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Engardin

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Tout ce qui a été posté par Engardin

  1. Engardin

    C'est quoi, ça ?

    Nous en avions ici du... "canèbe" ! J'avais trouvé ça dans les archives du village : 1540 et lo 27 dal mes de Jun LAS AYGOS/ LOS HORS (les eaux, les jardins) XX. "LAS FREMOS AN DEBAT" (les femmes ont débat !!!) Facho l-espossy(ssi)on per Moser los Sendegues a causo de grant nesysytat de l-ayguo tos los jors las fremos an debat per ayguar los canebes hortoralhos e per (e)vytar tallos questyos e debas e vye de fach tos ensenble degus de ellos non discrepant en deguno manyero an hordenat e deputat ung home so es An Esteve Jues per bayllar espedyr l-aygue aus hors que n-auran plus nesysytat evyrtara (avertyra) a quascun de qui seran los hors e quascun homes e fremos seran tengus d-estar al mandat del dych deputat sus peno de trers Fl. Je traduis : Faite l'exposition (l'exposé) par Messieurs les Syndics à cause (au sujet) de la grande nécessité (besoin) d'eau tous les jours, que les femmes ont débat (dispute) pour arroser les chanvres, (et) les légumes ; et pour éviter de tels problèmes et débats et voies de fait* tous ensemble, aucun d'eux ne s'en dissociant en aucune manière, ils ont ordonné et député un homme, à savoir, Sieur Estève Jues pour expédier et donner (distribuer) l'eau aux jardins qui en auront le plus de nécessité et avertira chacun à qui seront les (ces) jardins et chaque homme ou femme seront tenus d'obéir au mandat du dit député sous peine de trois Florins... * Dans une autre délibération j'avais trouvé : "il est interdit d'aller arroser avec... UNE ARME !"
  2. (merci pour ce lien !) sur ton lien, je relève : il ne sert à rien de combattre les croyances, puisque les croyants savent déjà au fond d’eux qu’ils croient à des chimères, argumenter auprès d’eux ne sert à rien. Il est vrai que les échecs répétés de la raison contre le fanatisme, le racisme, donnent raison aux tragiques. Le croyant est de mauvaise foi, pour faire un jeu de mot. Il sait que son besoin est de croire, et il transforme sa foi en source plutôt qu’en projection, dont il sait au fond la véritable fonction (par croyant on entend ici tous les croyants, y compris les croyants laïques, ceux qui adhèrent à des « ismes » et s’y conforment ou cherchent à s’y conformer en parlant d’émancipation qui plus est). JE SUIS TRAGIQUE !
  3. Mais ils sont en chocolat ces oiseaux ?! "Ton oiseau creux, c'est un sifflet, Manu, non?" C'est vrai je n'y avais pas pensé ! Il m'est arrivé d'en faire ! on appelle ça des "rossignols"... Dans ce genre : On met de l'eau et on siffle ça imite assez bien un oiseau. Les "Tiques" On dit des "lingastes" en provençal ! Une fois on croyait que le chat en avait une à la patte... on a pris la pince à épiler... on a un peu tiré dessus !... Mais le chat a gueulé : MIAOU ! En fait c'était sur un... coussinet de la pate qu'on tirait ! Bon on ne lui a pas fait bien mal ! Qu'est-ce qu'on a été nul ! Mais on a bien ri aussi quand on a réalisé !
  4. Engardin

    Le parcours

    En tout cas, merci ! Tu m'as donné l'impression que mon histoire voulait dire quelque chose !
  5. Engardin

