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g.champion

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Tout ce qui a été posté par g.champion

  1. g.champion

    Le bien, le mal

    il suffit d'avoir affaire à quelqu'un qui se sent bien pour que nous nous sentions bien comme par miracle. Les gens qui désirent intensément nous rassurent ?
  2. si vous ne partagez pas les mêmes normes que les autres comment allez-vous exister, apparaître, être appréciée, intégrée dans une communauté affective, protectrice, amicale, contraignante, éducative ?
  3. g.champion

    Le corps et l'esprit

    les idées ne sont-elles pas ce qui nous vient à l'esprit à chaque instant et ne seraient-elles plutôt ce qui nous permet d'avoir une relation au réel ?
  4. comment se relier si ce n'est par des discussions, des rencontres avec l'un, avec l'autre et ainsi de suite .. l'impression de se relier au tout est un effet sans doute imaginaire de ces rencontres réussies ? or ces rencontres ne reposent-elles pas sur des cultures, des langues, des choses partagées, des identifications, des désirs ?
  5. g.champion

    Le bien, le mal

    comment se sentir bien, est-ce que c'est lié à quelque chose d'autre que nous ? si c'est le cas, il faut assumer une part d'imprévisible et d'angoisse ? se défendre des agressions .. quelle est la bonne méthode ?
  6. g.champion

    Le corps et l'esprit

    et ce qui empêche l'action, ce n'est pas vrai ?
  7. "je" est un mot qui désigne une chose de quelle nature ? cette chose existe avec une propriété : être le centre de tout. "tout" est un mot qui désigne une chose formée de plusieurs parties. De nombreuses choses forment un tout. Ici, le mot "tout" désigne l'ensemble de tout ce qui est et cette chose a la propriété d'avoir un centre. De quelle nature est ce centre ? il est formé par tous les "je" ? Cela semble indiquer que les "je" fusionnent ou alors discutent. S'ils discutent, il leur faut une langue commune.
  8. g.champion

    Le bien, le mal

    le sentiment d'impuissance est, il me semble, vécu comme un manque. C'est lorsqu'on se heurte à quelque chose que nous n'obtenons pas. Si on cesse de le désirer, le sentiment d'impuissance cesse, bien entendu. Mais est-ce que la vie sans désir n'est pas nulle ? le sentiment d'impuissance est, il me semble, vécu comme un manque. C'est lorsqu'on se heurte à quelque chose que nous n'obtenons pas. Si on cesse de le désirer, le sentiment d'impuissance cesse, bien entendu. Mais est-ce que la vie sans désir n'est pas nulle ?
  9. g.champion

    Le bien, le mal

    nous voulons soumettre les autres et pour les contraindre à cela, nous leur faisons mal afin qu'ils renoncent à leur liberté : -- si tu veux être libre, je te fais du mal. -- si tu te soumets, je te fais du bien ?
  10. n'est-ce pas perdre ce qui nous relie au monde, aux autres ? pour trouver le tout de quoi ? la matière dont nous parlent les physiciens ? l'Esprit qui est à l'origine du monde ? Mais quel est l'intérêt de rejoindre cette matière ou cet Esprit ? Le monde n'est-il pas la seule chose qui soit là "pour nous" ? n'est-ce pas perdre ce qui nous relie au monde, aux autres ? pour trouver le tout de quoi ? la matière dont nous parlent les physiciens ? l'Esprit qui est à l'origine du monde ? Mais quel est l'intérêt de rejoindre cette matière ou cet Esprit ? Le monde n'est-il pas la seule chose qui soit là "pour nous" ?
  11. pourquoi vouloir alors, par quelque moyen magique, le changer en un échange. Quel est l'intérêt de cette opération magique ? C'était le sens de ma question. le commerce implique l'argent ? est-ce que l'argent est un fait civilisationnel ? qu'est-ce qu'un fait de ce genre ? que veut-on dire en parlant de ce genre de fait ?
  12. les mots nous indiquent que ce n'est pas la même chose. Par exemple on dit que ce n'est pas le cadeau qui compte, c'est le geste. Que voulons-nous dire ? qu'il y a quelque chose que nous disons qui se sert du don. Et qui ne peut être dit dans un échange ?
  13. un don indique-t-il une volonté qui n'est pas la même que celle présente dans un échange ?
  14. g.champion

