Ejainiste

QU'ELLE défende

Mais siiii "Jeunes filles en surpoids" en première ligne

https://www.charentelibre.fr/2019/08/29/obesite-un-fleau-chez-les-jeunessurpoids-les-filles-sont-en-premiere-ligne,3477733.php La pêche au thon rouge de ligne http://www.thonrougedeligne.com/le-thon-rouge-de-ligne-2/

... mais "bien fini"

Il faut espérer que le prochain président soit une femme de gauche, écologiste et une vraie militante féministe

Pauvre femme, mais enfin libre et délivrée de son bourreau

Ni l'une et ni l'autre ... un patriote serait le bienvenu

Pas faux ! Signé: un primaire

De façon générale, ce sont surtout les mâles qui n'aiment pas l'homosexualité masculine. Ils sont plus tolérants quand il s'agit de zieuter des nanas en train de se bouffer la salade plutôt que de voir des mecs s'enfiler à la queue leu leu

En Allemagne, un exotique musulman a tué et blessé plusieurs personnes ... les flics ne l'ont pas zigouillé !!! Pourquoi !?

La SEULE hantise (mais vraiment la seule) c'est d'être emmerdé par la justice .... c'est tout Concernant ma réaction, ... comme je me suis déjà préparé "psychologiquement" à une telle éventualité, je n'aurai pas besoin de psychologues, je vous l'assure ... sinon la crainte de la justice, alors çà oui, j'en ai

Ah si si si Dieu n'existe pas mais "IL" est présent dans les esprits et dans les coeurs

OK .. Je tempère mon affirmation ... A son âge, peut être que j'aurai fait des cauchemars : non pas pour l'avoir zigouillé mais d'avoir échappé à la mort ... peut être ... à mon âge, le ou les salopards qui rentrent chez moi la nuit avec une arme pour me faire la peau, je les crève sans l'ombre d'une hésitation. Bien évidemment, il faut que j'en ai le temps

Double peine pour un noir aveugle accompagné de son chien ... à moins que sa canne blanche lui sert de laissez passer

Cette journée du 16 octobre 2020, il ne l'oubliera «jamais». Ce jour-là, ce gardien de la paix de 29 ans a été appelé avec six de ses collègues pour maîtriser un homme armé aux abords d'un collège de Conflans-Sainte-Honorine, dans les Yvelines. Lorsqu'ils arrivent sur place, ils découvrent le corps sans vie d'un homme décapité, Samuel Paty. «C'était une scène vraiment choquante, on a même l'impression que ce n'était pas réel. Oublier c'est impossible. C'est une page qui écrite dans notre livre, on ne pourra pas la tourner cette page», a confié le policier au micro de tf1. Depuis l'assassinat de ce professeur par Abdoullakh Anzorov pour un cours sur la liberté d'expression il y a huit mois, c'est la première fois qu'il témoigne de ce qu'il a vécu ce jour-là, lorsqu'il s'est retrouvé face au terroriste. «Il commence à courir dans ma direction en tentant de me poignarder. Je tire le premier, le collègue qui est à mes côtés il tire aussi. Malgré nos impacts, celui-ci continue d'avancer dans notre direction. L'homme tombe au sol à un mètre de moi à peu près», s'est-il souvenu, craignant que l'assaillant parvienne à le «toucher» malgré ses blessures. «Je vais sur lui, il est au sol, je pensais qu'il était décédé, j'ai le temps de récupérer l'arme et au moment où je vais pour prendre le couteau, celui-ci le récupère avant moi et tente de me mettre des coups de couteau au niveau des jambes. J'ai tout juste le temps de m'écarter de celui-ci, de retirer, le collègue retire aussi et au bout de quelques secondes on se rend compte que ça y est, il ne bouge plus du tout». Depuis cette intervention, ce jeune policier est suivi par des ¡médecins psychiatres et des psychologues». «Mes nuits sont difficiles», confie-t-il, évoquant un lien de solidarité tissé entre lui et les autres policiers qui sont intervenus ce jour-là pour ne pas perdre pied. «Il y a tellement malheureusement de collègues qui se suicident, moi j'avais la boule au ventre de me réveiller le matin en me disant qu'il y allait avoir un collègue qui allait peut-être se suicider suite à cette intervention (...) Toutes les semaines on s'envoie des messages». Malgré la dureté de son métier, il n'a «jamais» pensé à en changer. «Moi je suis rentré dans la police parce que c'est un métier que j'aime. J'ai des maux difficiles, des phrases dures. J'ai déjà dit à ma femme "pour moi ce métier c'est un métier qui va me tuer», a-t-il dit la voix brisée par l'émotion avant de poursuivre : «J'ai la passion de ce métier. Moi je ne veux faire rien d'autre malgré des événements comme celui-ci, je pense qu'il faut des policiers qui soient aimés et une petite dame qui se promène sur le marché et qui vous dit "Merci pour ce que vous faites", c'est pas grand chose, mais rien que de l'entendre, au fond de vous, ça vous fait une petite récompense.» ========== Si j'avais été un flic, et dans les mêmes circonstances, je passerai des nuits paisibles

La seule fois où j'ai vu ce genre d'inscriptions, çà remonte dans le milieu des années "septante" Sur le toit d'un dancing en Belgique, j'y avais vu une énorme banderole avec l'inscription suivante :"Interdit aux français et aux arabes ". Véridique !!

1er but : Erreur d'alignement de Varane (et de Pogba ?)+ Lloris qui fait du "Schumacher" - le carton rouge aurait du être sorti 2ème but: Pénalty généreux accordé aux bleus 3ème but: But de Beneczéma entaché de hors jeu (de peu, mais hors jeu de mon point de vue) Merci à l'arbitrage

C'est comme Dieu, "IL" n'existe pas mais "IL" est présent OK sur ces points

Hé oui ... Et puis ce serait utile de se souvenir du référendum du 29 mai 2005

Délires allemands

Portugal 0 France 1 But de Ronaldo CSC

Sans connaitre la taille ? Dangerous