Crève

Ma mère a eu la bonne idée de poser les énigmes à table on a plongé les convives dans la consternation !

Ouh la non elle assume complètement comme tout ce qu’elle dit. oh je ne pensais pas au changement de pseudo du fait de ne pas assumer ce qu'elle dit, je pensais : pour éviter des harceleurs éventuels.

Pourquoi ce changement de pseudo ? Peut-être qu'elle ne voulait pas que ça se sache ..

Je suis mauvais aussi en maths, mais j'ai quand même compris, mais je suis mauvais aussi en explications. En gros, dans les 27 donc les 3 * 9 y'a déjà 2 € pour le groom, donc 27 - 2 = 25 le prix de la chambre ; au 27, il manque non pas 2 du groom qui sont déjà comptés dedans, mais 3 des économies de chacun des 3 gars qui prennent la chambre pour aller à 30. Donc 27 + 3 = 30 . Tout retombe sur ses pattes. Tu vois plus clair @hanss avec mes explications ?

Ça y est ma mère s'arrache les cheveux avec ce nouveau problème !

Ça ne me dis si il y a une inimitié entre vous deux ?

@hanss pourquoi il y a le nom de Léna sous ton profil ? C'est ta grande copine ? Ou ton ennemie ?

t'as gagné une bouteille de champagne à boire avec ma mère et moi le 31! Tu lui expliqueras la solution de vive voix !

Non, française, mais les maths c'est pas son fort, par contre en orthographe elle touche sa bille ! Bon, un grand merci à tous, je n'ai plus qu'à montrer le forum à ma mère, et qu'elle se débrouille ! (elle veut que la bouteille vide coûte 1 et le vin 19) (elle bloque sur le "de plus").

Je vous soumets une énigme, tombée au jeu des 1000 €uros ; on s'arrache les cheveux, parce que je n'arrive pas expliquer à ma mère la solution que moi je comprends, mais que pour elle il en va autrement. Pour les matheux : Un vin coûte 19 €uros de plus que la bouteille. Le tout fait 20 €uros. Combien coûte la bouteille vide ?

The platform J'ai été séduit par cette allégorie du capitalisme : quand on est en haut, on pisse sur ceux d'en bas, et on envie ceux d'en haut. Par principe. La tour, avatar de l'échelle sociale, nous conditionne. Et ceux qui étaient nos roomates dans une vie, qui partageaient notre repas, deviennent par nécessité nos ennemis dans une autre vie, où l'on serait en bas. Plus on est en haut, plus on a le choix, parce qu'on est plus près du ciel, de Dieu, dispensateur du repas. La société dans laquelle nous vivons me fait vraiment cet effet. Le film tire les traits de la caricature du capitalisme, en bas, on a les miettes. A l'instar de la cité de Zalem, cité flottante dans le ciel dans Gunnm qui rejette ses déchets sur Terre. J'ai trouvé ce long métrage bien plus explicite qu'un Snowpiercer [le film], qui ce me semble avait le même projet : un train, et plus on avance vers l'avant, mieux sont les conditions de vie. Dépeindre l'échelle sociale. Le mec qu'était ton ami quand yavait à manger, deviens ton ennemi quand les ressources se raréfient. Je trouve que ça illustre bien que l'Homme est un loup pour l'Homme. Nous sommes des crabes dans un panier de crabes. Après voilà comment mon frère m'a aidé à comprendre la fin, qui laisse à penser que le film est plus fin qu'il n'en a l'air : L'Homme arrive en bas. Mais en fait il est mort. Il n'y a pas de petite fille, c'est seulement son imagination. Et le message initial, à savoir la pana cotta, est vraiment arrivé en haut, untouched. La petite fille n'a pas mangé la pana cotta, puisque de toute façon il n'y a pas de petite fille. D'où la scène du maître d'hôtel qui engueule ses cuisiniers, parce que la pana cotta n'a pas été mangée, elle est remontée : message qui laisse à penser que même si on envoie un message à notre dispensateur de bienfaits, Dieu, tout en haut, celui-ci ne nous comprendrait pas...

