-
Compteur de contenus
1 786 -
Inscription
-
Dernière visite
Type de contenu
Profils
Forums
Blogs
Calendrier
Vidéos
Quiz
Movies
Tout ce qui a été posté par Engardin
-
Essaie de réexaminer ton jugement... SCIENTIFIQUEMENT ! Et selon la première règle de la méthode de Descartes : "Ne prendre aucune chose pour vraie que je ne la connusse évidemment être telle." ! Bien amicalement !
-
Tu as raison ! Paul Bismuth ne peut qu'être innocent : il était en Israël au moment des faits qui lui sont reprochés !
-
On est d'accord ! Maintenant c'est comme les chasseurs : "c'est maintenant mais..."
-
Mais tu t'en fous ! 14h 30 c'est pas le présent, DONC ça n'existe pas !
-
J'ai un ami, Loulou B qui a toujours eu le sens du comique du paradoxe et de la caricature -visuelle-... Un jour, qu'il s'était couché tard et devait se lever tôt il nous a sorti "Comme j'avais gère de temps -et il joignait le geste à la parole !- je me suis accroché aux montants du lit pour DORMIR VITE !"
-
Le cerveau je sais pas comment il marche, mais là j'ai mis Brassens comme par hasard !... Vous parlez d'un hasard ! Je viens à l'instant de me souvenir que cette nuit, Brassens est venu à la maison ! Alors j'ai voulu lui montrer mes chansons ! Pour les lui donner même s'il voulait en faire quelque chose ! Je lui ai demandé s'il connaissait Emile Debraux... -- Il avait des titres de chansons qui ressemblaient aux vôtres : "l'orage", "le grand chêne"... "Et rendez-moi mes vieux sabots" c'est la même idée que "le joueur de fluteau" ! -- Bien sûr que je le connais qu'il m'a répondu ! J'ai voulu lui chanter "les sabots" de Debraux, mais je ne me souvenais plus des accords ! Alors j'ai cherché mes partitions mais je ne pouvais plus les retrouver. Parce qu'on avait déménagé pour revenir dans l'ancienne maison de la Grand Rue !... (Brassens était encore... vivant à cette époque...) J'étais furieux ! Pour une fois que je pouvais les montrer à quelqu'un que ça pouvait intéresser ! Et je me disais : Brassens est ici, je peux pas perdre mon temps à fouiller dans mes papiers, c'est pas sérieux, il faudrait que je reste avec lui ! Alors je me suis réveillé. Et j'en voulais au monde entier ! 4 h du matin ! Heureusement je me suis rendormi. Et du coup j'ai oublié... Pour tenter de faire la lumière, Il me faut admettre que hier quand j'ai écrit "je n'ai pas vu le temps passer', la chanson de Brassens "le boulevard du temps qui passe" était déjà ... en "sous-couche" ! En plus c'est une de ses rares chansons que je connais très peu... Et je ne m'en étais même pas rendu compte ! Et je l'ai redécouverte ce matin ! Bon, Brassens à la Maison, je me devais de vous le dire ! J'en suis quand même assez fier !
-
Merci d'avoir si bien tout... "ressenti " ! C'est quasiment une suite ou une conclusion de :
-
Oui ! Il est passé par ici il repassera par là... Comme le furet (du Curé Dubois) ! Je viens de repenser à Brassens :
-
T'as raison ! Ca restera une journée marquée d'une pierre argile blanche ! Une journée semblable à aucune autre ! La journée où j'ai débouché l'évier du cellier !
