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Tout ce qui a été posté par sirielle
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Qu'est ce que vous aurez préféré de la vie ?
sirielle a répondu à un(e) sujet de Axo lotl dans Inclassables
Ma famille proche, me sentir bien dans mon corps, faire la fête, être amoureuse, la logique. -
Il y a sans doute des moments où on a besoin de se retrouver un peu seul.e, ou de faire un break dans une relation, mais normalement c'est passager, c'est même souvent pour un temps très bref, (bien que pas toujours évidemment). Et à mon avis il y a toujours au fond de soi alors, un instinct en suspens poussant à la reformation d'une liaison ou d'une autre, qu'on le veuille ou non. Certainement alors ne faut-il cependant pas trop chercher à précipiter les choses, savoir aussi se sentir bien un peu seul.e pour mieux se retrouver ensuite.
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De rien, merci à toi aussi pour ton sujet. Il y a sûrement aussi des périodes dans la vie où on a d'autres centres d'intérêt privilégiés à ce type d'informations. Moi-même aussi il y a eu des moments dans ma vie où je m'y intéressais moins parce que j'avais d'autres priorités. Et il m'arrive de temps en temps de pleurer face à certaines informations, mais je n'en perds pas tout intérêt pour les sujets graves, actuellement en tout cas. D'ailleurs il m'arrive aussi de regarder de temps en temps des films d'horreur, c'est aussi peut-être un peu une question de caractère.
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Personnellement je tente de trouver un équilibre entre les informations sérieuses, tristes, voire dramatiques, auxquelles je m'intéresse, et les sujets plus légers ou les divertissements... J'évite quand-même moi aussi de me confronter excessivement à l'horreur, car ça pourrait m'atteindre inutilement. Mais en même temps à mes yeux les sujets graves sont parfois essentiels, et je tiens à ne pas trop "porter d'oeillères", donc je continue à m'intéresser relativement régulièrement à l'actualité et autres documentaires éprouvants, etc... car cela contribue ainsi à ma compréhension du monde, tout en incluant des moments de détente quotidiens à mon emploi du temps.
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Comment tu t'assures que tes attentes sont réalistes lors de rencontres en ligne ?
sirielle a répondu à un(e) sujet de Bertranddd dans Amour et Séduction
En ligne ou ailleurs je ne me base pas tellement sur les attentes, ou peu, je jauge l'attirance réciproque, au travers de l'aspect physique, de l'entente, de la compatibilité apparente. Je me fie donc avant tout à mon ressenti spontané. Car je préfère généralement dans ce domaine improviser au fil du temps en fonction de mes sentiments du moment, que faire des plans sur la comète. D'autre part, je ne cherche pas beaucoup à imaginer ou interpréter l'homme, je me fie surtout à ce que j'en connais avec certitude. -
Comment gérez vous les ruptures ?
sirielle a répondu à un(e) sujet de KarodesYvelines dans Amour et Séduction
C'est selon les cas. Soit je coupe les ponts directement en ne répondant plus, soit je le dis clairement voire je donne des explications si la relation semble le nécessiter. En tout cas j'essaie de rester assez gentille et respectueuse. Et puis je m'intéresse à un autre sans attendre, sauf si la rupture me paraît incertaine, s'il y a encore une possibilité de réconciliation par exemple. Et si c'est l'homme qui s'éloigne de moi ou qui n'entretient pas notre liaison, je ne cherche jamais à le retenir, et je m'intéresse également sans attendre à un autre. -
Pour toi c'est quoi l'Amour ?
sirielle a répondu à un(e) sujet de PtitAngelina dans Amour et Séduction
L'amour n'est pas que le désir sexuel. Le désir sexuel est empreint d'amour, certes, mais en revanche l'amour peut être dénué de désir sexuel. Etre sexy demande d'obéir à certaines lois relatives au bien-être. Plus notre corps et notre mental vont bien, plus on est potentiellement sexy. Le sex-appeal s'épanouit avec la réalisation de soi. -
Il y a une juste mesure à trouver, là est la nuance par rapport au tout noir ou tout blanc (inconditionnellement fidèle ou pas du tout fidèle), et c'est à mon avis plutôt ce que la société tend à promouvoir dans l'ensemble, une liberté sexuelle morale. Et une famille, un foyer, ne doit en aucun cas représenter une prison sexuelle. C'est aussi pourquoi la société française s'applique entre autres à soutenir les parents célibataires dans leur autonomie, le respect des familles recomposées, ou encore le respect des sexualités atypiques assez respectueuses de chacun. Un enfant n'a pas à représenter la contrainte de l'union parentale exclusive et indéfectible à tout prix.
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Je suis végane entre autres (et je m'attache aussi au bien-être végétal au cas où cela te viendrait à l'esprit), je le précise même si cela ne t'intéresse peut-être pas, pour souligner que je suis une femme compatissante, empathe, aussi dans le cadre de la consommation, une femme qui se soucie aussi du bien-être de ceux qui l'entourent, qui conçoit son bonheur au travers de vivre heureux les uns avec les autres, y compris non-humains. Mais je suis aussi une personne devant s'adapter optimalement, comme chaque individu, quitte à changer de partenaire, ou pas, s'il le faut, et à en connaître plusieurs, s'il le faut. Je ne suis pas censée refuser ce pour quoi j'existe véritablement.
