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satinvelours

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  1. satinvelours

    Recherches

    Il paraît difficile de passer outre le fonctionnement du cerveau lorsque nous nous mettons à penser ou à essayer de penser le monde. Aujourd’hui nous tentons de sortir de la dualité cerveau-esprit en partant du principe que, sans cerveau il n’y a pas d’esprit. C’est un champ de recherches. Cela n’empêche personne de penser la dualité, qu’il y a un esprit séparé du cerveau ou de la matière. Rien ne dit d’ailleurs que je n’ai pas parfois le sentiment qu’il existe un esprit séparé de mon cerveau. Mais il s’agit ici d’aller, au moins en ce qui concerne l’individu, jusqu’au bout de l’hypothèse : sans cerveau il n’y a pas d’esprit, et aussi jusqu’au bout de cette autre hypothèse qui découle de la première : le cerveau engendre l’esprit. Je préfère « engendre » à « produit » ce qui évite de verser dans l’imaginaire de la manufacture ( de l’usine). Si le cerveau engendre l’esprit ( en continu bien sûr) alors il est impossible de dire : mon cerveau me trompe, mon cerveau fait des erreurs, etc. un tel langage laissant supposer qu’il existe un moi, un observateur, un « je » capable de « voir » le cerveau en toute indépendance dudit cerveau. Ce qui est impossible si nous partons de l’hypothèse que tout esprit ( je, moi, soi, etc) participe du cerveau. Je ne peux pas dire, concernant par exemple les biais cognitifs, mon cerveau pense mal, je peux dire : le cerveau a la capacité de constater à partir de ses propres fonctions, que d’autres fonctions cérébrales au sein de lui-même ne fonctionnent pas comme elles pourraient pourtant fonctionner. Autrement dit : quand je pense : moi ou je, c’est encore le cerveau qui pense. Il est nécessaire de tenir ses hypothèses originelles ou alors il faut dire stop et en revenir à la dualité. Donc tous les discours ( des scientifiques et des athées) qui disent : mon cerveau pense comme ça, mais moi, « je » vais le « corriger » font des discours imbéciles car ils posent l’existence d’un « je » indépendant du cerveau, ce qui est contraire à leur hypothèse originelle. Poser comme hypothèse que le cerveau engendre l’esprit a des conséquences qui ne me semblent pas avoir été encore étudiées.
  2. satinvelours

    Limites de l'univers.

    J’aime bien l’idée que l’Univers pourrait être entouré par une atmosphère. Où l’on voit les limites du cerveau humain. Il y a des réalités étonnamment cernées par les mathématiques ( pourtant conçues par le cerveau) que le cerveau ne peut pourtant pas concevoir. Il y a un gap entre mathématiques et conception. Étonnant. Et en plus nous ne savons toujours pas si l’univers est infini ou pas. Si l’univers est infini comment pourrait il encore croître ? Et pourtant il est en expansion nous disent les mathématiques. Étonnant, non ?
  3. satinvelours