    Le parcours

    Le parcours. En fait il y en avait deux de parcours... Un premier carrossable qui serpentait dans le fond du canyon, et quand je dis carrossable, je veux dire "en voiture" ! Quant au parcours qui méritait vraiment le nom de parcours, il cheminait à flanc de falaise sur le bord du canyon. Du côté droit en descendant. Celui-ci était assez difficile et devait être effectué à pieds, bien sûr. Je dirais pour faire simple qu'il tenait du "parcours du combattant" . L'autre, celui du bas (en voiture) permettait d'accompagner les crapahuteurs du parcours difficile. Était-ce par mesure de sécurité, "au cas où" ? Probablement. Me voyait-ci donc à flanc de falaise... Parcourant ce parcours... Le circuit s'est révélé particulièrement épineux à un endroit. Le petit sentier très étroit traversait une zone hyper dangereuse : sur une montée de trois ou quatre mètres, les pierres de part et d'autre du passage et qui même parfois empiétaient sur lui, se trouvaient être tranchantes et disposées à la verticales telles de grandes écailles... de véritables lames de rasoir !... J'ai eu un premier réflexe de recul : "Mais il est parfaitement impossible de passer par là sans se retrouvé découpé en tranches... en bifteck... en lanières !... en serpentins sanglants ! (Me suis-je dit.) Et puis non : Cela s'est fait sans problème... Je me suis retrouvé au dessus sans coup férir ni sans savoir comment. A la fin du parcours, les quelques derniers mètres étaient carrément à flanc de paroi. Il fallait avancer sur le côté, la pointe des deux pieds sur une corniche de seulement deux ou trois centimètres de largeur, tout en s'accrochant des deux mains sur une autre corniche plus haute, au niveau du visage, mais qui n'offrait pas plus de quelques centimètres de profondeur. le tout bien sûr en se plaquant à la paroi le plus possible... Je vous vois frémir, mais il n'y avait vraiment pas de quoi ! Vu que cette corniche n'était guère située qu'à deux mètres de hauteur. Ce n'était là qu'un exercice d'adresse. Si l'on ratait son coup, il suffisait de sauter. N'empêche qu'après moi, venait un couple d'un certain âge sur le parcours. Quel âge exactement ? Disons dans la soixantaine ? Or la femme, d'entrée, renonça ! -- Ah Non ! Je ne vais pas passer par là ! Et elle descendit pour se retrouver au fond du canyon. Je vous ai dit : Deux mètres plus bas. J'ai tout de suite compris pourquoi : Elle était un peu forte... Et sans doute trop lourde pour se retenir du bout des doigts sur les cinq ou six mètres qui restaient à faire jusqu'à la fin du parcours. Mais moi qui venais de finir, j'ai trouvé ça bien triste d'abandonner à six mètres du but. Elle avait réussi à passer partout en particulier par l'endroit difficile aux pierres coupantes... C'était vraiment trop bête d'abandonner ici ! Je lui ai dit : -- Vous vous sentez capable de monter à une échelle ? Elle m'a regardé étonnée : -- Quel échelle ? -- Celle-là ! Je venais en effet de repérer une vielle échelle en bois sur le côté masquée par des buissons... -- Je crois que oui ! m'a-t-elle répondu. J'ai alors disposé l'échelle qui --coup de chance-- faisait aussi deux mètres de haut vers la toute fin du parcours à juste un mètre de l'arrivée. -- Il vous suffira une fois en haut de mettre juste un pied sur la corniche, en une seule enjambée, le pas suivant vous mènera directement à l'arrivée du parcours ! La femme a suivi mon conseil et a fini ainsi son parcours. La dernière partie la plus difficile. Si vous aviez vu comme elle était contente ! -- J'y suis arrivée qu'elle disait et répétait ! -- J'y suis arrivée ! J'ai fini le parcours ! Un peu plus bas, toute la famille m'attendait. Les enfants, les femmes, les petits-enfants. Ils étaient attablés en extérieur pour le repas. Un de mes fils est venu à ma rencontre, il m'apportait une brioche avec des grains de sucre dessus. Une brioche du genre de celles que ma mère m'apportait parfois à la récréation de dix heures le matin et qu'elle me passait à travers la grille de la cour par dessus le mur. Hélas il ne restait plus la moindre place à leur table, alors on m'a installé à une petite table carrée, juste pour une personne un peu plus haut. En effet, ce qui servait de terrasse à ce restaurant suivait la pente de la colline... Là seul, à ma petite table carrée, je me suis dit : "Voilà ! Mon rôle à moi, c'est ça : faire en sorte que les gens soient fiers d'eux ! Fiers d'avoir réussi quelque chose ! "
