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sirielle

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Tout ce qui a été posté par sirielle

  1. Tu ne me connais pas. Les femmes peuvent me débecter aussi par leur attitude. Je ne suis pas sexiste, mais lorsqu'il s'agit de faire l'amour je juge les hommes parce que je ne couche qu'avec des hommes, c'est tout. Tu ne sais pas ce que sera ma vie. Moi je n'idéalise pas les gens de vingt ans, bien souvent ils sont très immatures. Je juge plutôt par rapport à l'attitude. Je ne préfère pas les hommes de vingt ans à ceux de soixante par exemple, je juge à leur façon d'être. Mais même si ceux de soixante ont vieilli ils sont parfois plus beaux physiquement à mes yeux que des hommes un peu stupides de vingt et quelques. Et pourtant j'ai couché avec un homme de vingt et quelques il y a peu, mais je n'en fais pas une règle pour autant. Et je ne me soucie pas de ce que tu peux penser de mon corps, mon corps c'est ce que m'ont donné mes parents, et je ne te permets pas de juger de sa valeur en fonction de son âge.
  2. Avant quarante ans ça existe aussi... Un peu de tolérance ça passe, mais il ne faut pas trop exagérer quand-même.
  3. Les hommes qui ne savent pas se tenir, ça se voit, c'est ainsi. Le corps c'est la vie, ça doit se respecter.
  4. Je joue beaucoup sur le physique en tout cas, c'est clair. Car s'il y a bien une chose qui me dégoûte en amour c'est de coucher avec un homme qui se laisse trop aller... Alors je me le tiens pour dit.
  5. On peut séduire par le physique aussi. A vrai dire, j'ai tendance à fréquenter les hommes en fonction de l'attirance physique réciproque avant tout, même si on ne se connaît pas beaucoup. Secondairement on voit si on arrive à s'entendre. Et puis séduire avec les tenues qu'on met aussi par exemple...
  6. Les hommes que j'ai fréquentés m'ont par exemple complimentée très couramment sur mes yeux, peut-être parce qu'ils sont verts... Je pourrais citer d'autres compliments spécifiques venant d'eux, mais ce serait juger en fonction de ce qu'ils disent dans ce cas. Pour ma part je trouve que je suis réservée, je ne m'impose pas beaucoup, un homme ne peut donc pas normalement se sentir étouffé, sursollicité avec moi. Même si ça ne conviendrait pas à n'importe quel homme et qu'on me l'a déjà parfois un peu reproché, je crois que ça peut être une qualité pour certains en tout cas. Et puis je suis honnête, je m'efforce de me conduire correctement, j'ai de l'empathie.
  7. Une telle impolitesse pourrait aussi n'être peut-être que de la jalousie à ton encontre, la jalousie est encore particulièrement courante à cet âge en tout cas.
  8. C'est ton point de vue, mais il en existe d'autres. A mon avis beaucoup confondent croyance (voire manipulation) et allégorie sur ce thème, ce qui leur donne alors une idée erronée de ce qu'est la croyance religieuse. D'autant plus que le terme croire est souvent abusivement employé dans le langage courant, croire revient avant tout à tenir pour vrai, réel, et non pas à douter en feignant croire (ce qui existe aussi couramment). Seulement croire en Dieu ce n'est pas forcément croire en l'idée que se fait autrui de ce que représente Dieu, c'est là que réside la différence entre croyance et préjugée croyance. Quant aux émotions et aux sentiments (l'envie, l'admiration, la tristesse, etc...), ils peuvent être réels mêmes s'ils sont du domaine du psychisme. Le psychisme n'est pas que fiction.
