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Elisa*

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Tout ce qui a été posté par Elisa*

  1. J’adore ! Tu me permets de te le chiper… ça m’évitera de blablater pour ne rien dire ?
  2. Franchement ça fait mal au cœur et l’attitude des parents est révoltante à mon goût même si évidemment c’est aux antipodes de mes proches. Ça dépend de la sensibilité de chacun.ne.
  3. Surtout que ça n’est pas un argument… on peut critiquer la façon dont les infos sont traitées dans ce type de médium mais ils ne nous annoncent pas des intox à longueur de journée non plus…
  4. Ben non aucun hormis la connerie humaine qui va jusqu’à privilégier une idéologie à la science en condamnant à plus ou moins longs termes, un nourrisson malade si leur exigence n’est pas acceptée.
  5. Elisa*

    Les chasseurs

    Il ne goutte pas le robinet ? Ou peut-être un de tes fruits entrain de pourrir… ça peut.
  6. Elisa*

    Les chasseurs

    Il y a peut-être une source d’humidité quelque part, ça les favorise.
  7. Tous les sentiments et émotions ont été bannis et strictement interdits dans cette société futuriste et apocalyptique car comme des maladies, ils représentent un danger et donc réprimés. Silas et Nia sont amoureux et pour échapper à la répression, ils devront cacher leur relation. Vu grâce @Mite_Railleusece film d’un autre monde, d’un autre rythme, d’une autre dimension. Je te rejoins sur l’esthétisme, les images et l'intensité… Un décor futuriste aseptisé exprimant bien la froideur ac des couleurs marquantes soit diaphanes, soit au travers de filtres. Les jeux d’ombres et de lumière, flou/net suggèrent ac pudeur et laissent l’imagination s’exacerber. J’ai eu du mal à rentrer dans le film… D’abord lui ac son sublime regard bleu m’a pécho et puis Kristen Stewart, en personnage déchiré m’a touchée. Les deux ensemble dégagent une fichue sensualité. Je leur ai trouvé un côté androgyne : lui, un visage d’ange ac des traits très fins et elle, ac un quelque chose de masculin dans sa coiffure, dans ses postures. La musique métallique, stridente m’a gênée mais elle reflétait bien l’ambiance glaciale d’un monde déshumanisé. On finit par s’y habituer… Je dirais un film à la fois contemplatif et intense poussant à la réflexion.
  8. Je ne connais absolument pas. Je viens de regarder le pitch… ça pourrait bien me plaire, je me le note, merci !
  9. Tu nous as mis le dawa sur ce sujet ac ma façon d’écrire en soulignant parfois le féminin ! Si tu remontes le fil, tu verras… c’est la remarque que m’a fait Morfou parce que je soulignais -volontairement- le féminin ac « chacun.ne » par ex.
  10. Je plussoie ! C’est exactement mon fonctionnement quand je l’utilise. Apparemment c’est un sujet dans le sujet… je n’avais pas conscience à dire vrai que cela dérangeait autant.
  11. Je comprends complètement la situation que tu décris… par contre l’idée n’est absolument pas de nier les différences : juste de ne pas en faire systématiquement un sujet. Je ne souhaite en rien effacer les différences d’autant que je les considère comme des richesses mais je trouve dommage de s’y arrêter pour des motifs plus ou moins louables.
  12. Pas d’souci comme moi celui de signifier que même si mon but n’est pas d’être détestable, je ne me priverai pas de le faire souvent encore.
  13. Et bien désolée si cela t’est détestable car là n’est pas mon intention mais je continuerai si cela me chante à certains moments.
  14. Ai-je le droit de m’exprimer comme je l’entends en soulignant le féminin si j’en ai l’envie ?!
  15. En fonction du ressenti de chacun.ne, certains questionnements peuvent apparaître intrusifs, c’est une question de curseur.
  16. Je l’entends ! Je veux juste dire dans « on devrait s’en taper » concernant la couleur de peau, que ce ne devrait pas être un sujet en soi. Il n’y a rien de péjoratif, au contraire. Après on peut s’intéresser aux autres en posant toutes questions à partir du moment où l’on n’embarrasse pas à mon sens.
  17. Pardon mais je vais au delà : il n’y a même pas à chercher à comprendre pourquoi une personne n’est pas totalement blanche. On devrait s’en taper totalement !
  18. Certes mais un maire doit-il attendre -comme dans le cas présent- un malheureux licenciement pour se préoccuper des circuits de cars scolaires qui me semblent loin d’être à négliger puisqu’ils concernent la sécurité des enfants de sa commune ? Et les parents, que font-ils pour faire bouger les lignes comme par ex. en alertant la mairie et réclamant des circuits adaptés ? Les conditions de circulation sont inadmissibles ! Personne ne s’occupe des routes dans ce patelin ? Que fait, entre autres, le service de la voirie ?
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