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Non tu te trompes, ce n’est pas : - « … Peut être à cause d ' une révolution qui voulait casser du curé ... ». - La Révolution voulait en effet changer la société de l’Ancien Régime. Et pour cela elle avait deux ennemis : La Noblesse et l’Église. Les deux, alliés naturels, se sont acharnés du X° au XVIII° siècle à maintenir la population dans une servitude absolue. Les paysans représentaient les neuf dixièmes de la population. Et ce que ne leur prenaient pas les nobliaux et les propriétaires, l’était par le curé de la paroisse ou l’établissement religieux le plus proche. Les corvées, les impôts multiples, les spoliations en tout genre dont les paysans et la classe la plus défavorisée étaient victimes, ont largement suffi à amener nombre de Jacqueries et de mouvements de révoltes spontanées de la population. Contre les nobliaux et les religieux locaux. Lorsque l’on parle des serfs qui appartenaient à la terre sur laquelle ils vivaient, et dont les nobliaux propriétaires avaient droit de haute et basse justice, donc de mort, sur les habitants, l’on oublie généralement que dans toutes les propriétés religieuses, monastères en tous genres, prieurés, etc, et malgré les illustrations et enluminures montrant les moines au travail dans les jardins du monastère, se sont très souvent des esclaves qui y travaillaient. De vrais esclaves, appartenant à l’établissement, achetés par ces établissements religieux aux marchands d’esclaves. Cela fait hurler nombre de crétins qui ne connaissent pas l’Histoire dont ils parlent, mais les derniers esclaves qu’il y a eu en France l’étaient jusqu’avant la Révolution, dans des établissements religieux. Les curés de l’Ancien Régime, comme d’ailleurs ceux d’avant l’Ancien Régime, étaient toujours associés dans l’exploitation du peuple. Et c’est toujours le cas dans les pays sous-développés. En Afrique ou en Amérique du Sud, ou dans la majorité des pays musulmans, ou dans une bonne partie de l’Asie, ce sont les propriétaires terriens, alliés aux religieux de toutes natures qui se partagent toujours l’exploitation des habitants Et si comme tu le dis la Révolution voulait « casser du curé », c’est simplement parce que les curés en question ont toujours été les alliés et les complices des mesures qui étaient appliquées aux serfs par les représentants de l’Église et des propriétaires. Lorsqu’une population exploitée durement durant des siècles accède à sa liberté, elle commence par se venger. C’est dans la logique des choses. Voire en ce moment en Syrie.
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Ce n'est pas moi qui le dit. C'est l'Histoire de nos religions révélées.
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Tu dis : « Je pense que les intérêts de quelques individus à prendre un ascendant sur les autres cmme le motif de l'origine de la religion révélée est une erreur ». Tu as tort. Depuis les hominidés il y a toujours eu des individus qui naturellement ont été biologiquement dotés de capacités cérébrales supérieures à la moyenne de leurs contemporains. C’est toujours vrai de nos jours. Une petite minorité des personnes qui naissent est dotée d’un QI supérieur à la moyenne des individus de leur espèce. Si c’est chez les canins, le « chef » de la meute deviendra le mâle Alpha. Si ce sont des humains, dans chaque groupe et instinctivement l’un des membres deviendra le meneur des autres. Qu’il s’agisse d’enfants ou d’adultes. Ils seront les chamanes, les sorciers, les meneurs de leur groupe d’origine. Cette propension est biologique et systématique. C’est tout aussi vrai chez les adeptes du scoutisme que ce l’était chez les assassins du Troisième Reich. À partir du Néolithique, de la sédentarisation des populations, et de la création du droit de propriété, les rites qui étaient pratiqués au Paléolithique ont évolué et sont passés par différentes phases. Jusqu’au premier millénaire avant l’Ère Commune. Pour en finir avec la multitude des Dieux « payens ». C’est pour cela que les égyptiens d’abord, les hébreux ensuite, ont inventé le Dieu unique. Mais les mentalités avaient évolué, et les nombreux Dieux situés dans les nuages et surveillant la multitude du haut de leur Panthéon, ne satisfaisaient plus la curiosité des peuples. Les égyptiens d’abord, les hébreux ensuite, ont inventé le Dieu unique. Et des individus un peu plus futés que leurs contemporains ont inventé la religion révélée. Le dieu