jeremie974

Dans un coin de l'Afrique, humble et vrai, Le petit Africain danse au rythme de la paix. Malgré la misère qui peut l'enlacer, Il trouve la joie dans chaque repas partagé. Pas de luxe ni de richesses brillantes, Juste la chaleur du soleil et la terre fertile. Il sait que le bonheur est dans les instants, Pas dans les biens matériels qui défilent. Il rit sous les étoiles, contemplant le ciel, Sachant que le vrai trésor est dans l'instant réel. Le Français geint, l'Africain trouve son aise, Dans la simplicité, la joie est sa devise. Alors que le geignement remplit l'air là-bas, Le rire de l'Africain résonne comme un trésor. Dans sa modestie, il trouve le bonheur ici-bas, Dans chaque souffle, chaque instant, chaque aurore. Que le monde apprenne de cette leçon sage, Que le bonheur réside au-delà des mirages. Le geignard Français et l'Africain humble et gai, Ensemble, nous pouvons apprendre à vivre en paix.

J'ai eu froid cette nuit. J'ai été chercher une couverture.

C'est bien. Moi, avec 5 bouches à nourrir, j'y arrive. Et on est heureux. "Bouh ! Je ne touche que 4200 euros par mois, je n'en peux plus. Bouhh !" Lu sur ce forum. A MDR.

En France, même ceux qui gagnent 4000 euros par mois, geignent. Avec mes 2000 euros par mois, je suis HEU-REUX.

J'ai déjà prouvé que c'est une idiote de journaliste qui a déformé ses propos.

Et moi qui ne peut plus me passer de ma daube ! Il en fait des choses ! Mais il ne s'adresse qu'à des gens intelligents. C'est là tout le problème.

Bien sûr.

C'est pour cela que je me réfugie en Afrique la plupart du temps. Les entendre geindre tout le temps me donne le cafard.

C'est ce qui se passe dans mon bar chaque semaine. Une ambiance très chaude. Les femmes, les hommes mènent des danses endiablées et pour moi, l'intérêt c'est que la bière coule à flots. Il fait plus chaud qu'en France dans tous les sens du terme. Quelle canicule ! A 35 degrés en permanence, il n'y a pas de canicule. Quelles chochottes, ces Blancs ! Je termine mon site où il y aura une partie des spectacles que je donne avec mon ami.

Tant mieux. Je me prépare pour le Bénin. La transition sera moins difficile.

Il me semble que c'est un imbécile de journaliste qui a faussé toutes ses déclarations. En réalité, Pekka Janhunen a dit : Ceres space stationBuilt in the orbit of the dwarf planet Ceres, Janhunen's megasatellite structure would consist of numerous cylinders, each many kilometers in size. They would be mounted on a disc that is lit from above and below by sun mirrors. Ceres would supply the materials for the construction. According to Janhunen, Ceres is best suited for such a project, because the surface of the dwarf planet contains nitrogen, which is needed to create an Earth-like atmosphere. Such a settlement could also be realized elsewhere, for example in the orbit of Mars, whose smaller moon Deimos would offer itself as a quarry.[8] Les milliards d'humains n'iraient pas vivre sur Cérès mais sur une station orbitale qui orbiterait autour d'elle, station composée de nombreux cylindres, chacun mesurant plusieurs kilomètres. La surface de la planète naine contient de l'azote, qui est nécessaire pour créer une atmosphère semblable à la Terre. Et elle servirait aussi de matériau pour construire la station orbitale. Et elle est aussi composée d'eau.

Chez moi, les gays prennent une femme, lui font un gosse afin de boucher les yeux de la famille et des voisins. Ils ne sont pas obligés de vivre avec la femme qui, elle, cherche plutôt un avantage pécuniaire. A Cotonou seulement, les mentalités commencent à changer. On n'a pas peur d'afficher son orientation. Mais en brousse, obligatoire de faire comme si.

Comme elles sont mignonnes, les petites chéries !

Et avec la chaleur qui y règne, ils ne sont pas sortis de l'auberge.

Tout à fait vrai : https://www.mayottehebdo.com/actualite/societe/discrimination-racisme-mahorais-la-reunion/

Dans quel état doit être notre pauvre Vladimir ?

J'ai enseigné longtemps à la Réunion à des Mahorais (et dans le lot, cachés, des Comoriens) pour apprendre le français. Pourquoi venaient-ils à la Réunion ? Les aides sociales étaient plus conséquentes. Une tante "mahoraise" s'installait dans une maison vétuste à la Réunion. Elle faisait venir une dizaine d'enfants à la Réunion pour palper de juteuses allocations dont elle renvoyait une partie aux parents restés à Mayotte (ou aux Comores). Les gosses étaient affamés et mangeaient triple ration à la cantine ou cachaient de la nourriture pour le soir. Les enfants grandissaient, connaissaient bien le français et partaient ensuite presque tous à Marseille : filières bien organisées. Attal n'a pas fait de lapsus quand il a parlé d'immigration. Mais ce n'est pas politiquement correct de le dire.

C'est incensé !

Oui, j'ai eu une chance énorme. https://fracturesscolaires.org/la-formation-des-enseignants-du-primaire-en-1955/

Récemment, à la radio, une étudiante se plaignait de ne plus faire la fête avec les copains chaque semaine. Elle ne pouvait plus la faire qu'un week-end sur deux ou trois. Mes parents étaient ouvriers quasi illettrés. Leurs enfants sont partis à l'usine à 14 ans. Je ne voulais pas. Je voulais continuer mes études pour être prof. Ils m'ont dit de faire ce que je voulais mais que je n'aurais pas un sou. J'ai fait l'Ecole Normale (quasi gratuite) et je travaillais pendants les vacances pour me payer mes livres et autres nécessités. Pas question de faire la fête. On était internes et on étudiait pendant les week-ends. Si on ratait le bac, il fallait tout rembourser. Et le bac avant n'était pas la pochette surprise de maintenant. Peu d'élus. Et maintenant, une cuiller en or dans la bouche, on passe son temps à se plaindre et... et souvent en faisant le minimum.

Je suis en train de terminer un site très volumineux à ce sujet. Je ne sais pas si je dois te donner son adresse de peur d'être signalé comme hier encore (Je connais le cafteur habituel). Sinon, je te l'enverrai en privé.

T'inquiète, le tam-tam marche bien. Merci.

Mon séjour en France se termine. J'ai peu vu de monde à part ma soeur et mon beau-frère, supers et quelques amis africains (Tiens ! Lundi, toute la bande va encore se payer un bon restaurant japonais dans la bonne humeur), peu d'amis, pour entendre gémir en permanence, non merci. Je repars au Bénin, pleins d'amis dont aucun ne se plaint de la vie difficile. Pas le temps. Les rires avant tout. Et les enfants attendent Pépé avec impatience :"Où il est, mon cadeau ?" Des livres, des peintures, des crayons de couleurs, des jeux pour apprendre à lire et à compter. Des heures à les tenir tranquilles et à discuter et à se payer des fous rires. Adieu la France, terre de tristesse !

J'en mangeais souvent au Maroc car je ne fumais pas.

Je n'achète que ce qui me convient, français ou pas.