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sirielle

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Tout ce qui a été posté par sirielle

  1. Personnellement, j'ai l'impression au contraire que les gens écoutent davantage leurs sentiments au fil du temps, cherchent davantage des relations authentiques, sincères, plutôt qu'elles ne restent dans une relation de couple de façade pour l'argent ou la famille... Je trouve ça plus romantique. Par contre les relations en sont parfois moins durables, plus éphémères, mais pas forcément...
  2. sirielle

    Qu'est-ce que un fou?

    Je résumerais par exemple la folie à une inconscience ou un déni marqués, d'éléments essentiels à un jugement et un comportement assez adaptés au contexte, assez mesurés. Et donc particulièrement éloignée du bon sens (comportement objectivement adapté par rapport à la mesure des risques, bénéfices et conséquences), voire dangereuse. Non pas qu'elle soit dénuée de tout bon sens, voire au contraire parfois, lucide sur des points parfois difficiles à saisir, mais en carence de repères importants nécessaires à un jugement assez éclairé dans l'ensemble. Ce qui peut expliquer que la folie puisse être perçue comme positive parfois, car elle peut représenter l'accès maladroit à une lucidité difficile d'accès mentalement, le bouleversement, au prix éventuellement de prises de risque intellectuelles ou comportementales, de la norme, des valeurs et des idées reçues, parfois à tort ou grandement à tort au final, mais parfois plus ou moins à raison aussi. Cependant je différencie bien sûr la folie de l'anormalité mentale ou comportementale, ce sont deux concepts très différents, et potentiellement opposés à mes yeux, la folie normée existant aussi d'ailleurs (attitudes inadaptées validées collectivement, voire communautairement)...
  3. sirielle

    Misandrie

    Les deux. La misandrie comme la misogynie peuvent en partie avoir des causes fondées. D'ailleurs l'une et l'autre proviennent souvent au départ d'expériences malheureuses avec un genre, répétées ou non, à l'encontre de soi-même et/ou bien de personnes pour lesquelles on compatit, voire aussi de traumatismes, et pas exclusivement d'idées reçues trompeuses, ou de délires. Ceci dit la misandrie ou la misogynie ne sont pas forcément extrêmes, elles peuvent aussi éventuellement être légères, c'est à dire relatives à certains types de comportements courants jugés répréhensibles plus propres à un genre, sans forcément être radicales par rapport à tous les aspects du genre en question.
  4. Il existe différents types de fond de teint, des fonds de teint qui protègent des UV, des fonds de teint hydratants, des crèmes teintées, etc... Les fonds de teint mats, compacts, ou encore la poudre matifiante ou bien libre par exemple peuvent fixer ou donner un rendu mat voire épais, mais peuvent aussi donc éventuellement manquer de discrétion si c'est en grande quantité, voire être nocifs pour la peau. Pour éviter la brillance excessive, il faut à mon avis par exemple bien choisir sa crème de jour, certaines crèmes de jour ne brillent pas, ou moins que d'autres, et sont plus appropriées au maquillage. Ne pas mettre trop de fond de teint, seulement légèrement à la rigueur, un fond de teint assez clair par rapport à la couleur naturelle de la peau, pas plus foncé en tout cas normalement, léger, et de préférence assez bon pour la peau... Voire utiliser un correcteur, seulement ou en plus, en cas d'imperfection, mais juste sur les zones concernées... Il vaut mieux d'après moi une légère brillance pouvant paraître assez naturelle, qu'un effet "plâtré", sauf cas particulier, problème spécifique. Sur cette image par exemple, on voit une légère brillance du visage, mais ce n'est pas forcément gênant dans une certaine mesure:
  5. J'aime bien Katy Perry pour certaines de ses chansons, mais je n'adhère pas à cette idée que je trouve irresponsable, ça n'engage que moi cela dit. Je crois qu'un artiste est censé véhiculer des valeurs plus fortes que le consumérisme égocentrique, ce à quoi ressemble à mes yeux son attitude. D'après ce que j'ai lu, un tel vol de quelques minutes peut coûter plusieurs centaines de milliers de dollars, et elle l'aurait fait d'après ses dires pour rendre fière sa fille, et pour que cette dernière apprenne à "ne pas fixer de limites à ses rêves"... Mais à mon avis savoir se fixer assez de limites morales est justement une valeur essentielle à transmettre... Or personnellement j'écoute ou n'écoute pas les chanteurs aussi en fonction des idées qu'ils véhiculent...
  6. sirielle

    Riche et malheureux!

