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Tout ce qui a été posté par Jean-EB
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C'est très français oui ! Avant 1980.
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Oh ! comme il est beau ! Pfff... on dirait un Courbet dis donc.
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Un reportage sur les habitants de Grindavík menacée :
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Construire de nouvelles centrales nucléaires
Jean-EB a répondu à un(e) sujet de Michael 38 dans Environnement
Le seul phénomène bizarre ici c’est votre capacité à ne pas vous informer pour mieux raconter n’importe quoi. -
Les médecines alternatives, "au mieux c’est extrêmement optimiste, au pire c’est farfelu et mensonger"
Jean-EB a répondu à un(e) sujet de metal guru dans Santé
Je finis à l'instant ce livre qui vient de sortir et je le conseille à tous. Il fait le point, sans acrimonie, sur 26 médecines alternatives et complémentaires actuelles. Une lecture qui permet de se faire un avis éclairé. La page du livre chez l'éditeur : Médecines alternatives et complémentaires - Qu'est-ce qui marche ? | Alexandra Delbot et Florian Gouthière | mars 2024 | Les Arènes -
La notion d'espèce était déjà objet de discours dans la Grèce antique. Cette notion a reçu bien des définitions et des auteurs récents, Philippe Lherminier et Michel Solignac, en recensent pas moins de 146, certaines définitions étant parfois très proches cependant (De l'espèce, 2005). Vous convoquez ici le concept biologique de l’espèce, initié par Ernst Mayr dans les années 1940 et devenu hégémonique depuis, qui fait de l’isolement reproductif le critère décisif pour délimiter les espèces. À cette aune les espèces sont des populations d’individus interféconds, reproductivement isolées d’autres populations d’individus interféconds, capables d’engendrer une descendance viable et fertile, sans diminution de la valeur adaptative (fitness) des individus au cours des générations. On voit poindre les limites du concept biologique de l’espèce. En effet, dans de nombreuses disciplines cette définition est inopérante, l’interfécondité n’étant pas testable, et parfois même sans objet. Pensons à la microbiologie, qui n’a que faire du sexe. Pensons encore à la botanique, qui décrit parfois de longues lignées apomictiques aussi bien que des hybrides fixés, stériles ou fertiles (le cas de Spartina x townsendii nous fait entrevoir la complexité des processus génétiques à l’œuvre). Pensons à la paléontologie, qui date en dizaines de millions d’années des os pétrifiés de squelettes le plus souvent incomplets (quand il ne s’agit pas d’une vague empreinte dans une roche sédimentaire). Pensons enfin à la paléoanthropologie, qui nous intéresse plus directement et qui, à partir de restes ostéologiques très semblables et de squelettes très incomplets, à partir d’un matériel génétique qui révèle une proximité génétique très grande (Néandertal, Denisova, Sapiens), doit se prononcer sur le statut taxinomique des hominines éteints. Où l’on voit qu’il est bien difficile, sinon impossible, de mobiliser le concept biologique de l’espèce lorsqu’on étudie de nombreuses formes de vie actuelles et disparues. Les paléoanthropologues se passent donc d’un concept largement inutilisable dans la pratique de leur discipline et qui est valide, principalement, dans le domaine du vivant sexué (et encore les cas limites sont pléthore). Les paléoanthropologues maintiennent pourtant Homo neanderthalensis et Homo sapiens au rang d’espèces distinctes, alors même que les introgressions d’ADN néandertaliens dans notre génome montrent que des descendants hybrides ont vécu et transmis leur gènes. Ou comment envoyer Mayr aux orties. Et fondamentalement je pense que votre question est là ! Sachant cette reproduction passée entre les deux humanités, pourquoi ne pas faire qu’une seule espèce et décider que les différences phénotypiques et génétiques, indéniables, sont de la variation au sein de l’espèce ? Réponse courte : les paléoanthropologues se foutent comme d’une guigne d’une définition qui reste moins pertinente que la définition phénétique de l’espèce (degré de similarité entre les organismes) qui a longtemps été la seule accessible dans leur discipline (avec une infinie variété de nuances, de critères et de valeurs de caractères jamais vraiment fixés). Demeure la question du degré de ressemblance attendu pour délimiter une espèce. Réponse longue : les accouplements entre Néandertal et Sapiens ne se sont pas faits lors d’une partouze générale. Chaque individu, pour des tas de raisons, copulait préférentiellement au sein de son groupe humain. Les descendants hybrides ont été peu nombreux relativement à l’ensemble des descendants. Cette préférence dans la reproduction s’explique par des dimensions non directement prises en compte dans le concept biologique de l’espèce et sa définition canonique. Ces dimensions entrent en revanche dans d’autres définitions de l’espèce. Ainsi, une niche écologique rigoureusement identique définit l’espèce selon des critères écologiques partagés au sein d’une population (par la suite Mayr ajoutera à sa définition de l’espèce cette notion de niche écologique commune). On pourrait pour le genre Homo décrire des niches symboliques (cosmogonies, arts, idées abstraites, langage articulé, etc.) qui viendraient étendre le concept de niche écologique. Autre point important : nous n’avons pas d’informations sur la fitness et les traits d’histoire de vie des descendants hybrides issus des rencontres sexuelles entre Néandertal et Sapiens. Une dépression hybride (outbreeding depression) ou, au contraire, une vigueur hybride (hétérosis), était-elle observée ? Enfin, le plus important peut-être : Néandertal, dans la conception de l’espèce chez les paléontologues et les paléogénéticiens, a disparu. Autrement dit, et sans entrer dans les débats qui occupent paléontologues et paléogénéticiens, on ne retrouve nulle part dans l’humanité actuelle des individus qui auraient les traits morpho-anatomiques et génétiques des individus qui occupaient seuls l’Europe il y a 45000 ans.
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Depuis 1949 il me semble.
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Quelques rappels, pour nous tous et pour les climato-neuneus en particulier : De telles précipitations sont exceptionnelles. Elles sont même inédites dans les relevés météo de Dubaï ; Le réchauffement climatique anthropique amplifie les événements climatiques extrêmes, celui-ci compris ; L'ensemencement des nuages n'est pas en cause. Une saine lecture : Dubaï : inondations mortelles et désinformation massive | Bon Pote | 25-04-2024
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Citation déjà donnée et il s'agit de Joker.
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Extrait : Quand je lis ça j'ai envie de taper comme un sourd sur les journalistes, avec Répy en compagnon de l'expédition punitive. Et beau travail des scientifiques !
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Aaaah ! Je venais de trouver. Bravo @lysiev !
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Le Jour le plus long ?
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Film de guerre ?
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Américain ?
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J’aime ce film !
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Film plus ancien.
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Comédie, comédie dramatique sans doute.
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Où as-tu pris ces infos ? C’est une restitution très approximative que fait l’intervenant mais ça vient de là : Les tendances à trois mois | Météo-France | 25-03-2024
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À toutes fins utiles on rappellera qu'il ne s'agit pas de prévisions. En réalité Météo-France donne des tendances à trois mois, celles-ci fondées sur des modèles météo probabilistes et ensemblistes. Il s'agit donc de scénarios assortis d'une forte incertitude, qui ne constituent évidemment pas un bulletin météo.
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Je tiens à vous dire ma haute considération. Indice : film adapté d'un livre
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Oh ! nom de Dieu la flèche !
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Une paella sans coquillage, c'est comme un gigot sans ail, un escroc sans rosette : quelque chose qui déplaît à Dieu !