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Tout ce qui a été posté par Totof44
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Oui. Les réseaux sociaux déshumanisent. Les filtres qu'on acquiert dans la vie sociale sautent chez beaucoup dès qu'ils sont sur la toile. Il n'y a plus de limite et l'impunité règne. Pire, plus un propos est choquant, plus il est relayé, liké, partagé, retweeté... Les victimes de harcèlement y sont démunies et voient le monde entier rire du mal qui leur est fait, surenchérir. Les horreurs de la vie réelle se poursuivent sur le web et les horreurs du web se poursuivent dans la vie réelle. C'est une forme de torture sans fin. Et nous, adultes, qui avons mis ces armes entre les mains des enfants sommes incapables de lutter contre cette bête immonde.
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@G2LLOQ alors c'est moi qui ai mal compris ton intervention ? Tu nous as bien dit que si elle est condamnée il y aura une grève ?
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Les mêmes réseaux sans lesquels il y aurait probablement moins de suicides.
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On n'enseigne pas quand on est indifférent au bien être des élèves. Tu n'auras aucun mal à trouver des profs exaspérés ou des incompétents. Mais le suicide d'une élève est bien trop grave pour qu'un corporatisme exige l'impunité. D'ailleurs, et heureusement, la justice n'a que faire des grèves et pétitions.
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Pour le citoyen qui se sent un poil concerné par les enjeux du moment, ça me semble une excellente raison de mépriser le tout dématérialisé.
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Le maroilles élu fromage préféré des Français !
Totof44 a répondu à un(e) sujet de Kyoshiro02 dans France
J'ai envie d'une quiche d'une maroille. Mais à la rigueur, tu me sers n'importe quel plat à base de fromage fondu, t'as de bonnes chances de m'offrir un orgasme gustatif. -
Pourquoi personne ne mets son clignotant
Totof44 a répondu à un(e) sujet de Emmanuel. Pacron dans France
Pour un 12 mètre de long, on peut distinguer le refus de priorité dangereux du refus de priorité discourtois. -
Pourquoi personne ne mets son clignotant
Totof44 a répondu à un(e) sujet de Emmanuel. Pacron dans France
Perso je suis plus souvent confronté à celui qui garde, voire qui met son cligno gauche pour quitter un rond point. Et là c'est pas tant stopper le véhicule que le relancer qui va être compliqué. Celui qui n'en a pas, je regarde la vitesse du véhicule, l'orientation des roues et si possible ce sur quoi le conducteur porte son attention. Comme me le rabachait ma formatrice "vas chercher loin l'information". J'entends sa voix tous les jours. Mais ce n'est pas infaillible et ceux là essuient souvent un refus de priorité. La prochaine fois ils mettront le cligno. -
Éloignés des outils numériques ou incapables de s'en servir, ils se retrouvent en grande difficulté pour accomplir la plupart des démarches administratives à l'heure du tout-en-ligne. Témoignages dans l'émission les pieds sur terre. https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/les-pieds-sur-terre/l-illectronisme-ceux-qui-ne-s-y-font-pas-4689909
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Ce sujet me rappelle un billet d'Émilie Chaudet aux petits matins de France culture, il y a quelques années : << LOS MEJORES "Héros modernes que sont aujourd'hui nos leaders", c'est le regard désabusé de l'écrivain Carlos Franz dans El Pais, tribune intitulée "Les meilleurs", lui qui reprend les mots de Ricardo Lagos, ce politicien de gauche qui a renoncé à se présenter à l'élection présidentielle chilienne parce que seulement crédité de 4 ou 5 % des suffrages dans les sondages. Ce qui fait que Carlos Franz s'interroge : pourquoi les leaders courageux touchent si peu de gens, alors que les pires parviennent à convaincre ? Peut être parce que, reprenant un verbe de William B. Yeats : "les meilleurs d'entre nous doutent de tout, alors que les pires sont habités d'une intensité passionnée. Ce qui ouvre un boulevard, et pas seulement au Chili" précise Carlos Franz, "à tous les populismes, dans n'importe quel pays plongés dans un état de crise." L'auteur de cette tribune analyse l'échec de ces leaders invisibles et de la gauche chilienne de la manière suivante : "les politiciens croient souvent que leur travail parlera pour eux, mais c'est faux. Il faut sans cesse se raconter, répéter son histoire. Toute modestie dont un politicien pourrait faire preuve aujourd'hui passe davantage pour un manque de conviction." >>
