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Tout ce qui a été posté par Guillaume_des_CS
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Les Restos du ♥ créent-ils de la misère sociale ? Ma réponse est :...
Guillaume_des_CS a répondu à un(e) sujet de Guillaume_des_CS dans Société
Et, comment la verrais-tu, toi-même, cette révision? Par où commencer? Je veux dire: rapport par exemple aux Restos (qui ont toute mon amitié et mes salutations): comment les remplacer? Par quoi? Attention!: à mes yeux, ils sont devenus INDISPENSABLES à beaucoup d'être humains. On ne peut pas seulement "balayer"... -
Les Restos du ♥ créent-ils de la misère sociale ? Ma réponse est :...
Guillaume_des_CS a répondu à un(e) sujet de Guillaume_des_CS dans Société
Excellent! Merci! Ça fait du bien d'en rire... Je sens même que Coluche s'en régale. Excellent, vraiment... bravo! Edit: et puis, ce n'est pas si dramatique... (Je la joue un peu sur le genre "affectif"... ) -
Les Restos du ♥ créent-ils de la misère sociale ? Ma réponse est :...
Guillaume_des_CS a répondu à un(e) sujet de Guillaume_des_CS dans Société
Dès lors, es-tu bien certain de ne pas pouvoir aller jusqu'à dire...: que le concept "restos du cœur" d'aujourd'hui, en tout cas, ne contribue pas à créer de la misère, ne serait-ce que pour se justifier lui-même? Moi oui. Mais bien sûr, c'est alors un procès que je leur fais... Whaoo!... J'y verrais donc une intention? Une détermination...? Whaoo! Guillaume... Es-tu fou? Parano? Théorie du complot? Où veux-tu en venir? — Non, non, moi, ce que j'en dis... C'est comme j'ai dit: en répondant à vos points de vue... Tout doucement... Tranquillement... Sans passion... Faut-il alors les remplacer par autre chose? Je veux dire: peut-on accepter que des gens comme moi (et peut-être toi demain?) vivent avec 3€/jour pour se nourrir? -
Les Restos du ♥ créent-ils de la misère sociale ? Ma réponse est :...
Guillaume_des_CS a répondu à un(e) sujet de Guillaume_des_CS dans Société
Hum, hum... -
Les Restos du ♥ créent-ils de la misère sociale ? Ma réponse est :...
Guillaume_des_CS a posté un sujet dans Société
Ma réponse est: oui. Je vais tâcher de vous l'expliquer en adressant la vôtre, le cas échant... Merci d'avance de votre contribution- 113 réponses
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- associations
- restos du coeur
- (et 8 en plus)
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Pardon de mêler... Je vois bien que la question ne m'est pas destinée, mais je ne peux résister pour deux raisons. D'abord, je la trouve excellente. Mais pour la trouver excellente, évidemment il me faut vous attribuer une intention (que peut-être vous n'avez pas). Pourquoi la trouvé-je excellente? Parce que j'ai travaillé sur ce genre de problématique "oppositonnelle" il y a une dizaine d'années... (Si vous aimez les trucs un peu hard, c'est là) Ensuite, il y a une autre raison à mon "mais de quoi se mêle-t-il celui-là!?": j'ai lu (en diago d'accord) quelques-uns de vos posts à droite à gauche, et sincèrement je serais très intéressé par votre critique des 4 principes kovaniens. Quelle qu'elle soit évidemment. Bien sûr, si vous acceptiez de vous prêter au jeu, ce serait encore plus génial (pour moi) si vous acceptiez de le faire en gardant à l'esprit deux fondamentaux (kovaniens): 1) ces quatre principes ne fonctionnent qu'ensemble (les 4 ensemble, et deux par deux..., les 3ème et 4ème déterminant les "limites" des deux premiers); et, 2) ils ne sont pas seulement critiquables: on peut les modifier, voire même les changer. Ils n'énoncent donc aucune vérité. Par contre, ils s'inscrivent dans un algorithme, et lui doit pouvoir fonctionner (en d'autres termes: on peut les remplacer par d'autres sous condition que ces autres remplissent les mêmes fonctions dans l'algorithme, donc, en gros: portent le même sens...) Merci, le cas échéant.