Je fais le malin, mais en fait pas tant que ça, je me disais, tiens, la période est propice pour lire une histoire de virus, je me suis jeté sur le King, mais finalement, lire Le Fléau augmente mon stress par rapport à notre situation Covid, tellement c'est ressemblant : un laboratoire P4 qu'a dérapé, et pouf, toute la planète infestée. Le virus s'échappe. Et c'est les voies respiratoires qui sont atteintes, en plus. Par contre, j'ai bien aimé le personnage du sociologue dans son histoire, il apporte un recul philosophique par rapport à l'histoire.

C'est tout le propos d'un roman comme La Planète des singes, Pierre Boulle.

48 heures sont écoulées. qu'en est-il de ce Goncourt ?

J'en ai maté 66 épisodes ! Je saisis pas très bien ce que vous avez compris du paradoxe de Fermi : il énonce, que, si effectivement la vie est partout dans l'univers, pourquoi nous n'avons pas eu de visite, et/ou nous ne voyons rien ? Pour moi, le paradoxe ne répond pas à la question, il la soulève. Après, les réponses peuvent être nombreuses, et je t'invite à visionner, mais j'invite surtout@riad** à visionner : les vidéos d'astronogeek qui a listé 12 raisons plausibles, parmi une centaine de théories. Pour en revenir à votre réaction, j'ai l'impression que vous avez compris du paradoxe, que sa question sous-entend : "puisque nous n'avons pas été visité, c'est que nous sommes seuls". Or, pour moi, il n'affirme rien, il pose la question, "Pourquoi n'avons nous pas été visité ?" ya rien de sous-entendu là'dans, ni qu'on soit seul, ni qu'on ne le soit pas. Tout est ouvert.

et tout à fait maîtrisé, je vous propose ainsi qu'à @Gouderien , une brochette d'autrices françaises qui ont oeuvré dans le fantastique : Mélanie Fazi - Serpentine, Recueil de nouvelles fantastiques, ma préférée est Reprendre la route, où des automobilistes se retrouvent à pied, et découvrent peu à peu qu'ils sont morts. Catherine Dufour - Entends la nuit, Où une jeune diplômée se retrouve à travailler pour une boîte parisienne, et la relation qu'elle va avoir avec son étrange supérieur. Christelle Dabos - La Passe-miroir : dans un monde fantastique, Ophélie a le pouvoir de voyager à travers les miroirs et de lire le passé des objets en les touchant. Jeunesse. Nos femmes françaises sont tout à fait capables de maîtriser le fantastique !

Le Lion de Joseph Kessel. Fabuleux roman, mettant en scène deux amants : une petite fille Patricia et un lion majestueux et musculeux, qui se fréquentent depuis leur plus tendre enfance ; c'est un roman poignant, merveilleusement bien écrit, à lire dans notre monde où nous sommes de plus en plus coupés de la nature, pour retrouver la pureté du règne animal, sa simplicité. L'action se déroule au Kenya, avec pour décors de fond de brousse le Kilimandjaro et ses neiges éternelles, mais aussi la description du mode de vie des Masaï. La fin est tragique. Le livre n'est pas sans rappeler le film Mia et le Lion blanc, ou plutôt l'inverse : le film n'est pas sans rappeler le livre de J. Kessel.

Si vous ne deviez écouter plus qu'une seule chanson pour le reste de votre vie, et que vous n'ayez plus le choix qu'entre Aya Nakamura et Wejdene (tu hors de ma vue !) laquelle choisiriez-vous ?

ça ressemble à quoi un enfant de 10 ans qui se prendrait pour Philip K. Dick ?

Kafka sur le rivage, et la trilogie 1Q84.

J'adore cet auteur, mystérieux, j'ai lu quatre livres de lui.

Merveilleuse découverte en brocante que ce recueil de short short nouvelles de Fredric Brown, avec un ton mordant, sarcastique, où l'humour grinçant le dispute à l'étonnement.