Elisa*

Merci pour ce joli partage… Une leçon d’amour en quelque sorte. Cela reste un cas particulier avec une happy end dont on ne peut que se réjouir ! Je pense effectivement qu’aimer un être, c’est parfois le laisser partir. A mon sens, mieux vaut se satisfaire de pas de père tout court quand on a pas le choix (on n’a pas forcément l’opportunité, la chance de rencontrer un autre homme qui plus est, apte à accepter un enfant qu’il n’a pas conçu et de lui délivrer un amour paternel) qu’un père biologique pas heureux ac les conséquences néfastes que cela pourrait engendrer sur la vie de couple, de famille et plus spécifiquement sur l’enfant.

Et bien si je résume ce merveilleux pamphlet : les Corses sont parfaits, tous tous tous sans exception. Toute autre personne vivant ailleurs que sur l’île en France, ceux de la métropole quoi, n’ont aucune valeur, ne font que la m-rde et ce depuis des lustres. Oui parc’ que le Corse, lui est un petit sucre d’orge, tout sensible, trop chouchou, aux qualités innombrables. Dans son monde (l’île), il ne se passe que de jolies choses : on y est solidaire, bon envers son prochain. Un esprit libertaire, un amour de la terre, un courage, une bravoure, un sens de l’honneur règnent en Corse. Cela n’existe que chez lui hein ! Ah j’oubliais, le Corse est humble. La métropole, c’est trop pourrite : les gens y sont tous mais alors tous tous tous infects, c’est bien connu. Bref… « tout le monde il est beau, tout le monde est gentil » uniquement là-bas hein.

Voilà c’est ce que j’ai dit tout à l’heure ac mes « cailloux » : cela le parasite, entre autres, au point de perdre tout repère concernant l’attitude à adopter pour favoriser ou consolider des relations amicales. Enfin c’est l’idée que je m’en fais peut-être à tort…

C’est parc’qu’à l’époque, t’avais pas les moyens de te payer une Roolex alors que maintenant… Pour en revenir à toi @Jim69, je persiste à penser que notre vécu a une lourde incidence sur notre présent, notamment dans nos rapports sociaux et que l’on se traine ces boulets toute notre vie. Je comprends ton attitude en retrait, tes hésitations mais c’est un cercle vicieux d’une logique implacable : moins tu vas vers les autres et moins tu as de retour. Il est impératif de se challenger : oui je sais, facile à moi de la ramener… le but étant de se délester petit à petit de ces cailloux qui nous plombent. Pouvoir avancer un peu plus afin de surmonter ses craintes de la réaction positive ou pas de l’autre, essayer de se dire que l’on a rien à perdre mais tout à y gagner. Cela demande courage et persévérance, ne pas lâcher. En attendant ta proche victoire sur toi-même, le forum est un bon palliatif. Tu vas y arriver, force à toi !

J’allais exactement te dire ça : c’est ton ressenti mais pas forcément ce que tu dégages comme image. De façon plus globale, pratiquement tout le monde même le plus beau, riche, intelligent a connu cette désagréable sensation au moins une fois dans sa vie, d’être dans la loose. Le souci c’est de le ressentir en permanence et de se l’approprier en se définissant ainsi. Il semblerait d’après tes dires, qu’il y ai un problème de com’ ac les autres qui mène à une sorte d’instabilité relationnelle. A mon sens, il faut fouiller du côté de la petite enfance… c’est là pour ainsi dire que tout se joue, paraît-il. J’ai lu du reste que tu n’en avais pas souvenance. Le looser pour moi, c’est, entre autres, celui qui sait qu’il fait mal et qui recommence inlassablement à commettre les mêmes erreurs sans à aucun moment se remettre en question. Ce n’est pas à priori ce qui a l’air de te caractériser .

Ça tape aussi sur le cerveau, pas grave !

Avec ta femme, t’es venu tout fiche en l’air la solution de @hanss, j’te jure !

Plusieurs possibilités : L’acte d’un déséquilibré… on ne souhaite évidemment à personne qu’un inconnu tente de vous lacérer. Un acte délibéré en lien ac ses fameux versets… On l’associe immédiatement à cette fatwa appelant à sa mort, il y a des décennies maintenant. Cela voudrait dire qu’elle se transmet de générations en générations et que l’ordre est donné à vie. Très inquiétant. Un acte isolé d’une personne lui en voulant pour un motif qui nous échappe. Dans tous les cas, c’est bien malheureux : espérons que la/les blessure-es soit-ent superficielle-es et que son pronostic vital ne soit pas engagé.

Hum hum C’est un dialogue de sourd… relis mieux mes propos qui ont été tronqués en me citant, je te prie. Tu as juste effacé l’objet de notre « litige », voici donc l’intégralité de mon propos qui fait sens : Il y est bien question du « débat » hors forum que j’ai précisé puisque tu ne l’avais pas compris lors de mes posts précédents où pourtant il m’avait semblé être suffisamment claire.

