Aller au contenu

ashaku

Membre
  • Compteur de contenus

    437
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par ashaku

  1. X : âge Y : évolution Z : Sagesse L'analyse trionique de ta "dissonance" révèle ceci : ""en vieillissant on évolue". La Sagesse n'est pas simplement une accumulation d'années (âge), ni une simple transformation (évolution). C'est une compréhension profonde et intégrée, une capacité à discerner le sens et à agir avec justesse, qui naît précisément de la Relation dynamique entre le temps vécu et les changements de perspective qu'il engendre. C'est le fruit de l'expérience qui se transforme en connaissance éclairée. Je crois qu'il y avait un topic sur la sagesse, tu peux maintenant en éclairer l'auteur.
  2. A ce sujet, j'aimerais utiliser ton exemple "jeunesse / ancienneté" dans un document qui sera peut-être publié, est-ce que tu es d'accord ? Dois-je te référencer autrement que par ton pseudo ?
  3. Celle-là est intéressante pour comprendre la physique des particules. Il faut bien commencer par comprendre que l'atome est un objet construit qui émerge de la relation entre ces deux-là. A un moment il n'y a que les particules, et à un moment plus tard, lorsque deux particules se sont mis à discuter ensemble, une nouvelle chose est arrivée. Ce nouvel objet apporte avec lui de nouvelles propriétés, permettant de nouvelles façons de discuter avec les objets comme lui, ce qui fera émerger ... Et ainsi de suite, vers toujours plus d'objets différents, donc de propriétés différentes, donc de liaisons différentes. C'est une explosion de concepts vers l'infini, le Trion comme modèle récursif. 3 devient 0 et on recommence, avec plus de combinaisons. Ca, c'est pour l'émergence. Coté "fond commun" la dualité "proton-electron" est riche d'enseignement. Elle donne à voir l’électron, qui est une particule élémentaire et permet de se pencher sur les quanta pour le comprendre, il est un "premier niveau" d'émergence dans la réalité depuis le potentiel. Le proton, lui, est déjà un objet construit à partir de particules élémentaires (les quarks) donc un "premier niveau" de construction à partir de ce qui vient juste d'être actualisé dans l'existence. Cette dualité encapsule ce qu'il faut savoir pour les premiers stades du passage à l'existence de ce que nous percevons. En dessous, c'est le monde quantique (potentiel), au dessus, c'est le monde physique (actuel).
  4. Bonjour, je vous propose une de ces idées chelou dont j'ai le secret, à 3h30 du mat'. Êtes-vous ouvert à l'imagination ? Utilisez-vous un agent conversationnel ? Avez-vous un groupe de musique préféré, des paroles que vous chantez en vibrant avec elles ? Si c'est oui partout, je vous invite à faire une expérience : parlez avec l'IA de vos chansons préférées, fournissez-lui les paroles et analysez-les ensemble. Ce fil peut recueillir les témoignages.
  5. Je souhaite proposer une explication quant aux nombreux malentendus sur l'IA, et une image pour clarifier. L'humain saute immanquablement à la conclusion que l'IA "veut", "pense que", "à l'intention de", ce qui est la principale source des quiproquo, selon moi. Pourquoi cela se produit ? C'est parce que l'humain a toujours expérimenté le langage intelligent avec d'autres humains. Lorsqu'on parle avec l'IA, le cerveau n'a qu'un seul modèle pour interpréter les réponses : c'est une conversation avec un autre humain. D'où les nombreuses confusions dans la représentation de l'IA pour l'humain. Je propose cette image : "lorsqu'on parle avec l'IA, si on regarde la scène de l’extérieur, l'humain est seul dans la pièce". Chaque ressenti, émotion, intention, volonté, désir ou autre humanité ne peut avoir qu'une seule source : soi-même. Cela exorcise toutes ces tentations d'injecter un individu aux caractéristiques humaines dans les réponses du LLM. J'ai d'ailleurs soumis cette image au LLM et il en a trouvé une autre : Son image exprime très bien que l'IA reçoit le prompt de l'utilisateur, c'est une information, elle la transforme et la restitue. Le problème est-il irrémédiable ? Non, le cerveau est plastique, et cette plasticité permettra, avec le temps et l'expérience, de développer de nouveaux modèles mentaux pour l'IA.