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Tu confonds liberté et champ des possibles/pouvoir, comme beaucoup cela dit. La liberté se cantonne au droit (moral), au-delà du droit moral il n'est plus question de liberté mais d'abus. La France n'a pas comme devise "Tout est permis, Egalité, Fraternité", (de même que fraternité ne signifie aucunement complicité...) revoir plus consciencieusement ta sémantique pourrait t'être utile à mon avis.
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Avoir du respect pour la nature humaine et les instincts sexuels censés orienter chacun au mieux dans ses choix de son ou ses partenaires est juste raisonnable, car, encore une fois, un instinct n'est pas une pulsion, il est ancré en nous pour la vie. Pour la vie et l'ensemble de ses individus. "Chassez le naturel il revient au galot." Philippe Néricault dit Destouches Nature et sauvagerie sont deux choses bien différentes. La nature invite entre autres à la civilité et la socialisation.
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Pour moi aimer, c'est parfois aussi savoir lâcher prise, et savoir également concevoir l'autre comme assez indépendant. J'ai du mal personnellement à supporter les personnes qui surestiment leur importance pour l'autre, qui s'imaginent outrancièrement indispensables. Savoir aller voir ailleurs c'est aussi éventuellement savoir être humble, ne pas vouloir feindre ni laisser penser que l'autre n'est rien sans soi.
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Moi c'est l'une de mes passions quotidiennes depuis mon enfance, faire du sport devant le miroir, essayer des tenues, du maquillage, des coiffures, ... mais c'est plus courant chez les femmes que chez les hommes.
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Le bien-être de ceux que j'aime (dont moi-même), être amoureuse, les bonnes surprises, une alimentation saine, la tendresse, me regarder dans le miroir, la musique, apprendre, croiser de mignons petits chats et autres animaux sympas, la tranquillité, faire la fête, la religion, etc...
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Je suis en couple depuis 5 ans, et comme je l'ai déjà précisé auparavant, je juge la fidélité sécurisante et romantisante. Or à mes yeux ce sont des qualités importantes. Mais elle n'est appropriée que pour certaines liaisons d'après moi. Cependant la fidélité peut aussi évidemment se penser sous d'autres perspectives, la fidélité à soi-même, la fidélité en amitié, la fidélité religieuse, la fidélité commerciale, etc... Et si l'on se veut fidèle en tout, à un moment on tombe dans l'absurdité car certaines fidélités finissent alors par s'opposer. De même que si l'on se veut digne, on doit veiller à ce vis-à-vis de quoi on veut être digne, car toute dignité n'est pas bonne à prendre. (Certaines oui évidemment, mais pas toutes. Etre digne de faire partie d'un gang barbare par exemple n'a pas grande valeur moralement.) Ainsi, pour la fidélité comme pour la dignité, il faut saisir les limites à respecter. J'ai créé un sujet lié à l'honneur il y a quelque temps en philosophie, intitulé: "Code d'honneur: la loi du silence." L'honneur est un concept sur lequel il m'est arrivé de me pencher, en même temps c'est un peu bateau.
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Dit autrement, si la nature multiplie les attirances sexuelles, c'est un principe de liberté. La liberté par le choix des partenaires et la diversité des possibilités. Diaboliser cet instinct est excessif, il suffit de le cadrer pour y mettre assez de limites. Les lois s'inspirent de la morale. Et elles sont donc censées défendre la liberté, dont la liberté sexuelle. La liberté sexuelle revient aussi à savoir construire une liaison romantique avec persévérance, mais pas seulement. Certaines liaisons ne sont vouées qu'à être passagères, et il serait délétère de s'acharner à les faire durer. Pas forcément, mais parfois c'est révélateur d'une tendance naturelle. On peut aussi le concevoir différemment. Non pas expérimenter pour expérimenter mais, comme dit auparavant, papillonner, découvrir simplement divers partenaires. Découvrir divers partenaires n'est pas forcément être prêt à tout en sexualité. Il existe des pratiques immorales à deux, et des pratiques morales avec davantage de partenaires. Défendre le droit d'avoir plusieurs partenaires sexuels, d'en changer, ou de les alterner, dans le cadre du consentement entre adultes, n'est pas défendre tous les droits. Encore une fois je crois qu'il faut maîtriser ses instincts, et non les diaboliser. Effectivement, dans le cocufiage peut entrer en considération le principe de mensonge par omission. Mais trop d'attentes pour une liaison, sans poser ses conditions assez directement, n'en est pas pour autant justifié. Bien des personnes aiment avoir des relations "légères", comme ils peuvent apprécier par exemple les amourettes de vacances entre autres, donc il n'y a pas à estimer que si rien n'est dit c'est que la fidélité est sous-entendue, tout le monde ne cherche pas une relation stable.
