Auger

Arrête, je vais b.nder !

Ok, ça ira mieux demain Bonne soirée

J'ai l'impression qu'aujourd'hui, ce n'est pas la journée internationale de l'humour et du second degré...

Tu devrais être flattée d'être le centre d'intérêt de personnes aussi brillantes que @Ploujet moi-même. En toute modestie, cela va sans dire...

Pas compris... ça m'étonnerait : je ne pouvais pas saquer vilaine (on s'est pris la tête 1 273 fois), je ne retrouve pas le même style méchant, provocateur, sans empathie, condescendant...

S'il n'y avait que toi ! (euh, coucou @Elisa*)

Tu vas sans doute trouver ça drôle, mais je n'y avais même pas pensé...

Houla ! Je vais aller faire un tour, moi...

Et de quinoa ! Espèce de dissimulateur !

(Ça, c'est bien fait pour moi : je l'ai bien cherché )

Bon bah, super : j'ai plus de solution !

Ah ! Peut-être que si j'arrête la viande, je vais voter à gauche ? Ça mérite que j'y réfléchisse, j'en ai un peu marre d'être un réac.

Ah ! C'est qu'il est vraiment vegan alors ! (je blague, hein, c'est du 15eme degré...)

Tout dépendra de ce que tu attends de lui... T'es vegan ?

Excepté en peinture, je n'ai jamais eu beaucoup de goût pour le surréalisme... Conséquence probable de ma basse extraction...

Je vois que la frite est revenue (Sans rapport avec le message cité... encore que...)

Tout manichéen et grognon que tu puisses être, je suis bien obligé d'admettre que - pour le coup - je suis 100 % d'accord avec toi.

Il faut croire que la volonté s'exerce et se renforce comme les biceps avec des haltères... La vie est si simple, finalement.

Bah, pitite provoc. à la Auger... Mais également mot qui trouve difficilement de synonyme précis tant il correspond à un raisonnement volontairement compliqué, pseudo-savant et, au final, confus... Bon après-midi, Élisa.

J'ai passé l'âge de contredire pour contredire, dans l'espoir de passer pour plus intelligent que mon interlocuteur. Tes raisonnements amphigouriques ne tiennent pas la route. Alors, bonne fin de journée

Je ne situe pas le problème sur le plan du "droit", dont je me contrefiche. Non, on ne choisit que de façon très rare d'être mal. Lorsque cela arrive, ça me semble davantage relever d'un désordre psychiatrique que d'un choix : c'est alors la pathologie qui décide, pas la personne. Associer le mal être à un choix, comdamne encore une fois beaucoup de gens à une forme de frivolité et à une culpabilisation désastreuse.

"Ce qu'il faut admettre, c'est qu'il existe plus de personnes que l'on croit qui choisissent le mal-être..." Faut-il avoir une vie dénuée de difficultés majeures pour sortir un truc pareil, de façon si docte et péremptoire...

Et même bien souvent ne choisir aucun mot...

Ce n'est pas réellement un doublon, ce n'est pas le même sujet...

Demander à quelqu'un de positiver, c'est minimiser ou nier sa souffrance : c'est dévastateur, sous couvert de "bons sentiments".