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satinvelours

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Tout ce qui a été posté par satinvelours

  1. C’est marrant quand même cette obsession anti woke. Parce que, avec notre sympathique Norbert, ça se termine tout le temps entre une opposition entre femmes et hommes. Il y a les méchantes femmes woke et les gentils hommes Norbert.
  2. Identifier Nupes et wokisme c’est confondre interprétation et réalité. Je pense que vous êtes woke.
  3. La trajectoire d’une balle lâchée dans un train, en mouvement rectiligne uniforme, verticale pour l’homme dans le train, parabolique pour l’observateur sur le quai, hors du train, n’est pas une métaphore. Il y a bien deux trajectoires différentes. Le réflexe cérébral de penser l’espace comme un absolu se rebelle contre ça. Comment peut il y avoir deux trajectoires différentes pour un même objet : la balle ? Bien sûr cette réflexion est absurde mais le cerveau veut l’unité, l’absolu de l’espace. Il faut sortir du réflexe cérébral et s’accrocher au fait que nous avons deux référentiels différents. Mais là nous sommes dans la réflexion. Le cerveau peut réfléchir sur lui même et se dégager d’automatismes historiques. Mais c’est difficile. Sans cesse il reviendra à cet automatisme : l’espace est un absolu qui ne peut pas supporter qu’un même événement puisse avoir deux trajectoires différentes dans l’espace ( considéré comme un absolu).
  4. Manifestement vous avez été traumatisé par une femme woke. Elle vous a carrément mis sens dessus dessous. Je vous souhaite un prompt rétablissement.
  5. satinvelours

    Recherches

    Si je fais un rapport d’étape sur ce que je recherche alors je dirai que je suis en quête d’une « vision ». Une vision de quoi ? Probablement du phénomène vivant, de cette action du vivant, non seulement en moi, mais en tous, et même en tout ce qui vit. C’est cette vision qu’il est difficile de construire et c’est cette difficulté que je m’applique à observer chez les scientifiques. Ce n’est pas la science en tant que telle qui m’intéresse, ce sont les errements de l’esprit dans sa quête d’une vision, errements qui sont aisément identifiables chez les scientifiques, mais aussi bien sûr chez toute personne qui pense. Il est étonnant d’être critiqué, dans une telle démarche, par des personnes qui ne se rendent même pas compte qu’eux aussi cherchent à construire leur propre vision. Que, pour construire cette vision, ils privatisent la physique quantique pour la manipuler selon leur inspiration, pourquoi pas ? Ce qui m’étonne, c’est leur souci, dans leur volonté d’appropriation privée, d’interdire aux autres le droit de partager cette appropriation. Cela me fait penser aux religions : chacun veut s’approprier les paroles prophétiques pour leur faire dire ce qu’ils veulent tout en refusant aux autres le droit à cette même appropriation, le droit à sa propre interprétation. Même phénomène d’ailleurs en philosophie.
  6. C’est surtout Washington qui tient. Car le petit lycan sans les américains n’est rien du tout. Planqué derrière son maître l’américain, , il aboie, comme un chiwawa.
  7. satinvelours