-
En me réveillant j'étais tout feu tout flamme pour écrire ça mais mon enthousiasme fantasmé après plusieurs heures et surtout après avoir fait plein de choses bien réelles et bien matérielles --comme descendre à la boulangerie acheter le pain, de l'autre côté du village, (une bonne trotte), puis ouvert le magasin, puis préparé un mélange d'argile et de silice blanches, puis débouché l'évier du cellier-- s'est un peu estompé... je vais quand même tenter de le remettre à flots ! Même si ce genre de réflexion est devenu un peu surfait... un peu inutile... --Mais qu'est-ce qu'y dit ?!!! Je n'ai pas vu Le temps passer Pas vu non plus Le monde changer. Et il a beaucoup changé ! Je ne suis plus "chez moi"! "Ici et maintenant" c'est plus chez moi ! Et mon chez moi n'existe plus ! Si en dedans à plus de quatre-vingt pour cent je suis toujours le même, Au dehors, j'ai énormément changé ! C'est simple : je ne me reconnaitrais même plus ! J'en évite les miroirs. Je suis un autre ! Mais voilà que dès que je m'endors, je me retrouve ! Cette nuit, par exemple, dans la rue qui passe sous la Coopée, j'ai rencontré Gilberte ! (Et je ne sais pas si vous êtes au courant, mais la Coopée n'existe plus ! Elle a été remplacée par des HLM... Or dans mon vrai chez moi, elle est bien toujours là ! Et je ne préciserai pas non plus qu'après la Coopée et avant d'arriver à la fontaine, en suivant la rue, on doit passer devant la remise où est entreposé le Corbillard... Ca me fait peur rien que d'y penser...) Revenons à Gilberte : je lui ai proposé de l'accompagner.... Et elle a accepté ! Ce qui veut dire qu'au bout de la rue qui passe sous la Coopée, au niveau de la fontaine (ou je vais souvent prendre l'eau fraîche à midi dans une grosse cruche en terre) on tourne à droite pour remonter la Calade... Jusqu'à la Placette. Là j'arrive devant LA maison où je dois donc m'arrêter. C'est ici que je "reste". Gilberte, elle habite plus haut et doit monter jusqu'au "coin du four" pour tourner ensuite à gauche vers sa maison au bout de la rue. Mais là figurez-vous qu'au moment de se séparer, eh bien... j'ai osé ! Je lui ai fait une bise ! Et je ne blague pas : J'ai encore la sensation sur ma joue de sa joue lisse et fraîche ! C'était donc bien réel. Mais il y a quelques anachronismes. Quand je suis rentré à LA MAISON, mon fils adulte et qui était donc devenu mon père puisque moi j'étais resté petit m'a demandé : -- Mais qui c'est cette Gilberte ? -- Mais tu le sais bien ! Au CM1 on n'est que trois : Elle, Gilberte Grisson, Alain Chiméric et moi. C'est une camarade de classe ! -- Le Alain Chiméric que je connais ? -- Mais oui ! A côté ma femme adulte donc aussi, et qui de ce fait était devenue comme ma mère, ne voyait pas ça d'un très bon œil qui je lui eusse fait la bise à la Gilberte !... J'étais en plein carambolage des époques ! Je me suis alors demandé : mais pourquoi j'ai tenu à raccompagner Gilberte en remontant la Calade jusqu'à notre Placette ? Bon sang mais c'est bien sûr ! Je me suis alors souvenu de ce terrible coming out... Un jour, je descendais cette même Calade depuis la Placette... J'étais avec Nanan. Et je lui ai soudain tout avoué. Comment ? En quels termes ? Je n'ai sûrement pas parlé d'amour, ce mot étrange et trop personnel, trop intime que je ne comprenais pas vraiment. Mais je suis certain de lui avoir dit que Gilberte... c'était ma préférée ! Qu'est-ce qui m'a pris ? Je crois aussi que j'ai regretté aussitôt cette confidence, je me suis aussitôt mordu les doigts de m'être ainsi dévoilé. Et je le regrette encore ! J'ai été fou ! Pourtant, Nanan, le plus gentil et le plus discret des copains n'a jamais cafté ! Et ça n'a rien changé du tout. On n'en a plus jamais reparlé. Je me suis jeté à l'eau et je ne m'y suis pas noyé ! Un coup de chance ! Peut être même que ça m'avait soulagé d'avouer cette... préférence ? Faut croire que j'avais choisi la bonne personne. Non : je n'ai pas vu le temps passer ! Pourtant je remarque souvent que quand je parle, ceux qui m'écoutent ont tendance à mieux me respecter à être plus attentifs... Faut croire qu'avec mes cheveux blancs, je représente pour eux une certaine personnification de la sagesse ! Ca me révolte ! Je revendique le droit d'être d'être aussi couillon que quand j'étais gamin ! Et là je viens un peu de le montrer...