    Si passer d'une relation sentimentale à une autre revient à être malheureux, pas forcément, c'est aussi possiblement une simple liberté. S'accrocher à une relation où il y a peu, pas ou plus de sentiments peut s'avérer pire, même si en apparence le couple tient bon. (Et puis il est possible aussi d'être entouré.e de profiteurs de toute sorte sans être millionnaire, et en ayant alors parfois moins les moyens de s'en protéger.) Cela dit, gérer une importante fortune personnelle, alors que tant d'autres sont dans la misère ou dans l'appât du gain sournois, n'est certainement pas toujours facile, même si ne pas manquer d'argent pour ses proches et soi-même est un avantage indéniable si on sait le placer et l'utiliser assez raisonnablement. Mais quoi qu'il en soit l'argent n'est pas la solution à tout évidemment, à pas mal de choses oui, mais pas à tout, et en avoir beaucoup peut aussi comporter certains inconvénients ou dangers.
  7. Pour ce qui me concerne, il ne suffit pas d'être un homme pour pouvoir me séduire. Il y a certains hommes que je trouve séduisants, à certains moments en tout cas, mais pas tous, loin de là. Ce sont plus des exceptions que la règle. Ce n'est pas que je ne trouve pas que chacun.e puisse avoir un certain charme, mais de là à être "séduite", c'est un bien grand mot pour beaucoup d'entre eux.
  8. En général mes humeurs me portent plutôt chance, qu'elles soient bonnes ou mauvaises. Je ne suis pas du genre par exemple à tout casser (comme certaines de mes connaissances) lorsque j'ai de la peine ou lorsque je suis énervée ou bien stressée, je m'efforce de prendre des résolutions utiles, de trouver des solutions ou du réconfort raisonnablement, voire de mettre les choses au point, d'exprimer ce qui pose problème. Ni tellement du genre à exploser de rire quand il faut respecter le sérieux, le calme ou la peine d'autrui. Il m'est déjà arrivé de m'emporter au cours de ma vie mais ce n'est quand-même pas dans mes habitudes, ou en tout cas pas extrêmement... Quoi qu'il en soit, dans la journée je passe par toutes sortes d'émotions en fonction de la situation, la joie, l'inquiétude, la peine, la sérénité, l'agacement, etc... et à mes yeux c'est juste ma nature, ma sensibilité, auxquelles je tiens. Et j'apprécie aussi que les gens que je côtoie expriment aussi dans une certaine mesure leurs sentiments négatifs, qu'ils soient "vrais" en quelque sorte, assez naturels.
  9. Pour plaire il faut se rendre utile aux autres et/ou à soi-même, et de préférence utile d'une manière adaptée évidemment. Employer ses atouts, ses capacités, voire défendre les causes auxquelles on est sensible, valoriser sa santé, son potentiel et son charme à bon escient. Si on est solitaire ou hypersensible par exemple, on peut aussi envisager des activités utiles prenant en compte ces particularités, ou trier ses rencontres ou relations en fonction. Toute activité ne nécessite pas de se confronter à un niveau de bruit important. Et si on ressent le besoin que ses opinions soient mieux comprises, l'écriture/expression publique ou l'expression artistique sont des moyens parmi d'autres d'y travailler par exemple, voire se rapprocher de personnes partageant des points communs, des vues, auxquelles on tient. Mais l'écriture/expression publique, ou l'expression artistique, entre autres, par tel ou tel biais, peuvent avoir des conséquences qu'il faut suffisamment anticiper, nécessite de mesurer assez ses actes/paroles/créations pour éviter qu'elles ne risquent de trop poser problème par la suite... Cependant chacun ses propres responsabilités, on n'est pas responsable de toute mauvaise interprétation/utilisation de la part d'autrui de ce que l'on dit, fait ou crée, d'autant que "ne rien faire" peut éventuellement s'avérer plus risqué qu'agir d'une manière mesurément risquée.
  10. sirielle

    Compter son argent?

