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DKKRR

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  1. Ce que je note, c'est que l'antisémitisme parmi les Musulmans (je ne parle pas des autres peuples car pour les Européens, pour les Chrétiens, notamment, il s'agit d'un atavisme. En effet, ce sont eux qui ont toujours massacré et déporté les Juifs tout au long de l'histoire) n'est que la conséquence d'une mauvaise réflexion issue du conflit ayant cours en Palestine. Je dis "mauvaise réflexion" car certains Musulmans se laissent déborder par leurs émotions et associent spontanément "Juif" et "sioniste". Ainsi, dans leur esprit le Juif est naturellement un sioniste qui massacre les Palestiniens. Cette confusion est, il est vrai, entretenue par le fait que la majorité des Juifs qui s'expriment dans les médias Français, sur ce conflit, défendent becs et ongles la politique terroriste de l'état d'israel tout en stigmatisant incessamment les Musulmans. Il nous incombe donc de savoir faire la différence entre ceux qui participent, de près ou de loin, à ce crime qui marquera l'histoire et qui a actuellement cours en Palestine et les Juifs en général et ce nonobstant les tentatives de certains sionistes d'associer la critique de leur caractère criminel avec l'antisémitisme. D'autant plus que certains Juifs soutiennent la Palestine dans sa revendication légitime d'un état. Mais, au-delà de ce conflit, l'antisémitisme n'a jamais été un concept Islamique si l'on se réfère à l'histoire. C'est sur le tard que les relations entre les Juifs et les Musulmans se sont tendues, surtout après l'introduction de l'Occident en terre Musulmane. Mais en de nombreuses occasions les Juifs ont vécu en harmonie (surtout en Espagne avant l'arrivée des Almohades) avec les Musulmans. Dans tous les cas, les relations entre Juifs et Musulmans ne sont nullement comparables à celles qui ont existé entre Européens/Chrétiens et Juifs. D'ailleurs, après les avoir exterminé, les Européens se sont déchargés de leurs responsabilités et ont évacué la "question Juive" en dehors de leurs territoires en les "chassant" sur des territoires qui ne leur appartenaient pas et qu'ils leur ont donnés (je te massacre, puis je t'offre la maison de mon voisin avec lequel tu devras te débrouiller au lieu de réparer mon crime). Une fois encore, ce problème est une conséquence des actions de cet Occident historiquement antisémite.
  2. Le problème que je perçois dans cette manière de voir les choses, c'est que celle-ci se trouve être exactement similaire à celle de ceux que vous dénoncez. Au final, vous semblez vous constituez à l'image de cet ennemi que vous abhorrez. Vous rejetez la responsabilité sur l'autre en lui imputant le commencement du cercle de violences dans lequel vous rentrez. Chacun se renvoie la balle en justifiant son comportement du fait d'une vengeance qu'il lui incomberait d'accomplir ("je te tue car tu m'as fait du mal". "Tu es méchant, je suis gentil"). Les autres constituent un ramassis de connards à annihiler selon vous mais sachez qu'ils n'en pensent pas moins de vous. Ainsi que je le disais, vous n'avez de cesse de vous renvoyer, chacun votre tour, le même boomerang qui, en plus de vous détruire, impacte également ceux qui, comme moi, ne souhaitent pas participer à ce cercle de vengeance. Nous sommes des victimes collatérales de votre haine, nous qui souhaitons l'arrêt de toutes les violences, l'arrêt des guerres soi-disant "en réponse à" ou "pour protéger des populations", des ventes d'armes, des mesures de vengeance plus généralement. A mon sens, il n'y a aucune différence entre celui qui tue au bataclan, celui qui le soutient, celui qui tue en Libye sous l'uniforme français et celui qui le soutient. Tous sont des ennemis de l'humanité qu'ils entrainent à sa perte et ce sont eux les vrais terroristes, les vrais maux qui rongent notre monde et aucun de ceux là ne possède assez de clairvoyance pour s'en rendre compte.
