wakanda59

Tout à fait, et je trouve bien irrespectueux pour les victimes et leurs familles que seule une expression interpelle. Deux agents pénitentiaires sont décédés, abattus comme s'ils n'avaient aucune valeur humaine ... c'est cela qui est à déplorer.

Et c'est une très bonne chose. Tous les vaccins, depuis le premier, ont entrainé des réticences, voire des rejets de la part de la population. Fort heureusement, des programmes établis ont imposé des "marquages génétiques", qui ont vu pour finalité, la fin d'épidémies, voire la disparitions de certaine maladies infantiles et donc une baisse drastique de la mortalité infantile. Ce vaccin est resté fidèle à cette défiance naturelle contre les vaccins, l'essentiel restant que la pandémie a pris fin.

Rassurez vous, je ne le prends pas mal, au contraire, vous m'amusez avec ce genre de réaction puérile.

Vu votre style littéraire et vos lacunes en conjugaison, il ne me semble pas que vos lectures ont du être de grande qualité non plus.

Disons qu'il y en a qui sont jeunes depuis plus longtemps que d'autres

Tu dis ce que tu veux, et comme tu le veux. Il n'empêche que l'extrême gauche que tu défends avec tant d'agressivité, est tout aussi dangereuse pour la paix, voire pire, que l'extrême droite.

Et c'est tant mieux, car sans la modernité active, les homosexuels seraient encore considérés comme des pervers.

D'où, pour ceux qui connaissent l'histoire, notre défiance envers tous les partis extrémistes, qu'ils soient de gauche ou de droite.

Révisez votre histoire, au lieu de vous fier à votre boussole, si vous trouvez les dictatures basées sur la terreur et le culte de la personnalité moins dangereux

Vous semblez surtout particulièrement frustré de constater que les gens osent aimer une prestation que vous n'aimez pas, trop accroché à la nostalgie de votre époque.

C'est vrai, autant que l'extrême gauche.

Les Parisiens ont du s'habituer aux manifestations interdites et pourtant menées avec à leur tête des politiques siégeant à l'assemblée nationale, je ne vois donc pas pourquoi nous devrions être plus choqués, par une manifestation autorisée.

Ce n'est pas interdit : Un trouple, c’est un groupe de trois personnes entretenant une vie commune. Attention, il ne s’agit pas de polygamie, car chacun des membres du trouble entretien des relations égales avec les deux autres. Le trouple est donc une sorte de couple à trois. Bien qu’il n’existe actuellement aucune reconnaissance du trouple dans la loi en France, il est possible de signer une convention de trouple, afin d’organiser la vie commune. https://www.familles-lgbt.com/trouple-couple-a-trois/#:~:text=Le trouple est donc une,d'organiser la vie commune.

En effet, c'est une minorité, absolument pas représentative du monde étudiant. S'ils étaient majoritaire, ils n'auraient pas besoin de faire du bruit pour qu'on les remarque. Je suis ravie de vous avoir donné le sourire.

Je parle en toute sincérité de ce que j'ai pu constater au fil de mes lectures et il semble que vous en soyez ennuyé

Cette simple phrase vous fait perdre toute crédibilité sur l'ensemble de vos écrits, car même ses plus fidèles opposants seront unanimes à dire que @new caravagen'est assurément pas raciste.

C'est pourtant vous qui êtes partis dans cette direction, je me suis contentée de participer à l'échange.

Surprenant que vous veniez tous les jours si vous vous sentez en danger Ou est la notion de loisir dans ce cas ?

Ce ne sont pas les réseaux qui sont dangereux, mais la façon de les utiliser. Vous discutez tous les jours sur un réseau social, vous sentez vous en danger ? Les enfants sont informés des dangers, comme on leur apprend à traverser la route, qui peut être très dangereuse, et qu'on ne supprimera pas pour autant, car très utiles. Je pense le contraire. Les hommes sont bien plus attentifs au bien être de leurs femmes que n'ont pu l'être ceux d'il y a un siècle. Ils partagent les tâches ménagères, ils s'occupent de leurs enfants ... il n'y a plus de chef de famille, mais deux personnes qui partagent leur vie. Je suis tout à fait d'accord avec vos propos.