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Bien sûr, c'est tellement évident, tellement fondamental à mes yeux, qu'il m'arrive de l'oublier! Merci de cette piqûre de rappel
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Le politique étant philosophique, je ne peux qu'être d'accord. Mais alors il doit (selon moi) être présent dans l'analyse. On ne peut la réduire à l'une ou l'autre des ses "sous-dimensions" (scientifiques?). Bien sûr, c'est mon point de vue. Je comprends qu'on puisse penser différemment. Le politique est effectivement fondamental pour moi... Je ne crois pas avoir dit "différents" (c'est possible, j'ai pu commettre l'erreur...), mais "uniques". Ce qui nous rend uniques étant nos différences. Et ce qui créé notre humanité, l'acceptation et le respect (la prise en compte sans jugement?) de ces différences. Mais bien sûr, et heureusement!, nous avons aussi beaucoup de points communs, de ressemblances! Et ce sont ces ressemblances qui nous... divisent?! Cette part de nous-mêmes que nous rejetons (pour x raisons) et que nous retrouvons si facilement chez l'autre? ("la paille dans l'œil du voisin" vs "la poutre dans le nôtre"?) Intéressant. Mais je ne vois ici de différence que dans le positionnement... Pas dans "l'observateur". Non, ne vous forcez pas à la critique si elle ne vous semble pas s'imposer. Vous n'avez pas à m'agréer (même si je vous remercie de votre sympathie). Par contre, si vous me le permettez, laissez-moi vous suggérer une idée qui me semble pouvoir convenir tout spécialement dans "votre cas" (...): amusez-vous à une critique... positive de mes petits principes! Faites vous en l'avocat! (C'est une technique qu'on utilise dans le Design Thinking). Je vous promets deux choses: 1) vous aurez du plaisir; 2) vous serez surpris! Bien cordialement, J'essayais plutôt de décrire un symptôme (mais je suis sûr que vous l'aviez compris)... Si symbole il y a, c'est à mes yeux celui de notre ipséité (pardon d'y revenir). En voyez-vous un autre?
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Non. Je ne veux rien. C'était une question ("Vous m'aidez?") Et je ne cherche surtout pas votre agrément (approbation), et encore moins la confirmation que le sens que je cherche à donner à ma vie soit aussi celui que vous souhaiteriez donner à la vôtre. (Principe d'ipséité du kovanianisme: nous sommes tous, chacun d'entre-nous, uniques. Et c'est de cette ipséité que naît notre richesse, notre humanité...) Je suis, au contraire, beaucoup plus intéressé, le cas échéant, par votre contradiction. Seule une argumentation contraire à la mienne fera progresser – ou régresser – la mienne. C'est-à-dire, la rendra vivante, dynamique, et éventuellement utile. Bien sûr, vous pourriez déduire cela de votre postulat initial, mais comme il est faux (selon mon analyse ci-avant)..., cette déduction l'est également. En tout cas lorsque vous me l'appliquez. Je partage totalement ce dernier paragraphe, sauf que là encore, il ne peut m'être opposé (à moi) pour une raison toute simple, que vous allez comprendre en lisant entre les lignes: Quand j'avais cinq ans, à la maternelle, dans la cour de récréation, il y avait un platane. Un grand, un beau platane. Les enfants jouaient dans la cour. Ils s'ébattaient joyeusement, criaient, riaient, comme des enfants quoi... Comme tous les enfants du monde? Non. Au pied du platane, il y avait un autre enfant, assis. Lui, pensait. Il n'était pas triste. Il était différent. Et seul.
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Pour moi, tu transfères la problématique sur un autre plan: ici le plan anthropologique? Voire, biologique? Je ne conteste pas la dimension philosophique transversale de ton analyse (à laquelle je ne m'oppose ni ne souscris), mais je vois difficilement comment l'adresser (y répondre) de mon point de vue, c'est-à-dire d'un point de vue de philosophie politique? La seule réponse possible pour moi, sous réserve que je comprenne bien ce que tu exprimes ici, c'est que tu donnes raison à la proposition que je fais de remplacer le concept d'égalité par le concept d'ipséité.