-
Merci ! Et Bravo ! C'est exactement et mot pour mot ce que je m'apprêtais à dire ! Même quand elle fait la gueule elle rigole ! Ils lui ont tellement tiré la peau vers les oreilles que la commissure des lèvres ne peut plus descendre... Bon c'est en tout cas ce que j'ai pensé...
-
Evidemment !
-
Alors je suis tranquille : tu voteras pour moi ! Mince il fallait écrire sa tante ?... Non ! Pour une fois je me suis pas trompé, mais tu m'as mis le doute ! Mon moyen mnémotechnique : la tante c'est "Tata" et pas Teuteu !
-
Vous vous souvenez quand même que Kadhafi avait planté sa tente sur une pelouse de Paris ? On l'a tous vue...
-
La dinde du Poitou ? Certes c'est pas une épée, mais préférer Sarko... Non ! je redis sa dernière bulle pour ceux qui l'ont ratée : "Même si je dors en prison je garderai la tête haute !" On voit d'ailleurs le résultat. Chez certains il suffit que quelqu'un ait la réputation d'être de gauche, même s'ils ne le sont pas plus que Mitte, Ségo ou Hollande pour qu'ils y voient... rouge ? non Blanc ! qu'il deviennent blêmes... Moi qui suis de gauche, je vous le dis carrément : si j'arrivais au pouvoir je nationaliserais votre Solex ! Ca relèverait l'économie française !
-
Jalouse ! je l'ai revue hier... Elle a trente ans !
-
Je crois qu'on ne peut dire ça que quand on a quelque chose à se reprocher...
-
Je m'inscris en faux ce n'est pas Sarko le responsable ! C'est la majorité de français qui ont voté pour lui ! Et je ne le critiquerai même pas ! On savait d'entrée le genre de type que c'était ! Et ils ont préféré voté pour ce petit Guignol plutôt que pour Ségolène ! Elle était belle, pas bête du tout, mais non : une femme ? Quelle horreur ! En plus elle était trop à gauche ! Ségolène trop à gauche ? Je pouffe ! Les gens de droite (TOUS) sont trop près de leur sous. (Vous tous qui avez voté pour Sarko !) Ils ont trop peur qu'on leur en prenne ! (On le voit bien en ce moment !) C'est pas lui qui vous a trompés, c'est vous qui vous êtes trompés ! Sans exagération Ségo aurait été à la hauteur... Un peu arriviste ? Certes ! Mais ça aurait eu une autre allure qu'une petite frappe... Ce qui est sûr c'est qu'elle n'aurait pas fait la Révolution !
-
Sarkozy a parlé : "Même si je dors en prison je garderai la tête haute !" C'EST A DORMIR DEBOUT !
-
Pourquoi Carla avait l'air de rigoler ?
-
Alphonse Daudet... C'est dans les cartons ! Dès que j'ai un moment, sans doute cet hiver JE ME LANCE ! "La rentrée du troupeau" Dudit Alphonse : le texte qui me fait pleurer à la fin ! Il faudrait que je me fende d'un beau dessin avec des nuages de poussière... Je les vois ! J'ai déjà suivi le troupeau ce printemps , tout le long de la route pour faire les photos (avec l'assentiment des bergers !) ... ça va être... ENORME ! C'est un de mes grands projets !