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Et il y a quelques années, soutenir le Pen était tabou, on avançait visage masqué, on ne l'assumait pas auprès des sondeurs... Dire qu'on n'a rien contre les étrangers du moment qu'ils restent dans leur pays était il y a peu admis comme étant une raciste, c'est aujourd'hui banal. Remettre en question le droit du sol, c'était le domaine réservé des lepéniste, les soit disant centristes estiment aujourd'hui que c'est acceptable. Beaucoup plus récemment, l'écologie était une des premières préoccupations des Français, aujourd'hui ça les emmerde. Jadis, les marxistes estimaient que la politique sociale de redistribution donnait du poids au camp des travailleurs, aujourd'hui on en voit qui oppose travailleurs au travail et travailleurs privés d'emploi. Et autrefois, était qualifiée d'extrême gauche un programme visant à spolier les fortunes, désormais on se voit affublé de cet adjectif dès qu'on parle de taxer vouloir sans renverser la donne. Bref, il y a bien eu un sensible décalage vers la droite de cette fenêtre.
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La droite radicale cherche constamment à décaler la fenêtre d'overton vers elle. D'où votre point de vue. @DroitDeRéponse je pense que la discussion est close, merci de me citer sans l'arobase.
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Pas vraiment non. Il est assez conservateur même. Pas de remise en cause du principe selon lequel le possédant décide, ni l'octroi d'une partie de la valeur ajoutée à ces inutiles, ni de spolier ce qui a déjà été accaparé... Il est socialiste.
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Si faire le tri entre les êtres humains est moins dangereux que la régulation du capital...
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Pourquoi tu tiens tant à débattre pour in fine aboutir à un dialogue de sourds ? On a fait le tour.
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On tourne en rond... J'aurais beau insister, tu restes dans tes retranchements. Jamais tu ne sauras expliquer avec un minimum de rigueur quelle efficacité cette mesure aura, et pour cause. Ce n'est qu'un pur pari, à mon avis inconsidéré. Et c'est bien au promoteur d'une mesure d'expliquer en quoi elle peut être efficace. Tu te jettes dans les bras de le Pen sans te questionner un minimum sur l'engrenage dans lequel ça nous mène. Bref, sur ce sujet, le populiste, c'est bien toi. Aujourd'hui, l'essentiel de l'immigration à Mayotte est clandestine et c'est bien celle ci qui pose problème à ce département. Une comorienne vient clandestinement accoucher, elle gagne le fait que la mortalité infantile est nettement moindre à Mayotte que chez elle. Mais ni elle ni le bébé n'aura la nationalité. Ça, c'est le droit actuel. Que changera à cela une révision constitutionnelle ? Rien. Et ni toi ni ton universitaire à moitié lepéniste ne semble capable de montrer le contraire. On en revient donc à la cause principale de l'immigration à Mayotte : l'écart de niveau de vie entre cette île et le reste de l'archipel. On ne peut pas y mettre fin dans l'immédiat. Il nous faudrait tisser des relations économiques avec ce pays, les aider à construire écoles et hôpitaux, mais tout cela restera vain tant que la corruption y dictera ses lois. Et donc la seule solution à ce jour est de soulager Mayotte en accueillant en métropole. Pourquoi ça me tient tant à cœur de préserver le droit du sol ? Mais j'ai déjà répondu à cette question. Je te renvoie à mes premiers messages sur le sujet. Bref, on a fait le tour.