  3. C'est l'argument qui revient incessamment de la part de ceux défendant becs et ongles israel et sa politique criminelle et/ou ceux étant épris d'une Islamophobie particulièrement puissante et associant antisémitisme et Islam. Historiquement, l'antisémitisme est un concept éminemment Chrétien et nullement Islamique. Au contraire, les Juifs ont connu une harmonie bien plus forte avec les Musulmans qu'avec les Chrétiens qui les ont toujours persécutés et chassés partout où ils se trouvaient (ceux-ci allaient d'ailleurs bien souvent se réfugier en terre Musulmane que ce soit en Espagne ou dans les différents territoires de l'empire Ottoman). C'est plutôt l'Occident qui a introduit cette haine du Juif en Orient. N'inversons pas les responsabilités en tentant de caractériser un antisémitisme Islamique qui n'est pourtant que chimérique. En effet, en disant que s'il n'y avait pas israél, les Islamistes inventeraient néanmoins d'autres prétextes pour être antisémites, l'on sous-entend qu'il s'agit là d'un atavisme propre aux populations Musulmanes (ce qui est factuellement erroné). De même que les usa, la france, la g-b ou autres ne se privent pas de commercer avec ces pays que vous dénoncez et financent d'autres formes de terrorisme qui vont jusqu'à détruire des pays tout entier. Sommes-nous bien placés pour donner des leçons lors même que nos attitudes sont moins "dignes" que celles de ceux que nous pointons du doigt.
  4. Si par "dictateurs" et "religieux" vous entendez dénoncer les pays Moyen-Orientaux et Africains, alors je dois préciser que pour le moment, les pays au monde qui "fichent le bordel" partout sont essentiellement Occidentaux puisque la majorité des guerres, si ce ne sont toutes les guerres, qui mettent en oeuvre un (ou plusieurs) état(s) attaquant directement le territoire d'un autre état sont le fait d'états Occidentaux, officiellement démocratiques. La paix dans le monde est, factuellement, plus mise en péril par des démocraties (Occidentales) que par des dictatures ou théocraties.
  5. Si vous comprenez ce père, alors vous comprenez ce qui tuent au nom de l'Islam. Concrètement s'il est légitime de tuer les membres d'une communauté qui nous a fait du tort (en l'occurrence, tuer des Musulmans parce que certains de leurs congénères ont tué notre fille), alors il est légitime que des Musulmans tuent des Français puisque les armées Françaises en ont tués beaucoup de par le monde (volontairement ou "dommages collatéraux" peu importe) que ce soit en Afghanistan, au Mali, en Libye, en Irak ou en Syrie. L'on ne peut pas justifier la volonté de massacrer de ce père et ne pas justifier la volonté de massacrer d'autres individus cherchant la vengeance puisqu'ils agissent selon une logique similaire. Qui vit par l'épée périra par l'épée. Si vous tuez un homme par vengeance du fait qu'il avait tué quelqu'un par vengeance qui avait tué lui-même quelqu'un par vengeance, alors vous vous exposez à une mort future par vengeance d'un proche de votre victime. C'est ce qu'il se passe dans certains pays de l'est qui ont ces traditions qui perdurent sur des années et des années et qui déciment des familles et c'est exactement ce qu'il se passe à l'échelle mondiale dans les guerres que nous faisons en réponse à des actions qui nous touchent, elles-même en réponse à d'autres guerres que nous avons faites. Finalement, vous envoyez un boomerang qui vous revient, puis que vous renvoyez et ainsi de suite jusqu'à ce que plus personne ne reste debout.
  6. Fermer les yeux, détourner le regard face à ce qui nous répugne et ce que l'on interprète comme le signe d'une profonde décadence, comme un net recul pour notre société et la descente d'une pente qui ne peut que nous mener à notre perte, n'est pas une position qui se distingue par sa sagesse, à mon sens. Au contraire, il nous incombe (je pense), d'oeuvrer pour nos idées, dans une démarche qui se voudra alors altruiste (car seul l'égoiste, qui ne se soucie que de lui-même, ne se préoccupe guère de ses congénères et se refuse à s'immiscer dans les questions sociétales). Par-contre, je n'ai jamais compris en quoi le fait de ne pas s'ouvrir à des pratiques que l'on considère comme extrêmement négatives fait de nous nécessairement un être intolérant, caractérisé par une profonde étroitesse d'esprit (voir d'extrémisme). Si tel était réellement le cas, alors nous partageons tous cette caractéristique commune puisque tous, sans exception, nous avons des rejets pour certaines pratiques qui n'ont pourtant aucun impact direct sur notre vie. Seulement, nous ne parvenons plus à intégrer ce fait et invectivons bien souvent ceux pensant trop différemment de nous sur un sujet bien précis en les désignant tels des extrémistes lors même que se faisant, nous devenons telle l'image péjorative que nous entretenons sur l'autre.