    Recherches

    En fait il est absolument impossible de construire une représentation qui rende compte du monde social et de son évolution. J’aurais beau étudier toutes les histoires de tous les pays, tous les rapports sociaux existants, tous les philosophes de toutes les écoles etc. je ne trouverai rien qui me donne quelque chose qui puisse ressembler au sens de l’histoire ( sinon peut être un sens à court terme). Les hommes ne pilotent pas leur devenir, ils l’accompagnent tout au plus. Le capitaine peut toujours donner un objectif il se retrouve toujours in fine dans un lieu qu’il n’a pas même imaginé. A peine se retrouve t il là qu’il doit reconsidérer toutes ses représentations, redéfinir un objectif…pour se retrouver à nouveau…ailleurs. Tout juste donne t il l’impulsion et l’énergie du mouvement. Même l’imagination est impuissante à déterminer l’avenir. Mon énergie fait avancer le monde, comme des milliards d’autres énergies, mais la résultante est imprévisible. Du moins dans sa perspective générale. Localement il est possible d’agir avec une certaine anticipation. Localement seulement. Plus nous réduisons notre champ d’action plus nous avons quelque chance de concevoir de bonnes anticipations. Sauf bien sûr si le ciel finit par nous tomber sur la tête. Vivre dans une grotte, sur son petit lopin de terre, peut engendrer une certaine stabilité. À la limite, la momie, dans son cercueil, s’en sort bien.
  4. Il a exposé le cours de mécanique de terminales s’agissant d’un mouvement RECTILIGNE uniforme. Son exposé, dans cette hypothèse est juste. Mais il ne voit pas que le mouvement est curviligne. Il faudrait prendre un autre exemple. Par exemple un disque en mouvement : un point sur le bord du disque va plus vite qu’un point à l’intérieur du disque. Quelque soit le repère utilisé, le choix du repère n’influe pas sur le phénomène observé dans le repère formé par le mât et le pont. . La goutte ne tombera pas au pied du mat quelque soit le repère utilisé. Il faudrait peut être prendre un modèle plus simple pour se faire comprendre. J’ai pourtant fourni une photocopie où il est expliqué que Reich a fait l’expérience en 1833, puis Hall en 1902 puis Flammarion en 1903 ( les calculs théoriques, mesurant la distance entre le pied du mât ( ou de l’objet tenant le rôle du mât) et le point de chute de l’objet lâché du haut du mât ( ou de l’objet tenant le rôle du mât) ayant été faits par Gauss et Laplace). Peut être que ce document joint n’a pas été lu.
  5. satinvelours