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Bon, pour "fantaisistes", je retiendrai l'acception anglophone du mot. Évidemment, je ne l'accepte pas, mais c'est quand même plus doux à mes oreilles Par contre, "contestables" m'intéresse! Mais où est-elle, cette contestation? Tu passes directement à ton interprétation (tes conclusions). Contestables en quoi? Comment? Pourquoi?... Please!
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Bien. Merci encore de ta compréhension et de ton indulgence à l'égard de ma réaction intempestive d'hier soir. Je ne vais surtout pas tenter de justifier cette réaction, mais il me faut au moins tâcher de l'expliquer: je souscris totalement à cette première partie de ton commentaire. La complexité a toujours (en tout cas à l'échelle de l'espèce humaine) été là. Partout. Et c'est seulement, à mes yeux, l'avancée de la science qui nous amène à la considérer, à en prendre conscience aujourd'hui. Aujourd'hui davantage qu'hier. Mais aujourd'hui, ce "davantage" qu'hier devient si central, si crucial, qu'à mon sens (et je ne crois pas être isolé sur ce point) on peut parler d'une nouvelle ère. Mais bon, je pense que sur ce point nous ne sommes pas très éloignés. Ce qui m'a fait réagir si négativement (et si stupidement), c'est la suite de ton commentaire, et notamment le mot "mots"! Je l'ai vécu comme une réduction de la modélisation que je propose (le blockhaus) à une sorte de verbiage. Je l'ai donc vécu, ressenti comme un jugement. Pourquoi l'ai-je vécu ainsi? Parce que, comme j'explique un peu plus haut, je ne suis pas porteur d'une croyance. Je doute fondamentalement (et tu as raison de me dire cartésien) de la validité de mon modèle, et donc de tout ce qu'il pourrait emporter (à savoir ce que j'appelle prétentieusement "la théorie K"). Pourquoi, si je ne suis porteur de croyance, de foi, d'idéologie, pourquoi alors devrais-je être ainsi "sur la défensive"? Parce que, je dois bien en convenir, j'aimerais bien que "ça" marche, que "ça" fonctionne! J'ai très, j'ai trop envie que cela fonctionne. Imagine: de cette modélisation du système social que je propose (qui n'est qu'une des multiples modélisations possibles, elle n'est pas LA modélisation...), je peux déduire un moyen de la faire évoluer en agissant sur elle de l'extérieur (en positionnant des "principes actifs" à l'extérieur de ses frontières), et je peux ensuite construire un algorithme (une suite d'opérations... j'expliquerai cet algorithme) basé sur ce nouvelle ensemble (ce nouveau système? potentiellement en tout cas, ou plutôt virtuellement). Cet algorithme devient alors le moteur de l'évolution du nouveau système. Or, si mon "mécanisme" fonctionne (devient auto-suffisant), cette évolution, ou plutôt la nature de cette évolution, son but, son objectif, va dépendre des principes actifs choisis! Et là, bien sûr, entrent en jeu les convictions personnelles de celui qui va choisir ces principes (donc, en l'occurrence, j'investis le système d'une dimension éventuellement idéologique, ou en tout cas idéaliste et utopiste). Et franchement: imaginons, juste un instant, que "ça" fonctionne. N'aurions-nous pas là le moyen de faire évoluer la société vers un modèle plus équilibré (avec ces principes-là), en faisant l'économie d'une confrontation révolutionnaire stérile (et sanglante?)? Alors bien sûr, quand tu arrives et que tu me dis que ce ne sont que des mots, hum... j'enrage quoi Il faut bien nommer les choses, non? Dans le texte complet (le livre), j'explique évidemment les terminologies choisies. Je les explique d'ailleurs également (sommairement j'en conviens) dans le post introductif de ce topic. Ce ne sont pas juste des mots: ce sont des étiquettes posées sur des processus actifs. Des processus très complexes, interactifs (et itératifs) entre-eux. Tu ne peux les "cristalliser" (les figer), sauf à nier le caractère dynamique des processus qu'ils désignent. Et ce faisant (car tu le fais n'est-ce pas?), tu réduis la frontière du blockhaus à un "mur", donc, là encore, un objet inerte qui pourrait (au mieux?) être poreux. Or, je décris la frontière du blockhaus au contraire comme un flux (dominant) d'énergie ou d'information. N'est-ce pas exactement l'inverse d'un objet inerte? C'est un peu comme si, en quelques mots (!), tu réduisais à une "nature morte" la "belle" théorie