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Tout ce qui a été posté par Eventuellement
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Première possible détection d'une onde gravitationnelle
Eventuellement a répondu à un(e) sujet de Eventuellement dans Sciences
... tout comme on peut dire homme de science ou femme de science. Ce que je vous dis, en somme, c'est qu'il est inutile de vous acharner sur Frelser. Vous y voyez quel intérêt ? -
Première possible détection d'une onde gravitationnelle
Eventuellement a répondu à un(e) sujet de Eventuellement dans Sciences
Bon, laissez ce brave bonhomme croire ce qu'il veut. Les personnes de science se feront leur propre avis. -
Pourtant les uns n'ont pas de bras et les autres... non plus
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Attention, pas la conservation de la quantité de mouvement, mais la conservation du moment cinétique. Même raison pour laquelle certains trous noirs conservent la rotation qu'ils avaient auparavant, du temps de leur existence en tant qu'étoile.
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Première possible détection d'une onde gravitationnelle
Eventuellement a répondu à un(e) sujet de Eventuellement dans Sciences
Je n'ai jamais dit que l'article se trompait. Je relevais juste une coquille dans ton message précédent. Bien à toi -
Première possible détection d'une onde gravitationnelle
Eventuellement a répondu à un(e) sujet de Eventuellement dans Sciences
Bof, le bruit est d'intensité importante (l'amplitude max du bruit vaut la moitié de l'amplitude max du signal théorique). Ce n'est pas une comparaison d'amplitude qui justifiera le modèle, mais bien un filtrage du signal mesuré. Sauf qu'ici, un filtrage est particulièrement malvenu, puisque la fréquence du signal théorique n'est pas une constante du temps. En l'occurrence, elle augmente avec le temps. Or le bruit est un signal erratique composé de hautes fréquences, et filtrer les hautes fréquences reviendrait à supprimer une partie pertinente du signal. C'est la raison pour laquelle les chercheurs ont soustrait le signal théorique au signal expérimental, pour en extraire un résidu. Ce n'est donc pas un bruit stricto sensu (les spécialistes du traitement du signal te matraqueraient pour ça), mais une erreur devant la théorie. De même, on parle de résidus en CFD lorsqu'il s'agit de faire la différence entre le résultat d'un calcul à un temps donné avec le résultat précédent, souvent moins proche du résultat de convergence. Des résidus très faibles et évoluant de manière stationnaire montrent en général que le résultat tend vers la solution attendue. C'est ce genre de raisonnement que l'on retrouve ici : Les résidus sont statistiquement décorrélés et d'amplitude bornée. Super ! -
On assassine joyeusement à Madagascar
Eventuellement a répondu à un(e) sujet de Dan229 dans International
... et toujours dans la bonne humeur ! Disons que des personnes qui se laissent tuer en souriant, ça donne toujours la pêche. -
Evidemment ça arrangerait tout le monde mais la Nature est ainsi faite. Et si tu penses que les hommes (ou femmes, c'est selon ce que tu penses) n'opèrent pas ce genre de distinctions et de préférences, alors tu t'enfonces le doigt dans l'oeil. La sélection doit se faire comme dans le reste du monde animal, pour que la descendance dispose des meilleurs gènes. C'est quelque chose qu'on peut déplorer à titre personnel mais qu'on doit accepter car la Nature nous dépasse.
