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Tout ce qui a été posté par Peyo
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Sur l'Islamisme Marine le pen fait du Marine le pen : liberticide, inapplicable, contreproductif
Peyo a répondu à un(e) sujet de Constantinople dans France
NON, tout le monde n'est pas corrompu comme le rn. Sarko est poursuivi pour cela, pas marine lepen, faut pas tout mélanger. Je persiste et signe, l'extrême droite française fricote avec les islamiste et vient ensuite nous faire croire en France qu'elle leur fait la guerre. Extrême droite, terroristes islamistes, même combat. Faut cesser de prendre les gens pour des billes, vous n'avez aucun argument, mais vous essayez très péniblement à vouloir dédouaner le rn ............. mission impossible. -
Sur l'Islamisme Marine le pen fait du Marine le pen : liberticide, inapplicable, contreproductif
Peyo a répondu à un(e) sujet de Constantinople dans France
Sauf que marine lepen fricote avec les islamistes. En 2017, le Rassemblement National a été sauvé financièrement par un virement de 8 millions d’euros ayant transité par une banque émiratie et un « homme d’affaire » français dont les activités se situent dans des zones africaines. Alors si l'on veut "faire la guerre à l'islam", faut pas aller chercher de l'argent chez eux. QUELLE HYPOCRISIE ! -
Anne Hidalgo, Bernard Cazeneuve et Jean-Luc Mélenchon sont les personnalités les plus à même de faire gagner la gauche à la présidentielle de 2022, selon un sondage* Ipsos pour Le Point. Anne Hidalgo 26% des sondés, Bernard Cazeneuve, "également socialiste" 24%, Jean-Luc Mélenchon, 23%. Yannick Jadot (19%) Eric Piolle 8% Sondage réalisé par questionnaire en ligne les 4 et 5 septembre auprès d’un échantillon de 1 000 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus, selon la méthode des quotas .
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Vous proposez quoi au juste ?
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C'est tellement vrai qu'ils en oublient ce que déclarait en son temps, l'un des hommes le plus riche du monde, Warren Buffet : La lutte des classes existe, et c’est la mienne qui est en train de la remporter. encore un intello de l'extrême droite ....................
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NON, il ne mérite rien, ce collabo
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Mais pas du tout, macron rejoint les idées de l'extrême droite, il chasse en terre r-haine comptant leur piquer des voix aux présidentielles. Faut apprendre à lire entre les lignes. Encore _un adepte de la zoluzion finale ... fou ne penzez pas ?
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Être de gauche c'est d'abord penser le monde, puis son pays, puis ses proches, puis soi ; être de droite c'est l'inverse.
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""les dénonciations..."" C'est dans leur ADN, depuis les milices de pétaing
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"""silence radio total et persistant sur son éventuelle candidature pour cette même élection...""" C'est normal, ce sont les insoumis qui le décideront, ce qui n'est pas le cas des autres partis.
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"""Il faudra un jour que les adeptes de la théorie de l'absence de pluralisme de la presse m'explique clairement""" je trouve que cette phrase fait un peu nombriliste, de mon point de vue. Mais dire que les médias sont aux ordres, oui d'accord, par contre si vous lisez l'humanité, cela ne s'applique pas à ce quotidien qui est le seul à dénoncer le libéralisme et le présidentialisme de ce régime, ainsi qu'il dénonce les milliardaires, les dividendes qui leur sont versés, ainsi que les volontés patronales et gouvernementales de faire payer toujours aux mêmes les conséquences des crises sanitaires et sociales. Les autres médias sont tous sur la même ligne, sauf l'huma faut le reconnaître.
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C'est une réponse pour bouddean qui posait la question. Pour l'instant Mélenchon n'est pas investi par LFI, alors que d'autres sont déjà des candidats officiels ... mais pour les autres cela ne vous pose pas de problèmes....... C'est surtout la constitution de 58 imposée par de Gaulle qui pose question. Au travers de cette constitution, de Gaulle avait instauré le régime présidentiel, le plus détestable des régimes. Il est à réformer, la constitution est à réformer, il en faut une nouvelle, qui donne plus de démocratie aux Français.