    Recherches

    Je vais essayer de suivre ce cheminement, ou plutôt ce chassé-croisé entre math ( ou raisonnement, il est possible que je puisse mettre ensemble math et raisonnement) et conception ou « vision ». Le terme vision dépasse même la simple capacité à « avoir » des images, il s’agit de la « vision » au sens le plus large ( la vision que Rimbaud par exemple cite dans une saison en enfer : « je dis qu’il faut être voyant »). Je vais faire ce voyage en étant guidé par Julien Bobroff, professeur à l’Université de Paris-Saclay, auteur du livre auquel je vais me référer : la Quantique autrement. Je pars de l’équation de Schrodinger, qui est donc un donné mathématique. Il importe peu, dans le cadre de cette recherche, de connaître cette équation. Il suffit de savoir que c’est un donné mathématique. Ce donné mathématique comporte une lettre grecque : psi ( majuscule). À partir de là nous passons d’un donné mathématique à un donné métamathématique. Un donné métamathématique fait intervenir un discours ( un langage non mathématique). Par exemple : y = 2x + 3 est un donné mathématique, mais : soit l’équation y = 2x + 3 comporte un donné métamathématique : soit l’équation. En effet les physiciens vont se demander ce que peut bien « représenter » cette lettre. Nous passons donc des maths à la représentation, à la vision. Dans un premier temps il est convenu qu’elle représente une fonction d’onde. On introduit ainsi la notion d’onde. Nous passons bien dans un monde « visionnaire » ( on visionne une onde). Peu importe ici de savoir ce qu’est précisément une fonction d’onde, mon propos est d’essayer de suivre la pensée humaine quand elle passe d’un certain monde mental ( la formule mathématique) à un autre ( la vision). La formule de Schrodinger est très bien accueillie par les scientifiques car elle permet de maîtriser le réel observé et de prédire ce même réel avant qu’il soit observé ( je parle ici du réel qui affecte l’homme dans son action). Mais rapidement les scientifiques vont s’interroger, non sur la formule mathématique elle-même mais sur l’interprétation de la lettre psi. Nous sommes donc maintenant en plein dans la représentation, la vision, la recherche d’une vision plus documentée que la simple vision : fonction d’onde.
  8. satinvelours

    Recherches

    Je me rends compte qu’il n’est pas simple d’exposer sa propre pensée. Mais aussi l’incompréhension qu’un tel exposé engendre chez tel ou tel contradicteur met en lumière un manque de précision dans l’exposé de sa pensée, et ce manque de précision est un avertissement pour soi-même. L’incompréhension d’un contradicteur n’a pas d’importance. Mais l’imprécision est un empêchement, pour soi-même, de bien conduire sa pensée. Je voulais mettre face à face, en m’appuyant sur le petit livre d’Alain Aspect, d’un côté l’activité mentale proprement mathématique et de l’autre côté l’activité mentale que, faute de mieux, pour l’instant j’appellerai « visuelle » ( plutôt qu’intuitive). Il n’est donc pas dans mon propos de rentrer dans le détail mathématique de la physique quantique. C’est pourquoi je me contente de la synthèse rapide présentée par Alain Aspect. De l’autre côté des mathématiques nous avons, ce que nous appelons, l’interprétation. Ce qu’Alain Aspect souligne c’est que l’interprétation ( de la physique quantique) est imparfaite. C’est d’ailleurs cette imperfection qui permet aux philosophes, aux religieux et aux poètes ( parmi lesquelles je classe mon contradicteur obsessionnel) de présenter leur propre imaginaire. Mais cet imaginaire libéré, est bien sûr exploré aussi par les scientifiques. Eux aimeraient construire un imaginaire qui les satisfasse, qui satisfasse leur communauté. Ils n’y arrivent pas. C’est cette difficulté à construire un imaginaire consensuel qui m’étonne. Que se passe t il donc, mentalement, pour que cet imaginaire soit impossible à construire ? Il est nécessaire de noter que lorsque nous faisons de la physique nous nous appuyons toujours sur des représentations ( que j’appelle aussi des imaginaires). Ces représentions sont des « visions » nous cherchons à voir, à visualiser. Nous conduisons une réflexion mathématique tout en recourant à des représentations visuelles. Einstein dira que lui ( mais pas que lui d’ailleurs) s’appuyait aussi sur des représentations sonores. Il est d’ailleurs à noter que les plus grands physiciens ( dans le domaine de la recherche fondamentale) sont le plus souvent aussi des musiciens. Ils disposent donc d’un matériel sonore et imagée pour construire des représentations qui accompagnent leurs développements mathématiques. Mais n’importe qui, même un non spécialiste, des qu’il s’agit de physique réfléchit toujours en tentant de visualiser quelque chose à côté de sa réflexion mathématique.
  9. Pas sûr. Tout les humains ne sont pas des esclaves. Certains osent déclarer qu’ils sont dans le Mal. Ça rend hystériques les petits bourgeois, bien propres sur eux.
  10. Ce qui vous dépasse c’est qu’un homme puisse se prévaloir du seul racisme. Vu comment les Français rampent devant la Morale, ce type là vous bluffe.
  11. Vous accédez enfin à une sorte de prise de conscience des réalités sociales. Bravo. Vous progressez. Et vous oublierez aussi vite ce fait divers actuel.
  12. Connaissant votre forme d’esprit j’interprète ainsi votre pensée : n’aurait il pas été violé enfant par un kurde ? C’est ça la crise hospitalière, on ne soigne plus les déments.
  13. Vive Poutine ! C’est bien ce que vous êtes en train de dire, sans même vous en rendre compte. Ah j’aime les primesautiers.
  14. J’ai l’impression de lire Poutine en lisant ce libelle enflammé. Vivement Poutine en France.
  15. satinvelours