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Moi et l'Ecriture
Eventuellement a commenté un(e) billet du blog de Olaya dans Olaya Blog: Moi et l'Ecriture
Bonsoir, Ce é qui sonne fort hèle l'autre, interpelle, je l'entends comme un appel humain à l'échange ou comme le cri d'une personne qui appelle à l'aide. Tu fais bien de parler de cette dimension presque pittoresque du mot écriture, parce que le mot en tant que contenant me paraît déjà performatif : L'écriture est un acte fort avant d'être une oeuvre symbolique, mais l'est-elle toujours autant lorsque nos mots se perdent et se noient dans l'immensité du web ? -
Première possible détection d'une onde gravitationnelle
Eventuellement a répondu à un(e) sujet de Eventuellement dans Sciences
Ici un lien direct vers la vidéo : Ca va commencer très bientôt -
Première possible détection d'une onde gravitationnelle
Eventuellement a répondu à un(e) sujet de Eventuellement dans Sciences
La rumeur dit que la revue Nature devrait faire passer un communiqué ce jeudi. -
Première possible détection d'une onde gravitationnelle
Eventuellement a posté un sujet dans Sciences
Bonjour, Source : http://www.sciencese...-1ere-fois.html Pourquoi les ondes gravitationnelles sont-elles si fascinantes ? Elles sont issues d'un couple de corps massiques orbitant autour d'un centre de masse commun. Nous pouvons imaginer que, l'espace-temps se comportant comme un milieu matériel (bien que n'en étant pas un !), le mouvement des corps entraîne la propagation d'une information dans l'espace-temps qui doit se "réorganiser" pour s'adapter à la trajectoire des corps mouvants. Cette information est une onde qui sera polarisée (elle peut être typiquement polarisée dans deux directions). Propriétés intéressantes de ces ondes : Elles peuvent se propager dans le vide, tout comme la lumière, et n'ont pas besoin d'un support matériel pour être créées. De plus, elles ne sont au plus que très faiblement dispersées par la matière, ce qui permet une transmission spatiale fidèle de l'information qui y est contenue. En nous parvenant, nous obtenons des données précieuses concernant le mouvement et les caractéristiques de corps lointains. Seulement elles sont très très difficilement détectables ! La polarisation h+ est donnée par -(4/R)G²m1m2/(rc4) si nous considérons un alien observant l'orbite Terre-Soleil. S'il se situe à une année-lumière, h+ sera de l'ordre de 10-26 m, une amplitude qu'aucun appareil ne peut observer de nos jours. En comparaison, j'ai mené le calcul avec les deux trous noirs présentés dans l'article, et en considérant les masses qui sont données, en supposant que la distance qui sépare leur centre de masse respectif est de 3,1*1013m (j'ai pris 0,001 pc, distance raisonnable pour un tel système), et considérant que nous les observons à une distance d'une année-lumière, le calcul donne un h+ de l'ordre de 10-20 m (nous le verrons après, c'est une distance qui peut être mesurée par le dispositif LIGO). Le principal défi a été de pouvoir isoler le système de détection pour qu'il ne soit sensible qu'à ces ondes en particulier. Pour cela, les scientifiques utilisent un interféromètre de Michelson, appareil optique extrêmement sensible pouvant détecter des petites variations de chemin optique (différence de marche) entre deux faisceaux émanant d'une même source et que l'on fait interférer avec elle-même. Isoler le système, voilà une entreprise extrêmement ardue, car les sources de bruit sont multiples sur Terre. Entre l'activité géophysique du globe et toutes les possibles sources de vibration causées par les êtres vivants en général, il est quasiment impossible d'extraire la précieuse information dont l'amplitude est de loin bien plus petite que toutes ces perturbations. Une voie d'exploration ? Il est tout à fait possible de filtrer le bruit en utilisant des filtres numériques, car nous savons que le signal d'une onde gravitationnelle est périodique (a priori, puisque le rayon orbital d'un système binaire décroît en général très lentement). On dit que le signal est une onde chromatique (ne contenant qu'une seule période spatiale). Cependant, une connaissance précise de la fréquence de rotation des objets est requise afin de pouvoir ajuster correctement la bande passante, et ce n'est pas donné ! Un autre obstacle à de grandes fréquences d'utilisation sont le bruit de grenaille et le bruit thermique. Le premier est dû à une émission temporellement aléatoire des photons dans le dispositif, et le deuxième est tout simplement dû à l'agitation thermique. C'est aussi pour cela que les scientifiques