que je propose! (Je pense que tu comprends ce que je mets dans ce "belle"...) Enfin, et pour conclure (provisoirement j'espère): "...la recherche de la simplicité...": là, bien sûr, nous sommes en désaccord total. La simplicité ne peut adresser la complexité. On ne peut réduire la complexité. Plus on avance dans la description, plus elle augmente. Le raisonnement systémique nous permet par contre de l'appréhender dans sa dimension dynamique (très partiellement, ou plutôt très précisément, un peu comme un microscope?). Mais il n'est jamais simplificateur! (Euphémisme?) Quant aux "Koans", tu conviendras que je puisse penser que tu transfères l'ensemble de la problématique sur un autre plan? Le plan de la spiritualité?
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C'est toi qui est fait de mots Aruna. Regarde autour de toi... Tu es autiste? Autruche? Arrête de rêver... C'est bon de raisonner. Utilement à l'humanité. Quand il ne s'agit plus que de l'art pour l'art... Je m'excuse. Bonne continuation. Edit: bon, j'ai craqué, sorry... 72h sans dormir... Je reformulerai demain, promis. Pardon pour l'agressivité.
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Tu réduis sa pensée... À quelle fin? Cela t'appartient. Je l'admire (sa pensée). L'expliquer ici... Arf... En faire un caricature (comme tu le fais), oui. Mais l'expliquer... Sourire. Je comprends le fonctionnement d'un forum sur Internet. Je te respecte. Mais quand même: tu me sembles doté d'une vraie intelligence de la philosophie. Dès lors, ce genre de procédé devient suspect à mes yeux...
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4 principes tout simples pour... changer de monde ?
Guillaume_des_CS a répondu à un(e) sujet de Guillaume_des_CS dans Philosophie
Aurais-tu la gentillesse de m'expliquer ce que signifie cette phrase? "Porter le regard par dessus le nom d'une chose". Qu'est-ce que cela? Que veux-tu dire? Pourquoi faut-il "oser"? Pourquoi "une fois" suffirait-il? Et surtout, à quel résultat magique cela conduit-il? Merci. -
Sourire... Question complexe faite de questions complexes... (Je réponds spontanément, sans réfléchir... Ou plutôt vais-je construire ma réflexion en répondant spontanément, sans réfléchir...) Aimé-je avoir le sentiment d'être jalousé: oui. Sans aucun doute. J'adore cette idée d'être jalousé, envié, admiré, sublimé, etc. etc. Oui. Définitivement. Qu'autrui puisse me penser jalousé? Non, pas vraiment. Cela me laisse indifférent ce qu'autrui pense de moi, à propos de moi... Je (moi) suis totalement indépendant d'autrui. Non, cela me laisse vraiment indifférent. Quitte, (souvent), à payer le prix de cette indifférence à ce que pense autrui de moi... "Et comment reconnaissez vous à coup sûr la jalousie d'autrui parmi les nombreuses causes possibles d'une éventuelle hostilité.": Ah, là, évidemment, ça se complique. D'abord, j'ai du mal à la reconnaître puisque j'y suis indifférent. Mais cela arrive quelquefois, que je ressente que l'hostilité de l'autre à mon égard soit le fruit d'un complexe d'infériorité qui le rende jaloux de moi. Non, sans me vanter, cela arrive... quelquefois. Disons, trois ou quatre fois par an. Ce qui me semble souvent, mais ne sachant pas ce qu'il en est pour les autres... je ne peux dire vraiment si c'est souvent ou non. Comment je reconnais cette jalousie parmi les nombreuses causes possibles d'une hostilité à mon égard? C'est très, très simple: elle se manifeste TOUJOURS dans une attaque contre ma personne. Je veux dire que l'idée, le discours, l'attitude, ou quoi que ce soit qui procède de la matérialisation de la pensée, de l'expression imagée ou transcendée (comme dans la musique par exemple) de la pensée, de MA pensée, y est toujours totalement épargné. L'expression, la manifestation, la matérialisation disparaît, et seule reste l'émettrice: ma personne. Au moment même où l'autre s'attaque à ma personne faute de pouvoir s'attaquer à ses idées, etc., je sais qu'il-elle est jaloux de ma personne. Voilà voiloo! Qu'il-elle le reconnaisse ou non ne change rien à l'affaire. Pourquoi compliquer ce qui est simple? N'avons-nous pas suffisamment de vrais problèmes à régler? Excellent sujet! Merci de m'avoir permis cette petite fantaisie
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Feminisme : Tribunal de l'impuissance sexuelle des mâles.