  7. DKKRR

    Sondage immigration

    Il y a de fortes tensions entre le Kenya, l'Ethiopie et la Somalie, l'Erythrée et l'Ethiopie, le Congo et le Rwanda (voir l'Ouganda) mais au-delà de ça, il y a des groupes tels la LRA (Lord Resistance Army), l'Union des Tribunaux Islamiques, Boko Haram, des miliciens Rwandais, Ougandais, Libyens etc... qui interviennent et sèment le désordre sur des territoires qui couvrent plusieurs pays. Donc oui, il y a une multitude de raisons qui poussent bon nombre d'Africains à s'exiler. Que ce soit la guerre, la maladie ou la pauvreté, tant que ces fléaux frapperont l'Afrique sans que l'on ne fasse rien pour que la situation évolue positivement (cesser les guerres directes ou indirectes, les ventes d'armes, les soutiens à des dictatures, l'interventionnisme dans les affaires internes des pays, les exploitations des ressources ou des marchés à des "prix défiants toute concurrence", réviser un modèle économique mondial qui défavorise grandement ces pays du tiers-monde), alors les Africains continueront à affluer, légitimement, sur nos terres et nous n'avons aucunes raisons de les refuser puisque : - D'une part, nous ne sommes pas propriétaires de cette terre qui existait avant notre venue dans ce monde. - D'autre part, de par notre histoire plus ou moins ancienne avec ces pays, nous nous trouvons au fondement de leurs difficultés. - Enfin, parce qu'il n'y a aucune raison pour qu'une partie de la population mondiale vive dans l'opulence pendant qu'une autre crève dans la misère. Soit nous serons riches tous ensemble, soit nous éprouverons des difficultés tous ensemble mais notre destin est indéniablement lié.
  8. Cependant la compassion n'est pas consubstantielle à la tolérance molle, à l'acceptation de tout. Ainsi, je peux être compatissant, comprendre les souffrances d'un individu, sur une problématique qui le taraude, tout en voulant annihiler celles-ci mais en même temps être opposé à ce comportement qui, à la base, se trouve être générateur de ces souffrances qui m'émeuvent pourtant. Cela peut paraitre contradictoire dit ainsi mais pour prendre un exemple plus concret. Je peux comprendre la détresse d'une femme tombée enceinte sans le désirer et se retrouvant potentiellement dans d'immenses difficultés avec l'arrivée de cet enfant et ceci du fait de sa jeunesse, de sa situation professionnelle/financière extrêmement précaire, tout en étant parfaitement opposé à l'avortement, au fait qu'elle décide, à cause de sa situation, de supprimer une vie.
  9. Tout le monde se retrouve, à un moment donné, sur un sujet donné, en contradiction avec ses propres principes. Cela n'est nullement l'exclusivité des prêtres ou des religieux en général. Il est vrai que ce reproche est plus facilement imputable aux religieux du fait que ceux-ci, de par la foi qui est la leur, usent de prosélytisme (cela n'est pas péjoratif dans ma bouche) et propagent en conséquence une certaine parole concernant, notamment, la morale que l'on se devrait d'avoir. Il est donc plus aisé de dénoter les contradictions qui se créent entre la parole donnée et l'attitude qui est la leur sur certains points. Cependant personne n'échappe à cette règle. La question qui me paraît être essentielle est celle-ci : Le fait de ne pas respecter un principe que l'on énonce, déconsidère t-il automatiquement ce principe ou, en tant qu'humains, nous ne sommes pas les gardiens de la vérité (au sens où celle-ci existe indépendamment de nous et notamment de nos actions qui ne peuvent nullement lui causer du tort quand bien même l'on s'en revendique tout en s'en écartant en fait) ?
  10. Du fait de quel principe faudrait-il se prononcer sur des sujets qui n'impactent que son sexe ? Pourquoi d'ailleurs faudrait-il sexualiser les sujets et non pas les "ethniciser" ou les "religioniser" ou encore les "classocialiser" (ainsi, seuls les ouvriers s'exprimeraient sur les sujets afférents à la classe ouvrière, seuls les Musulmans sur les sujets concernant la religion etc.... Vous rendez-vous compte du caractère inepte d'une telle revendication. Ainsi je m'oppose à ce que je considère comme des meurtres et comme un certain état d'esprit particulièrement décadent consistant à multiplier les coucheries tout en faisant preuve de beaucoup de veulerie au moment d'assumer les effets indésirables de ces attitudes malsaines et ce nonobstant le fait que je ne suis pas une femme.