travaillent à des températures de quelques mK dans des dispositifs supraconducteurs. Le LIGO, aux Etats-Unis, serait capable de détecter des polarisations dont l'amplitude est de l'ordre de 10-20m, et pourra bientôt être surpassé par des dispositifs encore plus précis qui seront disposés cette fois-ci... dans l'Espace ! Et leur précision serait dix fois plus élevée, sinon davantage. Je pense qu'il existe un espoir que cette découverte ne soit pas relayée au rang des échecs expérimentaux. Si la mesure est concluante, nous devrions à coup sûr réitérer l'exploit en observant ultérieurement le même système, car l'amplitude de la polarisation est inversement proportionnelle à la distance séparant les objets en rotation. Puisqu'ils dissipent leur énergie mécanique à travers cette onde, le rayon de leur orbite diminuera au fur et à mesure du temps, ce qui signifie que l'amplitude de l'onde se propageant dans l'espace augmentera inévitablement. Néanmoins, cette augmentation ne sera pas sensible. Pour donner un ordre d'idée, la Terre perd 200 Joules par seconde en rayonnant son énergie par onde gravitationnelle. L'orbite Terre-Soleil perd donc 10-15m par jour (la taille d'un proton), et c'est à peine mesurable. A titre d'illustration, voici une vidéo montrant la simulation numérique d'une collision entre deux trous noirs. Nous pouvons voir la déformation de l'espace-temps (réduite à une simple représentation spatiale) sous les trous noirs, et pouvons également constater que la fréquence de rotation augmente logiquement selon la loi de Képler, au fur et à mesure que la distance radiale diminue. A la fin de la vidéo, nous nous plaçons dans le référentiel tournant pour visualiser l'évolution de la forme que prend l'horizon des événements.- 146 réponses
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- découverte
- relativité
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(et 2 en plus)
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Relativité Quantique à Effet Thermodynamique
Eventuellement a répondu à un(e) sujet de Frelser dans Sciences
Le premier moyen (et le plus sûr) de détecter la supercherie et l'ignorance dans ce pavé de non sens, c'est de lire le titre : "isotropique" n'existe pas dans la langue française. C'est un barbarisme employé par notre cher ami pour donner une consistance à son sujet et s'approprier une érudition qu'il n'a pas. Certains croient encore que les mots contenant plus de trois syllabes sont l'apanage du verbe scientifique... -
Non c'est pas marrant, surtout que tu risques de leur faire perdre leurs moyens et causer un accident. J'appelle cette conduite irresponsable, pas bon enfant.
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lol
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Il t'aurait mieux servi s'il n'était pas factice.
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Parce que certaines personnes aiment faire un métier qui leur plait et que ces métiers d'avenir, comme tu les appelles, ne correspondent pas à l'idée qu'ils ont d'un emploi stable et intéressant ? Oui, dans certains cas (je ne saurais te dire quelle proportion de la population active ils représentent), des travailleurs n'exercent pas un métier qui les épanouit. Mais que veux-tu, il faut de tout pour faire un monde. Je pense que le problème est mal tourné. Il faudrait plutôt nous intéresser à la raison pour laquelle, en France, tant de jeunes ne savent pas ce qu'ils veulent faire plus tard. Il est nécessaire de favoriser l'insertion professionnelle, l'orientation, mettre l'accent sur l'entrepreneuriat et finalement nous débarrasser de cet élitisme qui nous colle à la peau. Je ne trouve pas ça normal que trop de parents et enseignants poussent les élèves à suivre une voie générale ou technologique parce que ça offre le maximum de débouchés. Nous sommes un pays qui favorise l'éducation supérieure par la théorie plutôt que par la pratique, or il s'avère que le monde de l'entreprise recherche de plus en plus de personnes qui ont de l'expérience avant d'avoir du savoir. Il est d'ailleurs vrai que de réformes en réformes, notre enseignement forme des jeunes qui ont une culture générale grandissante, mais extrêmement approximative. La filière S, pour ce que j'en sais, n'apporte plus le même enseignement scientifique de qualité. Alors que devons-nous faire ? Continuer à dégoûter nos jeunes des études ou faire en sorte qu'ils mettent la main à la pâte pour découvrir enfin une vocation ?
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Dommage pour les démocrates que Sanders ne l'ait pas emportée.