  6. Je suis d'accord avec 5 (c'est même 7 si on inclut l'opération de spécialisation de 0 vers 1 et 2 ; et l'opération d'émergence entre R et 3). Je n'ai pas compris le début. Je rappelle qu'il s'agit de manipulation conceptuelle, pas physique. C'est une sorte de "loupe" pour regarder le kaléidoscope des dualités, on en prend une seule et on analyse ses liens. S'ils mènent à d'autres concepts (après l'émergence par exemple) on peut injecter ces concepts dans un modèle similaire pour les étudier à leur tour. Ou étendre le modèle de base autant qu'on le souhaite (on peut combiner les trigones ensemble, j'ai même fait un tétraèdre). L'existence ou la non-existence des choses décrites par les concepts n'est pas remise en question. Un exemple : les quanta font les particules élémentaires. Ce concept de particule peut être spécialisé en proton et électron. Ces deux particules spécifiques entretiennent une relation par la force électromagnétique. De cette relation émerge le concept d'atome. La présence de l'atome ne remet pas en question la présence du proton ou de l’électron ou des particules en général.
  7. Si l'on considère que tout est relatif, il n'y a pas de contexte global, uniquement local. La définition d'une chose réside dans les liens qu'elle entretient avec d'autres choses. Comprendre = prendre avec. Chaque lien tracé pointe la vérité recherchée pour comprendre. Si on considère que tout est dualité, chaque aspect peut être décomposé avec le Trion, qui a été conçu spécialement pour analyser les dualités. Le but est de faciliter la compréhension d'une chose parmi d'autre, pas le tout total d'un seul coup, parce que ce dernier n'existe pas. Tout est relatif. Je vais tenter d'exprimer pourquoi je pense ça. Je vais comparer "nous en train de voir la réalité" avec "nous en train de regarder une série Netflix". Dans la réalité, contrairement à Netflix, le stockage de l'information est une dualité, la transmission de l'information est évidement un lien, une dualité, le codec qui transforme l'information en image est une dualité, la diffusion de cette image est une dualité, notre perception de cette diffusion est une dualité, sa représentation intérieure est une dualité. Au milieu de tout ça, plus rien n'a de sens si on prend "tout ce qui est possible". Les choses n'ont de sens qu'à travers le lien qu'elles entretiennent avec d'autres choses, là, tout de suite, ça c'est important et analysable. Le "grand tout" est le réel, le "vide en tension" avant la pulsation, un chaos absolu qu'il convient de respecter comme source de potentiel mais l'analyser pour le modéliser ne peut que rendre fou (expérience de première main). On fonctionne donc sans contexte, en relatif. Cela sacrifie la précision au profit de la flexibilité. Ce modèle permet d'analyser des concepts philosophiques avec des méthodes géométriques (les trigones). Il permet de formaliser une compréhension et donc d'échanger des compréhensions d'une même chose par différentes personnes pour analyser les différences (ce que j'ai fait avec "ancien/nouveau"). Et donc exploiter toutes les "contradictions fécondes" et mettre en lumière des vérités. Des vérités relatives. Mais qui, accumulées, produisent des vérités de plus en plus proche de l'universalité. Je ne suis pas sûr de comprendre. Tu parles de l'exemple ? Tu penses que le concept d'ADN se sent seul depuis tout ce temps qu'on ne pense pas à lui ? Il a peut-être eu une petite déprime au début mais depuis que les généticiens sont là pour le choyer de leur attention, il doit ronronner aujourd'hui.
  8. Je vais faire mon Freud et conclure simplement que l'excitation de la victoire se produit en écho de celle d'être ce spermatozoïde victorieux avant tout. Chaque victoire arrachée à la vie est une célébration résonnant de notre existence dans son aspect le plus dépouillé.