  6. Dois-je en conclure que le matérialiste est triste et l'idéaliste gai ? Moi qui suis (absolument) matérialiste je me marre à la moindre occasion... Je pourrais dire que les idéalistes font semblant d'être gais... mais en vrai je m'en fous ! Je vais donc conclure que je suis soit tristement gai soit gaiment triste ? J'opte pour le deuxième terme. Puisque la tristesse comme la joie ne sont que des modes. Des façons d'être au monde, de l'aborder, de l'envisager. On dit aussi "Ni optimiste ni pessimiste : tragique !" ça, ça en jette ! Je tiens là quelque chose de solide ! Un beau paradoxe que dis-je un paradoxe : un oxymore ! Qui cloue le bec à quiconque ! et qui dit tout et son contraire on ne peut plus répliquer ! De quoi on parlait déjà ? Espèce de Hollande !
  7. Et même "we've had a problem !" soyons précis ! L'autre parole mythique des cosmonautes c'est celle d'Armstrong pour son premier pas sur la lune... Et dont on a fait une absurdité : "That’s one small step for (...) man, on giant leap for mankind. " Traduit par : C’est un petit pas pour l’homme, un grand pas pour l’humanité Mais "l'homme" a un sens "générique" et signifie déjà "l'humanité" ! La phrase ne veut donc rien dire. Il aurait fallu dire un petit pas pour UN homme ! Je disais déjà ça à tous mes copains et ils ne voulaient rien entendre ! Une phrase historique d'un AMERICAIN (et le premier homme qui y soit allé) sur la lune, on n'a pas le droit de la remettre en question ! Elle est obligatoirement géniale ! Et là, je viens juste de découvrir que cette absurdité a effectivement fait polémique : Mais une fois arrivé à destination, le premier homme à marcher sur la Lune a visiblement bafouillé. Sur Terre, personne n’a vraiment entendu ce qu’il a dit. « Un petit pas pour qui ? », se demandèrent les premiers témoins qui assistèrent à l’évènement en direct. Il faut dire que 384 467 kilomètres séparaient Armstrong de ses interlocuteurs, et les technologies n’étaient pas aussi avancées qu’aujourd’hui. « La transmission n'était pas claire et nous n'étions pas sûrs d'avoir entendu le mot "un" avant "homme" », se souvient le journaliste Joel Shurkin. « C’est un petit pas pour UN homme, un grand pas pour l’humanité. » Voilà la vérité. C’est en tout cas ce qu’Armstrong, de retour sur Terre, affirme avoir prononcé. Mais la NASA a déjà communiqué l’autre version, celle que la postérité retiendra, même si le sens en est complètement changé. Durant des années, le débat fait rage dans le petit monde des spationautes. On écoute et réécoute les enregistrements pour tenter d’entendre le « a » (« un »), sans résultat… Certains accusent l’accent à couper au couteau de Neil Armstrong, né à Wapakoneta dans l'Ohio. Des scientifiques iront même jusqu’à interroger une centaine d’habitants de la région, pour leur faire prononcer la fameuse phrase, et trouver enfin une réponse. Trente ans après l’alunissage, en 1999, Neil Armstrong reviendra sur ses propos et admettra qu’il n’a pas prononcé ce « un » de la discorde. En 2016, l’université de l’Oregon a pourtant assuré, après de longues recherches, qu’elle avait de nouveaux éléments pour prouver que le « un » était bien là. la dernière fois que j'ai écouté la fameuse phrase originale, j'ai effectivement remarqué l'accent très "américain" d'Armstrong, et j'ai pas entendu le "a" (=un) j'ai entendu : "a small step for men..." !!! Là ça me va ! "Un petit pas pour des hommes, un bond de géant pour l'Humanité !" J'en déduis deux choses : Une que les français trop admirateurs des Américains défenseurs définitifs du MONDE LIBRE ne peuvent pas remettre en question quoi que ce soit de leurs idoles. On n'a pas le droit de critiquer la phrase du premier Américain sur la Lune ! On se doit de tout gober en l'état et dire que c'est formidable ! (Mais maintenant avec Trump ça devient encore plus difficile ! ) Tenez, hier j'ai eu des clients Américains ! (Marrant ! ça me revient là, en en parlant ! et c'était bien hier ! ils m'ont acheté un pichet provençal !) En partant le type m'a dit : -- en ce moment chez nous c'est plutôt difficile !" J'ai éclaté de rire et lui aussi ! Je lui ai dit : -- ne vous en faites pas ça va passer !" Et lui : -- Oui, mais en attendant on l'a ! Et deux (et l'Américain de hier est une preuve) que les Américains ne sont finalement pas si couillons que ça ! Pour eux non plus "un petit pas pour l'homme et un bond de géant pour l'humanité", ça ne veut rien dire !
  8. Engardin