    Voyager pendant ses vacances ne nécessite pas dans tous les cas d'être riche, ça peut même parfois représenter une économie individuellement. Par exemple si on est invité.e par une connaissance dans un autre pays ou dans un coin particulier de la France, avec hébergement offert, etc... ou encore, comme ça arrive parfois plus particulièrement aux femmes par exemple, quand le voyage nous est payé (le prix des divers moyens de transport diffère aussi). Et puis selon l'endroit où l'on va la vie sur place peut aussi s'avérer moins chère que là où on habite habituellement, etc... (Cela dit si pour beaucoup voyager représente un but, ce n'est pas le cas pour tout le monde d'autant que voyager peut comporter d'importants inconvénients divers, et on peut aussi passer de bonnes vacances sans voyager...) Et puis pour le restaurant c'est un peu pareil, il existe des restaurants très différents les uns des autres avec des échelles de prix très différentes, donc compter ou pas ses achats au "restaurant" n'est pas forcément trés révélateur du niveau de vie. D'autre part on peut vouloir surveiller les prix non pas par faute de moyens, mais par souci de ne pas payer un produit plus cher que la valeur qu'on veut bien lui attribuer.
  11. Exprimer ses propres opinions ouvertement, c'est un peu les imposer, les imposer à l'entendement de l'interlocuteur ou de celui/ceux à qui on les exprime. On ne peut pas se permettre raisonnablement d'exprimer son opinion morale, son jugement, en toute circonstance, mais on peut se le permettre en bien des occasions, et plus particulièrement par exemple au quotidien auprès de nos proches, ceux qui apprécient notre manière de penser et de juger. Avec eux, on peut avoir plus couramment tendance à affirmer nos jugements y compris éventuellement au sujet de leur propre attitude, parce que le lien amical, fraternel, amoureux ou parental qui nous unit peut plus ou moins selon les cas ouvrir la porte à s'exprimer plus librement par une sorte de consentement respectif plus ou moins implicite ou explicite ouvert à la connaissance de l'autre et de ses sentiments divers (sachant quand-même qu'exprimer un jugement abusif ou malvenu peut altérer ce lien et inversement). C'est aussi possible par exemple lorsqu'on écrit un livre ou un article, le lecteur étant normalement libre de lire le livre ou non, on peut y affirmer nos jugements (sous réserve de suffisamment de bienséance en principe) sans craindre qu'ils ne soient trop intrusifs, même s'ils ne sont pas validés par les règles ou la morale sociale officielles (sachant là aussi que la qualité des jugements en question pourra influer sur l'ouverture ou la fermeture du lecteur, mais les affinités morales à tort ou à raison peuvent aussi influer). La tendance à exprimer ses propres jugements dépendra donc du degré (mesuré ou non) d'introversion/extraversion sociale ou relationnelle, associé au degré de moralisme propre s'il s'agit de jugement moral. Or le moralisme propre est essentiel à un esprit critique relativement mature pour son existentialisme, mais il doit tenir compte aussi du libre-arbitre respectif, libre-arbitre impacté par les droits et interdits sociaux (Ceci dit, un jugement moral peut aussi éventuellement représenter une agression (parfois volontairement), voire une tentative d'humiliation, juste ou injuste, il peut éventuellement être offensif, mais pas forcément.). Quant à juger l'extraversion sociale, elle représente au moins dans une certaine mesure une liberté, une liberté que chacun peut plus ou moins décider légitimement de saisir ou non.
  12. En tout cas, pour ce qui me concerne, mes relations sexuelles les plus réussies n'étaient pas forcément celles avec les hommes les plus "imposants" à première vue au départ à ce niveau, parfois oui, parfois non. Je dirais que l'essentiel est surtout d'être bien assortis dans l'ensemble...
  13. Au premier abord je ne porterais pas attention à cet aspect et il n'aurait aucune influence sur mon attitude à l'égard de l'homme. D'autre part je ne jugerais pas physiquement l'homme en question à ce sujet car je sais déjà qu'un (tel) vêtement peut modifier plus ou moins la forme corporelle, et j'estime qu'il est généralement inconvenant de porter un regard à ce niveau en société. Et puis je ne choisis pas mes fréquentations de cette façon. Cependant, j'ai tendance en général à préférer qu'un homme s'assume suffisamment tel qu'il est d'un point de vue physique, qu'il ne soit pas trop coquet, qu'il soigne son apparence oui, mais pas à outrance ou pas par n'importe quel moyen, qu'il ne s'apparente pas trop à une fashion victim. Mais s'il s'agit d'une protection assez justifiable, comme c'est parfois le cas, c'est bien entendu différent.
