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Elisa*

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Tout ce qui a été posté par Elisa*

  1. Je sais que la situation est grave, que c’est mal d’en rire mais je peux pas m’en empêcher !
  2. Tu as raison… voyons donc, pourquoi s’indigner pour si peu ? Toi au moins, tu sais être dans le « factuel »…
  3. Idem… c’était à prendre au second degré !
  4. Exactement ! Encore un détracteur de la notion d’État de Droit, de la démocratie quoi…
  5. Ouin ouin… je suis sûre que tu peux faire encore bien mieux comme marques d’irrespect !
  6. Et voilà l’argument fallacieux servi à ses détractrices quand on est à cours d’arguments ! Cette sororité invoquée à tort et à travers qui prendrait donc l’ascendant sur notre capacité de réflexion, notre rationalité, notre aptitude à avoir un raisonnement objectif. Absurde !
  7. Oui comme les idées rétrogrades que tu véhicules, d’un autre temps quoi !
  8. C’est sûr que par rapport à toi, on joue pas dans la même cour… A quel moment, la loi dans une démocratie autorise quiconque, et certainement pas un représentant de l’ordre établi, à se montrer violent envers un individu ? Oui oui même un délinquant, oui oui même pris en flag’ pour l’appréhender ? Il existe des méthodes d’arrestation, des règles auxquelles les policiers n’ont pas à se soustraire : il m’étonnerait que le tabassage en fasse partie !! Ça finit hélas par être assez récurrent aux USA…
  9. Elisa*