    C'est quoi, ça ?

    J'ai bien fait de venir ! Glauque, je savais pour lugubre, triste, mais vert bleuté, je ne connaissais pas ! On a aussi le bleu ou le vert turquoise, mais qui sont moins... foncés, plus lumineux... Définition de glauque adjectif D'un vert qui tire sur le bleu. ➙ verdâtre. Lumière glauque. Une eau glauque. au figuré Qui donne une impression de tristesse, de misère. ➙ lugubre. Une atmosphère glauque. C'est vrai que pour une "eau glauque", j'aurais plutôt pensé à une eau crade qu'à une eau vert bleuté...
  9. Engardin

    C'est quoi, ça ?

    C'est proche du colza... et je vois aussi : D'après Jan Kops (en) dans Flora Batava, vol. 4 de 1822, la plante se distingue de Brassica rapa subsp. oleifera (navette (chou) sauvage) par ses feuilles inférieures lisses, sans poil rude, et plus larges ; ses feuilles supérieures sont moins pointues ; ses fleurs sont d'un jaune plus foncé ; et la pointe du bec des siliques est moins subulé et plus anguleuse[1]. et : La navette : une crucifère à redécouvrir La navette fourragère ou navette d'hiver (Brassica rapa subsp. oleifera forma biennis) est une plante annuelle ou bisannuelle de la famille des Crucifères (Brassicacées). Bien que proche de la rave, son système racinaire n'est formé que d'un petit pivot, mais qui a l'avantage d'être prolongé par un réseau de nombreuses racines adventives (20 cm de profondeur). Proche du colza, la navette mesure entre 30 à 90 cm de hauteur. Rien n'est simple ! je vais l'examiner de près !
  10. Engardin

    C'est quoi, ça ?

    Merci ! c'est génial !
  11. Engardin

    C'est quoi, ça ?