    Recherches

    S’agissant des représentations construites de manière à conduire sa vie au quotidien je dois constater qu’il est devenu impossible d’élaborer des représentations qui englobent tout le monde social. Il est même remarquable qu’en l’espace de 60 ans toutes les anciennes représentations globalisantes ont disparu. Ces représentations conduisaient l’action individuelle dans un milieu perçu comme représentant l’entière collectivité référente, la société française. Tout a explosé. Il y a encore 60 ans les idées se développaient dans l’ensemble social. Le catholicisme en gros côtoyait le communisme, chacune de ces représentations ayant le souci du devenir de la communauté française. Chacun développait sa vie personnelle dans l’une de ces références intellectuelles ou spirituelles. Il n’y a plus aujourd’hui que des débris, des personnes qui vivent dans des débris idéologiques ou religieux, débris qui n’emportent plus dans leurs perspectives l’entière communauté. Il est devenu impossible de penser la société française dans son ensemble. Cette impossibilité conduit beaucoup de personnes à limiter leur champ de vision mentale. À le réduire à leur travail, au sexe, au loisir, bref aux activités nécessaires. Quand il est devenu impossible de voir à long terme il reste à marcher pas à pas en s’agrippant aux désirs et besoins élémentaires. Il ne me semble pas que ce soit l’individualisme qui provoque cette destruction des visions globalisantes, il me semble que c’est le contraire. Ces visions globalisantes étaient adaptées aux mondes d’avant. Mais l’évolution du monde conduite surtout par les réalités économiques les a brisées. Et nul ne parvient aujourd’hui à penser, positivement, de nouvelles représentations qui emportent tout le monde. Il reste bien sûr le libéralisme ( pour ne pas dire le capitalisme). Mais cette idéologie en fait ne guide qu’une petite élite, celle qui crée les entreprises, les dirigent.
  6. @azad2B Ci-joint extraits du livre de Jean-Marie Vigoureux, "la quête d'Einstein".
  7. D’accord, je vous l’envoie demain ce texte. Il est possible après tout que nous ne nous comprenions pas. Bonne soirée.
  8. Vous vous enferrez. Il ne s’agit pas de force concernant la goutte. Il s’agit de sa vitesse. Elle a une vitesse quand elle est lâchée. Et cette vitesse est plus élevée que celle du bas du mât. Je ne sais pas pourquoi vous voulez à tout prix avoir raison. Je vais vous faire une photocopie du livre d’un physicien qui traite ce problème. Comme cela vous pourrez lui écrire. Vous ne cherchez pas a comprendre le problème vous cherchez à tout prix à contredire même quand cela tourne à l’absurde. Je vous envoie une photocopie de l’étude précitée.
  9. Zemmour s’enlise…Laissons le s’enliser. Je suis curieux de voir jusqu’où il va s’enfoncer. De là à porter plainte contre lui, c’est ridicule. Finlkielkraut en son temps, alors qu’il était en Israël, avait aussi critiqué la composition de l’équipe de France, il avait dit que le monde se moquait de nous et de notre équipe deNoirs. Les obsessions de certains Français juifs vis à vis des Noirs ( et des Arabes) me font rire. Leur trouille provoque mon hilarement. Qu’ils se rassurent les bébés on va les protéger. Mon épouse, juive, marocaine ( mais de culture kabbaliste) m’a assuré qu’elle s’interposerait entre les méchants Noirs et Arabes et les rachitiques Zemmour et Finkielkraut. Je me dis qu’elle est trop dévouée.
  10. Oui je pense qu’il conteste la seconde hypothèse. En fait je n’en sais rien : attendons sa réponse.
  11. Je ne crois pas que ce soit cela que @azad2Bconteste. Je pense qu’il agrée au fait que la goutte tombe légèrement à l’Est si la terre tourne. Même si le navire ne bouge pas. Je ne vois pas comment il pourrait contester cela vu toutes les expériences qui ont été faites à ce sujet. Je pense qu’il conteste ma seconde hypothèse de pensée. Enfin, bon, à lui de nous éclairer sur ce sujet.
  12. Je propose de raisonner lentement et sur des schémas idéaux simples pour commencer. Prenons une sphère et un objet qui se déplace à partir d’un point par exemple situé sur un grand cercle ( sur l’équateur). Cet objet se déplace dans un plan perpendiculaire à un axe de la sphère ( on imagine la sphère, un axe, un plan perpendiculaire à l’axe, plan que nous allons supposer contenir un grand cercle ( pour simplifier et mieux voir le sujet)). Ce point se déplace à la surface de la sphère. À partir de ce point, dans le même plan, sur une droite qui va du point d’intersection du plan avec l’axe jusqu’au point susmentionné, au delà de ce point, très au delà, pour simplifier, plaçons un autre point. Supposons maintenant que cette droite tourne dans le plan autour de l’axe ( simplifions encore et supposons une vitesse constante). La vitesse angulaire est bien sûr identique pour les deux points considérés, mais la vitesse tangentielle n’est pas la même. Le point haut se déplace plus vite que le point bas. Est ce que nous sommes d’accord jusque là ?