Guillaume_des_CS a répondu à un(e) sujet de Deremensis dans Philosophie
Whaoo! Je découvre ("re"?, je ne sais plus, sincèrement) ce sujet qui tient un peu le haut du pavé quand même, et j'ai écouté la conférence de cette enseignante-chercheure... C'est rafraîchissant. J'ai beaucoup de sympathie pour les gens comme elle qui sont capables de s'extraire des passions humaines pour se concentrer sur les "signes" et l'analyse [la plus objective possible] de l'histoire... J'ai lu en diago quelques pages de réactions, je comprends que l'auteure du post ait préféré disparaître. Dommage. En tout cas, je vais réfléchir un peu, et j'essaierai de publier quelque chose ici... Bien sûr, je suis intéressé: n'est-ce pas une perche tendue à mon "concept d'ipséité"? Mais déjà j'écris le sens... (Désolé @Deremensis, mais après tout, si tu n'es pas d'accord, tu peux/pourras le dire n'est-ce pas?) Car enfin, n'est-ce pas là tout la question? Celle de la reconnaissance de la différence, et non de l'égalité? -
58 suicides dans l'Éducation nationale en 2018-2019, 11 depuis la rentrée
Guillaume_des_CS a répondu à un(e) sujet de Plouj dans Société
Sourire... Non, rire! Merci -
Amusant. J'ai souvenir d'avoir mis le "blockhaus" en perspective d'un vortex (dans le livre Kovanien, et en tout cas dans mon travail de recherche). Il me semble même être allé jusqu'au "trou noir"... Je vais faire quelques recherches dans mon propre travail pour situer cela (en fait, c'est un chantier de plus de mille pages que je veux réduire à 400 maxi, idéalement 200...). Quant à l'augmentation du rayon d'action (la vôtre), je suis assez tenté de la comparer au principe d'itération avec modification de la cause initiale omniprésent dans la théorie K... Bien sûr, je n'en conclus pas que nous soyons proches... Je vous lis (le plus possible raisonnablement), et je vois trop la complexité de votre pensée... Intéressant cependant... Pour le reste de votre analyse dans ce petit post, je crois que vous déplacez simplement le raisonnement sur un autre plan (ou que vous illustrez votre pensée en prenant simplement appui sur mon "blockhaus" – ce qui me flatte!). Je ne vous le reproche pas. Au contraire. C'est enrichissant pour moi.
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4 principes tout simples pour... changer de monde ?
Guillaume_des_CS a répondu à un(e) sujet de Guillaume_des_CS dans Philosophie
En fait, pardonne-moi de te dire cela, mais tu pourrais être ma mère. Tu parles comme elle [parlait]... I mean it... Combien de fois n'ai-je entendu ce discours fataliste (et judéo-chrétien?)... Tu te sens donc (si je comprends bien) totalement impuissante à changer quoi que ce soit sauf à suivre docilement le troupeau?... Et le troupeau, évidemment, sera finalement guidé par la main d'un Dieu tout puissant dans la bonne direction?... Ai-je bien compris? -
Je ne comprends pas ce que tu veux dire. Désolé. Sincèrement, c'est du charabia pour moi. Je crois pourtant savoir ce qu'est une disruption, ce qu'est la pensée... Franchement, c'est incompréhensible pour moi. Veux-tu m'aider? Je crois que quelque chose m'échappe et j'ai peur que ce soit important (pour moi j'entends). Merci, le cas échéant.
