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CAL26

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Tout ce qui a été posté par CAL26

  1. J'ai une tendance inverse en vieillissant et je pense (mais il me semble l'avoir déjà dit) qu'on est pas mal victimes de nous-même. Par contre faire des efforts pour contrôler ses défauts est le véritable objectif. Sinon, tu te trouves également de moins en moins d'excuses ?
  2. Et une association de quel type, dans quel but ?
  3. Que chacun donne une impression globale sur soi. On peut parler de ses défauts et de ses qualités passés et présentes mais sans rentrer dans le détail. Personnellement j'ai des défauts avec lesquels je vis mieux ou que j'ai un peu réussi à atténuer. Mais à la question que j'ai posée en créant le sujet, il n'est pas obligé de les détailler : si je n'en suis plus victime, s'ils ne me pourrissent pas la vie ni celle des autres, c'est l'essentiel.
  4. Dans "philosophie" avec mon autre pseudo j'avais créé il y a un peu moins d'un an un sujet sur la responsabilité dont le but final était le libre arbitre. L'évolution de la notion de responsabilité dans la culture est peut-être significatif pour celle du libre arbitre.
  5. Moi même je dois avouer que j'ai rarement tué mon père et peut-être plus rarement encore épousé ma mère.
  6. Attends, tu m'as interrogé et j'ai répondu sur ce qui m'a emmené à créer le sujet. Maintenant je suis d'accord pour en revenir au sujet lui-même qui reste les témoignages "autobiographiques".
  7. Non rien à voir. Notre cerveau est un organe qui fonctionne avec de l'infiniment petit mais, justement, nous sommes aussi des êtres sociaux, pas que des organismes.
  8. Les neurosciences ont récemment porté un coup de plus à la notion de libre arbitre en montrant que notre cerveau prenait les décisions quelques centaines de millisecondes avant qu'on ait l'impression de les prendre consciemment. Alors ça peut questionner la responsabilité individuelle. Mais si le libre arbitre n'est jamais absolu, est-ce que ça signifie qu'on doit être déresponsabilisés de tous nos actes ? J'ai peur que ce soit une source de chaos. Ainsi la société nous aide, en définissant des niveaux de responsabilités variables, à nous corriger, à "être meilleurs que nous, grâce aux autres" comme disait Albert Jacquard. Seuls, ça semble effectivement beaucoup plus compliqué de contrôler ses défauts (ceux qu'on identifie nous-même comme des défauts ou ceux qui emmerdent les autres quand ces autres veulent nous faire comprendre qu'il serait dans notre intérêt vital de les contrôler). Reste le fait que nous ne sommes pas tous égaux pour bénéficier de cette aide de la société.
  9. La question qui me taraude c'est le libre arbitre, l'identité, la responsabilité individuelle. Mon vrai sujet, ce n'est pas moi en l'occurrence mais je fais partie forcément du sujet.
  10. Mais depuis le début j'essayais d'envisager ce que ça pouvait donner une mite railleuse, qui viendrait bouffer nos vêtements juste pour nous narguer. J'ai brulé mon armoire figure toi !
  11. J'aurai beaucoup de difficulté à répondre à cette question et c'est notamment ce qui m'a incité à créer ce sujet, pour voir si je pourrai trouver quelques pistes à partir de ce que les autres voudraient bien en dire. C'est encore pour moi un questionnement philosophique autour du libre arbitre, entre ce que les événements font de nous et ce qu'on peut en faire, savoir si on est victimes ou pas de nous-même. Mais je pense avoir un peu changé, acquis un peu de stabilité émotionnelle (je dis bien un peu) et d'amour propre, moins de honte ou de culpabilité. Par contre je n'arrive pas à savoir si j'ai été sujet de ces petits changements ou l'objet. Sûrement les deux mais dans quelle mesure ?
  12. Sans indiscrétion, comment et en quoi ces rencontres t'ont rendue meilleure ? Il ironisait avec ses choix depuis ses quatre mois, mais peu importe ce n'est pas le sujet. Le sujet c'est une sorte d'appel à témoins, pour ceux qui veulent un peu se raconter.
  13. Tu trouves ce sujet inutile, n'y participe pas. Peut-être que d'autres forumeurs voudront s'exprimer.
  14. Oui mais ce n'est pas un qcm avec "oui-non". Le titre c'était juste une première présentation. Maintenant si tu veux en rester au "oui/non", tu t'es exprimé, merci.