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Il se trouve des camarades qui considèrent la lutte des classes comme une vieille lune du passé, dépassée, et les rappels historiques comme désuets. Dussé-je passer pour un vieux radoteur ou un donneur de leçon, je réaffirme avec force que non seulement la lutte des classes est le principe réglant les rapports sociaux aujourd’hui, mais il l’est encore plus qu’avant. Je vais tenter de le démontrer à partir de mon expérience personnelle. Quant à l’histoire, il me paraît qu’il n’est de bonne vision de l’avenir qu’avec une bonne connaissance du passé. Je profite de cette remarque pour remercier notre camarade Jacques Sérieys, pour ses chroniques historiques sur notre site. J’ai commencé à travailler en 1959, à Paris. J’avais 17 ans. Mon seul diplôme officiel était le certificat d’études primaires. En dépit de ce handicap quasi insurmontable aujourd’hui, j’ai immédiatement été embauché comme employé de banque (guichetier), avec un contrat à durée indéterminée, qui plus est. Puis j’ai suivi mes parents à Montpellier, en janvier 1960. J’ai tout de suite travaillé comme aide-comptable, sous CDI, à l’Office départemental des HLM de l’Hérault. Mes parents sont remontés à Paris un an après. Après quelques jours, j’ai trouvé un emploi d’aide-comptable dans une petite entreprise du transport routier, toujours sous CDI. J’y suis resté jusqu’en 1966. De janvier 1962 à juin 1963, j’ai fait mon service militaire. Et en novembre 1963, à 21,5 ans, j’ai pu me marier et commencer à construire ma vie, hors du domicile de mes parents. J’ai continué mon périple dans deux autres entreprises, une du cinéma, une du bâtiment, mais en qualité de comptable, jusqu’en 1970. Dans toutes ces entreprises, tout en travaillant, je montais chaque fois une section syndicale CGT. C’est alors que, remarqué, la CGT m’a proposé de devenir journaliste à son hebdomadaire La Vie Ouvrière, et qu’elle m’a envoyé dans la plus grande école de journalistes de France, à l’époque, à Paris. J’en suis sorti diplômé deux ans après. Et, en 1989, après m’être beaucoup fâché avec la CGT, je suis retourné travailler dans les conditions du secteur privé, pour une ville socialiste de la région parisienne, comme directeur de communication et accessoirement directeur de cabinet. Si j’éprouve le besoin de faire ce rapide récit de ma vie professionnelle, ce n’est pas pour me mettre en avant, mais pour la comparer avec ce qui passe depuis le début des années 80 et de pire en pire jusqu’à aujourd’hui. Si j’avais 17 ans aujourd’hui, sans diplôme, comme je l’étais en 1959, je serais voué à ne faire que des petits boulots sous contrats à durée déterminée, entrecoupés de longues périodes de chômage, condamné à vivre chez mes parents et pour partie à leur charge, jusqu’à 30, voire 35 ans. Quant au militantisme syndical je ne m’y hasarderais certainement pas. Il est manifeste que ce parallèle entre la situation des années 50 à 70 et celle qui prévaut depuis 1980, montre que les rapports entre les salariés et les employeurs se sont considérablement dégradés au détriment des salariés. Oh certes, l’exploitation des salariés, par les employeurs, n’a plus la même forme qu’auparavant. Physiquement, les travaux sont moins pénibles. On ne voit plus les ouvriers creuser des tranchées à la pioche et à la pelle, il n’y a plus de mineurs de fonds, du moins en France. Aujourd’hui, l’exploitation prend la forme de pressions psychologiques, dont la précarisation généralisée est le levier principal. Mais au bout du bout, la logique capitaliste est la même qu’il y a 50 ou 150 ans. Il s’agit pour les