  11. Je ne comprends pas. Lorsque vous êtes opposé au port du voile, ce n'est non pas pour vous-même mais pour les autres ? Pourquoi donc vous refuser à ce que d'autres développent des principes similaires sur des sujets divergents ? Quant aux normes religieuses, il n'y a pas plus (ni plus ni moins) de volonté d'imposition à tous de celles-ci que de volonté d'imposition de normes de quelque autre nature que ce soit. Chacun idéalise un monde qu'il aimerait voir se concrétiser. Il n'y a rien de mal à cela, c'est une caractéristique des humains que tous partageons sans exceptions.
  12. Pensez-vous que celui qui se réfère à des normes religieuses s'avère être un individu plus bête qu'un autre agissant différemment ? "Faire marcher sa tête" entendu dans le sens "ne penser que par soi-même" ne constitue qu'une ineptie puisque nous sommes tous sous l'influence, plus ou moins consciente et volontaire, de structures qui nous surpassent. Le fait même d'être religieux implique une soumission à des préceptes extérieurs. A la différence que cette soumission est consciente contrairement à l'individu areligieux lambda qui, lui aussi, est soumis, mais de façon inconsciente, à tout un tas de normes sociétales dont il ne perçoit plus le caractère contraignant. Il n'y a pas ceux "qui font marcher leur tête" et qui disposent de la lumière de la sagesse qui leur permet d'appréhender au mieux la vérité et ceux qui "ne font pas marcher leur tête" en s'astreignant volontairement au respect de prescriptions Divines. Ps: De manière plus générale, lorsque je fais face à une problématique qui requiert une "réponse religieuse" et que celle-ci n'est pas référencée, alors je me renseigne et je demande conseil et si les avis divergent, alors je suis celui que mon coeur considère comme étant le plus juste et ce nonobstant les perceptions des gens (en effet, que m'importe la considération que l'on entretient à mon égard lorsque je tente de suivre ce que me recommande mon Seigneur).
  13. Mais qui peut juger, si ce n'est la subjectivité inhérente à notre être, de la valeur de telle ou telle idée ? En quoi êtes-vous meilleur juge des idées que moi ? Qu'est-ce qui, si ce ne sont vos croyances, vous permet de dire que vos idées sont supérieures ?
  14. C'est l'impression que nous donne toute échelle un peu trop différente de la nôtre. Je n'échappe pas à cette règle lorsque je considère votre échelle mais je vous respecterai néanmoins lorsque vous nous la partagerez.
  15. De la même façon je m'exprime en mon nom et je ne cherche pas plus à imposer mes croyances puisqu'à l'instar de ce que vous faites je ne fais que les exprimer (en somme, je suis contre l'homosexualité et contre l'adoption d'enfants par des couples homosexuels). Quant à la preuve de ma croyance quant au caractère contre-nature de l'homosexualité. Comment voulez-vous que l'on vous prouve un paradigme ? Cela revient à la même chose que de demander à quelqu'un qui affirme que le chocolat est meilleur que la fraise, de le prouver. Ici, il ne s'agit que de croyances, de perceptions, d'interprétations. De la même façon que vous ne pourrez pas prouver que l'homosexualité est aussi naturelle que l'hétérosexualité. Vous ne pourrez que l'énoncer (selon vous).
  16. Et pourtant sachez bien que j'exerce quotidiennement mon doute et ce sur tous les sujets auxquels je peux réfléchir, même ceux où mon adhésion à telle ou telle thèse apparait la plus forte. Nous partageons tous en commun le fait d'avoir des certitudes. Lorsque vous me jugez sur mes propos, vous ne faites que retranscrire des certitudes qui sont les vôtres et qui vous poussent à fortement déprécier une pensée s'établissant à contre-courant de vos certitudes sur le sujet évoqué. Chaque reproche qui me sera fait à ce niveau là (idées reçues; certitudes; croyances etc....) ne fera qu'acter le fait que l'auteur de celui-ci sera conforme à l'image de moi qu'il abhorrera (cela me fait penser à quelqu'un qui me disait : "quand tu pointes du doigt une personne, n'oublie pas que tes 4 autres doigts te pointent en retour"
  17. Pour ce qui est de l'absence de complémentarité, je me base sur mon bon-sens qui m'indique qu'une femme et un homme sont essentiellement différents, ne développent pas les mêmes capacités et n'ont pas les mêmes sensibilités et qu'en conséquence, un couple homosexuel est dépourvu de cette complémentarité inhérente aux couples hétérosexuels. Quant au fait qu'il s'agit d'une attitude contre-nature, deliquescente et autres, je me fonde sur des principes moraux que nous partageons assurément et qui nous poussent à juger, selon nos croyances, les attitudes en les hiérarchisant sur une échelle de valeurs. Vous me reprochez le fait que mon échelle ne soit pas à l'exacte image de la vôtre. Soit. Je peux comprendre la désapprobation qui peut être la nôtre confronté à un certain degré d'altérité mais je ne peux rien y changer.