    Recherches

    Je préfère continuer ici la réflexion que j’ai inaugurée sur le fil « le monde est il composé de matière ou au contraire d’esprit » parce que cette réflexion qui porte sur la rupture entre compréhension mathématique et conception intuitive serait hors sujet. J’ai pris comme exemple les réflexions exposées par Aspect dans son petit livre sur l’intrication. Dans ce livre il expose d’un côté l’environnement mathématique de la mécanique quantique et de l’autre côté l’interprétation conceptuelle des phénomènes quantiques. C’est cette interprétation qui fait problème, ce qui fait penser que le cerveau humain ne semble pas ( encore) avoir les moyens de construire des concepts verbaux ou imagés qui soient en phase avec la formalisation mathématique des phénomènes quantiques. Bien sûr cette formalisation mathématique est aussi un travail cérébral. Mais il est spécialisé, ce travail, dans la mathématique « algébrique », « formulaire » dirai-je de manière imagée. Ce qui manque face à la mathématique formulaire c’est la « vision ». La « vision » nous conduit à construire des notions comme « effondrement de l’onde » « superposition des états » « particule » « onde » qui ne parviennent pas à modéliser de manière synthétique l’être même de la « chose » quantique. C’est en ce sens que nul ne « comprend » la physique quantique ( pour reprendre cette remarque de l’un des penseurs les plus brillants de cette physique). Ce n’est donc pas la mathématique de la physique quantique qui m’intéresse, ni d’ailleurs cette physique en elle même, ce qui m’intéresse c’est ce paradoxe mis en exergue par la physique quantique entre compréhension mathématique d’un côté et incompréhension « imagée » de l’autre.
  16. Vous devriez maintenant @Norbertpasser à la présentation de la relativité ( restreinte pour commencer). Sinon nous risquons de passer ici des plombes à dialoguer de manière à ce que ayez le sentiment d’avoir vaincu je ne sais qui d’ailleurs. Ok @Norbertvous êtes un crack. Maintenant que c’est dit : passez à la présentation de la relativité. Je suis assez curieux de prendre connaissance de votre exposé.
  17. Je vois que je vous ai enseigné avec succès même si votre amour propre, à la fin, vous oblige à me déprécier. Mais qu’importe, vous avez beaucoup progressé. Bravo.
  18. Quand je lis votre intervention, comme celle de quantités d’autres je me dis que vous faites partie d’une génération qui croit qu’émettre des jugements de valeur va influer sur la réalité. Vous êtes, vous et bien d’autres, soudain confrontés à une réalité qui vous effraye : mon jugement de valeur ne vaut rien, n’a aucun effet sur le réel. J’aurais beau traiter Poutine de Hitler, avant de traiter Hitler comme héros malheureux de la guerre contre la Russie, j’aurai beau dire que Poutine est le plus grand monstre de l’univers, le plus lâche, le plus corrompu, j’aurai beau dire que la Russie s’effondre, que des millions de Russes meurent, bref j’aurai beau m’ égosiller dans des jugements de valeur, ça ne sert à rien. Vous prenez soudain conscience vous et bien d’autres de votre génération que vous n’avez aucun pouvoir, que votre morale n’a aucun pouvoir, vous découvrez soudain que ce sont les rapports de force qui déterminent la morale et non le contraire. Et bien sûr c’est effrayant pour vous : vous ne pilotez pas le réel alors que jusque là, vous pensiez le piloter à partir du seul fait que vous édictiez une morale. Mais, et c’est ça le pire, c’est que même le rapport