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Tout ce qui a été posté par Totof44
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Tu as noté deux éléments qui nous distinguent de ceux qui arrivent à gérer tant bien que mal la tripartition : la présidentielle qui étouffe tout et le fait que chez nous on vote rarement pour et beaucoup plus souvent contre. Ce qui m'amène à la conclusion que le meilleur moyen de tourner cette page est de mettre la présidentielle derrière nous et de passer à la proportionnelle. Lecornu n'en a probablement plus que pour cinq jours avant de se voir contraint de remettre sa démission. Le mieux serait donc que vendredi Macron annonce les choses suivantes : 1) nomination d'un gouvernement transitoire chargé de mettre en place un budget de compromis pour 2026 2) un référendum après les fêtes sur le rétablissement du mode de scrutin de 1986 3) une dissolution suivie d'une démission après les municipales de sorte que les législatives tombent en même temps que le premier tour de la présidentielle. Ils veulent du gaullisme social en fait. Ils sont de droite sur le régalien et de gauche sur l'économie.
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https://www.liberation.fr/economie/depense-publique-la-baisse-des-recettes-est-la-principale-cause-du-derapage-de-2024-20250829_NZBQPRISMFD4HHT75HVQWUETDI/ Et ben voilà, tu ne fais que renvoyer une balle parce que j'ai raison : en dehors de ceux qui ont énormément de ressources fossiles et les paradis fiscaux il n'existe pas un seul Etat dont le budget soit durablement à l'équilibre. Une preuve que ta comparaison est foireuse et digne d'un pilier de comptoir. Les États Unis de Roosevelt c'est encore trop rouge ? C'est tout ce que t'as trouvé comme argument ? Assimilé quelqu'un qui te contredis quand tu racontes de la merde à un adorateur de tyrannie ? Et toi c'est qui tes idoles ? Thatcher ? Trump ? Milei ? Pinochet ?
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Je ne compte donc pas sur toi pour nous sortir quelque chose d'intelligent quand tu parleras d'économie. Le problème, c'est que ce n'est pas la première matière sur laquelle j'en arrive à cette conclusion avec toi, ce qui m'amène à te retourner le conseil. Parce que pour gueuler des imbécilités on ne te cherche pas trop mais pour les propos constructifs..? La preuve c'est que tu n'auras pas la capacité de citer un seul exemple d'État dont le budget est régulièrement à l'équilibre en dehors de ceux qui ont de colossales ressources fossiles ou qui sont des paradis fiscaux. Ou alors tu vas nous dire que le modèle économique des petros monarchies est importable ici, ça ne serait pas tellement en deçà intellectuellement parlant de ce à quoi tu nous as habitué.
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Faut arrêter de nous bassiner avec cette comparaison stupide du budget d'un Etat et d'un foyer La dernière fois que les députés ont voté le budget c'était en 2021. Et qui serait capable de nous dire ce qu'a voté ou pas voté le député élu dans sa circonscription ?? Bref, un discours de tous pourris facile mais complètement à côté de la plaque.
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Le patrimoine possédé permettant de diminuer les besoins en revenus il faudrait une conversion. Le besoin en revenus évolue certes en fonction de la composition du foyer mais aussi en fonction du lieu de vie. Nous, avec 3500 à deux on s'en sort correctement.
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Change de sources d'infos.
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Non, incapable sous la macronie de tenir ses recettes.
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Ça c'est du productivisme vert on ferait mieux d'investir dans le transport collectif ferré.
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Combien de fois faudra t il te répéter que le but est de lutter contre l'optimisation fiscale excessive de ceux qui accaparent ?
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Tu regardes pour un foyer sur quelques années. Si tu regardes sur l'impact global il est sensiblement positif. Alors que ne rien faire pour le climat nous coûtera beaucoup plus cher à termes. Ça favorise le pouvoir d'achat de l'habitant, ça donne du travail, ça limite nos importations d'énergie... Que du benef.
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C'était une référence à la taxe Zucman. Non, les TPE, PME et ETI ne sont pas concernées. Et c'est précisément les fraudes et optimisations qui conduisent à faire porter davantage d'efforts aux petits. Il est contradictoire de s'opposer à la progressivité d'un côté et de s'indigner de la concentration de l'effort sur les modestes de l'autre.