  14. La sexualité féminine est davantage objetisée que celle des hommes, et sert davantage d'argument commercial, bien que ça ne signifie pas non plus que les hommes ne le sont aucunement. La séduction masculine passe davantage par d'autres atouts que la seule apparence physique, en partie parce que les femmes furent longtemps davantage à l'écart de l'organisation sociale, et davantage cantonnées au service de la sphère familiale et du couple (voire de la sexualité pure), avec la séduction physique qu'il suppose, voire aussi au choix de consommation du foyer au quotidien (la ménagère de moins de cinquante ans par exemple avec le principe du modèle consommateur, la femme à imiter par ses semblables dans ses choix à travers aussi son apparence et sa désirabilité (rf mimétisme ou biais de mimétisme), voire son statut d'objet de faire-valoir pour l'homme.). Les hommes ont dû subvenir principalement pendant longtemps aux besoins financiers du foyer, et le travail social que cela suppose (quitte à prendre un certain nombre de risques pour eux-mêmes et leur intégrité physique), ce qui constituait un critère de charisme social important. D'autre part culturellement (et en partie naturellement) les hommes prennent davantage les devants pour les relations de couple, et le critère de premier abord est souvent visuel, alors que les femmes sont davantage dans un choix de comparaison d'ensemble entre les divers prétendants (il s'agit seulement d'une tendance de départ, pas d'une vérité absolue, d'autant qu'elle tend depuis pas mal de temps déjà à décliner partiellement). La mise en avant du corps féminin conforme aux normes esthétiques, fut longtemps (et constitue encore souvent) un argument publicitaire biaisant, mais au fil du temps, et avec l'"explosion" de la télécommunication, elle devient de plus en plus, après une utilisation extrême au départ par les divers médias et domaines artistiques, considérée comme "ringarde", "vulgaire", mal perçue car peu subtile, sur-usitée, et avérément peu garante de la qualité du produit/service vanté, ainsi que du charisme de l'éventuel homme à faire-valoir. Et le culte du corps et de l'apparence (et ses éventuelles dérives) au fil du temps touche davantage progressivement à part égale les deux sexes (au travers aussi (mais pas uniquement et avec une certaine réserve de bienséance) de la valorisation du sex-appeal), avec les critères de séduction physique à la mode qui vont avec, principalement dans l'optique du bien-être, du succès et de l'épanouissement personnel.
  15. C'est une tendance qui date d'il y a longtemps. L'adolescence est particulièrement une période d'appropriation de son propre corps, du début de l'auto-contrôle de l'alimentation, avec parfois les régimes de toute sorte, voire parfois le début des troubles alimentaires, mais aussi les dépenses énergétiques peuvent être importantes à cet âge (Le peu de moyens des étudiants entre autres peut aussi jouer un rôle, etc...). La peur du surpoids, voire la grossophobie, la peur d'être moqué ou d'être considéré comme peu séduisant, gros, en cas de kilo superflu, entre autres, contribuent aussi parfois à conduire à l'extrême inverse, d'autant que la mode valorise souvent l'extrême minceur surtout pour les femmes, or la mode peut avoir beaucoup d'influence sur les repères esthétiques des adolescents. Mais contrairement à ce que certains clichés pourraient parfois laisser penser une femme ou jeune femme d'une minceur extrême ou excessive n'est pas forcément une personne plus dans la maîtrise, dans la volonté, qu'une femme en surpoids, en d'autres mots une personne maigre ne l'est pas forcément tellement plus par choix, mais parce que son mode alimentaire (entre autres) pose possiblement problème dans les deux cas (sachant quand-même que certains s'improvisent abusivement médecins, il existe une marge de poids correcte d'un point de vue strictement médical). Pourtant si une personne est en surpoids, on dira moins systématiquement qu'elle est trop influencée par une mode esthétique néfaste, et qu'elle veut être dans l'état dans lequel elle est, même si le problème peut être un peu équivalent donc (pas totalement), un problème d'inadaptation alimentaire (entre autres, et relativement à la dépense énergétique et à la morphologie propre) pouvant avoir diverses causes psychologiques ou d'influences environnementales (voire économiques parfois...), associé à une affirmation sociale de soi, voire à la séduction sociale que démultiplient les réseaux sociaux. Et lorsqu'on entend une personne en surpoids dire "Si je mets en valeur mon corps sur les réseaux ce n'est pas dans l'intention de promouvoir le surpoids, mais seulement parce que j'aime me valoriser physiquement, ou faire de belles photos.", ça peut être parfois pareil pour une personne maigre par rapport à la maigreur.
  16. sirielle