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C'est tout à fait possible dans des pays d'Afrique et du Moyen-Orient, surtout si ce sont des apostates. En France et dans la plupart des cas, c'est par pudeur, et je trouve que c'est tant mieux ainsi. Personne ne devrait se sentir obligé de revendiquer ses croyances.
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Tu le tires d'où ce graphe ?
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S'ils se sont adaptés ? En apparence, mais ils restent l'une des populations les plus communautaristes de France.
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Tu ne réponds pas à ce que j'ai écrit, c'est à croire que tu ne fournis pas les moyens nécessaires pour comprendre :)
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Le temps ne passe pas plus doucement (qu'es aquo ?) dans l'espace que sur Terre. C'est même le contraire : Imaginons que l'Espace ne soit fait que de vide et qu'il existe une planète (la Terre) en un point donné. Tu te trouves à l'infini, et de là l'influence du champ gravitationnel terrestre ne se fait pas sentir. Alors tu te déplaces dans un espace-temps de Minkovski (ETM - espace-temps de la relativité restreinte, où la gravitation n'agit pas) qui est "plat" dans le sens où les géodésiques sont toutes des droites. Plus spécifiquement, la pseudo-métrique de l'espace-temps de Minkovski a pour équation ds² = -c²dt² + dx² + dy² + dz² (selon la convention choisie pour la signature du tenseur métrique). Cette distance infinitésimalement petite (au sens physicien, et pas mathématicien, Cauchy me taperait dessus) sépare deux événements aussi proches que l'on veut dans un ETM. Si tu te rapproches désormais de la Terre, la densité de ce corps (et non pas sa masse !!!) courbera l'espace-temps en lui conférant une géométrie différente. Il existe d'ailleurs cette propriété extrêmement intéressante que tout objet dans le voisinage d'un champ gravitationnel tombe (est accéléré) de la même manière indépendamment de sa masse et de ses propriétés. Ainsi, un changement dans la métrique de l'espace-temps se répercute en un changement dans la métrique spatiale : A un tenseur métrique galiléen dans un espace-temps "plat", correspond une géométrie plane (pseudo-euclidienne). Au voisinage d'un champ gravitationnel, la géométrie spatiale devient non euclidienne. Cela s'applique tant aux "vrais" champs gravitationnels au voisinage desquels la variété spatio-temporelle est courbée qu'aux référentiels non-inertiels (en accélération non nulle par rapport à un autre référentiel inertiel-dit galiléen) qui laissent, eux, l'espace "plat". Quid du délai s'écoulant entre deux points infiniment rapprochés et dû à la métrique engendrée par le champ gravitationnel ? On montre qu'il est égal à Dx0 = -(g0adxa)/(-g00) = gadxa où a = 1,2,3. Dans la plupart des cas, les termes g0a sont différents de 0, ce qui signifie que le délai est non nul : le temps s'écoule différemment entre deux horloges (soient-elles aussi proches que l'on veut). En vérité, l'impossibilité de synchroniser des horloges entre elles provient du choix arbitraire du référentiel (car la métrique dépend du temps et du référentiel). Il est toujours possible de choisir un référentiel dans lequel les termes g0a sont nuls ! En relativité restreinte, le temps propre s'écoule différemment pour des horloges se déplaçant relativement l'une par rapport à l'autre. En relativité générale, le temps propre - mesuré dans un même référentiel - s'écoule différemment pour des points situés à des endroits différents dans l'espace. Cela veut dire que le temps qui sépare deux événements se produisant successivement à un endroit donné de l'espace est en général différent du temps séparant deux événements localisés à un autre endroit de l'espace, s'étant produits de manière simultanée avec les événements précédents (Landau, Lifshitz - 1951).
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Pas faux, j'ai momentanément oublié que la densité d'un corps déforme les géodésiques spatio-temporelles et par le même biais le fait que nous ne travaillons plus localement dans un espace-temps de Minkovski... En fait, il existe deux réponses (l'une plus complète que l'autre) selon qu'on travaille du point de vue strict de la relativité restreinte ou de la relativité générale