    Cette année autour de la maison je trouve cette plante qui pousse de partout ! C'est la première fois. Je ne la connais pas et je n'ai pas de programme de reconnaissance sur mon téléphone... elle est montée d'un coup avec la pluie à plus d'un mètre de hauteur ! Quelqu'un pourrait me dire son nom ? elle semble appartenir à la famille des choux ?... La fleur elle est sortie aujourd'hui ! et la feuille : Bonne journée à tous ! Le soleil est un peu revenu...
  12. Oui ! We had a problem... je crois...
  13. Je sens comme une force, une puissance spirituelle en toi !
  14. On est d'accord, là ton sens de "spirituel" c'est "de l'esprit". le bon sens à mon sens ! Le sens souvent donné c'est finalement "hors de l'esprit"... Ou que l'on ne peut pas comprendre, supérieur à tout... 'bidon' en, fait ! Oh mais ça me va ! Il faudrait alors distinguer les rêveurs et les cauchemardeurs ?
  15. Bavo ! On est en effet au cœur du problème ! L'exemple type c'est Jésus qui voit le ciel s'ouvrir après son baptême : Soit Dieu lui parle braiment d'en haut soit c'est lui qui se l'imagine. C'est là que pour le coup (à mon avis) la transcendance est bien une immanence ! L'humanité se divise donc en deux "sectes" les rêveurs et les réalistes. Je suis vraiment désespéré de ne faire partie que de la seconde ! Bon allez, pour mon moral je vais me rebaptiser... un rêveur... réaliste !
  16. Peut-être que beaucoup de contresens que l'on fait viennent de ce que la transcendance est tantôt "se dépasser" tantôt "être dépassé" ?
  17. Et ce problème est sur le sens du mot "transcendant" au regard de son étymologie : ÉTYMOLOGIE Transcendant : Provenç. trenscendant ; espagn. transcendente ; ital. trascendente ; du latin, transcendere, de trans, au delà, et scandere, monter.41212 Passons sur l'erreur du début : En provençal ça ne peut pas être transcendant mais "transcendent" comme en latin "transcendens"... et aussi comme en espagnol, en italien... Et l'on ne peut pas se tromper vu que les deux ne se prononcent pas pareil comme en français ! an : [an] et en : [in] ! Ceci dit "scandere" c'est monter et "trans-scandere" c'est monter au delà. Monter, donc à Partir du bas ! Or le sens que l'on prête le plus souvent et même toujours à transcendant c'est tout le contraire : qui vient d'en haut ! 'Dieu est trandscendant" par exemple. Ou la morale ou la vertu... Transcendant c'est "qui s'impose depuis "là-haut" !" Alors que suivant le sens du mot qui dit que "transcender" c'est "s'élever depuis le bas" je dois conclure que... Puisqu'elle se développe à partir du bas, puisqu'elle s'élève, la TRANSCENDANCE est une IMMANENCE ! Pour Dieu et tous ces trucs, il faudra trouver un autre mot ! Voilà ! Y avait longtemps que ça m'énervait ça !
  18. "Les gosses qu'on n'a pas éduqués ne se mentent pas à eux-memes. Ce sont plutôt ceux qui ont été éduqués dans des valeurs fortes ou supposement. " Ca c'est pas bête ! C'est à réfléchir ... faut que je trouve des exemples... mais est-ce que "se mentir à soi-même " ne tombe pas sous le coup des valeurs fermes ? On sens déjà un dédoublement de personnalité, là... Un dédoublement qui me semble à la base de (ou nécessaire pour ) se mentir à soi-même.
  19. te vexe pas, hein ? On est là pour dire ce qu'on pense même si on (moi) pense des conneries ! Mais ça : " "Spirituel" veut simplement dire en connexion avec soi-même (coeur, corps, esprit, âme , être) et en connexion avec l environnement et les autres.. Donc ouvert à croire et à voir, tout simplement. " C'est... du baratin !... Même si c'est bien dit ! En Vérité (pour moi !) Quand on parle de "Spirituel" c'est pour dire qu'il y a autre chose "au delà" (Au delà des atomes* par exemple !) Et c'est du pipeau ! D'un autre côté, bien sûr qu'il y a autre chose : le symbolique n'est pas matériel, mais... une relation, une représentation, spirituel. Mais il vient... après. Il est construit sur du non spirituel. ce qu'on donne pour spirituel est du "faux spirituel". Une idéologie ! Et l'on voit que les conséquences de cette idéologie faussement spirituelle peut avoir des conséquences gigantesque... Jusqu'à tout détruire de notre monde... *Les rayonnement, et les "champs" magnétiques et autres inclus dans les atomes si tu vois ce que je veux dire : IL N'Y A PAS DE "CHAMP SPIRITUEL" (à la base) ! Dans lequel par exemple tout baignerait. Le sprituel n'est pas au départ, mais à l'arrivée... au bout d'un moment... Quand/si il arrive ! 12 milliards d'années dans notre cas... Une paille !
