azed1967
Membre-
Compteur de contenus
4 597 -
Inscription
-
Dernière visite
Type de contenu
Profils
Forums
Blogs
Calendrier
Vidéos
Quiz
Movies
Tout ce qui a été posté par azed1967
-
la belgique n'est pas LAIC mais NEUTRE. la Belgique n'est pas la france
-
tout à fait c'est LA solution. on verra après ce diront les lycées publique (revenez ! revenez ! vous pourrez porter le niqab si vous voulez !) -> chomage directe ! y en a qui se tire une balle dans le pied
-
la solution c'est les juifs qui l'ont trouvé, des écoles privées musulmanes sont à créer de toute urgence que ces lycées ferment leurs portes, faute d'élèves qui à la base leur offre un emploi à ces profs ou directeurs de lycées. il y a en a quelques unes qui existent faut juste en créer d'autres !
-
tu devrais aller faire un tour à anvers dans le quartier juif d'anvers, ils ne sont pas très discrets les juifs d'anvers
-
«En classe, on voudrait des petits blonds avec nos enfants» REPORTAGE Mobilisées depuis trois mois à Montpellier, des mères d’élèves d’origine marocaine dénoncent une ghettoïsation scolaire. Et commencent à être entendues par les autorités. «Non au ghetto, oui à la mixité.» Tracé sur un grand drap bleu accroché aux grilles de l’école élémentaire Joseph-Delteil, le message est immanquable. Le long de l’établissement s’étirent d’autres slogans : «L’avenir pour nos enfants», «Pas de fatalité». Les tissus se trouent, les lettres s’effacent, mais les revendications restent. Au Petit Bard, un quartier populaire d’environ 6 000 habitants situé dans le nord-ouest de Montpellier (Hérault), les mères d’enfants scolarisés dans deux maternelles et deux écoles primaires (classées en Réseau d’éducation prioritaire renforcé) se battent depuis trois mois pour obtenir davantage de mixité. «Ces quatre écoles réunissent environ 600 enfants, tous d’origine marocaine, à l’image de la population du Petit Bard, presque exclusivement originaire du Maroc, témoigne Safia, l’une des mères engagées dans ce combat. Valls avait dénoncé l’apartheid social : alors on a saisi cette perche et on ne la lâchera plus. On veut que nos enfants, citoyens français, soient considérés et éduqués comme les autres. Comment voulez-vous qu’ils se sentent Français alors qu’ils grandissent exclusivement entre eux ? On aimerait bien que, sur les photos de classe, il y ait des petits blonds ou des petits roux assis à côté d’eux.» Safia, Fatima, Malika, Haïcha ou Khadéja parlent d’une seule voix. Aucune ne revendique de leadership. Engagées dans une même lutte, témoignant d’un parcours similaire : nées au Maroc, mariées, mères au foyer, musulmanes pratiquantes, voilées. Certaines ont travaillé avant de se consacrer à leurs enfants, comme Fatima, «quatorze ans d’expérience dans le ménage». D’autres ont suivi des études secondaires, à l’instar d’Haïcha : «J’étais en comptabilité. Quand mes deux enfants seront plus âgés, je chercherai du travail. Mais je n’ai pas trop envie qu’ils grandissent ici.» La plupart de ces femmes vivent depuis leur enfance au Petit Bard, arrivées gamines au bras de leurs parents. «Avant, c’était mieux, raconte Khadéja. Il y avait une église, un boulanger, un tabac-presse… Des Asiatiques, des Africains, des Français, d’autres gens vivaient ici. Les instituteurs habitaient le quartier. Et puis ces gens-là ont déménagé : on n’a pas fait attention mais, peu à peu, il n’y avait plus que des Marocains. Notre génération a connu la mixité à l’école, pas nos enfants.» Terrain miné C’est un simple courrier qui a fait flamber leur colère. Reçu fin 2014, il les informe que tous les élèves de CM2 du Petit Bard doivent s’inscrire à la prochaine rentrée au collège Las Cazes, un établissement souffrant d’une image peu flatteuse. «Auparavant, une partie des enfants du quartier pouvait rejoindre le collège Rabelais, où la mixité est plus importante. Mais à Las Cazes, il n’y a aucune mixité, dénonce Fatima. Du coup, nous avons réalisé que les enfants du Petit Bard allaient tous se suivre de la maternelle à la fin du collège, sans découvrir la culture de l’autre et le vivre ensemble, sans mélange, sans ouverture…» Dès lors, réunies dans un collectif, elles décident de remuer ciel et terre : lettres à la mairie, au rectorat, à «Najat», rendez-vous avec les élus, création d’une page Facebook, manifestations, organisation d’une marche citoyenne jusqu’au centre-ville de Montpellier… Chaque midi, jonglant avec leurs impératifs familiaux, elles sont une dizaine à se retrouver à l’école Joseph-Delteil : les enseignants dégotent toujours une salle libre pour elles. Là, entre cahiers et tableaux noirs, les gamins dans les jambes, elles s’organisent, planifient les rendez-vous, échangent des nouvelles, reçoivent des journalistes. Désormais soudées par des expériences qu’aucune d’entre elles n’aurait imaginées. Tandis qu’une trentaine de femmes s’activent au sein du collectif, les pères semblent absents. Et pourtant : «Ils sont à 100 % derrière nous mais ils travaillent, affirment en chœur leurs épouses. Ils sont fiers de nous, nous encouragent. Beaucoup ne sont pas allés