de force vous ne l’assumez pas. Vous n’irez pas vous battre sur le front, vous n’y enverrez pas vos enfants et pourtant n’est ce pas le moyen de prouver que vous, et tous ceux qui jouent les pères et mères la morale ici, vous auriez combattu Hitler en son temps, vu que là c’est un moyen encore plus patent de prouver votre courage, puisque Poutine est bien pire qu’Hitler lequel commence à devenir un héros d’ailleurs pour certains ici, vu que le pauvre Hitler a quand même dû encaisser la lâche attaque de Staline. Bref vous êtes nombreux à tomber dans la confusion extrême. Dans la trouille aussi. Car si ce ne sont pas vos jugements qui déterminent le monde, si ce sont les rapports de force qui déterminent son destin qu’allez-vous devenir ? Vous voici en insécurité, et vos amoncellements de jugements moraux ne sont plus que l’expression de vos peurs,
  19. Je vois que tous les vieillards du forum sont outrés. Cet événement alimente leur attention déclinante. C’est beau l’unanimité de gens qui n’en ont rien à foutre de l’avenir. Normal : ils vont bientôt mourir. Alors, que les autres, voire leurs enfants meurent ils s’en foutent quand ça ne les fait pas rire. Peut être même qu’ils se réjouissent. Sauvons l’arbre mutilé s’écrient ils, curieuse prière face à une coutume qui sanctifie la castration de la vie. Et pendant qu’ils pleurent leur arbre mutilé ils laissent mourir leur voisin. Le spectacle des danses des vieillards est finalement effrayant.
  20. Good @azad2B! En tout cas vous m’avez bien cassé les pieds avec votre perfectionnisme ! Ça m’a obligé à mon tour à l’exigence ( vis à vis de moi) !
  21. Je reviens sur ce sujet. En effet j’ai approximé le résultat en me plaçant dans un référentiel inertiel. Maintenant si on veut être rigoureux il faut choisir. Soit le référentiel « tournant » le référentiel terrestre. Soit un référentiel imaginé ne tournant pas ( galiléen). Mais si je prends le référentiel « tournant » pourquoi malgré tout il semble que @Norbertne comprenne pas qu’il y ait un écart ? Parce qu’il ne connaît dans sa boite à outils que la force d’attraction gravitationnelle. Il pense donc que la pierre, ou la goutte, quand elle se désolidarise de son support ne subit que la force gravitationnelle. Or non, dans le référentiel « tournant » elle subit la somme des accélérations gravitationnelle et « Coriolis » soit mg - 2mô^v ( ô pour oméga, vitesse angulaire, et v la vitesse de la pierre et ^ produit vectoriel ( elle a une vitesse bien sûr si la terre tourne). Le résultat est qu’il y a bien un écart ( dans le référentiel tournant). Je me suis référé dans une première vision à un référentiel fixe. Considérant que finalement il n’y aurait pas beaucoup d’écart in fine. Et que de toutes façons il y aurait bien écart. Il est possible que l’erreur de Newton vienne de là. Il ne transpose pas dans le système tournant son résultat acquis dans un système implicitement fixe. Il semble tout de même que l’erreur ne soit pas négligeable ( un facteur d’un tiers). Bien je ne cherchais pas non plus le résultat exact. Finalement à partir d’une question simple il a fallu creuser ! Ce qui m’étonne chez @Norbert c’est qu’il ne tient pas compte de l’expérience. Du coup à travers son attitude on voit les limites de la raison. Si nous ne tenons pas compte de l’expérience nos raisonnements peuvent nous conduire n’importe où , même dans l’absurdité. La raison doit toujours être corrigée de l’expérience.
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