  9. sirielle

    De l'importance du prénom

    Personnellement, je crois qu'il n'est pas toujours approprié de préciser le prénom lors des échanges courants, bien que dans certains cas si, cela pourrait même manquer de naturel, paraître trop affecté. Et puis si on a des principes trop rigides, on en attend parfois de même des autres, ce qui est susceptible de créer des tensions inutiles. Pour ma part en tout cas, je fais comme je le sens sur le moment, et je ne ressens pas non plus le besoin que l'on fasse preuve de trop d'attentions à mon égard. Et puis j'essaie aussi de m'adapter à mon interlocuteur pour éviter un malaise. Par exemple généralement si mon interlocuteur me dit "Bonjour A...", je réponds aussi en citant son prénom (si je m'en souviens), s'il ne le fait pas, je ne le fais pas. Quitte parfois à contourner certaines règles, comme par exemple, s'il est l'heure de dire bonsoir et que l'on me dit bonjour, je réponds bonjour moi aussi par politesse, pour ne pas avoir l'air de le reprendre... En résumé, j'essaie en règle générale de me conformer aux bonnes manières courantes ou contextuellement de mise, sans en rajouter. Car à mon avis la simplicité apporte une certaine discrétion souvent bienvenue. Et pour exprimer ma sympathie j'aurais plutôt tendance par exemple à simplement sourire chaleureusement, parler avec douceur ou jovialité, etc...
  10. Brigitte Bardot peut-être, parmi les célébrités...
  11. A aucun moment sur ce sujet je n'ai prétendu qu'il n'existait pas plusieurs dieux, et à aucun moment je n'y ai affirmé qu'il en existait plusieurs. Mais même si on admet l'hypothèse qu'il peut y en avoir plusieurs, croire n'est pas supposer. Et lorsqu'il s'agit de monothéisme on peut alors quoi qu'il en soit par exemple avoir pour principe de regrouper en une seule entité tout ce qui se rapporte à la divinité, quelle que soit la multiplicité de formes qu'elle peut prendre. Cependant il n'est pas forcément nécessaire non plus pour y croire de la personnifier, ni de ne pouvoir la concevoir que comme un être ne pouvant pas exister indépendamment d'un peuple dont il serait l'un des individus. Et pour revenir au sujet de la sémantique en religion, par comparaison, pour préciser ma pensée, j'ai évoqué le concept d'envie précédemment, l'envie est entre autres un sentiment de convoitise. Pourtant si on s'intéresse à divers points de vue de ce qu'est l'envie on pourra trouver par exemple cette représentation ("Envy" di Alessandro Cripsta): Et si on s'intéresse au concept d'esprit on pourra trouver ceci par exemple: On pourrait s'amuser à en conclure "Si l'envie est un homme des orbites duquel jaillissent des tentacules, et si l'esprit est un personnage flou géant et difforme, ce sont seulement des concepts issus de l'imaginaire auxquels seules des personnes trop naïves pourraient croire." Mais en réalité il s'agit de représentations artistiques à ne pas saisir qu'au premier degré. Ce qui ne signifie pas que ces représentations sont mensongères, ni que l'envie et l'esprit sont des personnages ou rien, ni que si l'envie est effectivement un homme, elle a peut-être une femme et des enfants, etc... Il faut simplement, pour comprendre le sens de ce qui est exprimé, décoder correctement la forme d'expression utilisée.
  12. Bonjour Jacky, Il est simplement question ici, comme ça pourrait être aussi le cas sur d'autres thèmes, du principe, que l'on valide ou pas, de n'adopter une position, qu'elle soit donc athée, bouddhiste, catholique, agnostique, etc..., qu'en fonction d'une réflexion personnelle assez construite permettant d'y adhérer véritablement, et non pas seulement à-peu-près. Par exemple si j'adhère à telle ou telle croyance, ou bien si j'estime que telle ou telle théorie est fausse, ou encore si j'estime ne pas posséder assez d'informations pour juger assurément de la véracité ou de la fausseté d'une idée, etc... je fonde ce constat sur une réflexion argumentée m'y conduisant logiquement en mon for intérieur, que je décide de la partager ou non par la suite.