  13. Il n’y a pas besoin d’aller si loin dans la complexité. Ce type de question peut être soumis à un élève de terminales.
  14. À mon avis non. La goutte ne tomberait pas à la verticale, elle ne tomberait pas au niveau du bas du mat. Si la Terre est immobile, et que le bateau se déplace à vitesse constante et droit devant lui, il est possible de figurer ce mouvement par un cercle, le centre du cercle étant le centre de la Terre et la circonférence figurant le déplacement du bateau. Il est possible d’imaginer deux cercles, l’un passant par le haut du mat ( rayon R1) l’autre par le bas du mat ( rayon R0). La vitesse du bateau étant constante les vitesses angulaires relatives aux deux cercles sont égales. Dans ce cas la vitesse du haut du mat est égale à R1 multipliée par w ( vitesse angulaire). Et la vitesse du bas du mat est R0 multiplié par w. Comme R1 est plus grand que R0 la vitesse du haut du mat est supérieure à celle du bas. Quand on lâche la goutte celle ci n’est plus soumise qu’à la force de gravitation ( nous excluons tout autre force issue par exemple des mouvements de l’air). Que se passe t’il alors ? La goutte tombe vers le centre de la terre mais elle garde sa vitesse issue de la rotation préalable ( principe d’inertie). Si je décompose le mouvement de la goutte il y a deux mouvements : le mouvement vertical mais aussi le mouvement horizontal. Où tombe t elle finalement ? À mon avis non pas au pied du mat ( si cela était alors seul le mouvement vertical agirait sur la goutte) mais elle tomberait devant le bas du mat, du fait de la conservation de son mouvement horizontal, mouvement horizontal déterminé par une vitesse plus élevée que celle du bas du mat ( situé sur un cercle de rayon inférieur, donc animé par une vitesse inférieure).
  15. Je n’oublie pas l’expérience de Foucault, mais ce n’était pas ma question : est ce que, même si la terre ne tournait pas, la goutte tomberait à la verticale ? ( si le bateau bien entendu se déplace droit devant sur l’océan). À mon avis non. Vous ne répondez pas à ma question. Qu’est ce que vous en pensez ? L’expérience de Foucault en l’occurrence n’aide pas, puisque cette expérience tient bien sûr compte du mouvement circulaire de la terre. C’était juste une expérience de pensée de ma part.
  16. Ce sujet me conduit à me poser une question que je ne me suis jamais posée à ce jour. Supposons que la terre ne tourne pas. Logiquement, même dans ce cas, lorsque le bateau est en mouvement à vitesse constante, ( il faut qu’il soit en mouvement quand même par rapport à la terre) et qu’il aille bien entendu droit devant, logiquement la trajectoire de la chute de la goutte d’eau ne devrait pas non plus être verticale. Encore que, dans ce cas, mesurer l’écart entre la verticale et le point de chute doit probablement être impossible. À voir. Sinon, bien sûr, le référentiel constitué par le bateau n’est pas un référentiel galiléen, car un référentiel galiléen est soit au repos, soit en mouvement RECTILIGNE avec vitesse constante. Le bateau n’observe pas un mouvement rectiligne, il est condamné à tourner à cause de la rotondité de la terre.
  17. Ce n’est pas une chute verticale qui est observée même si, à partir d’une chute de 1 mètre il est très difficile de mesurer l’écart entre la verticale et l’oblique suivie par la goutte. Le point de chute de la goutte sera légèrement à l’Est du strict point d’impact vertical. Si nous imaginons une chute à partir d’un point beaucoup plus haut, par exemple le sommet d’un mât, le temps étant considéré comme assez calme pour ne pas agir sur la trajectoire de la goutte, il sera possible de mieux mesurer cet écart entre la trajectoire de la goutte et la stricte verticale. Cette différence est due à la rotation de la terre. Le point haut de la chute, le sommet du mat par exemple se déplace plus vite que son point bas, donc la vitesse acquise par la goutte est plus élevée que celle du point bas du mat, et la goutte tombera légèrement plus à l’Est que le bas du mat. Ce sont en outre les lois de la mécanique seulement que l’on estimait inchangées dans des référentiels galiléens et nul ne savait si les autres lois de la physique restaient inchangées. C’est Einstein qui étendit le principe de relativité à toutes les lois de la physique.
  18. satinvelours

