Crève

c'est celles qui en aspirent le plus, qui en régurgitent le moins ! (bon app')

moi j'aime quand elle aspire !

vit-on dignement au SMIC ? ça dépend dans quelle ville.

on ne sait pas de quoi sera fait demain ; on ne peut dire "je préfère vivre l'époque de demain plutôt que celle d'aujourd'hui", de même qu'avant ils ne le pouvaient pas non plus ; certes c'était dur, le travail physique, l'inconfort de vivre sans électricité, etc. mais ils n'avaient pas d'éléments de comparaison avec le futur. c'est seulement après coup qu'on peut dire "ah je préfère aujourd'hui à avant". tu peux pas pleurer sur ta condition de ne pas avoir d'électricité, si tu ne sais même pas ce qu'est l'électricité. donc ils étaient heureux dans leur "inconfort". alors qu'aujourd'hui c'est le règne de la dépression, du vide existentiel.

première erreur ! le mâle ne doit pas laisser son numéro, car la femelle ne rappellera pas dans 99 % des cas, consciente que c'est à l'homme de faire les premiers pas ; hors-là, en laissant son numéro, c'est comme s'il lui disait "vas-y, fais les premiers pas, appelle" ; donc il ne doit pas laisser son numéro à lui : il doit prendre le sien, à elle. toujours.

souvent, les caissières, ya leur nom sur un badge ; "Christelle", ça pourrait faire une entrée en matière (à défaut d'entrer dans la matière), "c'est un joli prénom, Christelle !" que tu pourrais lui dire, inévitablement, elle dira "merci !" toute rougissante, tu pourras alors enchaîner "moi c'est Robert", et ainsi de suite, tu enchaînes la conversation..

t'as essayé de draguer les caissières ?

je saisis pas. tu l'es, vierge, ou pas ? puisque en page 1, tu dis envisager les prostituées, c'est donc pour te dépuceler, non ? pas pour avoir une vie sentimentale avec une prostituée tu sais pas pourquoi on pense ça tout d'suite, que t'es puceau ? bah parce que 2 pages avant, tu dis envisager la prostituée. t'envisages pas la prostituée comme plan sentimental, si ?

.

Je viens de terminer ce quiz. Mon score 71/100 Mon temps 64 secondes  

et vous, vous y pouvez quelque chose ?

je me reconnais difficilement dans la revendication du "pouvoir d'achat", comme si consommer, acheter, était une fin existentielle en soi ; comme si l'acte d'achat était ce qui nous rendrait heureux. nous vivons dans une société malade, boulimique. il y a plus inquiétant qu'un pouvoir d'achat limité : la solitude, l'isolement, la misère sexuelle.

l'hyperclasse mondialisée, nomades apatrides ?

moi aussi je me sens seul.

un bon ennemi est le ciment d'une société équilibrée.

je note que tu es zoophile. (au reste, je ne me décourage pas si le jeu en vaut la chandelle)

friponne ! toi si j't'attrape, avec ton beau cul (tu t'en vantes), t'auras du mal à courir - c'est pas le pied que je vais estropier !