ai pris le temps de suivre plusieurs débats et de lire les idées partagées. C’est en observant cette diversité que l’envie m’est venue de raconter, à mon tour, un épisode marquant de ma vie : mon voyage en Égypte. Une aventure humaine avant tout, vécue avec sincérité. Je n’avais jamais imaginé qu’en partageant cette expérience, certains membres – peut-être trop prompts à l’interprétation ou simplement malintentionnés – tenteraient aussitôt d’en détourner le sens, de l’instrumentaliser à des fins politiques ou idéologiques. À ceux-là, je dis simplement : calmez-vous. Mon récit n’a pas vocation à nourrir des polémiques, encore moins à faire de moi un héros ou un porte-étendard d’une quelconque cause internationale. Je ne me prends ni pour un sauveur, ni pour un messie. Je ne prétends pas aller "aider les Ouïghours" ou toute autre population opprimée à travers le monde. J’ai simplement répondu à un élan personnel, humain, concret – un appel du cœur dans une situation donnée. Je témoigne de ce que j’ai vu, ressenti, et vécu. Rien de plus. Rien de moins.
-
Quel regard la psychiatrie porte-t-elle sur la pédophilie ?
de ghoul a répondu à un(e) sujet de metal guru dans Société
Maintenant pour répondre à certaines et certains, je dirais en premier lieu que le psychiatre dans l'enceinte de la justice joue un rôle secondaire. Il fait partie des témoins et son témoignage n'est pas forcément pris en considération -
Quel regard la psychiatrie porte-t-elle sur la pédophilie ?
de ghoul a répondu à un(e) sujet de metal guru dans Société
La médecine possède ses spécialités et ni la psychiatrie ou la psychologie n'y sont représentées -
Quel regard la psychiatrie porte-t-elle sur la pédophilie ?
de ghoul a répondu à un(e) sujet de metal guru dans Société
Il est troublant de constater à quel point la psychiatrie, dans certains cas, semble chercher à excuser l’inexcusable. L’idée n’est pas de nier la souffrance mentale ni de refuser l’humanité aux auteurs de délits graves, mais de s’interroger sur les conséquences d’une approche trop "compréhensive". Entre réalité et mensonge, entre trouble réel et manipulation, il n’existe parfois qu’un fil invisible. Ce fil, c’est à la justice de le trancher — mais quand le glaive tremble, c’est toute la société qui vacille. Il ne s’agit pas d’ériger un mur entre droit et soin, mais de redonner à la justice sa pleine autorité, et à la psychiatrie sa juste place : celle d’éclairer, pas d’absoudre. -
Quel regard la psychiatrie porte-t-elle sur la pédophilie ?
de ghoul a répondu à un(e) sujet de metal guru dans Société
La question est aussi profonde que dérangeante, et soulève un vrai dilemme moral et judiciaire : comment concilier justice et compréhension des troubles mentaux sans que cela devienne une excuse systématique à la violence ou au crime ? jusqu’où peut-on aller pour comprendre un criminel sans trahir la justice ? Et peut-être qu’au fond, la vraie question est : à quel moment cesse-t-on d’être libre, et donc responsable de ses actes ? -
Ton témoignage m’a profondément touché. Ce que tu as vécu est grave, mais ce que tu fais aujourd’hui — en en parlant, en posant des mots — c’est immensément courageux. Tu n’as pas à avoir honte. Ce n’est pas toi qui as dépassé les limites, c’est lui. Et malgré la peur, la fatigue, tu as su dire non, te protéger, protéger tes enfants. C’est admirable. Je te souhaite de tout cœur du calme, de la sécurité et du repos. Tu mérites une vie douce, libre et sans peur. Et tu n’es pas seule.
-
Tout dépend du premier ou du second. Avec deux tu peux te retrouver au point de départ et quelques fois à moins X du point de départ.
-
La différence d'âge ne pose aucun problème pour la suite de votre j'espère, excellente union.
-
Je te propose de rompre ces liens et de chercher ailleurs de plus solide. Nous disons chez nous lache le fragile pour le plus solide
-
Salut à toi ! Déjà, c’est super que tu veuilles rendre ta copine heureuse. À ton âge, c’est pas les grands gestes qui comptent, mais les petites attentions sincères. Voici quelques idées simples : Écoute-la vraiment quand elle parle. Fais-la rire, même avec des blagues nulles quelques ce genre de blagues sont celles qui font le plus rire. Écris-lui un mot gentil, ça fait toujours plaisir. Offre-lui un petit truc symbolique (dessin, bracelet, mot doux). Sois là quand elle en a besoin, même juste pour parler. Et surtout : reste toi-même, c’est sûrement pour ça qu’elle t’aime ! Tu es déjà sur la bonne voie rien que parce que tu poses la question. Bravo à toi
-
Que veux-tu faire à cette fille?