    Recherches

    En définitive nous en venons toujours à tenter de construire, pour soi, une représentation du monde qui soit enfin stable. « Le monde est ma représentation ». Schopenhauer complète tout de même par :« Le monde est ma volonté » La difficulté aujourd’hui est qu’il paraît impossible, ou très difficile, de stabiliser notre représentation du monde. Si je prends par exemple le cadre global d’une telle représentation : comment me représenter l’univers ? Je ne m’en sors pas. L’univers a t il une origine, une fin ? Nous sommes loin du monde antique et de sa sphère des fixes ou même de la vision qui prévalait encore au début du XX siècle avec un univers stable. Nous connaissons tous l’histoire d’Einstein qui trafique sa constante pour que soit sauvegardée, dans son esprit, sa représentation d’un univers stable ( ni origine, ni fin). Bref personne aujourd’hui ne peut dire grand chose de l’origine de l’Univers, s’il y en a une, ni de sa fin ( s’il y en a une). Bien sûr il y a des scientifiques convaincus, qui nous disent : c’est foutu, tout meurt à la fin. Ce sont nos nouveaux prophètes. Déjà dans la Torah et dans la Bible judéenne, les prophètes annonçaient la fin du monde. Idem chez les chrétiens avec leur Saint Jean et l’Apocalypse. Encore que nos scientifiques en imaginant un espace qui ne cesse plus jamais d’enfler ne prédisent pas la fin de l’univers ( il reste l’espace) mais la fin du vivant. Bon ne demandons pas aux scientifiques d’être des scientifiques. Toujours est il que pour construire une représentation du monde il faut renoncer à nous représenter l’univers. Il faut restreindre notre champ de vision. De toutes façons ça tombe bien les philosophes nous disent que ce n’est pas possible de nous représenter l’univers parce que nous sommes à l’intérieur ( note : il faudrait être à l’extérieur pour nous le représenter). Donc il est nécessaire de restreindre le champ d’action de notre volonté ( le monde est aussi notre volonté, et là, notre volonté en prend un coup dans son désir de tout embrasser). Le mieux est donc de restreindre notre champ de vision au système solaire ( éventuellement étendu aux exo-planètes). Il est vrai que ce système va aussi disparaître mais en étendant notre vision aux exo-planètes il est possible de nous imaginer migrant dans une exo-planète. Il est possible de se contenter de ce bricolage, après tout ce qui importe c’est le temps à pas trop long terme. Une fois bricolée cette représentation globale de l’univers qui permet tout de même d’imaginer une fuite possible en cas de destruction du système solaire, à quoi maintenant s’atteler pour remplir notre représentation dans ses détails ? Nous passons à la vie sur Terre.
  19. On utilise même des mots latins et grecs. Foutus colonisateurs par delà la mort ces Romains. Il y a même des pays où il est permis d’exprimer son racisme, tant qu’il s’agit d’une simple expression, et non d’une propagande.
  20. satinvelours

    Recherches

    Oui bien sûr, les évolutions techniques transforment nos façons de vivre, transforment nos rapports sociaux, et nos rapports avec notre environnement. Mais je n’ai pas le même « caractère » que vous. Vous pensez que l’analyse détaillée de ces nouvelles conditions de vie engendrée par le développement technique va vous permettre de forger une nouvelle pensée. Je ne crois pas du tout à cette démarche. Analyser les développements techniques et leurs conséquences sur notre humanité pourrait prendre bien plus de temps que le temps d’une vie. Je suis limité par ma propre mort, acculé donc, je dois suivre une autre voix. Ensuite toujours en raison de mon « caractère » je passe certes du temps à « analyser » les réalités sociales actuelles influencées par le développement technique ( en fait je vis moi-même ces nouvelles conditions de vie, je ne fais pas que les analyser), mais assez rapidement je passe à l’effort de synthèse, à un effort tendant à concevoir de nouvelles représentations à partir de mes expériences et analyses. Je pense que cette différence comportementale entre vous (vous analysez, vous tentez de construire à partir de vos analyses et de votre sens de la rationalité) et moi ( je tente assez vite à « concevoir », à m’appuyer sur une inspiration) tient à la valeur que nous donnons respectivement à la conscience et à l’inconscient. Le pilote pour vous est la conscience, pour moi c’est l’inconscient. Je pense que c’est l’inconscient qui pilote. Ainsi je fais plus confiance à l’inspiration qu’au raisonnement analytique. Je suis plus passionné par le global que par le détail. Par le holisme comme on dit savamment que par le réductionnisme ( comme on dit aussi savamment). Bien sûr je sacrifie aussi à l’analyse mais assez vite je passe au global, à la tentative d’une perception globale, dans laquelle l’inconscient est le maître d’œuvre. Il arrive que des individus ne parviennent pas à s’entendre, non pas à partir d’une mauvaise volonté hypothétique mais en raison de différences d’attitudes fondamentales devant la vie, devant le réel.
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