En effet, mais il m'avait semblé que le sujet évoquait les relations amoureuses en France, pas dans le monde entier. Dans le cadre de ce sujet, on ne peut qu'évoquer la violence masculine, sachant que si les femmes ne pouvaient quitter leur foyer, c'est parce qu'elles étaient totalement dépendante de leurs maris. Je ne vois pas en quoi évoquer des faits établis peuvent s'apparenter à de la radicalisation.

S'il y a moins de violence, ce n'est pas du aux cours d'éducation sexuelle, mais à l'éducation, au modèle familial, à l'évolution de la société. Cette réponse semble provocatrice, mais pendant des siècles, "corriger" son épouse était acceptable, voire encouragé par la société. Quant à la justice, c'était simple, on disait qu'elle n'avait rien à faire au pied du lit. Au moyen âge, c'est un devoir moral de corriger son épouse, au XVIIe, on fait un pas vers la paix des ménages. L'idée du couple fondé sur l'amour se développe et "l'encyclopédie" conseille aux maris de traiter son épouse avec amitié et douceur. La tolérance pour la violence conjugale commence à reculer. Hélas, au XIXe, le code civil voulu par Napoléon referme vite cette parenthèse. La femme doit à nouveau obéissance à l'homme et le code pénal va jusqu'à établir l'excuse du mari qui assassine sa femme en cas de flagrant délit d'adultère au domicile conjugal. Aujourd'hui, même si la violence conjugale existe toujours, elle est jugée inacceptable, ce qui est un point fort dans l'éducation des enfants. Ne rêvez pas, ils ne disparaitront pas plus que les bandes dessinés, jugées comme de la lecture décadente quand j'étais enfant. D'accord, mais donc, vous concevez que la relation amoureuse est tout de même majoritairement un couple de deux personnes ?

Je ne comprends pas trop le sens de votre préférence Il me semble que c'est vous qui ne voyez pas le réel. La violence conjugale a toujours existé, sauf que maintenant on en parle, on la dénonce. Je pense donc qu'il y en a moins qu'avant. L'augmentation du nombre de divorces vient du fait que cela s'est démocratisé. Les femmes battues (pour faire référence à votre exemple), ne sont plus condamnées à rester mariées avec leur bourreau. Les couples qui ne sont plus heureux ensembles, ne sont plus obligés de se supporter pour la façade, comme c'était le cas avant. Quand au célibat, la encore, c'est un choix. Souvenez vous de la sainte Catherine, patronne des vieilles filles de 25 ans. Enfin, je suis désolée pour vous si votre famille n'est pas un endroit de bien être, car cette fois encore, c'est tellement mieux qu'avant, quand papa pouvait taper sur sa femme et ses enfants et qu'il était impossible pour la maman de protéger ses enfants, vu qu'elle n'avait pas les moyens de subvenir à leurs besoins, si elle quittait le domicile de son agresseur.

L'évolution, selon moi, est qu'être et rester en couple, ce n'est plus une obligation, mais un choix.

Qu'est ce qui vous fait penser que les personnes dont il est question ne sont pas en urgence absolue ? Et je ne pense pas que ce soit les journalistes qui en décident, mais les médecins qui ont pris en charge les concernés. Vous parlez du fait divers d'hier, évoquant les deux policiers, en urgence absolue. L'un des deux n'est toujours pas hors de danger aujourd'hui. Il y avait un autre blessé, celui qui qui a tiré sur les policiers. Il n'a pas été fait cas pour lui, d'urgence absolue.

Vous vous en défendez mais par vos discours, vous en êtes un porte parole. De plus, je trouve vos méthodes consistant à découper des phrases en plusieurs morceaux, pour en changer le sens, parfaitement malhonnête.