unique avait un représentant sur la terre. Et ce Dieu unique parlait aux humains par le truchement d’un représentant auquel Dieu transmettait ses directives, à charge pour lui de les expliquer et de les faire pratiquer par les fidèles. Moïse, Mahomet, le Couple Christ et père Dieu. Couple qu’il est difficile de caractériser par rapport l’un avec l’autre. Ce qui n’a aucune importance si l’on a la fois, c’est-à-dire un esprit prêt à croire n’importe quoi d’irrationnel. Ce représentant avait besoin « d’assistants » pour toucher suffisamment de fidèles potentiels. Il n’y avait plus qu’à organiser et hiérarchiser l’activité de ces assistants, et l’on avait créé aune religion révélée. Laquelle par obligation et devant donner un minimum d’explications aux fidèles quant à la simple nécessité de justifier leurs existences personnelles de représentant de la religion concernée, ont inventé leurs textes sacrés censés être explicatifs de la nature du monde. Et par le simple enchaînement normal lié à la nature du monde, et à celle des hommes, ces représentants auto-certifiés de ces Dieux, se trouvaient dans une situation matérielle et sociétale meilleure que celle de la majorité de leurs contemporains. D’où ce vieux dicton qui dit : Si tu veux être heureux un jour, marie-toi. Si tu veux être heureux un mois tue un cochon, Si tu veux être heureux toute ta vie fais-toi curé. Ce vieil adage du temps de l’Ancien Régime, résume parfaitement la chose. À plus tard pour la suite de ton texte.
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Je crains qu’il n’y ait une confusion dans le sens du mot « séveso » en matière d’estimation des risque industriels. Mais le CO² n’entre pas en compte dans cette estimation. Quels sont les polluants toxiques nécessaires à l’élaboration de la bière ? Tu m’inquiètes.
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Excellent humour, bravo ! Juste une remarque au sujet du seul amour que tu dis réservé aux moines, l’amour de Dieu. Les moines et les moniales prononcent des vœux en entrant dans un monastère de l’Ordre qu’ils, qu'elles, ont choisi. Mais ces vœux, propres à chacun des Ordres, n’incluent pratiquement jamais des vœux de chasteté. De rares obédiences chrétiennes, généralement orientales, permettent une vie sexuelle « normale » aux moines et moniales de leurs établissements. Mais il ne doit plus en rester qu’un ou deux établissements en France, peuplés de moines et moniales très âgés. À moins qu’ils ne soient tous morts ces dernières années. Ce sont les prêtres qui lors de leur ordination prononcent des vœux à la fois de célibat et de chasteté. Et encore, pour les vœux de chasteté, tant que leurs employées de presbytère ne sont pas encore parvenues à l’âge dit canonique. C’est-à-dire à leur ménopause. À partir de leur ménopause, les relations sexuelles entre elles et les prêtres ne sont pas explicitement autorisées, mais dans les faits sont tolérées depuis le Moyen-âge. Simplement parce que le prêtre ne peut pas devenir géniteur avec une femme ménopausée. Ce qui supprime les problèmes d’héritage qui se produiraient éventuellement lors du décès du prêtre. Parce qu’au Moyen-âge il était fréquent que les églises appartiennent au prêtre « principal » qui avait apporté les fonds nécessaires à l’édification de l’église. Voire de la Cathédrale. De hauts personnages non prêtres pouvant être nommés directement à un haut grade de la hiérarchie chrétienne, sans avoir été ordonné prêtre au préalable. L’amour de Dieu n’est donc pas le seul à être autorisé aux moines et aux moniales
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D’une part, qu’une habitude ou un rite se transmette durant des siècles n’a en soi rien d’exceptionnel. L’on dispose de multiples cas de rites encore beaucoup plus anciens que cela. Que l’on peut estimer en millénaires. Qu’un chamane mort au XII° siècle soit encore l’objet d’un « culte » ou de rites spécifiques, est dans l’ordre des choses. Mais loin d’être exceptionnel. C’est courant. Pas loin de chez moi une source, déjà mentionnée dans un cartulaire du XIII° siècle et dont l’’eau est censée être efficace dans les problèmes de fertilité féminine, est toujours en fonction. Chaque dimanche des files de dizaines de voitures dont le occupants viennent y remplir quelques bouteilles d’eau, en témoignent. Mais cela ne fait pas de ces rites une religion. D’autre part , je n’ai pas parlé de cultes, mais de religions révélées et organisées en