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En faisant comme s'il n'avait pas déjà été réformé à Mayotte avec le succès que l'on sait Non, tu le décrètes sans esquisser la moindre démonstration. L'essentiel du droit du sol ayant déjà disparu sur place puisqu'un enfant de clandestin ne peut déjà plus prétendre à la nationalité. Ça ce n'est pas pour moi, mais pour ceux qui prétendent que Mayotte peut absorber toute l'immigration venue des Comores. Pour la dernière fois c'est son opinion perso qui a parlé puisqu'il ne développe pas. Mais merci enfin de reconnaître que c'est l'écart de richesse au sein de l'archipel qui est la cause principale. Sans prononcer la moindre estimation d'efficacité. Sans développer. Je n'ai jamais tenu cette position. Celle là il fallait l'oser. Je tente de m'appuyer sur un argument d'autorité mais comme je le sais léger, je renvoie à des lectures plus poussées qu'un article. Bien sûr tu as fait le même exercice en sens inverse en n'en doute pas. Je ne sais pas tu sembles considérer que compléter une position c'est donner l'avis de l'homme sur un sujet qui n'a rien à voir. Contrairement à ce que sembles croire je ne suis pas spécialement mélenchoniste.
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T'as pas dû voir de manifestations depuis des décennies.
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Je ne suis pas de ceux qui pensent cela. Je suis de ceux qui voient l'État de droits reculer.
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Quand j'amène des arguments issus de la recherche, tu me balances que c'est facile, il suffit de trouver l'universitaire qui partage mon idéologie, mais tu me reproches ensuite de politiser la science. Je te donne deux principaux arguments, tu fais celui qui ne les as pas vu pour éviter d'y répondre, mais c'est moi qui balaie d'un revers de main ce que dit la science. Je te montre que la position de ton universitaire est très loin d'être aussi catégorique que toi, tu maintiens qu'il te donne entièrement raison. Je montre que là où il va dans ton sens, il n'avance pas d'argument mais se contente de décréter, là encore tu te planques. Donc en effet, je ne vois pas l'intérêt de continuer à discuter. Tu as oublié nous dire si selon lui on dit pain au chocolat ou chocolatine.
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L'ONU, amnesty international et bien d'autres organisations dénoncent les méthodes de maintien de l'ordre en France et le recul du droit effectif à manifester dans notre pays. Et depuis 2015, des lois initialement conçues pour lutter contre le terrorisme ont été partiellement pérennisées et quelque peu détournées de leurs objectifs initiaux.
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On s'en rapproche à petits pas
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C'est exactement ce que cherchent les gouvernements autoritaires.
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En fait personne ici ne se plaint vraiment de la ligne éditoriale de cette chaîne. Ceux qui n'en veulent pas ne regardent tout simplement pas. Le problème de cette chaîne n'est pas là, il est dans la récurrence du manque de déontologie journalistique, ce qui la distingue du figaro, des échos ou de libération. Et le fait que le canal en lui-même n'est pas privé mais concédé est un argument supplémentaire en faveur d'une régulation. Ce que cette discussion fait ressortir c'est qu'il n'y a pas de frontière bien nette entre régulation et entrave à la liberté de la presse. On cherche donc dans une zone grise.
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Extrait de wikipédia : Engagements et responsabilités En 1985, avec Jean Raspail et la collaboration de Philippe Bourcier de Carbon de l'Ined, il rédige dans Le Figaro un dossier intitulé « Serons-nous encore Français dans trente ans ? ». Ce numéro, où une Marianne voilée occupe la Une, fait scandale, d'autant plus que Philippe Bourcier de Carbon est membre du Comité Scientifique du Front national[5],[6]. mince, t'as trouvé un universitaire dans quelle chapelle ? Mais tu re défendras de t'extrême droitiser...