    Compter son argent?

    Je surveille un peu les prix, que le prix corresponde assez bien à mes yeux à l'utilité de l'achat, et je consulte mes comptes bancaires régulièrement. Mais par contre je ne calcule pas le montant total de mes achats divers avant de les payer en général, sauf si j'ai un objectif de dépense, comme par exemple quand il faut dépenser minimum 50 euros pour avoir 5 ou dix euros de remise... Pour les vacances, je ne compte pas précisément non plus d'habitude, car je n'ai pas besoin de compter pour savoir à peu près ce que je dépense.
  17. A une époque lointaine j'habitais un petit appartement dans un grand immeuble peuplé surtout d'étudiants, de jeunes adultes. Une journée, alors que j'étais restée au lit, quelqu'un frappe à ma porte. Je décide de ne pas répondre car j'étais couchée et je n'attendais personne. Soudain, après avoir frappé plusieurs fois, la personne se met alors à donner de grands coups dans la porte qui finit par céder rapidement. De la porte ouverte de ma chambre je vois apparaître dans mon salon l'un de mes voisins (que je ne connaissais que de vue) en train d'enfiler des gants. Puis il tourne la tête et me voit qui le regarde effrayée. Il part de chez moi aussitôt...
  18. Pas de souci, c'est ton point de vue...
  19. Pour ma part je crois que la valeur de la vie prime sur la valeur de l'amour. Se comporter dignement favorise une belle vie mais ne suffit pas à une réussite parfaite. Les vies des uns et des autres se croisent et quoi que Dieu veuille parfois c'est une chance de se rencontrer et parfois non au contraire. Parfois on peut tout perdre, ou perdre beaucoup, même si aucun Dieu ne l'a voulu, seulement à cause d'un malheureux accident, un mauvais concours de circonstances, ou d'un mauvais choix dans son entourage par exemple... Si Dieu était le responsable de tout et n'importe quoi, le libre-arbitre n'existerait pas, la responsabilisation individuelle n'existerait pas, le jugement des comportements respectifs n'existerait pas, la notion de démon même n'existerait pas, etc...
  20. Le mot "tromperie" parle de lui-même, il y est question de tromper, de berner donc. Il est surtout question de simple infidélité dans votre histoire si on s'attache au sens des mots, voire de libertinage. Aller voir à droite à gauche est toujours un bouleversement relationnel mais c'est quand-même quelque chose de courant pendant un temps ou plus régulièrement, voire de naturel parfois si on n'en abuse pas. D'autant que d'après votre récit vous ne désirez plus votre mari (peut-être que votre relation n'est donc plus que platonique), or on reste une femme ou un homme toute sa vie, avec les crushs qui vont avec, et qui comptent plus ou moins selon les cas...
  21. "Le renard et les raisins." Dans cette fable le renard n'a pas signé quelconque contrat, quelconque engagement auquels il tiendrait pour son avenir. Simplement le raisin ne lui était pas accessible. Or avoir des amants ou des maîtresses, si on le veut, est relativement facilement accessible à beaucoup de gens. Tous les couples ne tiennent pas sur la durée du point de vue passion amoureuse, c'est bien connu, et à notre époque le mariage est moins prisé qu'autrefois, d'autant que le contexte social a grandement évolué, les femmes sont plus indépendantes socialement par exemple. Mais une infidélité sexuelle n'est pas forcément une tromperie par contre, lorsque les choses sont assez dites et consenties de part et d'autre notamment. Question de choix personnel donc, tant que le respect est assez présent à l'égard de chacun, et que les potentielles conséquences diverses sont assez bien mesurées...
  22. Oui, c'est ce que je pense, ça fonctionne bien. Personnellement en tout cas ça me convient comme ça. Et pour moi, en couple, l'attirance physique réciproque est primordiale.
  23. Pour ma part je mise sur le physique, je me mets en valeur physiquement avec des tenues féminines, je danse à l'occasion si le contexte s'y prête dans la soirée en question, c'est tout.
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