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Tout ce qui a été posté par Crève
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On reprend l'équipe de Scorcese pour un film sur le milieu mafieux ; les acteurs on vieilli, ça se sent. Mais la réalisation est toujours impeccable, la patte de Scorcese toujours présente.
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Pour les amateurs de suspense, de disparitions inquiétantes, de spectre, de maison hantée. Mais derrière cette façade de roman d'épouvante, se cache une critique sociale, un cri des désespérés, des déclassés sociaux qui peinent à se maintenir sur le marché du travail, qui se font bouler d'un emploi à un autre comme un numéro qu'on tire au sort, qui frôle la rue, la misère extrême. En filigrane de l'épouvante, c'est le ressenti humain de celle qui peine à se maintenir à un travail, qui va au gré du vent, que le marché du travail à enterré avec ses procédures qui te font comprendre que t'es chaque jour un peu plus en marge de la société, jusqu'à crever de froid et dormir dans ta bagnole. La toile de fond, c'est l'épouvante, mais le vrai propos, c'est une critique sociale. "Mais les DRH qui l'avaient licenciée en un quart d'heure, celles qui n'avaient pas renouvelé son contrat, les agents qui avaient, d'un clic de souris, suspendu ses droits pour un formulaire mal rempli [...] tous ces gens-là, qui la condamnait à la mort sociale, la mort civile, la mort de faim, la mort de froid, la mort dehors, la mort de désespoir, l'avaient définitivement amarinée à la houle incessante, insondable, de la cruauté humaine."
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mouais, ça m'a pas l'air totalement neuf comme idée, Simone en faisait déjà état : "On ne naît pas femme, on le devient", en fait ces jeunes veulent juste redevenir ce qu'ils/elles étaient avant d'être il ou elle.
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Je me relis pour la cinquième fois :
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han l'Histoire populaire des états-unis je veux le lire depuis longtemps , il est cité par Matt Damon dans Will Hunting. @January
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Cher @Mórrígan , j'aime bien votre nouvel avatar, on dirait une guerrière habillée de cuir.
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Le temps nécessaire pour corriger les bugs et améliorer le design. Pourtant le chef-d'oeuvre s'accouple avec son brouillon.. 12 h 45 sur France Inter. C'est devenu un rituel pour nous, avec ma mère on l'écoute tous les jours de la semaine.
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Ils empochent 1000 €uros s'ils sont couronnés de succès au Super, soit la huitième question sur un parcours sans fautes. C'est donc un reward naturellement plus rémunéré que celui qui se contente de poser une question au jeu.
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S'ils sèchent sur ta question, tu empoches entre 15 et 45 €uros.
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It Depends . Si les candidats y répondent avec succès.
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J'ai envoyé une question au jeu des 1000 €uros, on verra si elle sera posée !
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Ma mère a eu la bonne idée de poser les énigmes à table on a plongé les convives dans la consternation !
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Ouh la non elle assume complètement comme tout ce qu’elle dit. oh je ne pensais pas au changement de pseudo du fait de ne pas assumer ce qu'elle dit, je pensais : pour éviter des harceleurs éventuels.
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Pourquoi ce changement de pseudo ? Peut-être qu'elle ne voulait pas que ça se sache ..
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Je suis mauvais aussi en maths, mais j'ai quand même compris, mais je suis mauvais aussi en explications. En gros, dans les 27 donc les 3 * 9 y'a déjà 2 € pour le groom, donc 27 - 2 = 25 le prix de la chambre ; au 27, il manque non pas 2 du groom qui sont déjà comptés dedans, mais 3 des économies de chacun des 3 gars qui prennent la chambre pour aller à 30. Donc 27 + 3 = 30 . Tout retombe sur ses pattes. Tu vois plus clair @hanss avec mes explications ?
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Ça y est ma mère s'arrache les cheveux avec ce nouveau problème !
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Ça ne me dis si il y a une inimitié entre vous deux ?
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@hanss pourquoi il y a le nom de Léna sous ton profil ? C'est ta grande copine ? Ou ton ennemie ?
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t'as gagné une bouteille de champagne à boire avec ma mère et moi le 31! Tu lui expliqueras la solution de vive voix !
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Non, française, mais les maths c'est pas son fort, par contre en orthographe elle touche sa bille ! Bon, un grand merci à tous, je n'ai plus qu'à montrer le forum à ma mère, et qu'elle se débrouille ! (elle veut que la bouteille vide coûte 1 et le vin 19) (elle bloque sur le "de plus").
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Je vous soumets une énigme, tombée au jeu des 1000 €uros ; on s'arrache les cheveux, parce que je n'arrive pas expliquer à ma mère la solution que moi je comprends, mais que pour elle il en va autrement. Pour les matheux : Un vin coûte 19 €uros de plus que la bouteille. Le tout fait 20 €uros. Combien coûte la bouteille vide ?
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The platform J'ai été séduit par cette allégorie du capitalisme : quand on est en haut, on pisse sur ceux d'en bas, et on envie ceux d'en haut. Par principe. La tour, avatar de l'échelle sociale, nous conditionne. Et ceux qui étaient nos roomates dans une vie, qui partageaient notre repas, deviennent par nécessité nos ennemis dans une autre vie, où l'on serait en bas. Plus on est en haut, plus on a le choix, parce qu'on est plus près du ciel, de Dieu, dispensateur du repas. La société dans laquelle nous vivons me fait vraiment cet effet. Le film tire les traits de la caricature du capitalisme, en bas, on a les miettes. A l'instar de la cité de Zalem, cité flottante dans le ciel dans Gunnm qui rejette ses déchets sur Terre. J'ai trouvé ce long métrage bien plus explicite qu'un Snowpiercer [le film], qui ce me semble avait le même projet : un train, et plus on avance vers l'avant, mieux sont les conditions de vie. Dépeindre l'échelle sociale. Le mec qu'était ton ami quand yavait à manger, deviens ton ennemi quand les ressources se raréfient. Je trouve que ça illustre bien que l'Homme est un loup pour l'Homme. Nous sommes des crabes dans un panier de crabes. Après voilà comment mon frère m'a aidé à comprendre la fin, qui laisse à penser que le film est plus fin qu'il n'en a l'air : L'Homme arrive en bas. Mais en fait il est mort. Il n'y a pas de petite fille, c'est seulement son imagination. Et le message initial, à savoir la pana cotta, est vraiment arrivé en haut, untouched. La petite fille n'a pas mangé la pana cotta, puisque de toute façon il n'y a pas de petite fille. D'où la scène du maître d'hôtel qui engueule ses cuisiniers, parce que la pana cotta n'a pas été mangée, elle est remontée : message qui laisse à penser que même si on envoie un message à notre dispensateur de bienfaits, Dieu, tout en haut, celui-ci ne nous comprendrait pas...
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Je fais le malin, mais en fait pas tant que ça, je me disais, tiens, la période est propice pour lire une histoire de virus, je me suis jeté sur le King, mais finalement, lire Le Fléau augmente mon stress par rapport à notre situation Covid, tellement c'est ressemblant : un laboratoire P4 qu'a dérapé, et pouf, toute la planète infestée. Le virus s'échappe. Et c'est les voies respiratoires qui sont atteintes, en plus. Par contre, j'ai bien aimé le personnage du sociologue dans son histoire, il apporte un recul philosophique par rapport à l'histoire.
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C'est tout le propos d'un roman comme La Planète des singes, Pierre Boulle.