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La peine de mort n'est ni juste, ni réparatrice, ni dissuasive. « La nouvelle ayant été portée à Athènes que des citoyens avaient été condamnés à mort dans la ville d’Argos, on courut dans les temples, et on conjura les dieux de détourner des Athéniens des pensées si cruelles et si funestes. Je viens prier non les dieux, mais les législateurs, qui doivent être les organes et les interprètes des lois éternelles que la Divinité a dictées aux hommes, d’effacer du code des Français les lois de sang qui commandent des meurtres juridiques, et que repoussent leurs mœurs et leur constitution nouvelle. Je veux leur prouver, 1° que la peine de mort est essentiellement injuste ; 2° qu’elle n’est pas la plus réprimante des peines, et qu’elle multiplie les crimes beaucoup plus qu’elle ne les prévient. Hors de la société civile, qu’un ennemi acharné vienne attaquer mes jours, ou que, repoussé vingt fois, il revienne encore ravager le champ que mes mains ont cultivé, puisque je ne puis opposer que mes forces individuelles aux siennes, il faut que je périsse ou que je le tue ; et la loi de la défense naturelle me justifie et m’approuve. Mais dans la société, quand la force de tous est armée contre un seul, quel principe de justice peut l’autoriser à lui donner la mort ? Quelle nécessité peut l’en absoudre ? Un vainqueur qui fait mourir ses ennemis captifs est appelé barbare ! Un homme qui égorge un enfant qu’il peut désarmer et punir, paraît un monstre ! Un accusé que la société condamne n’est tout au plus pour elle qu’un ennemi vaincu et impuissant ; il est devant elle plus faible qu’un enfant devant un homme fait. Ainsi, aux yeux de la vérité et de la justice, ces scènes de mort, qu’elle ordonne avec tant d’appareil, ne sont autre chose que de lâches assassinats, que des crimes solennels, commis, non par des individus, mais par des nations entières, avec des formes légales. Quelque cruelles, quelque extravagantes que soient ces lois, ne vous en étonnez plus : elles sont l’ouvrage de quelques tyrans ; elles sont les chaînes dont ils accablent l’espèce humaine ; elles sont les armes avec lesquelles ils la subjuguent : elles furent écrites avec du sang. Il n’est point permis de mettre à mort un citoyen romain : telle était la loi que le peuple avait portée. Mais Sylla vainquit, et dit : Tous ceux qui ont porté les armes contre moi sont dignes de mort. Octave et les compagnons de ses forfaits confirmèrent cette loi. Sous Tibère, avoir loué Brutus fut un crime digne de mort. Caligula condamna à mort ceux qui étaient assez sacrilèges pour se déshabiller devant l’image de l’empereur. Quand la tyrannie eut inventé les crimes de lèse-majesté, qui étaient ou des actions indifférentes ou des actions héroïques, qui eût osé penser qu’elles pouvaient mériter une peine plus douce que la mort, à moins de se rendre coupable lui-même de lèse-majesté ? Quand le fanatisme, né de l’union monstrueuse de l’ignorance et du despotisme, inventa à son tour les crimes de lèse-majesté divine, quand il conçut, dans son délire, le projet de venger Dieu lui-même, ne fallut-il pas qu’il lui offrît aussi du sang, et qu’il le mît au moins au niveau des monstres qui se disaient ses images ? La peine de mort est nécessaire, disent les partisans de l’antique et barbare routine ; sans elle il n’est point de frein assez puissant pour le crime. Qui vous l’a dit ? Avez-vous calculé tous les ressorts par lesquels les lois pénales peuvent agir sur la sensibilité humaine ? Hélas ! Avant la mort, combien de douleurs physiques et morales l’homme ne peut-il pas endurer ! Le désir de vivre cède à l’orgueil, la plus impérieuse de toutes les passions qui maîtrisent le cœur de l’homme. La plus terrible de toutes les peines pour l’homme social, c’est l’opprobre, c’est l’accablant témoignage de l’exécration publique. Quand le législateur peut frapper les citoyens par tant d’endroits sensibles et de tant de manières, comment pourrait il se croire réduit à employer la peine de mort ? Les peines ne sont pas faites pour tourmenter les coupables, mais pour prévenir le crime par la crainte de les encourir. Le législateur qui préfère la mort et les peines atroces aux moyens plus doux qui sont en son pouvoir, outrage la délicatesse publique, émousse le sentiment moral chez le peuple qu’il gouverne, semblable à un précepteur mal habile qui, par le fréquent usage des châtiments cruels, abrutit et dégrade l’âme de son élève ; enfin, il use et affaiblit les ressorts du gouvernement, en voulant les tendre avec trop de force. Le législateur qui établit cette peine renonce à ce principe salutaire, que le moyen le plus efficace de réprimer les crimes est d’adapter les peines au caractère des différentes passions qui les produisent, et de les punir, pour ainsi dire, par elles-mêmes. Il confond toutes les idées, il trouble tous les rapports, et contrarie ouvertement le but des lois pénales. La peine de mort est nécessaire, dites-vous. Si cela est, pourquoi plusieurs peuples ont-ils su s’en passer ? Par quelle fatalité