à l’école ; alors ils veulent que leurs enfants réussissent.» Mais les jours passent, les mères ont le sentiment qu’on les balade et que personne ne souhaite vraiment s’engager sur ce terrain miné. Le 4 mai, elles décident de bloquer les écoles du Petit Bard. La pression monte : elles obtiennent finalement la tenue d’une table ronde, le 20 mai, au rectorat. Des représentants de l’Education nationale, de la CAF, de la ville, du département, de la préfecture, de la cohésion sociale se retrouvent assis, médusés, face à une poignée de mamans qui se paient même le luxe d’inviter à cette table quatre chercheurs travaillant sur la mixité… «Ils nous ont dit que notre mouvement venait légitimer leurs constats», raconte Safia. «Truc de bonnes femmes» Dans les écoles du Petit Bard, où les équipes pédagogiques avaient vainement tenté d’alerter la hiérarchie quant à l’ampleur que prenait le mouvement, on rit sous cape. «Ces femmes ont pris les choses en main et ont contraint tout le monde à s’asseoir autour d’une même table, c’est royal !» s’amuse Myriam Bouchet, directrice de la maternelle Jules-Michelet. «Au début, leur mouvement n’était pas pris au sérieux, on disait que c’était un truc de bonnes femmes, raconte Karine Ory, directrice de l’école élémentaire Joseph-Delteil. Ensuite, on a pensé que nous, enseignants, nous les manipulions. Quand les institutions ont compris que ce n’était pas le cas, elles ont commencé à réfléchir.» «Avec leur candeur et leur détermination, ces femmes ont bousculé l’ensemble des codes hiérarchiques, enchaîne Marie-Françoise Camps, directrice de l’école maternelle Geneviève-Bon. Nous assistons à un moment d’émancipation, de prise de conscience politique.» «A la sortie de l’école, un habitant du quartier m’a dit : "Ce mouvement nous redonne de la dignité"», se souvient, émue, Myriam Bouchet. Dès le lendemain de cette table ronde, les mères mettent fin au blocage. Elles ont obtenu le gel temporaire de la carte scolaire, autrement dit la possibilité de ne pas envoyer leurs enfants à Las Cazes. Certaines familles ont déjà déposé des demandes de dérogation : «On nous a dit qu’elles seraient étudiées avec bienveillance», glisse Fatima. Pourtant, chacun doit bien admettre que rien n’est réglé. Dans les écoles d’où est parti le mouvement, les enseignants font toujours bloc derrière les mères mais restent circonspects : «Le Petit Bard est un ghetto, l’école reflète le Petit Bard», résume une directrice. Ici, des familles continueront à utiliser le jeu des options pour inscrire leurs enfants dans un collège loin du quartier, tandis que d’autres se tourneront vers le privé. «Mais les listes d’attente sont longues», note Haïcha. «Collège d’excellence» Du côté du département, on reste d’une grande prudence. «On ne peut pas accepter que chaque famille puisse faire le choix de son collège d’affectation, sinon c’est la fin de l’école républicaine, argumente Renaud Calvat, conseiller départemental chargé des questions d’éducation. Si la sectorisation était respectée et que toutes les familles concernées envoyaient leurs enfants à Las Cazes, il y aurait de la mixité dans cet établissement qui ne compte actuellement que 340 élèves, alors qu’il a été prévu pour en accueillir 800. L’objectif pour nous à présent est de transformer Las Cazes en un collège d’excellence, de redorer son image, de le doter d’autres options. Et, bien sûr, il va falloir retravailler sur la sectorisation.» Le dossier pose également problème à la ville : Isabelle Marsala, adjointe déléguée à la réussite éducative, a comptabilisé 53 demandes de dérogation concernant, cette fois, les écoles maternelles et élémentaires du Petit Bard. «Ces demandes sont uniquement motivées par la non-mixité de ces établissements, commente l’élue. Il faut bien reconnaître que, dans un quartier non mixte, l’école est non mixte…» «Ces femmes posent une question de fond à l’ensemble des responsables des politiques publiques, admet Anne-Marie Filho, directrice académique des services de l’Education nationale. Mais retravailler une carte scolaire afin d’assurer une vraie mixité n’est pas simple.» Ce qui a sans doute changé, c’est le rapport de forces, d’autant que ces mères ont gagné une visibilité qui ne cesse de les surprendre : quatre d’entre elles seront les «invitées surprises» de la conférence internationale dédiée à la mixité sociale, scolaire et ethnoculturelle, organisée à Paris, ce jeudi et vendredi. Affairée à boucler ses valises pour rejoindre la capitale, Safia savoure l’instant mais garde la tête froide : «Ce que l’on souhaite à présent, c’est travailler avec les institutions, établir un échéancier, participer aux décisions. Les responsables savent qu’on ne lâchera rien et que, désormais, il faut compter avec nous. Les décisions prises pour nous et sans nous, c’est fini.» http://www.liberation.fr/societe/2015/06/03/en-classe-on-voudrait-des-petits-blonds-avec-nos-enfants_1322454?utm_campaign=Echobox&utm_medium=Social&utm_source=Facebook
-
il a été interpellé par la police
-
Y en a marre d'entendre Laïcité par-ci Laïcité par là !