patrons, dans le but de réaliser des profits maximum, de payer le moins possible leurs salariés et de les faire travailler le plus longtemps possible, selon des normes de productivité toujours plus infernales. Alors que de l’autre côté, les salariés souhaitent gagner plus, tout en travaillant moins longtemps, selon des cadences plus douces. Nous sommes là devant un antagonisme irréductible, consubstantiel au capitalisme, qui a été baptisé « lutte des classes ». N’en déplaise aux doux rêveurs, y compris dans nos rangs, ils peuvent décréter que l’expression « lutte des classes » est dépassée, il n’en reste pas moins que le mécanisme de l’exploitation capitaliste dans les entreprises, lumineusement démontré et démonté par Marx, est toujours aussi vivace. Je sais bien que, sous prétexte de modernité, on dénature les mots et les réalités les plus incontournables. N’est-il pas plus chic de faire d’une femme de ménage une technicienne de surface ? Je suis sidéré que chez nous, certains succombent à cette mode du changement pour le changement. J’enrage que tous les « modernistes » n’aient toujours pas trouvé le moyen de nous faire manger ou respirer autrement que par la bouche ou le nez. Pour moi ça fait 67 ans que je mange et respire de la même façon, et j’vous dis pas ce qui se passe à l’autre extrémité de mon tube digestif. Je trouve cela lassant, mais je manque d’imagination. Alors, les modernistes, au travail, changez-moi ça et vite ! Robert Mascarell croit plus que jamais en l’existence de la lutte des classes qu’en celle de dieu
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TOUT EST LA : https://lafranceinsoumise.fr/app/uploads/2020/04/avenir-en-commun-maj-avril-2020.pdf
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« La lutte des classes existe, et c’est la mienne qui est en train de la remporter. » déclarait Warren Buffet.
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Jamais ils ne l'avoueront, les forumeurs d'ici semblent ne pas vouloir condamner les fascistes et ou néo-fascistes, en seraient-ils ??
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ILS SONT TOUJOURS LA SOUS D'AUTRES "APPELATIONS", type Bastion social, identitaires, etc... les noms ne manquent pas. Le GUD a été créé en décembre 1968 au centre universitaire Assas de la Faculté de droit de Paris sous le nom de Union Droit, puis Groupe union Droit, par d'anciens militants d'Occident (Alain Robert, Gérard Longuet, Robert Allo, Gérard Écorcheville, Hugues Leclère, Jack Marchal, Jean-Noël Prade) à la suite de sa dissolution le 31 octobre de la même année. Le GUD s'est affirmé durant ses premières années d'existence comme le principal pôle militant de l'extrême droite en France (et même pratiquement le seul en 1969). Par la suite, avec l'apparition de mouvements nationalistes structurés tels que Ordre nouveau, il tiendra une place de plus en plus marginale, à plus forte raison avec l'émergence comme force électorale du Front national dans les années 1980. décembre 1968 : création au centre universitaire de la rue d'Assas (Faculté de droit de Paris), en vue des élections étudiantes de février 1969. L'acronyme GUD signifiait initialement « Groupe Union Droit ». 1969, le mouvement obtient aux élections universitaires plus de 10 % à Clignancourt, Saint-Maur, Nanterre et Assas2. octobre 1969 : participe à la création du mouvement Ordre nouveau. février 1970 : combat du GUD et d’étudiants de droite contre des gauchistes d’Assas ; deux jours de fermeture de l'université3. mars 1970 : affrontements violents entre gudards, maoïstes et lambertistes à Nanterre3. mars 1970 : une attaque par le GUD d’un meeting antifasciste à Assas fait vingt-trois blessés3. 