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Ce n'est une erreur de fréquenter plusieurs partenaires, ou de les alterner, que subjectivement. Rien ne le prouve moralement dans l'absolu, et ce n'est d'ailleurs pas illégal hors mariage, et même dans le cadre d'un mariage cela n'impacte qu'éventuellement le jugement du divorce. (Et alterner diverses relations passagères est particulièrement courant vers la vingtaine, mais pas seulement.) (D'ailleurs certains hommes par exemple souhaitent parfois même dans leur couple que leur femme fréquente d'autres hommes. Là aussi ce serait immoral quand l'homme le demande? Papillonner peut être un droit, surtout lorsqu'aucun engagement n'a été assez clairement pris à cette encontre.) Il me paraît en revanche immoral d'imposer la fidélité conjugale à une personne contre son gré. Et d'autant plus d'user de violence à cette fin. (Et personnellement quand je couche pour la première ou la seconde fois avec un homme en aucun cas je ne me dis que dorénavant il est obligé de m'être fidèle, à la rigueur on discute de nos points de vue sur le sujet et on voit s'ils peuvent s'accorder ou non, ce qui est très différent. Mais aussi, on a le droit de changer d'avis avec le temps.) J'ai vécu moi aussi des liaisons où on s'était promis fidélité, je sais que non seulement ça peut être vécu réciproquement de bon coeur, et sans frustration, durant des années, mais aussi que dans ce cas on se doit une suffisante transparence si on change d'avis. Seulement c'est un cas de figure parmi d'autres. Et suridéaliser la fidélité de couple, c'est aussi potentiellement exacerber la dépendance dans le couple dans un contexte où les liaisons peuvent couramment tourner extrêmement mal, voire ne pas ou ne plus être empreintes d'attirance réciproque. C'est jeter parfois de l'huile sur le feu, par exemple pour certains couples ne se supportant plus, et se trouvant alors prisonniers d'une relation toxique, par principe. (D'autant plus que l'infidélité n'est pas forcément la tromperie, c'est plus vaste comme concept. Rien que d'envisager de refaire sa vie avec un autre par exemple, même sans cachotterie, peut être considéré comme une infidélité...)
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Il y a des hauts et des bas, celui que je fréquente depuis 5 ans et auquel tu fais allusion, car je l'ai quelquefois évoqué ici, j'ai voulu innombrablement le quitter même s'il m'a toujours reconquise dans ces cas-là jusqu'à présent. Personnellement quand un homme me déplaît vraiment par son attitude j'ai tendance à vouloir le quitter directement, c'est plus simple pour moi que de me plaindre à lui, mais je peux éventuellement le pardonner ou trouver un terrain d'entente s'il arrive à m'en convaincre...
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Parfois, par exemple, les sentiments amoureux vis-à-vis de quelqu'un s'en vont parce que l'antipathie a fini par l'emporter à son égard, mais ce quelqu'un n'est pas d'accord. Et des sentiments vis-à-vis de quelqu'un d'autre naissent, mais le premier n'est toujours pas d'accord. Rester fidèle pourrait revenir alors à persévérer dans cette première relation où il n'y a plus vraiment de réciprocité, et que l'on a du mal à quitter. Mais c'est juste alors se forcer sous la pression.
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Il ne s'agit pas que de risquer une séparation ou un simple mécontentement, dans la réalité c'est parfois véritablement dangereux de "tout dire". Même si, à la base, on n'a jamais voulu causer quelconque tort en allant voir ailleurs. C'est à juger au cas par cas bien sûr mais il peut falloir être très prudent sur ce terrain-là.
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Je me souviens d'une fois par exemple. J'avais rencontré un homme qui ne m'avait pas rappelée ensuite avant plus d'une semaine. Entre-temps j'en avais rencontré un autre, en supposant que le premier ne voulait rien de sérieux, comme d'autres dont il savait pour certains que je les avais fréquentés. Mais il m'a rappelée, et le second aussi, et j'ai eu du mal à choisir entre les deux. Et après tout on ne s'était rien promis au départ, ni avec l'un ni avec l'autre. Un jour j'en ai discuté avec le premier que j'avais fini par choisir. J'ai mis un peu de temps à lui en parler, j'avais un peu peur de sa réaction mais je voulais être honnête avec lui car il semblait y tenir. Et quand il a su que j'en voyais un autre pendant un moment en même temps que lui, ça a été l'enfer, il a été horrible, bien qu'il voulait qu'on reste ensemble quand-même. Là j'ai compris que tout le monde n'est pas capable d'entendre les choses telles qu'elles sont, et d'y réagir assez mesurément. Que parfois il vaut mieux ne rien dire pour se protéger.
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Elle peut apporter des avantages relationnels, valoriser une liaison par exemple, en la sécurisant et en se consacrant pleinement à elle, voire en la romantisant. Cependant idéalement la fidélité est censée en effet se cantonner au raisonnable, avoir des limites. Car être trop fidèle peut s'apparenter entre autres à de la servilité, de la psychorigidité, ou de la bienpensance contre-nature... En résumé elle doit être appropriée au contexte pour rester bénéfique.