  13. On ne peut pas être pleinement heureux en suivant "sa propre théorie" si cette théorie est illusoire, biaisée ou trop incomplète, trop faillible, par exemple. Ou, en d'autres mots, certains principes, certaines idées, déraisonnables, ou manquant d'une certaine lucidité à-propos, conduisent vers une dégradation (dans certains cas, grave) qui ne devrait pas être, ou évitable, de la situation, même si ceux qui les portent n'en ont pas forcément conscience ou assez conscience au départ. Et il peut parfois être alors de la responsabilité de ceux qui en ont conscience, ou qui le devinent, d'avertir, de prévenir, même s'ils ne sont pas directement concernés, et même si ce n'est pas forcément à eux qu'appartient la décision finale de rejeter, de modifier, ou non la théorie en question. Cependant, ceux qui désapprouvent une théorie (ne serait-ce que partiellement) n'ont pas forcément toujours raison non plus, même s'ils sont nombreux ou majoritaires à la désapprouver ou s'ils semblent pourtant particulièrement qualifiés pour savoir, à juger au cas par cas... Et en résumé, se démarquer n'est pas forcément un tort, voire dans certains cas bien au contraire, mais parfois si.
  14. Le langage évolue au fil du temps, aussi en fonction de l'utilisation qu'on en fait. Et on peut remarquer que de mêmes mots pouvaient avoir un sens relativement différent par le passé parce qu'ils étaient employés dans un autre contexte, ou encore, représenter moins de sens différents, c'est ainsi. De plus, tout le monde n'est pas toujours d'accord sur la ou les définitions de certains concepts plus ou moins abstraits aussi en raison des différences de compréhension et de ciblage des concepts. Si on demande à plusieurs personnes ce qu'est l'envie par exemple, ou l'esprit, les réponses vont différer, comme pour bien d'autres termes. Ce qui ne signifie pas pour autant que ces concepts n'ont pas de réalité autre que fictionnelle, mais différemment explicables ou saisissables. Bien sûr, il existe effectivement à ce sujet des notions objectives, plus ou moins limitantes, mais ces notions objectives peuvent quand-même être multiples, varier plus ou moins, et évoluer. Le langage est ainsi, vivant, multi-sens, et non exclusivement figé en seulement deux dimensions précises... Quant à ta question, j'y ai répondu personnellement selon mes convictions, Dieu n'est aucunement à mes yeux qu'un individu lambda comparable à tout un chacun, comme pour bien d'autres, et pour te définir Dieu je devais logiquement utiliser d'autres mots que "Dieu", qui puissent te donner une idée de ce qu'il représente à mon avis, en toute logique, c'est le principe d'une définition. D'ailleurs, tu peux par exemple t'intéresser aux définitions de Dieu pour mieux comprendre en quoi il n'est pas forcément entendu comme faisant partie d'un peuple ou d'un groupe de Dieux comme dans les religions polythéistes par exemple... Mais si cette question t'intéresse davantage, tu peux aussi ouvrir un sujet sur ce thème...
  15. Le choix de la facilité ou du farniente, n'est pas systématiquement un mauvais choix, il y a sans doute une juste mesure à accorder aux efforts auxquels s'astreindre, et aux moments de répit à s'accorder. L'excès de sacrifice de son propre bien-être présent à son ambition (ou à son idéal) par la lutte et le travail peut aussi s'avérer catastrophique, voire être contre-nature, empiéter sur les réels besoins d'autrui et de soi-même pour des lendemains incertains par une discipline tyrannique... De plus la quête de gloire peut souvent s'avérer mauvaise conseillère... La gloire peut être une aspiration défendable en soi, mais elle demande de se conformer aux supposées attentes d'autrui, or toute attente d'autrui n'est pas de nature à devoir s'y impliquer personnellement... Et quand on voit jusqu'où peuvent mener le conformisme communautaire, et sa serviabilité zélée, on constate qu'ils peuvent aussi ne s'avérer que très illusoirement "vertueux" (et à quel point certaines tentatives peuvent s'avérer "à côté de la plaque" malgré les efforts et les risques qu'elles représentent).