azed1967 a répondu à un(e) sujet de Pales dans Religion et Culte
pour cela faudra supprimer les droits de l'homme d'abord tu peux toujours rêver, les gens sont libre de se vetir d'un voile pas le niqab mais le voile simple on retire les droits de l'homme et on se retrouvera en dictature sinon votre maman est comme robert menard un jour à gauche le lendemain à droite -
ça lui ferait donc trois trous de balles, ...
-
le football est l'exemple à prendre pour résumer le racisme et aucun peuple n'en a le monopole ça commence par le village d'à coté et ça finit avec le reste du monde, le foot c'est ça ! du racisme qui se libère
-
'Faut pas rêver ! Il n'y aura JAMAIS d'état palestinien
azed1967 a répondu à un(e) sujet de azed1967 dans International
Israël: «Toute cette terre est à nous», dit une haute diplomate La nouvelle ministre adjointe des Affaires étrangères israélienne a affirmé que toute la terre entre Jourdain et Méditerranée appartenait à Israël et a invoqué les écrits juifs sur la création du monde à l’appui de ses dires, selon une vidéo consultée vendredi. « Il est important de dire que cette terre est la nôtre, toute cette terre. Nous n’avons pas à nous excuser d’être venus ici », a dit Tzipi Hotovely jeudi aux diplomates et aux employés du ministère. Ces propos couvrent en particulier le territoire palestinien de Cisjordanie occupé. Ils vont à l’encontre des grands projets internationaux de résolution du conflit israélo-palestinien, qui prévoient la création d’un État palestinien constitué de la Cisjordanie et de la bande de Gaza. http://www.lesoir.be/885997/article/actualite/fil-info/fil-info-monde/2015-05-22/israel-toute-cette-terre-est-nous-dit-une-haute-diplomate -
*** sur le même sujet, la majorité des croyants, ceux qui croient le font souvent à cause d'une soufffrance, un deuil, un handicap, une maladie,... j'ai eu une prof de morale laic qui se disait athée. elle a perdu tout ses enfants dont une de ses filles enceinte dans un accident de voiture très violent, et bien après ça elle allait à l'église allumer des bougies, et en même temps donner cours de laicité la douleur y est pour beaucoup et chez beaucoup de croyants
-
allez on va dire qu'on interdit les religions et on repart à zéro on commence par votre nom et prénom nom : 12458 prénom : 885547 date de naissance ? quand le soleil était éclipsé par un nimbus ou comme les amer indiens, "loup sauvage", "nuage rouge", buffle furieux" vous avez le choix pour le calendrier , ben pas de calendrier tout simplement voici ce que pourrait être un monde sans religion
-
et tu seras le premiers à te réjouir des fêtes de noel, paques, ... les congés religieux ça a du bon n'empêche, avec les athés plus de congés sauf le 1er mai et encore.
-
quitte le sujet ça sera mieux pour tes nerfs
-
les communistes croient en une ideologie et un leader , comme les croyants croient en deu et un prophète faut relire prometheus et la boite de pandore, seul l'espoir est resté dans la boite. croire est lié à l'espoir, l'espoir d'un après la vie, d'un paradis,... je peux prendre l'exemple su spermatozoide, sait il qu'il va avec un ovule donner un être ??? pourtant il y a bien un après spermatozoide. pour la croyance c'est idem relis l'article il y a bien eu une guerre contre le religieux chez les athés mais tu es de mauvaise foi comme d'hab vas esssayer de prier en corée du nord en public et tu reviens me dire quoi !