-
Quand l’absence devient un mur invisible
de ghoul a répondu à un(e) sujet de Le Refuge Écrit dans Amour et Séduction
Quand le silence s’installe dans un couple… On parle souvent des disputes, des jalousies, des cris, des réconciliations. Mais on parle peu de ce silence qui s’installe sans prévenir. Pas celui du repos ou de la paix partagée. Non. Celui qui pèse, qui creuse, qui gèle doucement ce qu’il reste de chaleur entre deux cœurs. Ce silence-là n’a rien de bruyant. C’est un mur invisible qui s’élève doucement, pierre après pierre. Tu es là, à côté de l’autre. Mais tu te sens loin. Incompris(e), pas parce que l’autre ne veut pas comprendre… Mais peut-être parce qu’il ou elle ne voit même pas que tu te retires. On se dit que ce n’est pas grave. Que ça passera. Que c’est une phase. Mais une phase qui dure peut devenir une fracture. Et pourtant, tous les silences ne sont pas mauvais. Il y a des silences doux, apaisants. Des silences-trêves, où l’on respire ensemble, sans avoir besoin de mots. Mais il y a aussi ces silences qui remplacent les mots qu’on n’ose plus dire. Des silences qui pèsent plus lourd que les cris. Ce n’est pas le silence qui détruit une relation. C’est le non-dit qui l’habite, le désintérêt qu’on ne veut pas nommer, la distance émotionnelle qu’on laisse grandir sans la regarder en face. Alors, si tu sens ce mur se construire entre vous, doucement, n’attends pas qu’il soit trop haut. Parle. Murmure, si crier fait peur. Mais pose des mots, même maladroits, car parfois, un simple "Je me sens loin de toi" peut devenir le premier pont entre deux silences. Et si tu vis cela aujourd’hui, sache une chose : ton silence mérite d’être entendu. -
Est-ce qu'il a envie de cette jeune femme?
de ghoul a répondu à un(e) sujet de marianne78 dans Amour et Séduction
Le coup de la poitrine sonne bien, essaie le. Fais Attention aux cinquantenaires -
J'ai dragué une femme hier à Paris.
de ghoul a répondu à un(e) sujet de vizizio dans Amour et Séduction
des histoires pareilles m'interpellent "Ah, ce genre de soirée où le vin coule plus que la logique…" À ton huitième verre de rosé, je pense qu’on peut officiellement dire que tu n’as pas rencontré cette fille, tu l’as aperçue dans une vision mystique, genre apparition mariale mais avec une clope électronique et un hoodie. Et toi, sur le comptoir, façon vigie du Titanic version bistrot parisien — t’étais en mode “œil de lynx et foie de canard”. Quand t’as commencé à compter les verres sur sa table, là j’me suis dit : “OK, il est pas amoureux, il fait une expertise technique avant fusion.” Puis arrive la scène de la clope identique. Même modèle, même marque. À ce stade, c’est plus une coïncidence, c’est une tentative d’accouplement de vapoteurs. Franchement, j’ai cru qu’elle allait te dire : “Toi aussi t’es Verseau ascendant Chicha ?” Et puis, le verre renversé… Est-ce que c’était un geste de maladresse, un appel au secours ou une vieille technique scandinave de séduction ? Le vin sur toi, c’est pas une tache, c’est un pacte. C’est du rosé rituel. Mais là où t’as décroché le Pompon-sur-Ginette, c’est quand elle t’a enroulé dans un tissu comme un burrito du cœur. Elle te borde, littéralement, dans un bar. On est plus dans la drague, on est dans l’assistance humanitaire émotionnelle. Il manquait juste la Croix-Rouge et une soupe chaude. Et enfin, la séparation Gare du Nord, chacun son quai, chacun sa gueule de bois. Tu repars avec un Insta et l’odeur de textile nordique. Elle, avec un souvenir flou d’un mec emmitouflé dans ce qui était peut-être une nappe ou un rideau de cuisine. Bref. T’es peut-être reparti seul, mais t’es entré dans la mythologie du bar ce soir-là. Et c’est déjà pas mal. -
Lentilles de contact discrètes chez Temu.