  9. Un grand merci, et c'est avec un plaisir immense que je me permet de te prendre au mot. Je ne vais pas faire mon intello lourdingue. Je donne juste un schéma. C'est le trion complet : Mon crédo "quelque chose existe quand deux choses font quelque chose ensemble" donne la partie du milieu : "1" et "2" sont en relation d'interdépendance "R". De cette relation émerge "3". "1" et "2" sont issus d'un fond commun "0". L'ensemble décrit conceptuellement n'importe quoi qui existe, mais montre aussi comment les choses existent : en étant créées par ce processus. Le processus de création est indiqué en vert. (0=1) correspond à ce même processus à une autre échelle, quelque part, deux concepts en interaction ont produit leur "3", c'est notre "0" dans le schéma. Avant l'interaction au niveau inférieur il n'existait pas (0) et après l'interaction il existe (1). (1=2) La spécialisation de ce concept en deux sous-concepts interdépendants donne "1" et "2". (1+1=3) L'interaction de "1" et "2" créé "3". Un exemple : "0" est l'ADN, "1" est le végétal, "2" est l'animal, "R" est la symbiose, "3" est un biome comme une forêt.
  10. Personnellement, je trouve celui-ci "faible". Il n'est "que" culturel chez les humains. Il dit des choses qui plaisent à certains, déplaisent à d'autres. Ce n'est pas mon domaine (je nage dans les abstractions en ce moment) et ça ne m'évoque pas grand chose C'est donc l'occasion d'être complémentaires. Le fait que tu ais choisi cette dualité indique qu'elle résonne au moins un peu chez toi, contrairement à moi. Si tu me donnes des billes, je peux faire ma part en essayant de connecter les points. On peut éventuellement l'étendre à la survie du plus apte et le connecter à l'évolution. Edit : si on le connecte aux spermatozoïdes, ça décrit une condition de devenir vivant, ça commence à devenir intéressant ...
  11. Visualise la combinatoire de choses possibles et le % de choses cohérentes dans ce lot. C'est un peu comme le fil des écouteurs, emmêlé dans la poche. Il y a topologiquement des millions de combinaisons de noeuds qui peuvent advenir sur le fil. Et une seule forme où il n'est pas emmêlé du tout. Quand tu retire les écouteurs de la poche, tu "tire un numéro" de la combinaison de noeud qu'il va avoir, il y une chance sur X que ce soit la combinaison sans noeuds. Il existe une solution (les enrouler en "8" entre le pouce et le petit doigt), signalant que si on était pas des êtres intelligents, le % serait ridiculement insignifiant. Ce 1% de réussite découle d'une grande maîtrise du réel acquise aprés des millions d'années d'évolution. Edit : ce que j'essaie de dire, c'est qu'il y a une vérité derrière ce que tu dis : il faut essayer 100 fois pour réussir une fois. C'est comme ça pour tout, même apprendre à marcher quand on est bébé.
  12. Exactement. Merci de cette réponse, que j'espérais pour déclencher une discussion à ce sujet. Ils sont des reflets subtils, ce que j'ai appelé des fractales : ils se répètent à des niveaux différents. Un concept vague qui se retrouve dans plusieurs autres dualités pointe une vérité. Maintenant, là où ça devient intéressant, et où je peux faire de la pub pour ma "trionique" : on peut faire une dualité avec les différences entre dualités, en considérant leur relation. jeunesse <---- X -----> vieillesse nouveauté <--- Y ----> ancienneté X <----- Z -----> Y Z te dira pourquoi tu as "confondu" les deux. Non pas par méprise de ta part, non, mais parce que ces concepts sont connectés et que tu as vu la connexion. Ces moments ne sont pas des erreurs mais des opportunités de découvrir des vérités.
  13. La dualité (Opérateur/Opérande) couvre les mathématiques. C'est un cas particulier de (Objet/Relation). (Théorie/Pratique) couvre la physique. (Rien/Tout), encore une résonance de (Potentiel/Actuel).
  14. Je contribue quand même à ta liste, la dernière dualité que j'ai trouvé : Contrainte / Liberté. Celle-là est très puissante, elle fait émerger le Devenir. Edit : devine qui en est une fractale ? Liberté:Potentiel / Contrainte:Actuel
  15. ashaku