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Hélas, ce n'est pas si simple... Je suis, comme nous tous (?), imprégné de culture cartésienne d'une part, et d'autre part exposé aux mêmes axiomes que nous prenons pour vérités vraies du seul fait qu'ils ont été formulés élégamment et continuent d'être véhiculés par "l'histoire" culturelle occidentale, comme par exemple: "Ce qui se conçoit bien s'énonce clairement, et les mots pour le dire nous viennent aisément" (tu connais cette maxime de Boileau n'est-ce pas?). Sauf que, là par exemple, ça ne marche plus! Nous sommes entrés de plain-pied dans l'ère de la complexité, et les mots pour décrire un phénomène complexe ne nous viennent pas aisément. (D'ailleurs je ne me suis jamais vraiment posé la question de la validité de cette maxime a anteriori... On pourrait être surpris peut-être. Mais je n'ai pas de temps pour cela...) On ne peut décrire la complexité que par le raisonnement complexe. Donc, dans ma tête, cela commence à peine à ressembler à quelque chose. C'est encore très, très embrouillé. Pourquoi penses-tu que je me donne tout ce mal à rédiger tous ces posts? Ta contradiction, tes "provocations" (que je vois amicales), tes questions, etc., m'aident à former une image plus précise de tout cela, en les adressant évidemment. Avec sincérité, mais sans aucune certitude a priori. Je "travaille" sur Kovanien depuis près de quatre années. En fait, je m'amuse. (Je n'ai jamais travaillé de ma vie! Je ne vais pas commencer à 62 piges, hein?) Pour moi, c'est magique tout ça. Je pèse le mot... J'ai découvert le chaos (et sa théorie) dont nous parle @Jane Doe un peu plus haut, il y a douze ans... Et si je crois à quelque chose dans toute "cette affaire", c'est à cela, et à cela seulement: je suis intimement convaincu que le chaos est ordonné; que l'on peut extraire l'ordre du chaos. (L'ordre étant accepté ici dans le sens de la connaissance.) Et là, bien sûr, nous entrons dans la complexité... Supposons que toi-même ou un autre de mes contradicteurs me démontre d'une façon qui soit intelligible pour moi que quelque chose de fondamental est vraiment impossible (donc faux?) dans mon raisonnement général. Que crois-tu qu'il se passera[it] pour moi? Que j'en serais personnellement offensé? Que je le-la maudirais et lui résisterais quitte à emprunter le chemin de la mauvaise foi? (Je ne suis pas si mauvais en rhétorique après tout...) Non, évidemment non. Je le-la remercierais! Non pas de me libérer d'un fardeau, mais de m'enrichir d'une connaissance nouvelle! Est-il besoin de "croire" à quelque chose pour chercher une "vérité"? À mes yeux, non. Au contraire dirais-je. Il vaut toujours mieux partir sans a priori, sans affect, sans "besoin" autre que celui du goût de l'aventure de la découverte, de l'exploration de nouveaux territoires, pour progresser dans la connaissance. Pardonne-moi l'outrecuidance de la comparaison, mais penses-tu qu'Einstein, qu'Hawking (et tant d'autres) se soient lancés dans leurs recherches sur la base de croyances personnelles? J'en doute sincèrement... Enfin et pour conclure (ici), je voudrais TE poser une question à mon tour: d'où te (nous) vient ce besoin de justifier a priori l'idée/l'intuition par la crédibilité (à tes/nos yeux) de la personne qui l'émet? Une idée bien expliquée ne se suffit-elle pas à elle-même pour être digne d'être questionnée?