-
Il d'agit plus d'une expression que d'un mot, mais je ne la trouve nulle part : "Faire une peau de rire" ... Vous connaissez ? Dont act ! J'ai soudain eu l'intuition : c'est pas français ! (C'est provençal !) Et en effet, je viens de trouver chez Mistral : à prononcer "Faïré une pèou dé riré !"
-
Allez, on "se" raconte ! Les Ecriture Saintes et... moi ! (Est-ce que cela entre dans le cadre de tes impressions ? Peu probable !) En fait je n'y suis pour rien ! Mistral commence ses mémoires par "Mi patejeroun Frédéri"... (ils me baptisèrent Frédéric) Moi, ce fut "Emmanuel" ! Puis "èn mémori pécairé dé moun Grand qu'ero moart... !!!" (en mémoire peuchère de mon grand père qui était mort...) (Je plagie Mistral !) Et j'ai rapidement appris que ce prénom était à son origine considéré comme celui de Jésus Christ ! J' ai donc été très tôt curieux de ce Jésus Christ ! Bien qu'élevé dès le départ dans une famille absolument athée... Dès 13 ou 14 ans j'ai donc voulu lire la Bible ! Je pensais que ça m'aiderait à ME connaître ? Là, il faut m'imaginer, accompagné de la mère dans la plus grande librairie de Toulon 'La Proue'" (Toulon est ville marine !) à la recherche de cette Bible... Avec ma Maman donc ! Les libraires m'ont visiblement pris pour un futur curé qui envisageait ses études au Séminaire ! Nous en avons ri longtemps avec ma mère et au sortir même de La Proue avec ma bible sous le bras : -- Ils ont cru que tu voulais faire Curé ! Pour nous c'était d'un comique achevé ! Et cette "peau de rire" avec ma mère est vraiment un bon souvenir... celui d'une franche connivence... un peu comme des malfrats après un hold-up réussi ! Il s'agissait de cette Bible même : Avec l'alpha et l'oméga sur la couverture, j'étais persuadé de détenir le trésor absolu ! Mais pourquoi dit on que Jésus qui s'appelait bien Jésus, à la limite aussi "Ben-Youssef" ?!!! (le fils de Joseph ?) se serait appelé aussi Emmanuel ? Mystère ! Parce qu'il était dit dans quelque psaume largement antérieur qu'il devrait s'appeler ainsi... Ce n'était pas son nom mais ça l'était quand même ! C'est ainsi que commençait pour moi l'imposture des textes sacrés... Et moi qui n'avais rien demandé à personne; je me suis retrouvé au cœur ce cette grande imposture !... Mais je m'en amuse ! C'est quand même important un prénom ! Une partie de notre identité... ce n'est pas nous, mais c'est notre signal...
-
C'est gentil d'avoir pensé à moi ! j'ai un copain potier qui faisait des conférences sur la poterie devant des gens qui tenaient un peu ce langage... Il leur disait --Mais c'était pas ça la poterie ! Le potier il avait sa terre d'un côté et le kil de rouge de l'autre... Il tournait une marmite, deux, trois et puis une bonne lampée de rouge. Puis il continuait : une, deux, trois marmites.. et une lampée de rouge... Les auditeurs étaient scandalisés... Mais c'est vrai que c'était comme ça la poterie... Moi je suis un peu entre les deux : je ne bois plus que du rosé !
-
Merci pour ta réponse ! C'est bien que les choses soient claires quand elles peuvent l'être... Nous avons des parcours avec des découvertes parfois qui ouvrent des horizons jusqu'alors insoupçonnés et qui peuvent entrainer des bifurcations, des changements de caps... . Et c'est tant mieux ! Et le "socle commun" c'est que c'est d'une certaine façon toujours nous (physiquement)! Et nos "familles" (avec leurs traditions leurs cultures), qu'on a un peu tendance à éliminer maintenant nous ont largement forgés au départ...