-
alors pour la corée du nord Religion en Corée du Nord Les religions en Corée du Nord étaient traditionnellement le bouddhisme et le chamanisme dans une société basée sur le néoconfucianisme. Le christianisme a commencé à se répandre plus ou moins clandestinement à partir de la fin du XVIIIe siècle depuis la Chine suivi par le cheondoïsme, la religion de la voie céleste initiée en 1860 par Choe Je-u. Depuis l'installation d'un régime communiste et la fondation de la république populaire démocratique de Corée dans les années 1940, l'influence des religions a été fortement réduite, éclipsée par le culte de la personnalité voué au « grand Leader » Kim Il-sung et à sa famille et par l'idéologie du juche qui ne tolèrent pas de concurrence et qui sont considérés par certains comme une religion1'2. Bien que la liberté religieuse soit garantie par la constitution, la Corée du Nord est considérée par l'association Portes Ouvertes comme le pays du monde où les chrétiens sont les plus persécutés3. Officiellement, en l'an 2000, seul 0,2 % de la population pratiquait une religion. http://fr.wikipedia.org/wiki/Religion_en_Cor%C3%A9e_du_Nord lit dans le lien stp quand on a rien à dire on se tait merci !
-
retournez à l'école monsieur ! le communisme interdiit la religion et la combat. la russie a fait la guerre pour imposer à l'EST UN RéGIME athé. si un état communiste comme la corée du nord gagne sur le sud il n'y aura plus de religion au sud toi y en comprendre ? Politique anti-religieuse soviétique La politique anti-religieuse soviétique de 1928 à 1941 est une nouvelle phase de la persécution religieuse en Union soviétique. Cette politique commence en 1929 à la suite de la création d’une nouvelle loi interdisant sévèrement les activités religieuses et appelant à un durcissement des attaques contre la religion afin d’encourager la diffusion de l’athéisme. Cette loi fait suite au 15ème congrès du parti au cours duquel Joseph Staline critiqua ce dernier au sujet de son incapacité à produire une propagande antireligieuse plus active et plus persuasive. Cette nouvelle phase coïncide avec le début de la collectivisation forcée de l'agriculture et la nationalisation des rares sociétés privées. Beaucoup de ceux qui furent arrêtés dans les années 1920 continuèrent à rester en prison durant, et même après, les années 1930. La cible principale de la politique anti-religieuse des années 1920 et 1930 est l'Église orthodoxe russe, église qui rassemble le plus grand nombre de fidèles. Presque tous les membres de son clergé, et un bon nombre de ses fidèles, furent fusillés ou envoyés dans des camp de travail. Les écoles théologiques furent fermées, et les publications religieuses furent interdites1. Pour la seule année 1937, plus de 85.000 prêtres orthodoxes furent tués2. Seul un douzième des prêtres de l'Église orthodoxe russe gardèrent leurs fonctions dans leurs paroisses en 19413. Entre 1927 et 1940, le nombre d’églises orthodoxes dans la république russe chuta de 29 584 à moins de 500. La politique anti-religieuse se ralentit à la fin des années 1930 et au début des années 1940, et s’arrête brutalement après le début de l'opération Barbarossa 1. L’effort national demandé par l'invasion allemande a peut-être finalement empêché la disparition de la religion dans la société soviétique4. Toutefois, la campagne antireligieuse se rallume après la guerre : si 70 % des lieux de culte existant en 1917 étaient fermés en 1935 (et 95 % en 1940), leur nombre se maintient encore à 85 % en 19455, et la liberté religieuse en URSS restera problématique bien après la mort de Staline, jusqu'à l'arrivée de Gorbatchev au pouvoir. Cette politique cherchant à éliminer toute forme de religion et à instaurer un athéisme basé sur une vision matérialiste du monde6 fut accompagnée de déclarations officielles niant toute persécution religieuse en URSS, et assurant que les croyants pris pour cible l’étaient pour d'autres raisons. http://fr.wikipedia.org/wiki/Politique_anti-religieuse_sovi%C3%A9tique
-
le communisme est athé et a fait la guerre, la corée du nord est athée et en guerre contre le sud et les usa vous devriez retourner à l'école
-
Des militaires français soupçonnés de viols pédophiles en Centrafrique
azed1967 a répondu à un(e) sujet de Doïna dans International
ah ben tiens le gars est schizo en fait pour israel il ne met pas les israeliens et les palestiniens su le même pied allez consulter un, deux ou trois psy mon vieux. -
Des militaires français soupçonnés de viols pédophiles en Centrafrique
azed1967 a répondu à un(e) sujet de Doïna dans International
oui aussi le kamtchakcha et la laponie, sans parler du fleuve zambaise -
non des serbes de provence
-
non je parle de l'armée d'afrique ! du maroc en particuliers. si on en revient à 40 comptez juste sur vous même , la colonisation c'est finit
-
en tout cas si ça devient comme en 40 démerdez vous on en va pas venir se tuer pour votre tête
-
après l'étoile jaune , le croissant vert. ça commence sérieusement à puer en europe
-
bon week end