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Absolument! Bravo! C'est exactement ce à quoi pourrait conduire la différence entre "le" et "au"... L'espèce humaine? L'humanité? La... Vie? Plus trivialement, nos enfants? [Tu m'étonnes...]
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Sourire... Tu n'imagineras JAMAIS à quel point tu as raison! Oui: je n'y crois pas vraiment, et je doute TRÈS sérieusement que cela puisse marcher!! Car comme j'ai déjà expliqué, Kovanien est un bébé-éprouvette né de l'application d'un méta-méthode d'innovation à la problématique sociétale, et non d'un cheminement philosophique/idéologique. Or, l'innovation, a fortiori l'innovation disruptive, a fortiori de fortiori l'innovation sociale de rupture, ne peut être "diagnostiquée"/constatée qu'une fois réalisée!... (Sans diffusion et adoption massive on ne peut parler d'innovation; tout au plus d'invention, et beaucoup d'inventions finissent par ramasser la poussière au fond des caves du blockhaus...) Ce n'est donc, en l'occurrence, que (selon mon analyse) dans une ou deux générations que l'on pourra[it] parler d'innovation réussie. Bien sûr, les premiers résultats pourraient apparaître en quelques années, mais il faudrait être fou pour croire que l'impact sociétal d'un tel projet puisse être appréhendé sur le court terme. Encore que, à l'aune de l'ambition du projet, une ou deux générations signifie à mes yeux du très court terme! Cela dit, que je sois probablement l'un de ceux qui y croient le moins, devrait te rassurer pour a minima deux raisons: "L'inventeur"/le découvreur n'est pas fanatique; le risque systémique d'une "gouroutisation" est pensé et contrôlé en amont, dans les gênes mêmes de Kovanien. J'affirme (et démontre dans le livre) qu'elle est impossible (cette "gouroutisation"), par qui que ce soit, à quelque niveau et à quelque stade de développement du processus que ce soient..., du fait des premier et troisième principes K. Le slogan proposé, "Tout changer sans rien casser", ressemble à s'y méprendre à un slogan politique (politicien) ou à une pub pour vendre des "salades" à des niais... Et c'est bien ce qu'il eût pu être s'il avait été le moteur initial de la recherche. Or, il n'est, lui aussi, que "résultat" de l'analyse des impacts potentiels et du fonctionnement de l'algorithme K (que j'expliquerai dans quelques temps, ici). Je m'explique: Tu auras certainement constaté ma profonde aversion (tout intellectuelle cependant) pour le cartésianisme que j'incrimine volontiers comme le principal responsable de l'état du monde. J'incline donc assez peu à mobiliser la logique cartésienne dans ma démarche réflexive consciente. Comme je l'ai déjà revendiqué (me semble-t-il), je suis "anté" et "anti" cartésien. Or, force me fût faite de constater, en appliquant à mon travail l'impératif d'analyse épistémologique permanent qu'impose la Méta-méthode (que je résumerai ainsi: "que suis-je en train de faire, et pourquoi le fais-je de cette manière?"), de constater donc que la logique cartésienne (et notamment son principe de précaution) était sous-jacente de la démarche générale. Certes, les principaux "outils" mobilisés (Design Thinking, Thérorie CK, Théorie du système général...) sont a minima non cartésiens [j'entends par là qu'ils s'affranchissent de la binarité qu'emporte la logique cartésienne], mais l'organisation générale de la mise en œuvre de ces outils procède bien, quant à elle, de la logique cartésienne! Une fois acquise cette prise de conscience, le slogan s'imposait "naturellement"; il "coulait de source"... Cependant, ne t'y trompes pas: la méta-méthode repose également sur un principe d'itération avec modification de la cause initiale (que j'expliquerai dans le post à venir sur l'algorithme) qui laisse peu de place au cartésianisme... Merci de m'avoir permis, par ta petite provocation, de préciser ces quelques points. Attention ! Le premier principe est : "je" est le centre de tout. Lis ce que j'ai déjà publié du livre ici (sur ForumFr), et tu verras que j'explique le choix de cet article "le" au détriment de "au"... C'est très, très différent
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Génial!