ces peuples ont-ils été les plus sages, les plus heureux et les plus libres ? Si la peine de mort est la plus propre à prévenir de grands crimes, il faut donc qu’ils aient été plus rares chez les peuples qui l’ont adoptée et prodiguée. Or, c’est précisément tout le contraire. Voyez le Japon : nulle part la peine de mort et les supplices ne sont autant prodigués ; nulle part les crimes ne sont ni si fréquents ni si atroces. On dirait que les Japonais, veulent disputer de férocité avec les lois barbares qui les outragent et qui les irritent. Les républiques de la Grèce, où les peines étaient modérées, où la peine de mort était ou infiniment rare, ou absolument inconnue, offraient-elles plus de crimes et moins de vertu que les pays gouvernés par des lois de sang ? Croyez-vous que Rome fut souillée par plus de forfaits, lorsque, dans les jours de sa gloire, la loi Porcia eut anéanti les peines sévères portées par les rois et par les décemvirs, qu’elle ne le fut sous Sylla, qui les fit revivre, et sous les empereurs, qui en portèrent la rigueur à un excès digne de leur infâme tyrannie. La Russie a-t-elle été bouleversée depuis que le despote qui la gouverne a entièrement supprimé la peine de mort, comme s’il eût voulu expier par cet acte d’humanité et de philosophie le crime de retenir des millions d’hommes sous le joug du pouvoir absolu. Écoutez la voix de la justice et de la raison ; elle vous crie que les jugements humains ne sont jamais assez certains pour que la société puisse donner la mort à un homme condamné par d’autres hommes sujets à l’erreur. Eussiez-vous imaginé l’ordre judiciaire le plus parfait, eussiez-vous trouvé les juges les plus intègres et les plus éclairés, il restera toujours quelque place à l’erreur ou à la prévention. Pourquoi vous interdire le moyen de les réparer ? pourquoi vous condamner à l’impuissance de tendre une main secourable à l’innocence opprimée ? Qu’importent ces stériles regrets, ces réparations illusoires que vous accordez à une ombre vaine, à une cendre insensible ! Elles sont les tristes témoignages de la barbare témérité de vos lois pénales. Ravir à l’homme la possibilité d’expier son forfait par son repentir ou par des actes de vertu, lui fermer impitoyablement tout retour à la vertu, l’estime de soi-même, se hâter de le faire descendre, pour ainsi dire, dans le tombeau encore tout couvert de la tache récente de son crime, est à mes yeux le plus horrible raffinement de la cruauté. Le premier devoir du législateur est de former et de conserver les mœurs publiques, source de toute liberté, source de tout bonheur social. Lorsque, pour courir à un but particulier, il s’écarte de ce but général et essentiel, il commet la plus grossière et la plus funeste des erreurs ; il faut donc que la loi présente toujours au peuple le modèle le plus pur de la justice et de la raison. Si, à la place de cette sévérité puissante, calme, modérée qui doit les caractériser, elles mettent la colère et la vengeance ; si elles font couler le sang humain, qu’elles peuvent épargner et qu’elles n’ont pas le droit de répandre ; si elles étalent aux yeux du peuple des scènes cruelles et des cadavres meurtris par des tortures, alors elles altèrent dans le cœur des citoyens les idées du juste et de l’injuste, elles font germer au sein de la société des préjugés féroces qui en produisent d’autres à leur tour. L’homme n’est plus pour l’homme un objet si sacré : on a une idée moins grande de sa dignité quand l’autorité publique se joue de sa vie. L’idée du meurtre inspire bien moins d’effroi lorsque la loi-même en donne l’exemple et le spectacle ; l’horreur du crime diminue dès qu’elle ne le punit plus que par un autre crime. Gardez-vous bien de confondre l’efficacité des peines avec l’excès de la sévérité : l’un est absolument opposé à l’autre. Tout seconde les lois modérées ; tout conspire contre les lois cruelles. On a observé que dans les pays libres, les crimes étaient plus rares et les lois pénales plus douces. Toutes les idées se tiennent. Les pays libres sont ceux où les droits de l’homme sont respectés, et où, par conséquent, les lois sont justes. Partout où elles offensent l’humanité par un excès de rigueur, c’est une preuve que la dignité de l’homme n’y est pas connue, que celle du citoyen n’existe pas : c’est une preuve que le législateur n’est qu’un maître qui commande à des esclaves, et qui les châtie impitoyablement suivant sa fantaisie. Je conclus à ce que la peine de mort soit abrogée. »
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Tu melanges du productivisme vert et de la transition véritable. Rénover les passoires énergétiques allège la facture annuelle c'est évidemment bon pour le pouvoir d'achat. Produire nous même de l'énergie en valorisant les forces naturelles nous évite d'envoyer des milliards aux russes ou aux pétro monarchies c'est évidemment bon pour la balance commerciale... À condition de produire nous même les panneaux solaires et les éoliennes. Et le coût de l'inaction c'est des catastrophes naturelles plus fréquentes et plus intenses.