  18. A titre personnel, je ne considère par le mot "homophobe" comme relevant de l'insulte car s'il consiste à rejeter l'homosexualité, alors oui je revendique ce titre. En effet, je rejette des attitudes qui m'apparaissent gravement déliquescentes, et déviantes et fortement nuisibles à la société. A l'instar de nous tous ici (je pense), je milite pour une société idéale-type que j'estime être la meilleure. Vous me reprochez donc d'opérer des choix différents des vôtres et c'est compréhensible mais sachez que l'on partage cette quête de justice, cette volonté d'établir (tout du moins de faire reconnaître aux gens) ce qu'il y a de mieux selon nous. Je ne suis qu'un miroir déformé de votre propre réalité. Vous comme moi défendons des positions que nous estimons mesurées, sages et positives pour la société et combattons donc tout ce qui nous apparait nuisible. Je ne m'autoriserai pas à vous insulter (non pas que vous le faites pour moi) parce que je sais que vous ne faites que retransmettre vos convictions fondées à partir de vos croyances personnelles. Il n'y a pas d'un côté les gens illuminés qui se perdent dans leurs croyances qui les éloignent d'une réalité qu'ils méconnaissent totalement et de l'autre, les gens avec la sagesse et la science infuses, chargés d'éclairer le monde et qui ne possèdent aucune croyance mais que des perceptions fondées sur du réel (ou en tous cas, nous avons tous la sensation de faire partie de la seconde catégorie et que les autres font partie de la première). Donc peut-être, tenté-je de surmonter mes peurs avec des "draps" illusoires mais forcément tout ce que je pourrai vous sortir ne sera qu'idées reçues dans l'esprit de ceux n'étant pas en accord avec ma parole. En tous cas, dans mon esprit, l'homosexualité est un grand mal dont nous devons protéger nos enfants. Que ceux qui désirent avoir des enfants passent par des voies naturelles, qui ne leur sont pas inaccessibles, au lieu de chercher à assouvir leurs pulsions tout en désirant obtenir ce que leurs choix personnels leur empêchent d'avoir. Ps: Quant aux exemples personnels ("je connais quelqu'un"), cela est insuffisant pour énoncer des règles générales.
  19. Je n'accorde aucun crédit à ce genre d'études qui n'ont nullement le recul nécessaire pour analyser globalement un tel phénomène et qui se distinguent bien souvent par leur caractère partisan et par de nombreux biais qui déforment fatalement le résultat par rapport à une réalité qu'elles ne savent retransmettre exhaustivement. De plus, que ce soit en Sociologie, Psychologie ou autres sciences d'étude de l'humain, l'on pourra toujours trouver tout et son contraire, je ne prends donc jamais rien comme étant sacro-saint dans ce domaine. Ps: J'ai déjà vu des études qui affirmaient que les oiseaux étaient jaloux que l'on chante mieux qu'eux ou que les joueurs avec des petits sexes étaient plus complexés que les autres dans les vestiaires. L'intuition est parfois plus forte que certaines études orientées. En l'occurrence, j'ai la certitude que la complémentarité d'un homme et d'une femme restent essentielles pour qu'une éducation saine puisse se dérouler (sauf exceptions, qui existent toujours bien entendu). Un couple homosexuel est dépourvu de cette complémentarité et se trouve, de fait, gravement désavantagé , de manière générale, comparativement à un couple hétérosexuel. De plus, cela ne constitue en rien un écueil irréductible face aux réserves que j'énonce quant à l'insanité d'une telle situation. En effet, d'un certain point de vue moral, la vie en couple entre personnes de même sexe, en plus d'être contre-nature, constitue un grave "dépravement" des moeurs. Donc certes, il se peut certainement que certains enfants puissent mieux vivre au sein d'un foyer homosexuel que du foyer hétérosexuel qui est le leur. Mais cela ne légitime en rien le fait que ce soit une bonne éventualité. De la même façon qu'une femme battue pourrait vivre en étant plus heureuse avec son père si elle s'avérait consentante pour cela. Ps: Si, malgré l'éducation que je serais susceptible de lui fournir, un de mes enfants s'avérait être homosexuel (au sens, pratiquant l'homosexualité) alors je le renierais assurément quand bien même il est très compliqué de préjuger de ce que l'on ferait dans une situation qui n'existe pas.
