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Tout ce qui a été posté par Totof44
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Le plus total des libéralismes aussi marche bien sur le papier. Donc un système qui lie un peu des deux est peut être le bon compromis. Je ne suis pas pour interdire la culture intensive du maïs. Mais pour un système d'aides et de fiscalité qui ne l'encourage pas.
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Mais libre à toi d'essayer de nous expliquer que nous avons de la chance d'avoir M. Le Maire à Bercy. D'ailleurs peut on encore critiquer le gouvernement sans être diabolisé ? Critique stupide par ailleurs car je me prononce ici en faveur, à minima, d'un maintien du budget de la défense. Ben non, il coupe dans ces investissements. Celui qui parlait de RER metropolitains s'avère n'être qu'un youtubeur parmi d'autres. Au cas où quelqu'un aurait cru qu'il s'agissait d'un responsable politique...
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Je pense en effet que la terre en elle même est un bien commun, et que celui qui en dispose à un instant T ne peut être libre d'en faire tout ce qu'il veut. Artificialiser, pomper de façon abusive dans les nappes phréatiques ou malmener la biodiversité qui y vit n'est pas anodin et engage l'avenir de chacun, et particulièrement des générations futures. Par ailleurs, tu conviendras que l'agriculture française est soutenue par l'aide publique aujourd'hui et que le moment paraît guère opportun pour envisager des coupes dans le secteur. Est-ce suffisant pour parler de positionnement collectiviste ? C'est ton droit de penser que oui, le mien d'y voir encore une différence assez nette avec la politique soviétique. Tu verras dans le forum économie que je suis assez sceptique à l'égard de l'idée de sécurité sociale de l'alimentation. Quoiqu'il en soit, nous avons un ministère en charge de ces questions aussi bien sous les gouvernements neo libéraux que sous ceux qui estiment qu'il y a des biens communs.
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Parce que moi je fais l'apologie du totalitarisme ?
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Il apparaît donc bien que les considérations comptables n'ont aucune espèce d'importance au regard de la nécessité de dépenser dans la défense. Il en va de même pour l'éducation, la santé, la transition écologique, le travail, le logement, la production alimentaire, la justice...
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J'ai l'impression de voir là deux affirmations contradictoires. Ou bien j'ai mal compris. Si tu ne veux plus alimenter la dette, il faut dégager un excédent. Ou l'effacer, mais ce ne serait pas sans conséquence.
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Je ne pensais pas qu'on partait de si loin. Me voilà amené à expliquer ce qu'est un État et comment est ce qu'il fonctionne. Alors je vais passer outre votre étonnement surjoué de celui qui fait mine d'ignorer ou de se scandaliser de l'existence de services publics. Toi ou moi on peut trépasser du jour au lendemain. Ce seul élément rend le prêt à un particulier hautement plus risqué qu'à un État. Toi comme moi, on ne peut pas décréter une augmentation de nos revenus. l'État peut décider de lever un nouvel impôt et il n'y a que dans les paradis fiscaux que ce genre d'idée scandalise. L'investisseur prend ces éléments en compte quand il achète des obligations d'État, que ça te semble dangereux ou pas. Je répète que les États font rouler leurs dettes. C'est au contraire les néo libéraux qui prétendent envisager de la réduire.
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Serais tu adepte du salaire à vie ? Mais là c'est un autre débat. Ça te semblerait envisageable ? Quant bien même, il serait injuste que moi j'en dispose tout à fait librement et pas mon pote diabétique qui a des dépenses contraintes. Pas prévisibles en tout cas. Un hiver tu vas enchaîner les infections, le suivant tu les auras esquivé. Parfois tu seras bien soigné, mais il peut arriver qu'une erreur de diagnostic t'amène à consulter plusieurs fois. Et ça s'appelle une pension qui vient en substitut du revenu du travail. Et tu estimes envisageable que tous autant qu'on est gagnons cette somme (en euros constants bien sûr, sinon ça n'a aucun sens) ?
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Déjà, il faut arrêter de considérer le chiffre qui compare la dette qui est un stock au PIB qui est un flux. Et même en retenant ce critère, la comparaison à d'autres pays n'a pas à nous faire rougir. Avant le covid, on empruntait à taux négatifs. Les créanciers étaient si confiants qu'ils payaient l'État pour pourvoir lui prêter. Pourtant, on avait déjà une dette importante. Il faut bien garder en tête que l'État est immortel et qu'il peut prélever l'impôt. Donc, dès lors qu'il y a de l'activité économique, le risque reste à peu près nul pour le créancier, car les États font rouler leurs dettes. Le covid a engendré des dettes supplémentaires, mais si nos déficits, rapportés au PIB, ne sont pas revenus à la normale, c'est parce que l'activité économique a été comprimée par l'envolée des prix de l'énergie. J'écoutais le débat éco ce matin sur Inter, et j'ai appris par Thomas Porcher que les recettes de l'État sont supérieures aux dépenses courantes. L'emprunt ne sert qu'aux investissements. Donc la banqueroute est loin.