    Le bien, le mal

    on a l'impression d'être moins seul, on peut aider les autres, on se sent utile. La souffrance est en grande partie liée à l'impuissance. Le fait de pouvoir agir est la meilleure thérapie ?
  15. g.champion

    L'esprit de l'athéisme

    tout la prétention du christianisme repose sur l'idée qu'il y a une Histoire et qu'il intervient pour qu'elle puisse s'accomplir. il y a une loi qui tente de séparer. C'est une digue, un principe, une volonté. Dans le concret, c'est un beau micmac !
  16. g.champion

    Le bien, le mal

    sans doute. On tente de se débarrasser de cette souffrance et on n'y arrive pas. On cherche la cause mais tant qu'on ne la trouve pas, on ne peut pas agir, aller dans le bon sens. On n'a plus confiance en un possible et on veut entraîner les autres dans notre souffrance ? Mais en quoi la souffrance des autres nous soulage-t-elle de la nôtre ? le projet que nous faisons doit être réalisable pour que le présent puisse en être rempli. Plus notre projet est réalisable et plus notre présent est plein. Et donc, il doit être fondé sur une connaissance de la réalité qu'il va changer. Si je prévois de construire un pont sur la Seine, il me faut avoir beaucoup de connaissances.
  17. g.champion

    Le bien, le mal

    mais les raisons de cette douleur sont à déterminer. Ce qui est étonnant c'est que nous voulions infliger une douleur à celui qui nous en a infligé une. La loi du Talion parle d'une justice qui semble compter pour nous comme si nous devions nous venger pour nous sentir bien, comme si la douleur était aussi morale, une sorte de perte de la face ?
  18. g.champion

    Le bien, le mal

    comment joue le passé et l'avenir dans la détermination de notre présent ?
  19. g.champion

    Le bien, le mal

    ils nous font souffrir et on s'en débarrasse comme d'une maladie. Mais on n'aurait pas l'idée de faire mal à un virus ? peut-être que si ? on cesse d'agir bien parce qu'on se sent mal. Et il nous faut trouver ce qui nous fait mal et c'est là que c'est difficile ?
  20. g.champion

    L'esprit de l'athéisme

    sur un plan strictement logique, c'est vrai que si les hommes étaient sans l'idée de dieu, le mot laïcité n'existerait pas. Mais si on regarde l'histoire du 16e,17e, 18e siècles, il me semble qu'on voit un véritable combat entre une prétention à se passer de Dieu et même de l'idée de Dieu ...et le christianisme qui jusqu'alors était ce qui fondait, ou tentait de fonder, l'humain ...
  21. g.champion

    Le bien, le mal

    la survie nous amène à combattre d'autres hommes qui nous menacent et nous pouvons devenir méchants avec eux. Non seulement nous voulons nous en débarrasser mais en plus nous voulons qu'ils souffrent. Cette souffrance infligée semble n'avoir aucune raison d'être ? qu'est-ce qui interrompt ce cercle ?
  22. g.champion

    Le bien, le mal

    j'ai bonne conscience chaque fois que j'ai réalisé quelque chose qui va dans le bon sens ?
  23. g.champion

    L'esprit de l'athéisme

    pourtant ils participent du même mouvement anti-religieux, il me semble.
  24. les sociétés suivent-elles un processus de maturation comme les êtres vivants ?
  25. g.champion

    Le corps et l'esprit

    est-ce que nos croyances et nos manières de vivre ... sont des produits du cerveau ou bien ont-elles une autre origine, selon vous ?
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