tant que telles. Ce qui n’est pas la même chose. Enterrer certains individus qui a leur époque ont été remarqués, et déposer des fleurs ou des outils dans la tombe, ne fait pas de cet acte une religion. Tout ce que l’on sait, ou que l’on croit savoir à propos des religions ou assimilés au Paléolithique, relève de l’interprétation du motif de la présence de tel ou tel artefact en fonction de ce que nous pensons à ce sujet. Et surtout de ce que nous imaginons. Même et surtout en milieux archéologiques. Une religion est tout à fait autre chose. Une religion, stricto sensu, ne peut avoir été élaborée qu’à partir du moment ou des individus plus futés que les autres, ont compris quels avantages ils pouvaient en tirer. Les activités du sorcier de la horde ne se traduisaient pas par une religion. Mais par la reconnaissance des capacités individuels de l’intéressé à offrir des résultats dans des symptômes qu’il avait appris à reconnaître et à soigner. Pour ce qui concerne le paléolithique, l’on peut parler de rites. Pas de religions.
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Excellent exemple, excellente démonstration, de ce qu’une église, en l’occurrence l’église catholique, ne recule devant rien dans le domaine de l’irrationnel, pour soutirer de l’argent à ses ouailles. En utilisant au besoin une affirmation totalement irrationnelle et fantaisiste qui sur le fond ne veut strictement rien dire. Et surtout que ne cherchent pas à comprendre les fidèles concernés. Et affimation qui d’ordinaire n’amènerait les lecteurs dotés d’un esprit sain, qu’à un haussement d’épaules. - « Soutenir l'église, c'est dire oui la vie pour l'éternité... ». Mais si j'ai droit à la vie éternelle, - Je donne de l’argent à l’église et en retour je serais assuré d’une vie perpétuelle ? Mais si j’ai été incinéré, ou si mes os ont séché en vain dans les sables du désert (J.L), dans quel état serais-je pour bénéficier de la vie pour l’éternité ? Comment les atomes de poussière d’étoiles que seront redevenus mes os, se recolleront pour que je puis-je bénéficier de cette vie éternelle ? L’on a parfois tendance à se moquer, à juste raison d’évidence, de l’histoire des 72 vierges perpétuelles qui attendent les chahids de l’Islam. Mais le coup de la vie éternelle contre un chèque substanciel est du même niveau.
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Tu pourrais même dire non pas des siècles et des siècles, mais des millénaires et des millénaires L’idée structurée d’un D.ieu date du passage de nos sociétés du Paléolithique au Néolithique. À la sédentarisation des populations, c’est-à-dire à la création des premiers embryons de cités.
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Intéressant. Mais pour quelles raisons une fabrique de bière pourrait-elle être classée « Seveso » ? Ils font entrer de fortes quantités de produits hautement toxiques dans l’élaboration de leurs fabrications ? Ou la fabrique est située dans l’enceinte d’une centrale atomique ? Ton affirmation est extrêmement à la fois intrigante et inquiétante.
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Malheureusement il ne fait pas dans le complotisme. Il se contente de voir l’état du monde qui nous entoure. Et qui dans ce domaine n’est pas très réjouissant. Malheureusement il ne fait pas dans le complotisme. Il de contente de voir l’état du monde qui nous entoure. Et qui dans ce domaine n’est pas très réjouissant.
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Absolument ! Mais pas seulement pour ce qui concerne l’Islam, mais toutes les religions révélées. Et non seulement pour ce qui concerne leurs « textes sacrés », Évangiles et Coran, mais également l’Histoire de leur religion, la vraie, celle des historiens. De la naissance de ces religionsà leur fin, évidemment programmée. Heureusement pour l’esprit humain. La preuve du phénomène est simple à constater. Nos religions révélées, de fait l’Islam et le Christianisme, ne survivent plus actuellement que dans des pays du Tiers Monde et dans des classes sociales particulièrement défavorisées. Principalement grâce aux innombrables sectes qui se disent relever d’une sorte de protestantisme dévoyé, pour l’Amérique du Sud, et de l’Islam radical pour l’Afrique. Il n’y a plus que dans ces pays que les religions révélées se portent bien. Pour le moment, mais cela va disparaître en mesure directement proportionnelle à l’évolution, scientifique et matérielle, de leurs sociétés.