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Donc si je résume soit tu penses que Mélenchon peut faire 50% dès le premier tour, soit tu penses qu'il peut faire tout le programme rien que le programme avec les voix d'un électeur sur 4 ou 5. Puisque tu refuses toute alliance à gauche... Ma ligne c'est celle défendue par Tondelier, Castets, Ruffin, Hamon et Faure. Le parlementarisme sans le modérantisme, la radicalité sans l'outrance, la lutte des classes sans le productivisme, l'écologie sans la paupérisation des travailleurs.
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On a pas le droit de vote en France, je m'explique...
Totof44 a répondu à un(e) sujet de Alain Brassens dans Politique
Quand on parle législatives, toutes celles qui avaient un réel enjeu (alors c'est vrai, ça ne fait que 3 dans l'histoire de la Vème...) ont rassemblé 2 électeurs sur 3. C'est encore trop peu, certes. D'autres facteurs doivent l'expliquer. Le rejet du système électoral en fait sûrement partie, mais il ne l'explique pas à lui seul. Tenez, le mode de scrutin lui même aboutit à cette situation que la plupart des français doivent se sentir représentés par... Un député élu dans une autre circonscription. Mais je dois reconnaître que la déconnexion des élus, le manque de représentativité, les combines politicardes qui prennent le dessus sur la défense de l'intérêt général... Sont de vrais sujets, en partie à relativiser comme j'ai tenté de le faire, mais qui appellent aussi des solutions, à mon avis moins radicales que les vôtres. -
Je connaissais pas, je croyais qu'il n'y avait que la confédération paysanne qui défendait autre chose.
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Ça valait donc le coup de lui accorder un laps de temps entre la condamnation et l'incarcération. Est ce que le fait d'être visé par une nouvelle plainte pour des faits commis sur ce laps de temps va jouer en sa défaveur quand il demandera une liberté conditionnelle ? Ce ne serait pas volé. Parce qu'en parlant de complot et je ne sais plus quelle infamie dans l'interview donnée à Vincent Bolloré, Sarkozy a, d'après un collectif d'avocats, commis un nouveau délit, celui d'outrage à magistrat. Il reprendrait donc une année de rab ? Article 434-24 du code pénal : L'outrage par paroles, gestes ou menaces, par écrits ou images de toute nature non rendus publics ou par l'envoi d'objets quelconques adressé à un magistrat, un juré ou toute personne siégeant dans une formation juridictionnelle dans l'exercice de ses fonctions ou à l'occasion de cet exercice et tendant à porter atteinte à sa dignité ou au respect dû à la fonction dont il est investi est puni d'un an d'emprisonnement et de 15 000 euros d'amende
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On a pas le droit de vote en France, je m'explique...
Totof44 a répondu à un(e) sujet de Alain Brassens dans Politique
Ce n'est pas une preuve. Les législatives partielles ne mobilisent pas parce que leur enjeu est à peu près nul, et c'est encore plus vrai quand la circonscription concernée est une baronnerie depuis des lustres pour le même camp. Dans pas longtemps une nouvelle dissolution devrait se produire et montrer que quand l'enjeu est là, les gens votent. -
Et oui l'argent n'a pas d'odeur. Lui ou jawad bendaoud (qui ne comprenait pas quand ça parlait scierie, qui n'est pas barman et qui ne sait donc pas faire de cocktail molotov, qui croyait que bombe désignait une belle femme, que grenade désignait un fruit exotique, qu'il aurait dit qu'il a mieux de la TNT avec la télévision par satellite, que quand ça parlait de roquette c'était certainement une délicieuse salade...) ne savaient rien, et qu'est-ce que ça peut bien leur faire ? En façade uniquement. Fondamentalement c'est le même projet de société anti droits de l'homme, ultra patriarcal, homophobe... Les outrances des uns alimentent sans cesse les autres. Et en plus ils collaborent.