  16. Bonjour deja-utilise, Choisir la facilité ne reviendrait-il pas à considérer que les efforts accessibilisant une autre option n'en valent pas la peine en comparaison, et il s'agirait alors donc là aussi de la supputation de faire le choix optimal? La facilité, la rapidité de résultat, etc, peuvent éventuellement rester des arguments raisonnables censés renforcer la qualité d'un choix. A mon sens, un raisonnement allant plus ou moins consciemment à l'encontre de l'instinct du choix optimal, ne serait-ce qu'à le troubler, consiste par exemple à idéaliser la perversion par esprit de rebellion existentielle, ou à choisir de saborder son propre jugement (en faveur de celui d'un autre par exemple) par manque de confiance en soi... Cependant là encore, ces modes de raisonnement restent basés au départ sur l'idée que le juste choix apparent n'en est pas vraiment un en réalité, et qu'un autre choix est donc de mise... Un peu comme la dégénérescence d'un système, qui reste alors quand-même grandement influencé par le même principe qui l'anime (distinction de l'intérêt supérieur ou non-inférieur dans l'orientation propre), mais vicié par un élément auto-destructeur de la capacité de jugement (formatage social ou éducatif adopté, défense aveugle, etc...).
  17. Personnellement je serais plutôt fatiguée d'être aimée par des personnes trop désagréables vis-à-vis de moi, trop irrespectueuses (bien que je sais que j'ai malheureusement pu l'être moi aussi parfois, j'essaie quand-même d'éviter). Je me suis beaucoup sentie aimée au cours de ma vie et je n'ai que peu été célibataire, mais pas forcément toujours aimée d'une façon qui me convienne tout à fait, comme beaucoup... J'ai aussi plutôt eu une certaine facilité à éprouver des sentiments amoureux pour un homme ou un autre venant vers moi (bien que pas n'importe qui non plus évidemment), mais des sentiments conditionnels, dont je peux me défaire à volonté. Et à l'opposé, je peux aussi devenir facilement méprisante lorsqu'on m'importune, puis passer outre. Souvent je me dis que je ferais mieux de rester seule, mais c'est très passager et je finis toujours rapidement par accepter finalement de (re)fréquenter un homme, un qui le souhaite et qui paraît me convenir, comme la vie le demande...
  18. Je discute de temps en temps par MP, mais je n'en ai que rarement initié les discussions. Le plus souvent je me contente simplement moi aussi de répondre à ce qui m'est envoyé. Il m'est arrivé cependant parfois de ne pas répondre à certains MP, pour diverses raisons (à certaines demandes répétées d'aide aux devoirs littéraires par exemple, d'une part parce que je n'ai pas toujours à disposition le temps de m'y pencher sérieusement, d'autre part parce qu'au-delà d'une certaine échéance j'imagine que le devoir n'est quoi qu'il en soit probablement plus d'actualité). Le plus souvent les messages que je reçois ici sont courtois, sympathiques, voire chaleureux, mais il m'est quand-même arrivé exceptionnellement de recevoir quelques messages insultants, par une ou deux personnes, j'en tiens compte aussi...
  19. A mes yeux il est plus fondamental sur ce thème de comprendre le bon sens de chaque point de vue, bien qu'il faille bien sûr y faire quand-même la part des choses aussi. La sémantique plus poussée favorise le perfectionnisme idéologique, mais c'est alors un niveau de débat qui devrait être secondaire à mon avis, à sa place lorsqu'une certaine compréhension réciproque est déjà acquise. En d'autres termes il peut s'avérer facile de démonter un argumentaire en ciblant ses potentielles failles, de part et d'autres, sur un sujet où l'interprétation subjective des concepts compte grandement, ce qui provoque des ambiguïtés sur lesquelles on peut jouer, mais pour que l'échange soit constructif, il faut à mon avis avant tout saisir les vérités respectives sur lesquelles se basent les diverses conclusions. Ceci dit, "Pourquoi un Dieu plutôt que plusieurs?" s'adresse aux monothéistes donc. Pour éviter trop de digression, je répondrais personnellement brièvement, ça n'engage donc que moi, que Dieu peut représenter entre autres idéologiquement, une entité, une essence spirituelle en quelque sorte, qui ne s'apparente pas vraiment à un individu tel qu'appartenant aux populations de la faune ou de la flore, mais plutôt à un principe originel et universel de vie par exemple.