28 novembre 1972 : les dirigeants du GUD Patrice Janeau et Michel Bodin, opposés au rapprochement d'Ordre nouveau avec Jean-Marie Le Pen en vue de créer le Front national, partent former le Groupe action jeunesse avec des dissidents d'Ordre nouveau. Une équipe dirigeante alternative prend immédiatement la relève. 1974 : le GUD subit un temps la concurrence du GAJ, est à deux doigts de disparaître avant de renaître au cours du printemps. 9 novembre 1974 : devient le mouvement étudiant du Parti des forces nouvelles (PFN). Le 15 décembre 19804, à la suite d’incidents quelques jours plus tôt à Tolbiac5, une trentaine de militants du GUD4 se rend à l'université de Nanterre, où une bagarre fait 23 blessés, dont deux graves parmi le GUD5, avant d'être pris en chasse par plusieurs centaines d'étudiants jusqu'au RER4. Les étudiants encerclent le train, tirent le signal d'alarme pour l'immobiliser et brisent les vitres des voitures4 où se sont réfugiés « ceux d'Assas »4. 27 nationalistes sont arrêtés. Une manifestation spontanée de 2000 à 3000 étudiants5, soutenue par l'UNEF ID a lieu l'après-midi, de Jussieu au pont de la Concorde. Dans un communiqué, le Collectif des étudiants libéraux de France, proche des jeunes giscardiens, condamne vigoureusement « les actions des groupes d'extrême droite » et affirme que « le GUD s’affirme victime innocente car ses militants sont venus désarmés »6 17 juin 1981 : s'autodissout officiellement après la victoire de François Mitterrand. Automne 1981 : le GUD est reconstitué au centre Assas à l'initiative d'une nouvelle équipe d'étudiants menée par Charles-Henri Varaut et Richard Rouget ; participe par la suite à la création du Renouveau nationaliste7. Le 19 mars 1982, le PFN, le GUD et le RN protestent contre la commémoration des accords d'Évian de 1962 organisée par la FNACA8. Avril et mai 1983 : le GUD participe aux grèves et manifestations contre la réforme Savary des universités de 1983 du ministre socialiste de l'Éducation, Alain Savary ; la presse parle alors d'un « Mai 68 à l'envers »8. 1984 : se rapproche du Mouvement nationaliste révolutionnaire (MNR) de Jean-Gilles Malliarakis. 1984 : le GUD obtient 94 voix à Assas, soit 2,4 % des 4000 inscrits[réf. nécessaire]. 1985 : devient l'organisation étudiante du MNR alors que la Jeune Garde est sa branche lycéenne. 9 novembre 1985 : participe à la fondation de Troisième Voie. 26 novembre 1986 : une trentaine de militants du GUD, menés par Serge Ayoub, attaquent une assemblée générale à Jussieu9,10. 27 novembre 1986 : attaque d'une centaine de militants du GUD8 contre la manifestation étudiante opposée au projet de loi Devaquet, aux alentours des boulevards Saint-Germain et Saint-Michel11 à quelques centaines de mètres de la rue d'Assas. Une partie du service d'ordre étudiant, présenté comme "autonome", se rend Rue Joseph-Bara pour contre-attaquer9,10,12. 7 mai 1988 : rompt avec Troisième Voie. 29 décembre 1988 : se reconstitue sous le nom d'Union de défense des étudiants d'Assas (UDEA) et, un an plus tard, Union de défense des étudiants parisiens. 1993 : se rapproche du Front national de la jeunesse et du Front national. 1994 : le GUD organise une manifestation à Paris le 7 mai sous le slogan « Bienvenue aux ennemis de l'Europe ! » afin de protester contre le 50e anniversaire du débarquement américain. Le rassemblement prévu place Denfert-Rochereau est interdit, la police encercle et matraque les manifestants, en arrête plus d'une centaine. Parmi ceux, qui parviennent à s'échapper, Sébastien Deyzieu, 22 ans, est poursuivi sur plus de 1 200 m par des policiers en civil, tente de se réfugier dans l'immeuble du 4, rue des Chartreux (non loin du centre Assas), tombe du 5e étage et fait une chute mortelle (voir Affaire Sébastien Deyzieu). 