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Je pensais à ça : https://www.lemonde.fr/societe/article/2020/10/02/au-proces-des-attentats-de-janvier-2015-l-indic-les-armes-et-le-chainon-manquant_6054462_3224.html
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Plus exactement il n'est pas tout le patronat. Ce message du président de l'U2P, qui attaque les prises de positions du MEDEF doit aussi être entendu par la gauche. Laquelle ne doit pas opposer le salarié et le chef d'entreprise ni le privé et le public. Elle doit défendre le travail contre la prédation du capital. L'investissement public, ce n'est pas et ne doit pas être la confiscation de valeur ajoutée créé le privé. Ce doit être la mise en commun de dépenses nécessaires notamment au développement économique qui ne peut se faire sans infrastructures, sans production d'énergie, sans formation professionnelle ou sans sécurité. De même, les chefs d'entreprises qui abattent des dizaines et des dizaines d'heures de travail pour faire vivre leur entreprise sont des travailleurs et pas des financiers. Ce message de l'U2P doit être considéré par la gauche comme une main tendue et elle doit la saisir. Le problème n'est pas le petit chef d'entreprise. C'est le banquier et le propriétaire des murs qui, par leur gourmandise parfois excessive, empêchent les travailleurs, chefs d'entreprises compris, de vivre dignement de leur travail. https://actu.orange.fr/economie/l-organisation-patronale-u2p-appelle-le-medef-a-ne-pas-quot-defendre-le-monde-de-la-finance-quot-contre-quot-le-monde-du-travail-quot-CNT000002kZz9i.html
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Je lisais ce matin dans la dépêche (je crois) que grosso modo, d'après les fuites, il semble qu'on reconduise plus ou moins les mêmes. Ce qui justifie non seulement une censure mais aussi une procédure de destitution parce que c'est bien le monarque qui impose une continuité quand les électeurs puis leurs représentants assemblés réclament l'alternance.
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Sauf qu'une commission d'enquête n'est pas un tribunal mais censée faire la lumière sur de possibles dysfonctionnements de l'administration. Hors l'administration est dirigée par la majorité qui arrive normalement toujours à obtenir soit la présidence de commission, soit le poste de rapporteur. Mais quand on fait des commissions d'enquête grotesques il peut se produire cela. Moi j'ai hâte de voir les conclusions de cette commission. Je sens que Laurent Wauquiez n'a pas fini de se ridiculiser Et en effet, des liens entre terrorisme y compris islamiste et extrême droite en a déjà trouvé...
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En même temps il est très probable qu'arrive une primaire qui désigne un candidat qui sera soutenu, non seulement par le parti de Tondelier, mais aussi par les dissidents insoumis, Génération.s fondé par Benoît Hamon, la moitié du PS qui a soutenu Faure au congrès et peut-être d'autres petits partis comme Génération écologie ou Nouvelle donne et je pense que François Ruffin est le mieux placé, et qu'il a certainement de bonne chances de faire plus que Roussel et de convaincre toute une partie de la gauche qui rejette à la fois le modérantisme de Glucksmann et les excès de Mélenchon. Puis bon... Je suis à peu près sûr aussi qu'à droite on aura 2 ou 3 candidats de plus que ceux testés par ce sondage.
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En fait j'utilise peut être le terme de façon abusive pour désigner l'ultra libéralisme tendance autoritaire vois fasciste. Apparemment la différence entre les deux c'est que le libéral va souscrire au libéralisme politique qui trouve sa traduction concrète dans l'État de droits tandis que le libertarien estime en effet que l'État doit être minimaliste. Le libéral considère que les libertés économiques favorisent l'élévation du niveau de vie de l'ensemble tandis que le libertarien considère qu'elles sont les conditions à la liberté individuelle. Et sur certains sujets de société le libertarien va se retrouver en phase avec certains courants anarchistes (libertés sexuelles ou drogues par exemple) sur d'autres avec le fascisme (port d'armes). Mais du coup le titre du sujet sonne plus libertarien que libéral.