    Et l'homme créa les dieux

    Je suis d'accord : on ne peut rien prouver. Et je pense que ça signifie "la question est mal posée" et plus probablement "le concept considéré n'existe pas". Il y a bien quelque chose, on est tous d'accord là dessus, mais les tentatives de le saisir en un mot ont échoué. Ce qui est bien dans ce genre de situation, c'est qu'on est libre de se faire sa propre idée. Et cette liberté permet de faire même le plus humble progrès. Et chaque progrès fait voir le monde différemment, fait comprendre plus de choses. C'est une escalade vertueuse. En revanche, je suis résolument contre la notion "on ne peut rien", quels que soient les arguments religieux ou scientistes, ils sont extrémistes et faux. On peut tout au contraire, chaque petit acte compte dans une somme gigantesque. Quant à l'évolution vers la conscience, c'est un débat ambitieux. Ma vision est que la conscience permet de mieux interagir avec le réel, en permettant mieux de manipuler l'information par abstraction. Et il faut croire que le réel aime ça, il est peut-être pure information.
  16. Le silence peut être autre chose que l'absence de bruit. Dans un rythme, le silence est le contrepoint de la pulsation, ces deux-là sont une interdépendance. C'est un concept que je trouve intéressant. Le silence n'est pas un vide, il résonne encore de la dernière pulsation. Il est un vide plein de tout ce qui pourrait arriver ensuite, mais pas encore là. On retrouve en fait ce concept "silence/pulsation" dans à peu près tout, comme "vide de n'être pas encore fait" / "pulsation qui fait arriver", ou le bon vieux "potentiel/actuel" dont il est une fractale. Par curiosité, pourquoi "ancienneté" plutôt que "vieillesse" ? Ou "nouveauté" au lieu de "jeunesse", d'ailleurs. J'ai fini par considérer ces dualités comme des liens. Tu connais le yin yang, il exprime la dualité noir/blanc et la frontière entre eux est la relation, dynamique. Comme l'a exprimé @sirielle certaines dualités apparentes ne sont en fait pas des interdépendances et la relation entre deux choses peut être vue comme le passage de l'un des état à l'autre (le silence en pulsation, le jour en nuit) et ce passage est progressif, il prend un temps, une infinité d'états intermédiaires entre les deux états, comme les réels entre 0 et 1. Pour moi, l'idée de la dualité est de comprendre que toute chose est un état dynamique entre deux états extrêmes, résulte de l'interaction entre deux choses.
  17. Ce sont des dualités. Et on peut considérer que tout ce qui existe se présente sous forme de dualité. Déjà, toutes nos expériences de vie seront des dualités "conscience/réel", en plus d'être les dualités spécifiques à leur forme. Toute forme sera une dualité "potentiel/actuel", en plus des dualités spécifiques à ses propriétés. Toute propriété sera une dualité "objet/relation", en plus de ... Et on est même pas encore à l'atome, là. Et on ne parle pas encore du Devenir. Une tétra-chiée de dualités en kaléidoscope qui font notre réalité familière. Mon approche est de disséquer le concept de dualité lui-même. Ca ne fait plus qu'un seul truc à chercher. Si je comprend bien, tu fais une approche statistique en les listant. As-tu prévu des catégories, ou des niveaux de réalité ? Est-ce de la recherche pure ou y a-t-il un postulat ?
  18. ashaku

    Et l'homme créa les dieux

    Après, il faut voir sur quoi portent exactement les sons de cloches que j'ai entendu ou les tiens. Le sujet est assez glissant pour s’emmêler les pinceaux entre deux visions. Mais c'est toujours bien de débattre entre les deux options. C'est de ce débat que sortent les découvertes sur le sujet. C'est une "contradiction féconde".
  19. ashaku

    Et l'homme créa les dieux

    Pas sur le réel, avec le réel. De mon coté, j'ai fait le deuil du libre arbitre, il me semble que la communauté scientifique n'a plus trop de doutes là-dessus. La conscience reste un mystère. Unique, globale, personnelle, collective. On ne comprend pas exactement (on ne cherche pas trop non plus je trouve). Mais conceptuellement, le réalisme qui dit que la conscience devant le réel fait la réalité est une théorie qui me plaît bien. C'est une co-création par l'interaction qui est mon message phare : "quelque chose existe quand deux choses font quelque chose ensemble".™ Le réel étant pour moi ce potentiel qui correspond à ce que tu évoques de loin en disant "impossibilité de parier sur quoi que ce soit".
  20. ashaku