de ghoul a répondu à un(e) sujet de vizizio dans Amour et Séduction
"LE FAUX CUL VERSION MÂLE" Tu sais ce qui m’a tué l’autre jour ? J’ai découvert que les mecs aussi peuvent porter des rehausseurs de fesses. Ouais ouais… Des caleçons avec rembourrage ! Des airbags pour fessier ! On est là dans le futur, mais personne nous avait prévenus ! Moi j’ai vu un pote à moi débarquer avec un jean slim… frère, on aurait dit qu’il transportait deux melons sous vide. Je lui dis : “ "Frérot, on dirait que t’as un couscous royal caché dans chaque poche arrière !" Il me répond tout fier : “Non, c’est du soutien moral pour mon ego.” Mais le drame… c’est quand il s’est assis. Le mec s’est affaissé comme une tente Quechua mal repliée. La fesse est partie à droite, l’autre à gauche, moi j’étais au milieu du désastre. Et t’as les filles qui regardent, elles croient que c’est 100% naturel. J’te jure, on est passé de “fais-moi rêver” à “rembourse-moi la marchandise” en 3 secondes. Mais bon, en 2025, les abdos sont en mousse, les cheveux sont collés, les fesses sont rembourrées… Finalement, le seul truc encore vrai chez un mec, c’est quand il oublie de répondre aux messages ! -
l’amour au bout de quelques années, c’est comme un vieux chargeur de téléphone : ça fonctionne encore, mais faut le mettre dans un certain angle et ne surtout plus bouger. Mais bon, parfois, entre deux lessives et trois disputes pour la télécommande, y a un regard, une vanne, ou un fou rire qui te rappelle pourquoi t’es toujours là. C’est pas magique, c’est pire : c’est humain."
-
Tu dois consulter un psy, mais je pourrais gratuitement t'aider un peu. Alors imagine que tu sois en face de moi et écoute bien. Tu crois qu’ils parlent de toi ? Peut-être… mais au pire, ça veut dire que tu es intéressant. Tu veux vraiment être le mec dont personne ne parle ? Même les plantes ont besoin d’un peu d’attention pour pousser. Tu as peur de faire des avances ? Imagine que tu es un serveur. Tu proposes un plat. Elle dit "non merci". Est-ce que tu pleures en cuisine ? Non. Tu proposes à la table suivante. Tu penses qu’on va se moquer ? Franchement, entre toi qui ose, et ceux qui se moquent sans jamais rien tenter, le vrai courage, c’est de ton côté. Les moqueurs sont souvent des champions... du canapé. "Et si elle me rejette ?" Le rejet, ce n’est pas la fin du monde. C’est comme une piqûre : ça pique un peu, mais après, tu deviens plus fort, plus résistant, et parfois même immunisé contre les casses-pieds. Et puis rappelle-toi : Tu n’es pas un livre ouvert que tout le monde lit. Tu es un roman mystérieux, et parfois, il faut oser donner une page pour que quelqu’un s’y intéresse
-
J'ai dragué une femme hier à Paris.
de ghoul a répondu à un(e) sujet de vizizio dans Amour et Séduction
Qui a payé l'addition -
La tradition arabe dit qu'Abraham avait laissé sa femme Hagar et son bébé, seuls dans le désert, dans Un endroit qui va devenir la Mecque. La pauvre maman devait trouver de l'eau pour elle et son enfant. Elle faisait des allers-retours jusqu'à la septième tentative, l'enfant frappa de son talon, et l'eau par miracle surgit du sable. Ils demeurèrent un certain moment, quand une caravane passa par là. De loin, les bédouins virent des oiseaux volés dans un endroit bien déterminé. Ils ont déduis que dans cet endroit il doit s'y trouver un puit. Et c'est ainsi qu'après avoir demandé la permission, ils s'installèrent dans cette endroit.
-
Les Arabes d'origine sont appelés les kahtanis, des Yémenites. Donc des sédentaires. loin du Cham (Iraq, Syrie, Palestine et Jordanie). Entre ces deux régions, il existait un autre groupe d'arabe, plus au nord du Yémen. des bédouins appelés les adnatites. Nous pourrons dire qu'ils ne sont pas les vrais arabes, ils ont été arabisé. Il existe aussi un autre groupe qui sont appelés les arabes disparus. Et ce n'est qu'au septième siècle que tout a été chamboulé avec l'apparition de l'islam. Comme beaucoup le disent, c'est l'islam qui a tout arabisé.