1995 : participe à la campagne présidentielle de Jean-Marie Le Pen. À la faculté d'Assas, Benoît Fleury dirige l'organisation de 199513 à 200014. juin 1998 : participe à la création d'Unité radicale, il publie alors Le Rongeur masqué, puis Jusqu'à nouvel ordre. décembre 1998 : lors de la scission du Front national entre lepénistes et mégrétistes, les GUD de province, contrôlés par Unité radicale, soutiennent Bruno Mégret. Celui de Paris montre sa réticence en mettant en avant le slogan « Ni œil de verre ni talonnette ! ». Il participera, le 4 février 1999, à la création d'un « Front de la jeunesse » censé regrouper la jeunesse d'extrême droite, sans lendemain. automne 1999 : crée l'Union de défense des étudiants et lycéens ; à la suite de procédures judiciaires, Benoît Fleury se met en retrait de la présidence au profit de Gaëtan Dirand, qui lui succède en 200015. 1er semestre 2002 : le GUD reprend son autonomie vis-à-vis d'Unité radicale, accusée de « mégrétisme »[réf. nécessaire]. 2004-2009 : les militants du GUD passent plusieurs années « en immersion » à l'intérieur du RED, aux côtés d'éléments d'autres provenance. 28 octobre 2009 : le journal Minute annonce la réactivation du GUD, prévue pour la fin de l'année 200916. février 2010 : des étudiants distribuent des tracts « GUD is Back » à l'université d'Assas17. Automne 2011 : une section lyonnaise du GUD est lancée. Très active depuis septembre 201118, elle est principalement implantée à l'université Jean-Moulin-Lyon-III quoique le syndicat UDJ n'ait pas été reconnu par Lyon-3. Septembre 2011 : à la suite d'une manifestation contre le retour de Bruno Gollnisch à l'université Lyon3 et où le GUD est présent pour soutenir le professeur, deux militants d'extrême-gauche sont agressés19 à coups de casque. L'auteur de l’agression, Steven Bissuel, sera condamné à deux mois de prison ferme. Début 2012, des journalistes du Monde relèvent un rapprochement entre certains membres du GUD et la section jeunesse du Front national20. Mars 2012 : Le GUD obtient 3,4 % des voix lors des élections étudiantes d'Assas via sa liste l'UDJ. La journée des élections est marquée par la présence d'une quarantaine de militants du GUD et de l'agression de deux militants de gauche21. Octobre 2012 : retour du GUD à Nancy après 12 ans d'absence22 ; la presse relate plusieurs affrontements, notamment à l'arme blanche, sur les campus et à proximité23. Avril 2013 : le GUD Nancy appelle à des violences envers les homosexuels par une image explicite déposée sur un réseau social. L'association Inter-LGBT dépose plainte pour incitation à la haine et à la violence24,25. L'université de Nancy fait de même en mai de la même année en raison « de différentes dégradations qui portent la mention du GUD » et de « tags [qui] sont clairement marqués par une haine raciste et homophobe, dans le contexte des débats sur la loi sur le mariage pour tous », selon le porte-parole de l'université26,27,28, des affiches incitant à frapper des homosexuels ayant notamment été placardées sur le campus. Ces actes homophobes sont également condamnés par la ministre de l'Enseignement supérieur Geneviève Fioraso29. En juin, le maire de Nancy, André Rossinot, se déclare « préoccupé par la recrudescence d'appels haineux et d'invitations à la violence sur la page Facebook du GUD de Nancy, [où] l'on constate la présence de contenus à caractère ouvertement raciste, homophobe, antisémite » et demande à Facebook la fermeture de cette page30, tandis que le conseil d’administration de l'université de Lorraine adopte une motion « condamnant fermement les actes (agressions, dégradations, inscriptions discriminatoires, menaces homophobes) qui ont eu lieu récemment sur ses campus « sous la bannière du Groupe Union Défense (GUD) »31. En août 2013 : à la suite de ces plaintes32, un militant du GUD Nancy, responsable de la page Facebook du "GUD Nancy" où figurent également des slogans antisémites, est interpellé et placé en garde à vue33. Juin 2013 : deux membres du GUD sont condamnés, l'un à 1 an et l’autre à 6 mois de prison ferme, pour des violences en réunion à caractère raciste commises le 17 juin 2013 à Lyon. Deux ans après ce premier procès, un troisième « Gudard », est condamné à six mois de prison avec sursis pour sa participation à l’agression34. Octobre 2013 : ouverture du bar d’extrême droite parisien Le Crabe-Tambour, fermé depuis (en référence à Pierre Guillaume, ancien de l'OAS) dans le 15e arrondissement de Paris par Logan Djian35. Novembre 2014 : Un congrès européen organisé par le GUD se tient à Nanterre36. Celui-ci accueille des nationalistes radicaux étrangers comme Konstantinos Boviatsis d'Aube dorée (Grèce), Hervé Van Laethem du mouvement belge Nation, Jordi de la Fuente du Mouvement social républicain espagnol, et avec comme invités français Roland Hélie de Synthèse nationale ainsi qu'Arnaud de Robert, le porte-parole du Mouvement d'Action sociale37. 4 novembre 2014 : le tribunal correctionnel de Lyon inflige 5 ans de prison ferme à l'encontre de deux individus proches du GUD, pour "violences aggravées en état de récidive et port d'armes prohibées" commises contre un couple le 15 janvier 2011 à Villeurbanne. Six autres prévenus écopent de peines moindres, allant de trois ans ferme à 12 mois avec sursis, notamment pour non assistance à personnes en danger38,39,40. Janvier 2015 : deux militants du GUD Nancy sont condamnés à 8 mois et 6 mois d’emprisonnement avec sursis pour avoir déployé une banderole homophobe incitant à la haine lors de la Marche des fiertés LGBT du 31 mai 201441,42. Mars 2015, le local syndical de la Confédération nationale du travail de Metz est vandalisé par des militants se réclamant du GUD43. Juin 2015, la permanence du PCF Gentilly est vandalisée par des personnes laissant une signature du GUD44 9 juillet 2015 : interpellation de cinq personnes proches du GUD pour une agression commise contre trois personnes d'origine africaine dans la nuit du 5 au 6 juin 2015 devant le Boston Café, un établissement de nuit de la place des Terreaux à Lyon45. Octobre 2015 : après l'agression commise le 8 octobre 2015 contre un ancien responsable du GUD46,47, le président du GUD Logan Djian est mis en examen pour « violences aggravées ». Placé en détention provisoire, Logan Djian est libéré le 13 novembre contre le paiement d’une caution de 25 000 euros48. 31 mars 2016 : lors des manifestations contre la « loi El Khomri », les militants du GUD affrontent les manifestants devant la faculté Lyon 3 qui, selon le mot d'ordre du jour, voulaient tout bloquer dont les universités et les lycées49. 8 juillet 2016 : Logan Djian, responsable du GUD, est condamné à 1 an de prison ferme pour l'agression d'un journaliste lors d'une manifestation de La Manif pour tous en 2013. Recherché par la police, il est finalement incarcéré le 1er décembre 2017 à la prison de Lyon Corbas50,51. Le bar d'extrême-droite « Le Pavillon Noir », qui sert de local au GUD, est ouvert dans Lyon par Steven Bissuel52. 