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Excellent développement ! Bravo.
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Ta remarque est un modèle de bon sens et d’humour. Mais je dois absolument m’opposer à cette éventuelle manifestation pissatoire. Comme tous les parachutistes que les circonstances amenaient à s’intéresser à cet aspect du système, il m’est arrivé fréquemment de passer à travers un nuage. Mais cette action deviendrait très ennuyeuse si des crétins sont allés auparavant pisser sur ce nuage. Il est impératif que tu fasses en sorte que personne ne pisse sur un nuage. Pitié pour les parachutistes.
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Les recettes du patronat pour détricoter la Sécurité sociale
Témoudjine a répondu à un(e) sujet de Marcuse dans France
Je n’ai aucun avis à donner quant à la nature et au contenu des interventions sur le site. Je m’en garderais bien. Encore que … Juste une remarque. Copier-coller un article de l’Humanité c’est bien pour l’édification de ses petits camarades. Mais ce qui serait intéressant pour tes lecteurs c’est que donnes ton avis sur la question et que tu expliques pourquoi le contenu de l’article est bon ou pas bon. À commencer pourquoi le système en place est une arnaque, parfaitement organisée et maintenue par nos députés, et pourquoi la Sécurité Sociale ne peut pas, stricto sensu, se retrouver en déficit. Ou alors c’est que le sens des mots figurant dans les dictionnaires a changé en douce, sans que nous en soyons informés. -
Un peu paradoxale, ta remarque. Tu dis que certains d’entre nous sont beaucoup plus qu’à droite. C’est-à-dire qu’ils sont d’extrême droite. Au-delà il n’y a que le nazisme. Et encore. Et tu rajoutes que les extrémistes sont imaginaires. C’est-à-dire que beaucoup d’entre nous sont imaginaires. N’y a-t-il pas une certaine contradiction quelque part ?
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Il ne faut pas oublier que nous ne sommes que des primates tropicaux qui ont eu la chance d’évoluer un peu. Les chimpanzés sont nos cousins germains. Et, c’est bien connu, nous conservons toujours un pied dans la biologie des mammifères qui nous ont précédés, et l’autre seulement dans ce qu’est devenu l’homme « culturel » d’aujourd’hui. Tu dis : - « les hommes préfèrent les femmes plus jeunes et les femmes des hommes plus vieux ». La raison profonde en est simple. Les hominidés dont nous descendons avaient pour première préoccupation inconsciente le fait de se reproduire. La finalité de la vie, sa seule finalité, est de reproduire. Depuis les premiers hominidés, nos lointains ancêtres avaient évidemment remarqué que les femelles jeunes avaient plus de chance d’être fertilisées que les plus vieilles. Nous avons génétiquement gardé cette propension. Qui d’ailleurs est toujours vraie. Et si les femmes d’aujourd’hui aiment mieux des hommes un plus vieux qu’elles, c’est parce qu’il est dans les gènes des femelles, puis maintenant des femmes, la nécessité de trouver la sécurité matérielle pour leurs enfants à naître et à élever. Et qu’un homme de trente ans a généralement acquis plus de « biens » qu’un homme ayant dix ans de moins. Ce qui est une sécurité plus grande pour la femme. Dans quelques communautés et groupes humains, il est normal que la femme épouse un homme ayant dix ans de plus qu’elle. Pour une sécurité des enfants à venir. De même le patriarcat date du temps de nos très lointains ancêtres. Comme tous les mammifères ils vivaient en groupes. Et il n’y a que de rares espèces de singes qui vivent en mêlant les mâles et les femelles. La majorité d’entre eux vivaient « en famille », comme le font aujourd’hui les gorilles, autres cousins des humains. Mais les femelles vivaient pendant trois ans, après chaque gestation, a l’écart de la « famille ». Comme le font par exemple les éléphants pour la même raison. Et chaque « famille » avaient un mâle « protecteur » de la famille et premier reproducteur « autorisé » par les femelles. Simplement parce que comme dit plus haut, la femelle avait plus de chances de survie pour ses enfants si le mâle le plus fort la protégeait. En outre un élément différent mais majeur est à prendre en compte. La nature et l’évolution ont fait que la mortalité « infantile » était grande, que les femelles n’avaient qu’un enfant à la fois. Et que chaque femelle devait s’éloigner du clan durant au moins trois ans