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Tout ce qui a été posté par de ghoul
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Tu veux dire l’orgasme, oui Probablement qu’il veut dire "pas forcé", c’est-à-dire que ça vient naturellement, sans effort. "mais pas apressiable" → et pas appréciable", pas très agréable". N'est ce pas?
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Tu m'excuse mais c'est important. Est-ce que tu ne vas pas jusqu'à l'orgasme?
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D’abord, je veux te dire que ton message est touchant. Ce que tu vis est douloureux, et c’est normal d’être chamboulé après 8 ans de vie partagée. Si tu veux en parler, je suis là pour écouter. Tu dis qu’elle est partie comme si de rien n’était… Tu veux raconter ce qui s’est passé ? Qu’est-ce qui, selon toi, a mené à cette séparation ? Parfois, poser les choses, même juste en mots, ça aide à y voir plus clair et à reprendre un peu de souffle. On peut en parler tranquillement, sans jugement. Courage à toi.
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Ça répond toujours pas à la question. Mais « on » a l’habitude… Et pourtant l'eau clair d'un beau ruisseau qui coule, n'est pas aussi net que mes paroles.
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Attention il ne faut pas se focaliser sur le forum. Rien de mieux que de revoir un ami, par exemple dans un café et discuter ensemble.
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Ah, le "on"… ce petit pronom modeste mais courageux. "On", c’est pas un froussard. "On", c’est ce bon vieux citoyen anonyme, qui observe, qui réfléchit, qui parle au nom du bon sens. "On" n’a pas besoin de majuscule, mais il porte des idées qui en méritent. "On", c’est celui qui se lève tôt, qui bosse dur, qui en a marre qu’on le prenne pour un idiot. Et surtout, "on", il en a ras-le-bol qu’on lui tombe dessus dès qu’il ouvre la bouche. Parce que vois-tu, "on", il n’aime pas qu’on joue au prof de grammaire pour camoufler un vide d’arguments. "On", il n’est peut-être pas parfait, mais il vaut mieux que ceux qui confondent correction grammaticale et petite revanche personnelle. Alors oui, "on" s’est exprimé. Et "on" te salue bien.
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Discuté, nous sommes là pour te remonter le moral
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comment se faire des amis sur ce forum ?
de ghoul a répondu à un(e) sujet de stefhh stefhh dans Près de chez vous
Cherche tu trouves, il y en a en quantité et qualité. -
BRAVO la mairie ! Grâce à vous, les ados découvrent les joies du travail précaire avant même le bac. Travailler 3h par jour, 3 jours par semaine, pour 60 euros, c’est parfait pour apprendre que : – leur temps vaut moins que le prix d’un ticket ciné et un kebab, – le travail des jeunes, c’est un bon plan pour les budgets serrés des communes, – et que l’exploitation, c’est encore plus digeste quand on l’enrobe de "petits plaisirs d’ados". Une idée à répandre, oui... mais dans un manuel de management cynique.
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Article indéfini qui englobe différents personnages. Il est vain de vouloir les citer. Article indéfini qui englobe différents personnages. Il est vain de vouloir les citer.
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Le livre ou le film qui vous a marqué à vie et pourquoi?
de ghoul a répondu à un(e) sujet de de ghoul dans Littérature
Je voudrais bien connaître ton interprétation -
Le livre ou le film qui vous a marqué à vie et pourquoi?
de ghoul a répondu à un(e) sujet de de ghoul dans Littérature
Tomber dans une ruche d'abeilles accidentellement" : image excellente, immédiatement parlante, et drôle. On visualise le malaise du type qui n’a rien à faire là. La liste des femmes : militantes, vengeresses, rêveuses, furies, déesses → parfaite. Ça sonne comme une ritournelle absurde et poétique, dans le style Fellini. "Culottes géantes" / "monologues sur la castration" : savoureux, bizarre, surréaliste — exactement comme le film. "Il ne sait plus s’il faut séduire, fuir, ou demander pardon à sa mère." → chute impeccable. Elle résume toute la confusion du personnage (et de certains hommes dans les années 80… ou encore maintenant). -
Le livre ou le film qui vous a marqué à vie et pourquoi?
