Easle

Combien connais-tu de carrieriste sans enfants à la retraite ?

C'est à l'opposé de mes constatations. On cherche toujours à savoir pourquoi avant de la juger, à comprendre. Dans le cas d'un homme c'est expédié : c'est un connard. Une oeuvre d'art aussi. Et pourtant ca se fait. Et plus encore auprès de l'artiste, du compositeur, etc.

Mais qu'appelles-tu se laisser aller ? Tu veux faire accroire que la beauté ne serait qu'une question de soin, d'entretien ? C'est l'objectif ?

Et il y a des femmes qui abandonnent leurs enfants, mais là, on posera des questions, on ne jugera pas aussi vite, pas des femmes ! C'est donc un jugement d'époque. Et chacun ne veut plus rien devoir à autrui, et veut juger, vite et bien mais surtout jamais être jugé. Et dans ce cadre être une femme est une position de confort, un homme étant par défaut un salaud dans l'idéologie contemporaine.

Ah... ne rien devoir à personne..... quelle facilité ! quel mépris de la nature sociale des êtres humains.

Et que les mômes sont redevables aux femmes de les avoir fait ? Qui aimez-vous voir redevable ? Devoir est devenu sale dans une société ou l'individu, l'EGO roi ne doit jamais rien devoir, mais tout recevoir ?

Merveilleuse interprétation, très contemporaine. Le principe du don et du contre-don à la poubelle, je trouve répugnant de concevoir la dette comme répugnante. C'est une vision asociale de l'être humain.

Il est bien connu que seuls les hommes quittent des femmes. Comme seuls les hommes sont violents, etc. Je vois ! Ah oui, et quoi ? Oui, on se demande bien !

Cela pourrait avoir le mérite d'éclaircir la situation politique. car ca devra pêter un jour ou l'autre puisque des tensions de guerilla civile à bas bruit ont été fabriquées par TOUS les bords depuis des décennies, et avant tout par des mutations socio-démographiques et culturelles.

Exemplairement explicite. Merci ! Alors sois honnête, ta beauté et ta sélectivité.

Et ce n'est pas moins problématique.

Et certain-e-s penseront encore que l'extrême gauche est meilleure que l'extrême droite... Mais quelle dérision !

Si c'était le peuple oui. Mais ce ne sont que les quelques dizaines de milliers d'employé-e-s d'ONG et entreprises américaines, françaises, européennes, financées pour certaines directement par la CIA (et d'autres services) qui ont manifesté. Pas les autres. Comme lors de la 'révolution' orange' ! Et en Ukraine on a pu voir des ministres de nationalité américaine, en Georgie, la présidente parle avec un accent français, puisqu'elle est française (oui, d'origine georgienne), ancienne diplomate française ! Mais n'imaginons aucune influence, il n'y a que les russes qui manipulent les peuples, les élections, les présidents etc. Jamais l'Europe, la France, les usa n'oseraient faire de pareilles choses. Nous sommes le camp du bien donc passif. Nous entendons les voix des peuples et volont à leur secours, par pur altruisme ! Vaut-il vraiment mieux entendre ça que d'être sourd ? https://www.marianne.net/monde/geopolitique/guerre-en-ukraine-le-new-york-times-revele-que-la-cia-a-finance-12-bases-dans-le-pays-depuis-2016

Attention tu vas te faire traiter d'islamophobe. Je t'avais soumis les nombreux pays candidats et tu focalises sur un seul pour éviter de répondre sur CE qui pose problème : l'Ukraine, la Georgie, et pourquoi pas d'autres. Pourquoi refuses tu de répondre ?

Tu ne veux pas me lire. Non, des émotions et des sentiments ne sont pas des réalités, autres qu'humaines. Elles n'ont aucune existence en dehors de l'existence de l'être humain. Ce sont nos fictions, à la différence d'une pomme qui se fout de savoir si tu existes, elle fleuri, se développe, et tombe, qu'il y ait des humains ou non. Dieu donc est du même acabit que l'amour ou l'admiration, c'est une fiction lié à la seule existence humaine. Mieux même, Dieu n'est qu'un mot pour dire société humaine, sans en avoir une conscience formelle suffisante, une intelligence factuelle. Et ce n'est pas un "point de vue", ou alors la rotondité de la terre en est un.

Et l'Ukraine ? et la Georgie ? Si la question a été posé de la Turquie, y compris par l'Europe, c'est bien que géographiquement l'impérialisme européen ne se donne pas de limite. Ce n'est que de culture politique qu'est faite la limite, donc si le liban devient une démocratie de type grecque, allez, on l'accepte ? On descend jusqu'où ? Et je réitère, si la Georgie, pourquoi pas l'Arménie ? voire d'autres républiques faisant pour l'instant partie de la Russie ? Où s'arrêtera, dans 50 ans, l'appétit de l'Europe ? Qui a déjà bien grossit, continuement.

Et c'est la tienne de vouloir jouer les candides, voire de ne pas écouter, ce qu'en dit par exemple Roussel, ou d'excuser Bompard, qui précise bien que LFI doit être le leader, dés mardi. Donc si pour avoir raison tu veux jouer, soit, vas-y, mais ne t'illusionne pas, non seulement les électeurs voient clair, mais également dans le déni de militant qui sont si dévoués et serviles à leurs idoles. Parce que tu crois qu'ils feraient l'économie des militaires ? Pire, d'une police secrète !? Si tu veux jouer comme certain ici avec l'histoire, on peut aussi le faire dans ce sens......