après chaque naissance. Pour la simple raison que chaque bébé devait vivre au moins trois ans avant d’être sevré, sinon il mourrait. Et jusqu’à l’âge du sevrage, il ne vivait que du lait de sa mère. En demeurant dans le clan durant ces trois ans, la femelle se serait retrouvée forcément enceinte de nouveau. Les hormones sexuelles avaient à l’époque la même efficacité qu’aujourd’hui. Probablement davantage. Et une femme, ou une femelle, enceinte ne donne généralement plus de lait durant la gestation. Ce qui l’aurait empêchée de parvenir à l’âge auquel son bébé aurait pu être sevré. Et survivre. C’est dans cette optique que les Lois de l’Évolution ont fait que le mâle se devait « d’inséminer » le plus de femelles possibles. Question de simple survie du clan. Il en reste inconsciemment la trace chez tous les mammifères. Dont nous. En outre, tu dis : - « … le fait de DIRE que quelque chose est logique ne prouve pas qu'il l'est mais qu'on veut le faire accroire ». L’on ne trouve que quelque chose est logique que si nôtre réflexion nous a amené à ce résultat de nos cogitations. Comment un tiers pourrait-il amener autrui qui est parvenu à la conclusion qu’une chose est logique, ou ne l’est pas, à penser le contraire de ses conclusions ? Ou c’est qu’en réalité il change d’avis en permanence, et que pour lui le dernier qui parle a raison. Qu’il est prêt à croire n’importe quoi ou le contraire.
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Tu as tout à fait raison. L’individu est parfaitement libre ce qu’il veut croire ou ne pas croire. Et que beaucoup ait déjà été dit à ce sujet est une évidence. Il y a même 17 siècles que cela occupe la pensée d’innombrables individus. Mais cela ne change rein à ce que je disais dans mon intervention.
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Est-ce que le maternalisme provoque une régression de l'ensemble de la société ?
Témoudjine a répondu à un(e) sujet de timot-33 dans Société
Je suis désolé de critiquer ton texte. Mais je crois que c’est le principe d’un forum. Pourquoi voudrais-tu que le maternalisme provoque une régression de la société ? Le maternalisme, pour ce que j’en sais mais je pense que les dictionnaires le confirmeraient, évoque la protection excessive et quasi intrusive d’une mère dans les actes ou la conduite de son enfant. Avec une notion spécifique à l’emploi de ce mot en français convenable, c’est qu’il doit être utilisé dans un contexte péjoratif, débilitant, et plutôt ironique. En quoi une mère bétifiant avec son bébé peut-il générer une régression de la société ? Ce pourrait être le cas si ce langage bétifiant était systématiquement imposé à l’ensemble de la société. Mais ce n’est pas le cas. Le maternalisme stricto sensu est un acte individuel. Il disparaît dès qu’accompli. Tu écris : - « Les mères aiment souvent être mères ». Cela va bien au-delà. C’est un euphémisme de dire que les femmes aiment souvent être mères. La maternité est un appel biologique irréversible de leur être et de leurs entrailles auquel les femmes, mères ou pas, ne peuvent échapper. Et le maternalisme n’a rien à y voir. Tu dis ensuite : - « Quand est-ce trop ? Quand n'est-ce pas assez ? ». Cela ne peut pas être trop car les femmes ne maîtrisent pas ce fait. Et lorsque cela n’est pas assez, alors cela traduit un trouble psychique de la femme. Mais c’est une autre question. Et tu rajoutes : - « … et les enfants aiment souvent être enfants ». Lorsque tu étais enfant t’es-tu interrogé une fois, ne serait-ce qu’une seule fois, sur le fait qu’être enfant était un statut particulier qui faisait de toi un individu plus heureux ? Non, évidemment. Un enfant se contente d’être un enfant et s’interroge quant à ce qu’il est en train de faire, à ce qu’il espère pour la suite, et à ce qui va se passer dans l’heure suivante. Et à quelle heure on mange, suivant l’adage classique. La question des inégalités hommes / femmes n’a rien à voir avec le maternalisme. À la rigueur cette question peut amener les hommes à constater un fait, et les femmes, ou les deux, à se lamenter de cet état. Mais ce n’est pas du maternalisme. Et tu dis : - « Est-ce que ce doit être purement subjectif ? » Cela ne peut pas être subjectif, puisque le maternalisme s’appuie sur des faits bien réels. Par exemple sur la conduite de la mère envers son enfant. Cela s’appuie sur des faits concrets, su la constatation de faits matériels. Et tu termines par : - « Les relations sociétales suffisent-elles à résoudre la problématique de l'absence de progression psychologique conséquente au maternalisme ? » Quelle progression psychologique ? Qui concernerait qui ? L’auteur de l’acte maternaliste, ou la « victime » de ce maternalisme ? Il est évident que si tu avais choisi le mot « matérialisme » au lieu de « maternalisme » les choses se présenteraient d’une tout autre manière. -