de ghoul a répondu à un(e) sujet de de ghoul dans Littérature
Von Cholti.. n’a pas pu détruire Paris, plutôt qu’il n’a pas voulu. La femme du boulanger m'a particulièrement touché. -
Aujourd’hui, draguer, c’est un peu comme désamorcer une bombe : t’as intérêt à bien choisir tes mots, ton ton, ton timing… et à prier un peu. On a mélangé drague maladroite et harcèlement comme si un regard timide équivalait à un sifflement de chantier. Résultat : certains gars n’osent plus rien dire de peur de finir au tribunal pour avoir dit "bonjour" un poil trop chaleureux. Mais faut pas non plus faire semblant : si on en est là, c’est qu’il y a eu trop de lourds, trop de mains baladeuses, trop de "allez, sois gentille". Alors oui, restons civilisés. Oui, respectons les femmes partout, tout le temps. Mais pitié, ne foutons pas la drague sympa, respectueuse, et mutuelle dans le même sac que le harcèlement. Sinon bientôt, pour flirter, faudra passer par un notaire.
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C’est pas plutôt un mode d’emploi pour finir en prison Tu joues avec le feu et tu risques d'être brulé
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Procès d'intention, toujours, avec Miss Elisa
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35 ans sans expérience amoureuse - peut-on être heureux et comblé ?
de ghoul a répondu à un(e) sujet de Chocolatehappy dans Amour et Séduction
l’amour, c’est comme lancer les dés avec le cœur en main. Tu ne sais jamais vraiment ce que tu vas obtenir : parfois tu gagnes un lien rare, profond, transformant, parfois tu tombes sur la mauvaise face : blessure, trahison, ou simple incompatibilité. Mais ce qui rend l’amour si puissant, c’est justement cette part de risque. Ce n’est pas une science exacte, ce n’est pas une équation stable. Il y a de l’imprévisible, du chaos, du mystère. Et aussi cette étrange magie qui te fait parfois te dire : "Je ne sais pas où je vais, mais j’ai envie d’y aller." Certaines personnes préfèrent ne pas lancer les dés. Elles misent sur la stabilité, la sécurité, l’attachement sans vertige. D’autres rejouent encore et encore, quitte à perdre, parce qu’un jour elles savent qu’elles tomberont sur la combinaison qui les bouleversera. L’amour, ce n’est pas garanti. Mais c’est peut-être justement pour ça que, quand il est vrai, il vaut autant. -
C'est à toi de nous donner des conseils en tant que séducteur de Tik toc
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et tu tombes souvent amoureuse, par conséquent, il n'y a aucun problème entre vous deux. Chacun peut tomber amoureux et tout le monde il est beau, tout le monde il est gentille.
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Interview du mois... Entretien avec January, par Titenath
de ghoul a commenté un(e) billet du blog de Tequila Moor dans FFr Mag' 2.0
Lire 100 livres peut être stimulant, mais ce n’est pas une fin en soi. Mieux vaut lire 20 livres bien compris, bien digérés que 100 survolés. -
Bonjour, je vais peut-être paraître un peu à côté de la plaque, mais je viens d’un contexte culturel (je suis Algérien) où ce mot de “compagnon” n’existe pas vraiment dans la relation homme-femme. Chez nous, c’est soit le mari et la femme, soit rien du tout. Pas d’entre-deux, pas d’ambiguïté. Alors je me permets de te poser cette question : quand tu dis “mon compagnon”, tu veux dire quoi exactement ? Parce que dans ton message, je ressens beaucoup de douleur, d’attente, d’attachement aussi. Mais ce mot, “compagnon”, me laisse perplexe : est-ce qu’il s’agit d’un homme avec qui tu as construit quelque chose d’engagé, ou est-ce que c’est quelqu’un avec qui tu vis sans véritable promesse ? Je ne cherche pas à juger, juste à comprendre : parfois, la confusion qu’on ressent dans une relation commence déjà par les mots qu’on utilise pour la nommer.
