MadeleinedeProut

J'avoue ne pas réussir à cerner l'intérêt de cette démarche. Son profit vis-à-vis de l'enfant. Le faire adhérer à des "valeurs républicaines", mais encore? le confier à un parrain et une marraine qui y contribueront.... Quelle est votre position à ce propos?

Finalement je ne vois pas grand chose à dire que faire le constat que ce monsieur ne veut pas d'attache, de stabilité ni sentimentale, ni professionnelle. Il vous revoit comme il revoit d'autres filles selon les endroits où il réside une période. C'est tout. Après c'est à vous de voir si ça vous convient. Ou pas. Mais il n'y a rien à dire de plus.

Oui évidemment que ça n'a aucun sens. Mais l'ensemble du message est dénué de sens.

Au contraire j'ai bien lu qu'après ses 5 ans de je ne sais trop quoi, il a préféré voyager partout et avoir des taffs a chaque pays ou il allait pour un laps de temps et c'est encore le cas aujourd'hui. Des taffs? quels taffs? et dans chaque pays.....? pour être peu clair, c'est peu clair. Soit la demoiselle s'amuse avec cette histoire, soit elle ne sait rien de cet homme très évasif sur sa vie. Et quand on est évasif sur sa vie c'est qu'il y a un loup quelque part. Mais bon.... la demoiselle s'amuse peut-être.

Pardon d'insister mais pouvez-vous être un peu plus précise, si vous le pouvez en fonction des infos que vous détenez. Ne pas trouver d'emploi stable dans le domaine de la médecine me laisse un peu songeuse... Toutefois s'il voyage sans cesse, passant d'un pays à l'autre c'est qu'il a un emploi qui lui permet de voyager, donc ma question est la suivante = savez-vous exactement quel genre d'emploi il occupe? dans quel type d'entreprise? en parle-t-il? Ces questions ne sont pas indiscrètes mais permettent de savoir à quel type d'homme vous avez à faire.

Il est médecin ou représentant de commerce pour voyager ainsi?

C'est un roman qui comporte combien de tomes?

Il y a tant d'abjections qu'on ne peut, ne veut, n'ose pas imaginer tant leur réalité est inconcevable. Et pourtant....

Voilà voilà c'est ça et "je vais eux dire" quand on veut s'adresser à plusieurs personnes à la fois

On peut dire que le film n'avait pas un grand intérêt mais que malgré tout il nous a plu. Mais ce "moi j'ai aimé" d'un ton catégorique, sans laisser place à une critique c'est un peu...euh...., bref ça bloque l'échange.

Oui et quand on pense que le deuil est fait ou que l'on a avancé on peut replonger dans une phase négative, enfin, c'est ce que j'ai vécu.

Oui et vous faire passer pour quelqu'un au ras-des pâquerettes, qui n'a aucune profondeur, aucune capacité d'analyse, aucune aptitude à cerner le personnage de l'histoire. J'ai souvent ce sentiment avec une amie avec laquelle je ne partage ni goût littéraire ni cinématographique et qui se contente souvent de dire juste "ah si, c'était bien, moi j'ai aimé....".

Aux obsèques de mes parents, quoi qu'on ait pu me rappeler de drôle à leur sujet, j'affirme que l'envie de rire n'était pas présente ni pour l'un ni pour l'autre. J'avais besoin de paroles douces les concernant ça oui, mais de tenter de faire tourner le souvenir à la rigolade, je n'étais pas du tout en mesure de le faire. Chacun a une réaction qui lui est propre.

Je ne juge pas, je ne saurais pas le faire pour un disparu qui me serait proche. Je ne saurais pas parler d'irrespect non plus. Peut-on toujours expliquer nos réactions et celles des autres? Quand je dis "aucune envie d'utiliser la dérision", je ne peux parler que de mon propre ressenti.

Ai-je dit qu'il y avait une ou des règles? Je fais allusion à ma propre réaction. Que chacun réagisse à sa façon est une évidence.

Quand c'est une mort qui touche quelqu'un de proche, un ami, un parent j'avoue que là j'émets des réserves. La peine prend le dessus et aucune envie d'utiliser la dérision dans ce cas.

Les gens qui vivent dans les villages vont au café à pieds ou reprennent leur véhicule simplement pour rentrer chez eux. Ca c'est pour évoquer la question sécurité routière. Mais bon, j'arrête là parce qu'on va penser que je défends la consommation d'alcool alors qu'il n'en est rien.

Dans le village où je réside le bistrot réunit le matin diverses catégories de personnes. Des mamans qui emmènent leurs enfants à l'école vont souvent prendre un café le matin et papotent entre elles. Des relations se nouent. Il y a également des hommes qui se connaissent et échangent aussi autour d'un café. Dans la journée c'est la bière qui est la boisson la plus demandée. Ce café qui a été rénové et remis au goût du jour propose des soirées foot lors de match importants, dans ce cas il y a des boissons plus alcoolisées qui peuvent être servie, comme whisky ou autre alcool fort mais au vu du prix du verre la consommation reste raisonnable. C'est un point de rencontre très important et de nouveaux arrivants qui ne connaissaient personne ont établi des relations plus étroites avec des gens du village. Les jeunes cons vont souvent acheter des bouteilles au supermarché et se saoulent chez l'un ou l'autre avant de reprendre leur véhicule. Ils n'ont pas besoin des bistrots, d'autant qu'un alcool fort renouvelé sur le zinc ça revient très cher.

La licence IV permet d'accéder à la commercialisation d'alcool fort certes, mais on doit prendre en compte le prix du verre d'alcool fort qui du fait n'est pas consommé à outrance. Par ailleurs Doïna évoque et cible le "gros rouge" qui ne correspond pas à la licence IV que je sache.

Dans un bistrot personne n'est obligé de s'alcooliser? pourquoi du "gros rouge"? On boit de plus en plus de bière en France, quand on voit le degré d'alcool plutôt dérisoire de cette boisson, il faut vraiment s'en envoyer quelques pintes derrière la cravate pour se péter la tronche. Le "gros rouge" n'est pas/plus la boisson favorite des consommateurs. On peut y boire un café. Le bistrot de campagne est un lieu de retrouvailles, briseur de solitude.

Cela a été une période terrible pour les grecs et pour faire suite à votre message, nous avions mon mari et moi l'intention de nous rendre en vacances dans ce pays au moment de cette crise et y avons renoncé connaissant les restrictions que les locaux subissaient, puisque nous en avions des échos. C'est un réflexe totalement idiot car le tourisme est justement une manne pour eux mais la pudeur -peut-être ridicule- l'a emporté.

Les potins de la commère....

Ils ne viendraient sûrement pas dormir sur moi, ils ressentiraient sans aucun doute la crainte qu'ils m'occasionnent. Moi j'ai des mouches....en été... Je connais un jeune couple, possédant un énooorme chat bien gras qui dort DANS leur lit !!! beurk!!

Malade? c'est-à-dire?

Tout à fait. Je me souviens du début des années 80 quand L. Fabius était premier ministre du gouvernement sous F. Mitterrand. Je crois que c'était 82, nous n'avions pas le droit de retirer au-delà d'une certaine somme pour se rendre en vacances à l'étranger. Je n'ai plus la somme en question en tête mais c'était mettre les français dans une situation misérable imposée. Une restriction appliquée sans concession aucune. Il faudrait se replonger dans les premières années Mitterrand et prendre conscience de ce qui pouvait s'affilier à une absence de liberté des français concernant leur argent. J'étais jeune, ne m'intéressais pas franchement à la politique mais j'ai en tête quelques aberrations.