Toutes ces discussions, pour ou contre, sont totalement vaines. Il faut examiner le problème avec logique, en commençant par exclure d’emblée de la réflexion les questions de foi. Ce qui a rapport à la foi est par nature de l’ordre de l’irrationnel. Quelques questions suffisent à bien circonscrire la question. La plus importante et la première à se poser est : - « « quand et pourquoi est née chez l’homme l’idée d’un Dieu ? Puis : - Quelles interrogations cela peut-il avoir déclenché chez nos lointains ancêtres de l’époque concernée ? - L’idée d’un Dieu et de la foi a précédé de beaucoup les connaissances « scientifiques » de nos lointains ancêtres. Pourquoi - Pourquoi l’avancement des sciences amène-t-il les sociétés évoluées actuelles à remettre en question et à délaisser les questions de foi, qui sont de moins en moins présentes et prégnantes dans les préoccupations sociétales de nos contemporains. - Serait-ce simplement parce que, fruit de la Science, nos contemporains rejettent de plus en plus la notion d’irationnalité ? La simple réponse à ces questions devrait suffire à un esprit clair pour répondre à la question initiale : - « Quid de Dieu et quid de la foi ? »
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Emmanuel Macron est un président progressiste
Témoudjine a répondu à un(e) sujet de timot-33 dans France
Je présume que tu es allé chercher les éléments de ce texte auprès du service de communication de l’Élysée. Il n’y a pas une seule affirmation de ce message qui soit vraie et conforme à la réalité. Tous les points évoqués sont exactement, pour ce qui concerne ce que fait ou ce qu'a fait Macron, le contraire du progressisme. -
Si tu me permets une remarque. Terminer par : - « "Elle sent comme un magnifique bouqet de fleurs", et comme tu le fais remarquer toi-même, fait un peu trop cliché. En outre, tu mélanges dans l’esprit du lecteur deux notions différentes. La qualité de ton bouquet qui est magnifique. Et l’odeur qui s’en dégage. Tu fais naître inconsciemment et instantanément dans l’esprit de ton lecteur, une première image qui est la splendeur du bouquet. Facilement assimilable par l’esprit du lecteur. Mais également et dans la même seconde, une autre notion qui est relative à l’odeur. Qu’entre la perception par l’esprit du lecteur des deux éléments soit une question de millisecondes, son inconscient a instantanément et inconsciemment perçu les deux éléments différents. Et son esprit doit impérativement et instantanément choisir celui qu’il va retenir en priorité. Parce que ces deux éléments sont antagonistes. D’une part, l’image est relative à la beauté, d’autre part parce que le deuxième élément est relatif à une perception d’odeurs. Et que cela crée dans son cerveau un choix à accomplir. Pour le cerveau, qu’est-ce qui passe en premier ? La qualité de l’image ou une notion différente relative à l’odeur ? C’est de ce choix que va directement dépendre la façon dont le lecteur va inconsciemment et instinctivement réagir à la lecture de la phrase. L’écriture est un art difficile, et c’est ce qui explique qu’un écrivain puisse passer des heures, voire des jours, à trouver la version définitive, sinon de chaque phrase de son texte, du moins de chaque formule qu’il utilise. Surtout si cette expression a une importance particulière, comme ce serait le cas de cette phrase destinée à clore ton texte. Il y a une notion que l’auteur de roman ne doit jamais oublier. C’est que son lecteur est intelligent, mais que son cerveau va automatiquement assimiler la phrase qu’il lit avec la facilité que son cerveau aura à la conscientiser. Et hors du registre de la poésie, c’est cette facilité qui amène le lecteur à apprécier, ou non, la phrase qu’il vient de lire. Surtout si c’est la dernière phrase du texte, qui a toujours une importance spéciale. C’est celle qui dans l’esprit du lecteur, et dans son appréciation de la qualité du texte qu’il vient de lire, restera inconsciemment dans son souvenir.