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.?‘ Votre message a le mérite d’apporter une forme de clarification entre ce qui relève de la tentative de séduction et ce qui constitue une infraction pénale. Il est en effet important de distinguer ce qui est illégal de ce qui est simplement inapproprié ou maladroit. Cependant, votre raisonnement semble passer à côté d’un point central : le contexte social dans lequel se déroulent ces interactions, en particulier dans l’espace public. La drague n’est pas un acte neutre, surtout quand elle s’exerce dans un espace où les femmes — vous le soulignez vous-même — se sentent souvent en insécurité. Même sans infraction, certaines formes de drague (insistantes, non sollicitées, déplacées, dans des lieux inadaptés ou à des heures inappropriées) peuvent être vécues comme une pression, voire une agression, surtout dans un climat où les femmes apprennent dès l’enfance à être sur leurs gardes. Dire que "la drague n’est pas constitutive d’une infraction pénale" est juridiquement vrai, mais ce n’est pas parce qu’un comportement n’est pas illégal qu’il est pour autant acceptable, souhaitable, ou respectueux. L’argument du droit pénal comme seule boussole du vivre-ensemble est un peu court. D’autre part, le refus "bref et poli" que vous évoquez est souvent une stratégie de survie, non une simple courtoisie. Beaucoup de femmes savent par expérience que dire "non" trop fermement peut entraîner des réactions violentes ou humiliantes. Ce n’est pas une simple affaire de "mauvais pour l’ego" : c’est souvent un mécanisme d’autoprotection dans un environnement potentiellement hostile. Enfin, si les nouvelles générations sont effectivement plus sensibles aux violences sexistes et à la notion de consentement, ce n’est pas une mode ou une hypersensibilité. C’est le fruit d’un long combat féministe pour faire reconnaître que la liberté des femmes passe aussi par le droit à l’indifférence, au silence, ou au refus clair, sans conséquences. En somme : séduire, ce n’est pas imposer sa présence ou son désir à l’autre. C’est entrer dans une relation possible où le consentement se manifeste dès les premiers signes, y compris dans le droit d’ignorer ou de décliner sans avoir à se justifier.
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Votre message a le mérite d’apporter une forme de clarification entre ce qui relève de la tentative de séduction et ce qui constitue une infraction pénale. Il est en effet important de distinguer ce qui est illégal de ce qui est simplement inapproprié ou maladroit. Cependant, votre raisonnement semble passer à côté d’un point central : le contexte social dans lequel se déroulent ces interactions, en particulier dans l’espace public. La drague n’est pas un acte neutre, surtout quand elle s’exerce dans un espace où les femmes — vous le soulignez vous-même — se sentent souvent en insécurité. Même sans infraction, certaines formes de drague (insistantes, non sollicitées, déplacées, dans des lieux inadaptés ou à des heures inappropriées) peuvent être vécues comme une pression, voire une agression, surtout dans un climat où les femmes apprennent dès l’enfance à être sur leurs gardes. Dire que "la drague n’est pas constitutive d’une infraction pénale" est juridiquement vrai, mais ce n’est pas parce qu’un comportement n’est pas illégal qu’il est pour autant acceptable, souhaitable, ou respectueux. L’argument du droit pénal comme seule boussole du vivre-ensemble est un peu court. D’autre part, le refus "bref et poli" que vous évoquez est souvent une stratégie de survie, non une simple courtoisie. Beaucoup de femmes savent par expérience que dire "non" trop fermement peut entraîner des réactions violentes ou humiliantes. Ce n’est pas une simple affaire de "mauvais pour l’ego" : c’est souvent un mécanisme d’autoprotection dans un environnement potentiellement hostile. Enfin, si les nouvelles générations sont effectivement plus sensibles aux violences sexistes et à la notion de consentement, ce n’est pas une mode ou une hypersensibilité. C’est le fruit d’un long combat féministe pour faire reconnaître que la liberté des femmes passe aussi par le droit à l’indifférence, au silence, ou au refus clair, sans conséquences. En somme : séduire, ce n’est pas imposer sa présence ou son désir à l’autre. C’est entrer dans une relation possible où le consentement se manifeste dès les premiers signes, y compris dans le droit d’ignorer ou de décliner sans avoir à se justifier.
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Relation mère/fille compliquée.
de ghoul a répondu à un(e) sujet de sab12334 dans Education et Famille
Comment peux-tu parler de la sorte? On dit que le juge entend les deux et non un seul pour qu'il prenne sa décisions! Et surtout tu donnes des conseils à une fille de 18 ans qui ne connait presque rien de la vie. -
Il y a parfois une œuvre qui nous reste dans la tête bien après l’avoir refermée ou vue… Un livre ou un film qui touche quelque chose de profond, qui fait écho à un rêve, une blessure, une envie de rupture ou d’aventure. Et vous ? Quel est le livre ou le film qui vous a marqué à vie ? Et surtout… pourquoi ? --- Moi, c’est Sur le fil du rasoir de Somerset Maugham. Je l’ai lu à une période où j’avais un besoin presque viscéral de rupture, de fuite, de quête de sens. Ce personnage qui plaque tout pour voyager, chercher autre chose, dans l’inconnu, c’était un peu mon double imaginaire. C’était mon rêve secret : tout laisser tomber pour aller voir ailleurs si j’y suis. À vous ! Je suis curieux de lire vos œuvres marquantes.