27 mai 2017 : le Bastion social, groupe qui a succédé au GUD, occupe un immeuble situé au 18 rue du Port-du-Temple dans le 2e arrondissement de Lyon53,54. Ce bâtiment est appelé « bastion social » par les militants qui l'occupent. Steven Bissuel, qui préside le mouvement du même nom, met en avant les thèmes de préférence nationale55 et le slogan « les nôtres avant les autres »56. Ce dernier se réclame du nationalisme-révolutionnaire et ne cache pas de s'être inspiré des néofascistes italiens de CasaPound57. 13 juin 2017 : l'expulsion est ordonnée du bâtiment que le Bastion social occupait depuis trois semaines58. 9 décembre 2017 : le GUD, auto-dissous dans le « Bastion social », ouvre un bar à Strasbourg appelé l'Arcadia, qui lui sert de local pour préparer ses actions59 comme à Lyon, Chambéry et Aix-en-Provence. Le soir même, deux militants ayant participé à l'inauguration du local sont arrêtés pour une agression et seront condamnés : l'un à 8 mois de prison ferme et l'autre à 6 mois de sursis et 500 € d'amende60,61. 16 mars 2018 : une dizaine d’anciens membres du GUD pénètre dans la cour d’un lycée autogéré de Paris, agresse plusieurs élèves et brise des vitres à visage découvert ; une personne est condamnée à un an de prison avec sursis62,63. mai 2020 : la rédaction de Siné Mensuel annonce avoir porté plainte pour avoir reçu cinq lettres contenant des menaces de mort envers des collaborateurs du journal et signées du Groupe union défense64. Présidents 1968-1972 : Alain Robert 1972 : Patrice Janeau 1972-1973 : Bernard Houdin65 1973-1974 : Roland Poynard66 1974-1975 : Gilles Soulas67 1975-1976 : Philippe Péninque68 1976-? : Jean-François Santacroce67 1981-1983 : mise en sommeil du GUD69 1983-? : Fabrice Saulais, dit Arnaud Lutin67,66 ?-? : Frédéric Pichon70 1988 : Christophe Pierre71 1988-1991 : William Bonnefoy69 1991-1995 : Frédéric Chatillon69 1995-1998 : Guillaume Coudroy69 1998-2000 : Benoît Fleury72 2000-2002 : Gaëtan Dirand69 2002-2009 : mise en sommeil du GUD 2009-2012 : Édouard Klein73 2012-2017 : présidence ad hoc 2017 : mise en sommeil du GUD au profit du Bastion social https://fr.wikipedia.org/wiki/Groupe_union_défense
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Ce sont des terroristes, les uns soi-disant au nom de leur dieu, les autres au nom de leur idéologie néo-nazi
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États-Unis: la police tire 7 fois sur un homme noir désarmé, la ville de Kenosha s’embrase
Peyo a répondu à un(e) sujet de Bluehawk dans International
P'taing le mec, il va se faire péter la tronche, à force d'écrire ce qu'il ne comprend pas lui même .... -
On s'en branle, votre vie privée est inintéressante.
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États-Unis: la police tire 7 fois sur un homme noir désarmé, la ville de Kenosha s’embrase
Peyo a répondu à un(e) sujet de Bluehawk dans International
Et bien sur la fachosphère va déblatérer sur des détails mais rien sur le fond, il n'en ont rien à foutre. S'ils étaient aux states, ils seraient dans les milices fascistes de trump, à tirer sur la foule. -
États-Unis: la police tire 7 fois sur un homme noir désarmé, la ville de Kenosha s’embrase
Peyo a répondu à un(e) sujet de Bluehawk dans International
SOURCE SVP . Et les tarés supporters de trump organisés en milice armées , no comment .. -
Comment pourrait-ilt-il changer puisque vous êtes les deux. Tous vos écrits le démontrent. En auriez vous honte pour vouloir vous disculper ainsi ? Allez donc vivre en corse .
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J'ai pas dit "plein" mais avec du FRIC. Je n'ai jamais été jaloux d'un facho, je le méprise c'est tout.