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D’ex-ministres devenus lobbyistes : comment le pantouflage mine la démocratie
Témoudjine a répondu à un(e) sujet de Marcuse dans France
Herver, tu persistes et signes. Je tente simplement de t’expliquer quels éléments justifient mes dires. Je ne cherche aucunement à vexer qui que soit. Mais lorsque tu écris : - « prenez cela fais exprès pour vous pour voir si vous étiez aussi nul et dénué de synapses fonctionnel que je le pensais bon vous insistez encore... » juste deux remarques : Indépendamment de la syntaxe et de la forme, je ne cherche pas à jouer à l’instituteur. Et d’ordinaire je ne m’arrête pas aux fautes d’orthographes d’autrui. J’ai assez des miennes potentielles à surveiller. Mais étant nul comme tu me le fais remarquer, et c’est probablement exact, je m’arroge le droit d’y réagir. Je suis nul puisque tu le penses, je te le concède parfaitement. Mais si cela était totalement exact, je n’aurais probablement pas fait deux ou trois fautes élémentaires d’orthographe par ligne, en te répondant. En outre, une synapse ne peut qu’être fonctionnelle. Qu’il s’agisse de celles joignant les neurones, ou de celles d’autres organes, par exemple des cellules nerveuses. Sinon cela signifierait qu’elle est morte et l’organisme gérant l’activité cérébrale, s’il s’agit du cerveau, ou d’un autre organe, l’aurait aussitôt dissoute. Elle e n’existerait plus. Ce qui se traduirait sur les radios du cerveau par un minuscule « trou » blanc. Comme pour l’absence de neurones qui viennent de mourir. Et ont disparus. Tu rajoutes, ce qui est ton droit le plus strict : - « vous etes en nombre a vouloir me faire perdre mon temps décidément et un autre en ignoré suivant » Indépendamment de la syntaxe, cela signifie, c’est toi qui le dis, que nous sommes nombreux à vouloir te faire perdre ton temps lorsque tu viens sur ce forum. Que tu es victime d’une cabale. Ne penses-tu pas qu’il s’agit là d’un début de complexe de persécution ? Et si tu sais qu’en venant sur ce forum tu y perds ton temps, pourquoi perds-tu volontairement ton temps en y venant ? -
Portrait peu flatteur de la compagnie dans laquelle Mark Carney a été un des administrateurs. Brookfield.