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Parce qu'à partir d'un certain âge on ne travaille plus. Non, celui qui se découvre diabétique pouvait vivre très bien juste avant et continuer de vivre bien grâce à la sécu. On ne peut pas tous gagner 15000 par mois. Ben oui s'il n'y a plus de revenus... Du travail ! Tu ne m'auras pas convaincu Les risques de la vie ? Perso, la poche de minirin à me perfuser, c'est pas tous les jours, c'est exceptionnel et dans des circonstances que je n'aurais pas pu prévoir. Mais ça se transforme en dépense courante du fait de la collectivisation. Et c'est heureux. La retraite, c'est un substitut aux revenus du travail. D'ailleurs, fondamentalement, on ne travaille pas pour le capital mais on produit pour la société. Donc mes besoins sont couverts une fois à la retraite parce que d'autres produisent ce que je consomme. Besoin de revenus de substitution au salaire. Le fait qu'à 3, 4 ou 5 on a plus de besoins qu'à deux et que ces personnes supplémentaires ne peuvent pas encore contribuer aux besoins du ménage ? D'insuffisants revenus du travail ?
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Je n'ai jamais écrit cela. Ne nous fais pas du scrongneugneu, je serais déçu. Et que tout va plus que bien pour d'autres. Et vous savez quoi ? Ils ne vivent pas d'allocs.
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Tu tombes malade c'est de ta faute. Ton patron t'en demande toujours plus en moins de temps c'est de ta faute. Il délocalise et tu n'as plus de travail c'est de ta faute. Pas de crèche pour accueillir ton gamin c'est de ta faute... À un moment, il y a des gens avec qui la discussion est dénuée de tout intérêt.
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Il y a malnutrition lorsqu'il y a revenus insuffisants. Le chômage, c'est une privation de travail temporaire. L'allocation vient palier en partie l'absence de salaire. La retraite, on considère que tu as fait ta part, que tu atteins un âge auquel tu peux être dispensé de travailler, la pension est une continuité de ton salaire. La maladie t'arrive sans que tu t'y attendes ou t'impactes toute ta vie sans que tu n'y puisse rien. La mutualisation des dépenses est donc juste. La famille, ce sont des postes de dépenses importants qui s'ajoutent pour le ménage, et pour le bien être des enfants il est juste que les parents reçoivent une aide. L'alimentation c'est une dépense courante, comme l'énergie, les déplacements, les télécommunications. C'est le travail ou l'allocation de substitution aux revenus de travail qui doit permettre d'y répondre. C'est en ce sens que je n'arrive pas à comprendre comment on la met sur le même plan que les autres branches de la sécu.
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L'austérité ne consiste pas à mettre un peu d'ordre, mais à opérer des coupes importantes y compris dans des domaines essentiels. Par ailleurs, tu sembles considérer qu'un parallèle peut se faire entre gestion de l'État et gestion d'un ménage. Outre le fait qu'un État est immortel et peut lever l'impôt, ses dépenses impactent directement ses recettes. Toi, que tu décides d'épargner ou de dépenser 100€, ça ne changera rien, ton salaire restera le même. Quand l'Etat décide d'augmenter de 100€ des fonctionnaires, il récupère une partie sous forme d'impôt sur le revenu, une autre par la TVA payée sur des biens de consommation supplémentaires, une autre par l'impôt sur les sociétés que paiera l'entreprise qui aura vendu plus... Keynes le démontre. Dans certaines situations économiques, un euro d'argent public dépensé peut in fine se traduire par deux euros de recettes supplémentaires. Chose que même notre ministre de l'économie reconnaissait il y a deux ans devant la commission des Finances du Sénat. Les politiques d'austérité ne résolvent pas les problèmes de dettes publiques. Elles les aggravent. Normal non, mais ce n'est pas exactement l'indemnité qui a augmenté, mais les frais de mandat. Mais c'est vrai qu'on ne peut pas d'un côté dire qu'on vit au dessus de nos moyens et de l'autre augmenter son propre budget de fonctionnement.
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Comme ça n'a jamais été le cas. Jamais un pays n'a été pénalisé pour ses déficits. En revanche, une partie de la réponse peut être européenne, dans la mutualisation d'une partie des dettes.