  20. C'est à ceux qui sont à l'origine de ces causes de tout faire pour les régler et pour le coup nous, Occidentaux, sommes en grande partie responsables de cela du fait de notre histoire récente avec ses pays (qui les a fortement retardés dans leur développement lorsque nous ne les saignions pas pour, nous, nous développer) et du système économique, à l'échelle mondiale, que nous avons érigé et qui les défavorise si fortement. Donc, au regard de ces éléments, il nous incombe d'oeuvrer, de concert avec les habitants de ces pays, afin que ces inégalités se résorbent et que les causes de ces émigrations finissent par être annihilées mais il sera impossible de continuer à se gaver (dans tous les sens du terme) pendant que ces gens là dépériront. Je constatais aujourd'hui un reportage à Bouaké en Côte-d'Ivoire où les gens manquent gravement d'eau pour boire, pour se laver, pour se soigner lors même que nous la gaspillons, ainsi que la nourriture, avec tant d'aisance. Est-ce normal que des humains aient accès à autant d'éléments vitaux pendant que d'autres n'ont accès à rien ? Sommes-nous meilleurs qu'eux ? plus méritants pour cela lors même que nous n'avons rien fait de particulier, individuellement parlant, pour en arriver à un tel déséquilibre en notre faveur.
  21. Je compare l'argument qui veut que parce qu'un cadre A pourrait être plus bénéfique qu'un cadre B dans un contexte précis, alors cela signifierait que le cadre A est nécessairement bon ou, tout du moins, égal au cadre B sur un plan général. Peut-être serais-je plus heureux si je m'adonnais à certaines pratiques que je m'interdis présentement du fait de mes croyances, peut-être serais-je plus heureux si je saisissais frauduleusement l'argent de mon collègue avec lequel je pourrais me faire plaisir, peut-être serais-je plus heureux si je couchais à droite à gauche, peut-être serais-je plus heureux si j'avais vécu dans telle ou telle autre famille mais en quoi cela moraliserait-il ces pratiques auxquelles je me refuse et rendrait-il égaux ces cadres de vie fantasmés que j'aurais pu éprouver à celui qui fut le mien durant mon enfance ? Enfin, je ne suis rien pour juger de la force, de la sincérité de l'amour entre deux individus quel que soit le lien qui les unit mais je sais que tous les amours ne sont pas légitimes et que de la même façon que celui entre un père et une fille ne l'est pas à nos yeux, celui entre deux personnes de même sexe ne l'est pas aux miens.
  22. C'est malheureusement ce qui caractérise bien souvent les dirigeants à l'échelle nationale. Un humaniste ne peut que très difficilement parvenir au pouvoir et s'y maintenir. Cela demande un certain degré de perversion, d'user de mensonges, de manipulations et cela un être sain ne saurait s'y résoudre afin de faire triompher ses idées qui seraient alors en contradiction avec ses agissements.
  23. En ce qui me concerne, je suis strictement opposé à l'avortement que je considère comme un infanticide sauf pour des cas précis (référencés dans ma religion) avant une certaine date depuis la fécondation (sauf dans un cas extrême là aussi). Quant à l'avortement de confort, consistant à tuer un être sous prétexte que l'on ne veut pas s'en embarrasser, quel crime odieux. Que celui qui couche accepte l'éventualité d'avoir un enfant ou ne couche pas s'il n'est pas prêt à faire face (autrement que par le meurtre du foetus) à un "imprévu" en terme de contraception. La liberté de tuer, que Dieu nous préserve de ce droit.
  24. De même beaucoup de femmes auraient pu être plus heureuses en étant mariées à leur père (plutôt qu'à des hommes violents) et pourtant cela ne "moralise" ni ne légitime "l'union incestueuse" (entre personnes majeures et consentantes).
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