  15. J'aurai peut-être dû préciser qu'il s'agissait surtout de se comparer avec qui on était quand on était jeune adulte (ne partons pas de l'état embryonnaire ou du bébé à 4 pattes, du gamin qui apprend à dire bonjour à la dame...) Et ma présentation précisait bien "si oui, dans quelle mesure, quel en a été le ou les moteurs". L'idée c'est de se demander ce que chacun a appris de ses expériences.
  16. Si chacun a une constante c'est d'être lui toute sa vie, on n'a pas d'autre choix (disons on n'a aucun choix là dessus). Mais avec l'âge, les épreuves ou les expériences de vie, on peut parfois estimer que tout en étant le même, on est un peu différent de qui l'on était. Pensez-vous avoir changé et dans quelle mesure ? Si oui, quel en a été le ou les moteurs ? Et avoir changé certes, mais en mieux ou en moins bien ?
  17. C'est parce que le mot sagesse a beaucoup de connotations : le terme peut signifier attitude modérée (être sage comme une image) ; la sagesse peut également être un idéal, telle la sagesse bouddhiste ; on peut utiliser le terme pour qualifier un jugement, une pensée très rationnelle ; mais il est aussi utilisé pour désigner un savoir et savoir-faire : le métier de sage-femme désigne bien un savoir et savoir-faire de la grossesse et de l'accouchement. Socrate d'ailleurs a utilisé le terme maïeutique synonyme d'accouchement pour désigner sa méthode de questionnement philosophique. Il y a dans toutes ces utilisations une notion de prudence (jusqu'à la maïeutique de Socrate qui repose sur le doute) jusqu'à une sorte de pureté dans le terme sagesse utilisé comme idéal. Mais pour que cette prudence ne devienne pas de l'immobilité, elle doit être associée à de la réflexion et du savoir.
  18. Présomption d'honnêteté à cette heure. Mais outre l'invraisemblance d'une telle aventure, ce qui étonne encore c'est que cette histoire aurait son aboutissement en 1956. Alors comment se fait-il qu'on en n'ait jamais entendu parler, tant ce serait édifiant ? Un enfant de 6 ans et l'autre de 4 ans, isolés de la civilisation, qui parviendraient à survivre pendant 7 ans en France, ce serait l'équivalent de "l'enfant sauvage" et donc un questionnement fondamental.
  19. C'est pas mal, il risque de faire beau. C'est mieux de finir au printemps ou en début d'été.
  20. Un forum généraliste a un large panel et c'est ce que j'aime. Un sujet profond, c'est donc un sujet qui n'est pas à la surface, qui ne propose pas de traiter de ce qui saute aux yeux (les faits divers, la météo, le collyre...) Les sujets les plus profonds sont ceux qui surprennent, nous secouent dans notre vision du monde par l'angle qu'ils proposent. C'est donc une vocation essentielle d'un forum comme celui ci. Pas nécessaire de se baser sur une grande érudition, mais simplement un questionnement qui nous apparaît nouveau suffit.
  21. Le bonheur ressenti par notre altruisme est une conséquence, pas un moteur ou un but. Quand on on a soulagé la souffrance ou sauvé une vie, on ressent une plénitude (je généralise mais je pense que c'est assez partagé) simplement parce qu'on a été très utile et actif.
  22. Pourtant, j'en rêve : Môman, tu devineras jamais ce que je suis entrain de faire !
  23. Non la couture n'est pas réservé au femmes et l'entretien d'un terrain réservé aux hommes. Là ce sont des stéréotypes sans valeur pratique.
  24. Oui elle peut-être exceptionnellement dans l'autre sens mais je parlais de majorité : majoritairement, globalement, généralement les hommes ont plus de force physique que les femmes. Mais je n'ai pas connaissance de métiers majoritairement féminins qui ne pourraient pas devenir majoritairement masculins.
  25. Encore une fois, t'as rien capté au film! @Pratika en guise de manifeste avertit que les femmes pourraient arrêter de faire des enfants mais @izbrizan a rappelé que faire des enfants nécessitait la contribution des hommes et des femmes. N'étant pas un monopole féminin, chacun pourra décider de stopper la survie de l'humanité.
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