  20. Oui ! On est d'accord. Il y faut de l'énergie mais en pure perte. Après faire ce qu'on veut c'est beaucoup dire... On fait aussi et sans se mentir, sans se dire qu'on veut le faire et qu'on l'a choisi, parce qu'on est obligé... Aïe ! Là aussi : peut-être que c'est de la mauvaise foi que de se sentir obligé...
  21. Tiens, Je ne le déforme pas, je suis justement en train là maintenant de l'écouter. Il pèche par la caricature. Sa pensée est souvent caricaturale. Je l'écoute, là... Mais je suis d'accord avec 99% de ce qu'il dit et je ne m'explique pas qu'il ... bascule ! Ce doit être une question d'ego chez lui... mais je l'ai aussi vu dire de trucs absolument faux, pris dans son élan. Par exemple que Jésus n'avait pas de corps et que subséquemment, il n'allait pas (il n'en parlait pas) aux... toilettes !!! Eh bien justement il en parle (dans les évangiles) des "lieux d'aisance"... Ca me fait rire ce "Jésus aux Chiottes" ! Il avait bien un corps et il a bien existé ! Même si on en a fait par la suite un personnage symbolique, et qu'on l'a refabriqué. Ce serait là un vrai travail philosophique : comment peut être transformé un être réel en personnage mythique... Mois caricatural. D'ailleurs toujours fidèle à ses pensées ? Pas vraiment. Il a été contre toutes les religions, sans distinction, mais voilà que depuis quelque temps il nous rabâche à plus soif que nous sommes... judéo-chrétiens sans arrêt... c'est à mon avis un infléchissement notoire... Phobie des arabes, de l'Islam, sans doute... Comme s'il lui était devenu indispensable de choisir son camp... Je suis moi totalement opposé à l'Islam, mais au même titre qu'au judaïsme et au christianisme... (je reprocherais d'ailleurs à la gauche, genre LFI des sympathies qui n'ont pas lieu d'être --pour un athée véritable-- envers ce même Islam...) Je mets toujours toutes ces religions dans le même panier...
  22. Pour moi c'est une grande énigme ! Se mentir à soi même (la mauvaise foi). Il faudrait étudier ça très précisément ! Où se fait le basculement ? Après, et en développement de la mauvaise foi, ou antérieurement et ce serait alors l'inconscient (qui ayant déjà pris ses décisions) "s'amenuise" se rend "vivable" et acceptable pour soi (ou feint de se raisonner) en accouchant de la mauvaise foi ? Est-ce que les deux inconscient et mauvaise foi sont-ils vraiment différents ? Je ne sais pas. Mais cette énergie que l'on trouve dans se mentir à soi même est troublante. Elle doit être en rapport ou en miroir avec l'identité, le moi, l'ego... Parce que l'égo semble presque toujours figé. Une immanence (l'égo) qui s'incruste, se... transcendantalise au fil de temps... Je crois que je vais trop vite là mais on voit mon idée...
  23. Tu me fais découvrir Peggy Sastre... Le biologiste Michel Raymond y déclare : « Peggy Sastre est […] féministe, mais elle utilise l’approche évolutionniste pour prendre en compte et mieux comprendre les différences biologiques massives, scientifiquement décrites, que l’on trouve à tous les niveaux entre l’homme et la femme. Ce qui lui permet de proposer un féminisme plus réaliste – et donc plus intéressant – car purgé de l’idéologie, commune en France, considérant qu’il n’y a aucune part de biologie dans nos comportements »[41]. Ta "critique " de la philosophie me faisait déjà penser à Onfray avant que tu ne le cites... Son idée d'opposer les deux grands types de philosophie l'idéalisme et le matérialisme pour faire simple au cours de l'histoire et dans l'enseignement officiel de la philosophie qui favorise depuis toujours l'idéalisme est "éclairante" ! C'était aussi mon impression. Pourtant son hédonisme qu'il présente comme l'aboutissement de la/sa philosophie me laisse perplexe... qui le fait bifurquer vers le Libertarisme (=de droite !) et lâcher l'Anarchisme (=de gauche) dont il se réclame pourtant encore... J'ai l'impression (ou l'intuition) que rien ne se construira dans ce sens. D'ailleurs il ne propose rien d'autre que "tout pour ma gueule" et surtout laissons les riches s'enrichir, les autres, les pauvres... on s'en fout ! Quand on expulse à grand fracas l'idéologie de gauche par la porte, c'est forcément celle de droite qui rentre subrepticement par la fenêtre !
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