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Non. Je souscris tout à fait à l'idée qu'un euro dépensé doit être utilement dépensé, et qu'il y a certainement des dépenses sur lesquelles on peut revenir. Mais 10 ou 20 milliards à trouver, ça implique aussi de nouvelles recettes fiscales, à commencer par ceux qui contribuent trop peu au regard de leurs moyens, et surtout pas en s'en prenant aux bénéficiaires d'une ALD ou en obligeant des gens qui ne sont temporairement pas en état de travailler d'y retourner.
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C'est ce qui arrive à ceux qui dépensent sans compter, à ceux qui ne cherchent pas à financer leurs dépenses... Ou à ceux qui ont étouffé leur activité économique.
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Fais attention quand même. Un jour dit cela, le lendemain on parle de produire en fonction des besoins, le surlendemain on est décroissantiste et sans s'en rendre compte on devient un activiste qui jette de la peinture sur les vitres de la Samaritaine.
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La dette est soutenable. On rabote sur la formation professionnelle, l'éducation, l'écologie, la santé... Comme si ces secteurs vivaient au dessus de leurs moyens. Les politiques d'austérité pratiquées après la crise de 2008 ont elles permis d'assainir les comptes des Etats ? Tissu d'inepties . Le FMI n'a pas ce pouvoir. Pas n'importe quel politicien. Je lui reproche d'avoir privé l'État de recettes avec des cadeaux fiscaux, d'avoir dépensé sans compter mais surtout sans conditionner les chèques pendant le covid et donc d'avoir fait peser sur la dette l'augmentation des dividendes dans certaines boites, d'avoir toujours refusé d'envisager de faire un peu plus contribuer ceux qui le peuvent, d'avoir retenu une hypothèse de croissance absurde, de changer le budget par décret en contournant le Parlement et maintenant de commencer à appliquer des médecine de l'époque de Molière. Vous ne vous sentez pas bien ? On va vous faire saignée. Tiens vous êtes bien pâle après la saignée ! Re la saignée ! Alors oui, face à autant conneries, la critique est forcément facile. D'autres ignares semblent ignorer que la compression des dépenses publiques étouffe l'activité économique. Produire plus et toujours moins cher... C'est la politique du parti communiste chinois ça. Et @new caravage te dira que c'est absurde d'acheter des produits inutiles.
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Qui disait il y a trois ans qu'une fois élu le banquier-president nous présenterait la facture du koikilenkoute ? Bruno Lemaire qui joue très bien le rôle du parfait incompétent, qui à mon sens est bien plus un menteur et un corrompu a annoncé 10 milliards de coupes (très étonnant d'ailleurs qu'on n'en parle si peu), Cazenave nous dit aujourd'hui qui ce n'est que le commencement. En même temps, pas besoin d'avoir fait beaucoup d'études pour comprendre que sans une croissance exponentielle, on ne peut pas à la fois baisser les impôts, investir, améliorer les services publics et résorber la dette. Et les 1,4% que prevoyait Lemaire, ça n'est pas ce qu'on appelle une croissance exponentielle. Mais c'était toutefois une prévision particulièrement optimiste, pour ne pas dire totalement irréaliste, largement au dessus du consensus des prévisions. Et tout ça pour quoi ? Il y a deux ans, un ministre de l'économie (depuis frappé par d'amnésie) expliquait devant la commission des finances du Sénat que les politiques d'austérité étaient contre productives, comme on l'a vu entre 2009 et 2012. Quant à la forme, il avait déjà inauguré la pratique des amendements à x milliards, maintenant c'est carrément par décret. Si ça ne s'appelle pas un budget insincère, je ne sais pas ce que c'est. Bref, il est tant que cet homme laisse la gestion des fonds publics à des gens plus compétents et vertueux et retourne écrire ses textes érotiques.
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Je ne comprends pas l'idée. La sécurité sociale protège contre les risques de la vie. Ici il s'agit plutôt d'un besoin élémentaire. Et pour ceux qui n'ont pas de travail il y a déjà les minimas sociaux. Non, vraiment je ne vois pas quel dysfonctionnement de la société tu veux corriger avec ça.
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Depuis les municipales de 2014, Mélenchon me fatigue de plus en plus. Et maintenant il franchit de nouveaux pas. C'est dommage, car j'ai pas mal d'estime pour Manon Aubry. Le PS de Hollande que Carole Delga et Nicolas Mayer Rossignol veulent ressusciter, effectivement hors de question pour moi de voter pour eux. Mais je n'ai aucun problème avec Boris Vallaud ou Jérôme Guedj. Gluksmann bof. À ce jour, pour moi c'est parti pirate.
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Je pense qu'il y a un équilibre à trouver entre compétences supra nationales et compétences nationales. Avec des processus de décisions à double majorités qualifiées pour ce qui est de l'UE et plus de règle d'unanimité qui crée beaucoup de blocages.
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Quelle esquive ! Tout simplement parce que le socialisme en descend.