  20. Un tel choix appartient à son libre arbitre à mon avis. Et on peut être propre quand-même dans ces cas-là évidemment... D'autre part, si on le lui reproche la même réprobation devrait alors pouvoir être applicable aux hommes, car l'argument de la mode genrée est insuffisant aussi pour justifier vraiment un blâme. Mais concernant les critiques sur les réseaux sociaux, on peut y trouver couramment un peu tout et n'importe quoi sur bien des sujets, et qu'un certain nombre de personnes aillent dans le sens de la dénigrer pour une telle raison n'implique pas forcément que ça représente un avis très partagé en général. Je présume en tout cas qu'une importante partie de la population serait relativement indifférente face à un tel choix et considèrerait "qu'elle fait ce qu'elle veut".
  21. Nos choix dépendent de la qualité de notre raisonnement, de nos capacités intellectuelles plus ou moins influencées par l'expérience et le savoir. Même lorsqu'on fait un choix en sachant qu'il comporte des inconvénients majeurs, c'est en estimant (consciemment ou non) qu'il est assez approprié pour ses avantages, malgré ses inconvénients. Car la nature humaine la porte à optimiser son comportement, à opter pour ce qui lui paraît le mieux pour elle parmi les diverses possibilités. Mais un raisonnement peut être faillible, plus ou moins "aveugle". Pour faire "le bon choix" à mon avis, il faut anticiper suffisamment ses conséquences logiques (ce qui n'est pas toujours évident au-delà d'un certain point, mais on peut y tendre), mettre en compétition les diverses options valables, et opter pour la plus avantageuse a priori (ou l'une des plus avantageuses à égalité) en tenant compte aussi de la mesure de ses éventuels inconvénients identifiables, non pas uniquement par rapport à soi-même, mais aussi par rapport à autrui (dans un sens large) et sa valeur. Cependant, certains raisonnements déjà construits par exemple, peuvent s'avérer utiles pour un choix y étant lié, sans qu'il ne soit donc forcément nécessaire de reconstruire, de revérifier, les cheminements de réflexion déjà correctement fondés, et auxquels on peut donc se référer autant que nécessaire.
  22. sirielle

    Se remettre en question

    La moralité est le moteur d'un comportement approprié, respectable. Une citation célèbre de Michel Audiard pour l'un de ses films: "Les cons ça ose tout, c'est même à ça qu'on les reconnaît." Savoir bien cadrer ses actions, ses idées, est essentiel pour agir correctement, ainsi que pour raisonner correctement. Par "sur-culpabilisation" j'entendais culpabilisation excessive (le préfixe "sur" pouvant marquer l'excès). A trop culpabiliser, soi-même ou autrui, on deviendrait fautif de trop culpabiliser, c'est pourquoi ce serait contre-productif, car la culpabilisation est censée servir la justice en principe ("la justice" dans son sens large), condamner les erreurs, les fautes, pour favoriser un comportement juste, approprié, voire préventif ou "réparateur"... Mais la culpabilisation doit rester modérée pour favoriser le bien-être en finalité.
  23. Le perfectionnisme peut aussi représenter un idéal tenant compte du contexte. C'est à dire tendre à une perfection en s'en approchant au mieux et donc éventuellement en s'évertuant logiquement à faire les choix les plus appropriés en fonction du sens des priorités. Lorsqu'on fait un choix, en principe on optera pour l'option qui nous paraît la plus appropriée (la mieux donc) (et non pas forcément la parfaite si aucune ne l'est ou ne paraît l'être), ou alors, si aucune ne nous paraît plus appropriée, on n'estimera pas mal choisir en choisissant l'une des options, puisqu'aucune ne nous semble alors assez clairement surpasser l'autre. Et même si on choisit de mal faire, c'est parce qu'on aura estimé/supposé que le choix de mal faire est mieux, ou possiblement mieux, ou à égalité de ce qu'il peut y avoir de mieux a priori, ou en tout cas ne paraît pas pire subjectivement, que le choix de bien faire, ou autre choix laissé-pour-compte par comparaison... Mieux est synonyme de préférable (malgré les nuances), et choisir revient à distinguer une préférence ou ce qui pourrait a priori l'être, même si cette préférence ou préférence supposée consiste à déléguer sa décision au hasard...
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