    Votre série du moment

    Oui beau et bien interprété… j’ai commencé hier soir et j’ai été agréablement surprise.
  10. DÉFINITION Dans une vidéo, la rédactrice en chef de Madmoizelle définit efficacement la culture du viol comme : un environnement social et médiatique dans lequel les violences sexuelles sont excusées, banalisées, voire acceptées. En gros c’est un ensemble de pensées, d’actions, de paroles et d’habitudes qui créent un climat propice au viol et à l’impunité des violeurs. Exemple : raconter aux enfants qu’un homme qui embrasse une femme qui dort, c’est romantique ; dire aux jeunes filles que leurs jupes courtes perturbent les garçons, sous-entendu que c’est leur faute si elles se font toucher sans leur consentement (et qu’elles doivent aimer ça, sinon elles mettraient des pantalons) ; érotiser des scènes de viol au cinéma, dans le porno ou dans les jeux vidéos ; ou encore excuser un homme qui fait des propositions sexuelles dégradantes à une femme sur un plateau de télé pArCe QuE çA fAiT pArTiE dE sOn PeRsOnNaGe (salut Gainsbourg). ICI Je me rallie aux personnes ac lesquelles tu débats non par « effet de meute » ou « sororité » mais de façon objective parce que je pense qu’il faut relativiser quand même un peu en dépassionnant certains jugements que provoquent ces commentaires de plus ou moins bon goût, voire graveleux. « Vrai ou faux » féminisme, je suis pas dans un camp ou l’autre dans la mesure où je ne suis pas une militante dans l’âme. Néanmoins préoccupée par toute problématique touchant la/les/des femmes puisque concernant, l’étant moi-même et plus largement sensibilisée à l’/les/des hommes car ils ne sont pas dénués d’intérêt^^, à la société quoi. Bref… j’entends que cela puisse bigrement irriter, voire dépiter certains-nes sportifs-ves de voir leurs performances si durement acquises, reléguées au second plan par une vision immédiate, limitée et ciblée sur leur physique globalement avantageux mais de là à une assimilation à la culture du viol, c’est un peu fort, Doïna : on en est pas encore là !
  11. C’est vrai qu’avec un sujet sur la délinquance et plus spécifiquement le résultat des statistiques incriminant des étrangers dans certaines régions, le lien immigration-délinquance… ce serait un comble !
  12. Pas du tout, il n’en est pas question. Le but est plutôt d’apporter une soupape de sûreté pour mieux contrôler, de faire évoluer les personnes dites « récupérables » pour une réinsertion constructive, limiter les récidives, etc… humaniser des personnes qui n’ont pas eu pour X-raisons une construction solide, ac des valeurs indispensables pour communiquer et s’intégrer dans une société. Vu les nombreuses problématiques carcérales. l’outil thérapeutique et éducatif qu’est la pratique récréative d’un jeu par ex. peut être envisagé comme palliatif à l’incapacité de notre système à leur « offrir » des conditions de vie carcérales respectables. En plus les conditions climatiques actuelles n’arrangent rien, cela doit échauffer les corps mais aussi les esprits… La surpopulation carcérale entraîne une promiscuité et des conditions de détention à la limite de la « déshumanisation » ac des conséquences néfastes intra-muros comme les divers trafics, les cas relevant de la psychiatrie, la transmission de certaines idées radicales et de maladies, le suicide, une violence exponentielle. C’est ma vision néanmoins je ne reviens en aucun cas sur le fait que la prison n’est pas un Lunapark géant ! Dans l’immédiat, l’Etat n’apporte pas de solutions concrètes, alors une journée de détente, c’est pas non plus le bout du monde en 5 étoiles, le club Med hein ?!
  13. Comment te dire (je dis « tu » sans distinction, ne te/vous en offusque pas)… ben, je ne souhaite pas développer Morfou puisque cela m’horripile ! Mais je peux t’assurer que certaines personnes en ont bcp blagué et même encore aujourd’hui. Bref…
  14. Tu as le droit d’apprécier et même de pratiquer ce type d’humour et moi celui, de trouver ça à gerber ! Inutile de tomber dans les clichés « boomer » ou « woke »… Oui et je m’en serais passé !!
  15. Pendant combien d’années, on a eu droit à des blagues foireuses sur le « petit Gregory » et la « Vologne »… perso, ça passe pas. Tout ce qui a trait au décès d’une personne, en règle générale, me rebute carrément !!
  16. Voilà, à mon sens, tu viens de donner en peu de mots une synthèse de ce qui caractérise le « Wokisme » ! Ceci est éclairant et va permettre de repartir sur une base simple pour débattre du sujet du topic. Merci donc pour cette vulgarisation !
  17. Bon déjà prière de ne pas me hurler dessus mais je vais me faire l’avocat du diabolo… J’ai vu la vidéo : ça a l’air bon enfant, tout le monde a l’air de participer, de s’amuser, de profiter. A priori, c’est pas forcément l’idée que l’on se fait d’un délinquant purgeant sa peine. Sans compter les victimes qui doivent fulminer devant ce spectacle plutôt déroutant, choquant voire inadmissible pour certains. Même le « ministre des prisonniers » s’en est offusqué malgré les autorisations accordées… On s’entend bien sur le fait que la prison n’est pas un Lunapark géant : sa destination première n’est pas d’exercer une fonction récréative. Cependant après réflexion, on peut en faire un autre éclairage… certains pointent un « ensauvagement » de notre société : les jeunes de plus en plus violents sans une once d’empathie, incivilité, refus d’obtempérer, rodéos, etc… Le milieu carcéral n’y fait pas défaut : prisons dans un état épouvantable ac une surpopulation malade, pour certains du ressort psychiatrique, gangrenée intra-muros par trafic de stupéfiants, la violence des détenus entre eux. Les conditions de vie du prisonnier lambda, ac cette chaleur, sont d’autant plus dégradées et la promiscuité, source de conflits pouvant aboutir à des rixes et donc des débordements de tous ordres. Bref… la gestion des prisons est d’autant plus complexe et quid de la réinsertion dans de telles conditions. Alors, si au lieu de durcir encore plus jusqu’au « bagne », on essayait de générer une ambiance moins délétère : si l’on essayait de canaliser cette violence latente, si l’on essayait de trouver un moyen de communiquer, si l’on essayait de construire un esprit de cohésion, d’apprendre des valeurs ? Et si tout simplement, on se dirigeait vers une « enhumanisation », peut-être pourrions-nous faire évoluer positivement le milieu carcéral, la réinsertion et diminuer les récidives. Le jeu comme moyen éducatif, pourquoi pas au final ?
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