De la pure fiction, des SI, de la théorie de la dissimulation, on pourrait aussi bien dire que le Père Noël se cache et qu'il va bien plus vite que la lumière, comme Dieu qui est son cousin germain par alliance... Rien ne m'empêche de l'imaginer. Il n'y a aucune possibilité réelle, concrète de le prouver ou pas. Toutes les fictions peuvent être du réel à ce compte ! TOUTES ! Il n'y a AUCUNE logique ! AUCUNE démonstration, pas la moindre petite forme de tangibilité. Et ce qui n'est pas tangible, ne s'appuie pas sur du tangible n'existe pas en dehors de l'être humain, n'a aucune réalité ontologique propre. C'est très simple.

Croire est très proche, quasi identique à supposer. La disctinction tiens à la rhétorique, au besoin de jouer avec les mots pour faire accroire que la fiction est aussi du réel. Toutes les sectes, tous les gourous, toutes les religions, tous les rois, nobles, chefs, etc. manipulent le langage (ou la force si besoin et possible) pour en tirer des bénéfices matériels, réels. Donc, du blabla, du vent. Il y a le réel, et la fiction. La fiction n'a aucun moyen de se fonder concrètement. Elle ne demande de prouver qu'elle n'est pas réelle que par manipulation, pour maintenir des pouvoirs, des intérêts matériels, du contrôle, etc. L'enive est un concept, il n'a aucune réalité en dehors de l'être humain qui le produit, à la différence du soleil de la terre ou d'une pomme. Dieu, les dieux sont des concepts, de même manière, ils sont produits, de la même manière, pas l'homme, et n'ont aucune réalité en dehors de l'être humain. C'est bien toute la différence entre le réel et la fiction.

Je n'ai pas mis un rire pour me moquer mais sur la dernière phrase, triste et comique en même temps ! Mais ok, réelle donc triste ! Ce qui interroge là, à côté de la sociabilité, sur l'image, sa domination, et on peut y penser dans le cadre de la relation entre génération........

Normalement, le vote des législatives devrait être très différent, plus favorable au RN mais modérément, loin d'une majorité même relative. Mais ! Si le spectacle des autres partis est celui de la pagaille, des tractations, des "mais c'est nous qu'on doit leader", "pousse toi de là que je m'y mette", etc. Celles du RN, avec un affichage de glissement toujours plus avancé de la radicalité vers la normalisation de droite, donnant une image de "dignité", ou de sérieux, risquerait de leur donner plus de places que de raison.

Je ne suis pas sûr ! Ce n'est pas aussi simple. Pour avoir discuté avec des RN et FN avant, et des LFI, des LO et autres NPA (les pires sur ce terrain), j'ai constaté beaucoup d'engagements par cooptation, affections et proximités, professionnelles, amicales, sentimentales ou même simplement sexuelles, et au final très peu connaisseurs de l'histoire réelle, embarqués par des versions idéologiques, politiques de l'histoire, par des récits, par des mythes, des fabrications de l'ennemi, dans une dynamique de combat (presque plus importante que le fond - typique chez les Fa et Antifa-, avec des revirements intellectuels dans des discussions à bâton rompus, assez impressionantes, voire presque comiques). Et même chez des cadres parfois. Mais cela ne veut pas dire nécessairement de la bêtise ou de la naïveté, quoique jeune, toujours assez bien sûr. Il y a aussi des attaches, malgré des désaccords, parfois profond, mais non traités sur le mode agressif /ennemi / à "tuer", "dénigrer", etc. même au prix de la mauvaise foi, des manipulations et du mensonges, comme entre partisans opposés, mais sur un mode compréhensif, comme avec des parents ou des amis qu'on connaît et estime pour des raisons autres, que même des oppositions idéologiques n'affectent pas Alors si les désaccords, sont réels mais gérables, il y aura parfois des énervements, des prises de becs, mais ca n'ira pas plus loin. Et la logique de progression, de carrière, de places viendra aussi amenuiser les différents, ou les rendre plus "courtois", ou hypocrites.

Non, on ne s'en fiche pas. Quand on est dans un parti qui compte des fachos, des racistes, on est pas nécessairement comptable de cette ligne et on peut, si on le montre le moment venu, avoir défendu et défendre une autre ligne. Un héritage est plus complexe, et une stratégie d'accès au pouvoir aussi. Et sinon, il faut aussi le faire pour les autres hommes et femmes politiques, lire leurs amitiées, leurs alliances, leurs engagements jeunes, etc. et les traiter de même ! Faure est un pion placé.

Alors où aurais-je dit que l'antisémitisme était essentiellement de gauche ? Non, je tiens seulement à que l'histoire ne soit pas unijambiste, avec idéologie de gauche, comme de droite. Parceque répondre à l'idéologie par l'idéologie, non, merci. Et je ne vois pas en quoi Cordier dit autre chose.

Ruffin n'a pas proposer un "front populaire" pour ne pas se poser en leader ? S'il n'avait pas voulu cela, il aurait proposer d'abord, de discuter des options diverses et variées, autre qu'un FP. Et c'est aussi un manière de prendre de vitesse les autres formations pour que la FI se donne une posture de leader. C'est assez clair chez Bompard. Donc, tu peux le nier, le dénier, le tourner dans tous les sens, c'est ce qui est visible, et non, en politique on connaît le sens des mots, ce qu'on veut montrer, Macron n'est pas le seul à savoir faire de la politique politicienne. Et les journalistes ne sont ni plus dupes, ni plus manipulateurs des phrases consensuelles sur on voit d'abord les alliances, les sujets, qui sont vus, revus, connus par des politiques qui travaillent sur ces possibles à longueur d'année. Là, ce n'est qu'une course à l'échalotte, non dissimulée, aux places, au lead. Les tractations d'accords ne se font d'ailleurs quasiment que sur qui obtient quoi, où. Mais vas-y fait de l'angélisme, tu défends ta chapelle comme tu veux.