Témoudjine a répondu à un(e) sujet de Vippoui dans Economie
En fonction de quoi peux-tu juger que ce portait est peu flatteur ? Parce que la société énorme en question est propriétaire d’une maison qu’elle fait louer à des particuliers, et que ces maisons sont mal entretenues par leur propriétaire ? Lorsque l’on voit la taille et l’importance économique de l’entreprise en cause, cette histoire n’est que de la poudre d’épiphénomène. Ne vaut-il pas mieux avoir à la tête d’un pays une personne parfaitement rompue aux problèmes de ce monde, de ses réalités et qui a quelques solutions potentielles à proposer à leurs administrés, qu’un Hollande ou un Sarkozy ? -
D’ex-ministres devenus lobbyistes : comment le pantouflage mine la démocratie
Témoudjine a répondu à un(e) sujet de Marcuse dans France
Mon cher Herver, si j’étais cruel je te demanderais ce que signifie exactement ta première phrase : - « vous me reprocheriez de m'insérer dans une conversation en vous insérant dans celle ou je me suis insérer déjà … / … et que votre reproche était donc assez bidon sans quoi échange pas prolongé et que vous faisiez aussi exactement ce que vous me reprochiez en venant dessus et en me le reprochant alors que vous n'en étiez pas ». Syntaxe et sémantique montrant que la suite de ton message n’est pas elaboré par toi, mais copié / collé. Ce qui n’est pas forcément une mauvaise chose en soi. Mais dépend de la façon dont cela est réalisé. Tu continues par : je n'avais pas mentionné Benalla comme ancien ministre mais comme un parmi tant d'autres de la macronie » Mais le sujet était l’aller-retour des ministres entre le public et le privé. Sujet majeur s’il en est. Ce n’est pas moi qui ai donné comme exemple les pérégrinations de Benalla. En outre ce que tu prêtes à Benalla, toi ou plus exactement celui dont tu reprends le discours, est faux. Tu en dis, ou plutôt tu reprends d’un autre : - « il est plus important qu'un ministre... conseiller du président de la République sur les questions stratégiques de défense et de sécurité], jusqu'en octobre 2022 ». Tu rêves, camarade. Banalla était d’abord garde du corps de Macron. Puis Macron a justifié sa présence auprès de lui, après les conneries de Benalla lorsqu’il a voulu jouer au CRS, et pour justifier le salaire qui était donné à Benalla, en le déclarant chargé de mission. Ce qui ne signifie rien. Chaque ministre ou chaque conseiller de l’Élysée peut en avoir deux douzaines. Il y a des milliers de « chargés de missions » dépendants de l’Élysée, et ce dans tous les domaines. Mais jamais Benalla n’a été : - « … conseiller du président de la République sur les questions stratégiques de défense et de sécurité ». Et tout ce qu’a pu faire Benalla à titre privé dans ton copié/collé reprenant la tournée de Benalla en Afrique où il tentait de se faire embaucher par des responsables africains, jamais cela ne l’a été pour le compte de Macron. Macron est tout ce que l’on voudra, mais il n’est pas idiot. Après le scandale causé par Benalla dans ses activités de bastonneur de manifestants, Macron n’allait pas s’offrir une nouvelle verge pour se faire battre, en recourant aux services de Benalla dans des questions de sécurité internationales. Alors que Macron savait très bien qu’après le cirque généré par Benalla sur les trottoirs des la capitale, le personnel diplomatique du monde entier, après en avoir rigolé, suivait attentivement la suite du spectacle. Macron n’est pas suicidaire. Sauf évidemment dans les histoires de dissolution de l’Assemblée Nationale. -
D’ex-ministres devenus lobbyistes : comment le pantouflage mine la démocratie
Témoudjine a répondu à un(e) sujet de Marcuse dans France
Je crains que tu ne mélanges deux choses totalement différentes. Les représentants du peuple sont les députés. Ils ne sont pas élus par tirage au sort. Mais à la suite des élections législatives. Ce sont les membres de commissions croupions décidées par Macron soucieux de relever sa côte de popularité, qui sont tirés au sort. Mais qui n’ont strictement aucun pouvoir, et en outre sont encadrées par des « guides » choisis par Macron. Leurs conclusions ne servent à rien, n’ont aucun pouvoir, et se réduisent à l’équivalent d’un rapport supplémentaires remis à Macron. Mais cela permet à Macron de dire au peuple : « voyez, je tiens compte de vos avis ». Mais ces rapports ne vont nulle part et ne sont même pas lus par ceux qui seraient censés en tenir compter. En outre, tu dis que : - « "Le suffrage par le sort est de la nature de la démocratie ». C’est exactement le contraire. La démocratie est le suffrage universel. Tout le monde vote dans les mêmes conditions. Le tirage au sort n’y a aucune place. Et il serait stupide. Il rendrait possible, pas exemple, que les plus débiles de nos concitoyens se trouvent investis de pouvoirs dont ils ne sauraient rien faire. Et amenés à prendre des décisions aberrantes.