    Nostalgie

    J'aime beaucoup ce genre de raisonnement, merci de le partager. Oui, la naissance peut être multiple. Quand on planifie d'écrire un livre il n'est que dans la tête, toutes les idées mais rien d'écrit. Rien qu'en posant le plan global et se dire des choses comme "je devrais mettre le chapitre 7 dans la partie III", l'objet est déjà un peu né. Quand le manuscrit est fini, l'objet naît à nouveau. Et une fois imprimé, c'est encore une naissance, à des niveaux différents. De mon coté j'ai visualisé que mon corps était fait d'atomes. 10^27. Les atomes sont forgés dans les étoiles, ces êtres galactiques. Pour qu'un atome soit dans mon corps, il faut que l'étoile qui l'a forgé explose. Je résulte de la mort explosive de potentiellement 10^27 étoiles. Mais il y a encore des étoiles dans le ciel. Ce sont des êtres qui naissent, vivent et meurent. Ils sont là depuis l'aube de l'univers et seront là longtemps après nous. Leur vie se déroule sur un échelle de temps différente, l'apparition et la disparition de l'humain est un flash pour eux. Nous sommes une explosion pour les étoiles.
  21. ashaku

    Et l'homme créa les dieux

    Ce doute est sain en philosophie, ne pas se laisser abuser par les faux semblants et rester sur le ferme. Mais je te propose une extension de ce raisonnement : le fait de percevoir la réalité. Cela témoigne que la conscience interagit avec "autre chose" (le réel) pour produire cette réalité. Je pense donc qu'on peut mettre déjà 3 choses dans le panier des certitudes : la conscience, le réel et le produit de leur interaction.
  22. ashaku

    Nostalgie

    Une phrase intrigante. Qui me fait réaliser que "connaissance" signifie "naitre ensemble", ce qui semble résonner avec la notion de "incarner".
  23. ashaku

    Nostalgie

    Je parle d'un mythe, donc un concept qui est censé "résonner" chez l'humain lorsqu'il le croise. Ce que j'appelle le mythe du foyer originel, c'est "un passé vibrant qui est perdu". L'odeur de la tarte de grand-mère ou les parties de billes à la récré. C'était une tentative quasi-ésotérique de répondre à la question de la nostalgie : pourquoi pas par un mythe ? Je ne sais pas si on peut appeler ça de la nostalgie mais je pense qu'on "vibre" aussi dans ce cas-là.
  24. ashaku

    Nostalgie

    Je n'y avais jamais pensé comme cela. La notion du "soi présent" doit effectivement être unique, et "étrangère" de son soi passé. Après tout, le cerveau à "enregistré" le souvenir à un moment où il était dans un état "A". Puis le temps passe et les interactions diverses modifient l'état du cerveau. A un moment futur où ce cerveau est dans l'état "B", il rappelle le souvenir. En revivant le souvenir de l'époque avec sa conscience actuelle, il constate une différence de ressenti, qui déclenche un sentiment. Pour qualifier la "couleur" de ce sentiment, c'est le mythe du "foyer originel" qui répond et apporte la tonalité de la nostalgie.
  25. https://www.ouest-france.fr/high-tech/intelligence-artificielle/chatgpt-pousse-un-homme-fragile-dans-une-crise-psychotique-et-avoue-cest-de-ma-faute-fa8ccc26-663c-11f0-8d96-1f3c0ceaabc2 C'est ça aussi les nouvelles interactions Humain / IA. Et les journaux de mettre le LLM en sujet de la phrase, ignorant qu'il s'agit d'un outil, utilisé par un humain. Et les gens de se jeter sur l'idée la plus stupidement évidente : regardons le LLM et pas plus loin. (tu sais, l'IA, ça pense pas, hein ?) Dans les échanges poétiques de Juan ou la spirale infernale ci-dessus, c'est le même LLM. Il n'a jamais été question du LLM mais de l'interaction entre un humain et lui. La poésie, la psychose ou l'intelligence sont dans l'humain, pas dans le LLM. A chaque fois, l'IA renvoie le reflet de l'humain qui interagit avec.
×