Il serait plutôt correct de bien intégrer la syntaxe de mes phrases… à quel moment, ai-je précisé une unité de temps ? D’autre part, le sujet de base est « Regrettez-vous d'être parent » et non « regrettez-vous de ne pas avoir enfanté ». Il y a eu digression dont je ne suis en rien responsable et chacun s’exprime dont toi, moi, Pierre, Paul, Jacques. Pas de souci pour ce contexte forumique. Les avis divergent sur « le non désir d’enfant » mais je le répète, ne t’en déplaise : il n’engage que la personne concernée par ce choix et donc ceci ne devrait pas au niveau familial et sociétal être matière à objection, pression, injonction, etc… à débat quoi ! Dans ces cadres-là hein, je précise puisque tu ne l’as pas saisi. Bref…

Cela se passait au confessionnal ? Parce que c’est pas banal de connaître plusieurs femmes ac ce type de profil, minoritaires me semble-t-il et se livrant toutes à toi sur ce sujet. Plus sérieusement, quelle que puisse en être la raison, s’il y’en a bien une ou pas : cela ne devrait pas être source de débat, de jugement, de pression, d’obligation ou que sais-je encore. Cette décision n’appartient qu’à la personne qui la prend. Point.

Oui très joli film, tout y est bien avec une mention spéciale pour Benjamin Lavernhe formidable dans ce rôle de composition. L’autisme y est abordé de façon si fraîche !

Allez, sans rancune mais réfléchir et se remettre en question, c’est pas mal des fois.

Ah tu cites maintenant ?! Tu progresses, cool. Waouh… quelle punchline, félicitations avec un train de retard ! On est plus au CP, passons…

Pas en ce qui me concerne même si effectivement, certains propos, de toi et d’autres, peuvent m’insupporter. J’aime bien voir le mode de raisonnement, jusqu’où cela peut aller, ne pas faire l’autruche pour essayer de comprendre et de les situer. C’est parfois irritant mais intéressant malgré tout. Cela dit, à ta guise de m’ignorer si tu le souhaites !

Merci de citer lorsque tu réponds à un post ! Je me passerai volontiers de tes leçons d’histoire, tes intermèdes musicaux et tes slogans. Après tout ce que tu as osé balancer sur les femmes, leurs choix, la nulliparité, etc… tu manques pas d’air de te référer au féminisme. D’après tes discours outranciers, je ne vois aucune sororité en toi.

Ah j’avais pas vu ça…

C’est exactement ça : comme si ne pas enfanter, faisait de cette femme, une personne non aboutie, incomplète. Absurde !! Faux… les « femelles » ne sont pas toutes biologiquement parlant en mesure de mettre au monde un enfant. Et oui, pour celles qui le peuvent, c’est un droit d’ordre privé, celui de choisir de faire naître ou pas un petit être. Quel raisonnement déconcertant !! Je pèse mes mots, pour ne pas être désobligeante. Bref… Le respect de l’intégrité d’une personne passe par celui de son libre-arbitre, sans émettre de quelconques jugements fallacieux. Aujourd’hui encore, cette conception archaïque du rôle des femmes dans notre société, comme entre autres joyeusetés « femme, tu enfanteras dans la douleur » (merci la péridurale)… cette pression, ces diktats familiaux continuent à parasiter, la volonté ou non d’une femme et par extension de son/sa conjoint-te, quand il y en a, d’avoir un enfant. Et oui, même cela dérange certains-nes, c’est bien aux femmes de décider.

Je ne regarderai plus jamais ce film de la même manière… !

La version écolo de « Peau d'Âne » quoi ?! En nettement moins glam’…

Je te retourne aimablement le compliment !

N’est-ce pas ?!

Ah ben ce n’est pas moi qui ait ouvert cette parenthèse, le HS était déjà là et perso, je pense que l’Ipsos est quand même un peu sérieux dans ses études de façon générale. Le but n’était pas de contester mais de préciser… Sur ce Sandrine Rousseau aurait sûrement trouvé une « excellente » punchline pour démonter tout et n’importe quoi…

https://www.inegalites.fr/depart-vacances https://www.observationsociete.fr/modes-de-vie/loisirs-culture/vacances/ « Depuis 40 ans, le taux de départ en vacances a très peu évolué. Il était de 61 % en 1985 selon le Crédoc et de 64 % en 2019 avant la crise sanitaire. Avec la crise sanitaire, en 2020, seuls la moitié des ménages sont partis. Ils ont été 54 % en 2021. » Ton étude ne parle pas de 2022, la suite relate les années antérieures ou j’ai pas bien lu.

Un record depuis 15 ans des intentions de vacances cet été Après 2 ans de crise sanitaire, on constate une hausse marquée des intentions de départ des Français (74% soit + 7 pts vs 2021) qui dépassent le niveau d’avant crise sanitaire(+5 pts vs 2019). D’ailleurs, 71% des Français se déclarent enthousiastes à l’idée de partir en vacances. Ipsos