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Ca fait peur car c'est assimilé à de la faiblesse. Comme si on tenait à la haine en fait. Pourtant on peut parfaitement repondre à la violence par la violence sans peur ni haine, ça s'apprend, ça se cultive et c'est bien plus efficace. .

Ils auraient pu le faire naitre dans l'oeuf Ion...

Quand tu en es au stade de la claque c'est justement que tu n'as plus de mots. Bien sur que les mots peuvent faire mal, plus que les coups même, c'est une raison de plus puisqu'ils sont "efficaces", à s'apprendre à s'en servir pour la resolution de conflits plutôt que de sortir la boîte à gifles trop facilement,

Ca fait peur hein la compassion... Il ne s'agit pas de ne pas repondre à la violence, il s'agit d'y repondre sans peur ni haine, c'est pas la même chose.

Ou le coup de boule hanss, :). C'est vrai ça peut soulager sur le coup, mais fondamentalement ça reste un echec que de se laisser aller à la violence.

On peut agir juste en utilisant la violence. Il suffit de l'utiliser quand elle est adaptée à la situation, mais de l'utiliser sans haine, sans rage, et même avec...compassion. Celui qui pratique l'aïkido comprendra peut-être mieux ce dont il s'agit. Légitime defense (de soi ou d'une autre personne) justifie la violence necessaire pour proteger.

Pauvre gosse, une mère adoptive complètement defoncée la moitié du temps. Y-en a qui debutent mal dans la vie...

Y rigole pas Zeus quand même...https://www.zejournal.info/infos-insolites/1629-il-survit-apres-setre-fait-foudroye-sur-les-testicules

On a juste devellopé une intelligence fortiche en mécanique newtonienne, et c'est cette forme d'intelligence que nous consideront comme le top du top de l'intelligence à l'oeuvre dans l'univers. Par contre, un simple poisson aura l'intelligence de se refugier au large en cas de tsunami tandis que le touriste continuera à se faire bronzer sur la plage. Disons que des intelligences differentes sont à l'oeuvre, ça semble plus juste.

A quand la violence routière interdite au cinema? Fini "Fast and furious", Limitation à 50 en ville et clignotant obligatoire pour tout changement de direction...

Pour décrire l’évolution de la conscience moderne, Jung emploie la métaphore de la maison à plusieurs étages que l’humanité a construite génération après génération durant des millénaires. Cette image lui est venue d’un rêve fait en 1909, à l’âge de 34 ans. « Qu’on me permette la comparaison, suivante : nous avons à décrire et à expliquer un bâtiment ; son étage supérieur a été construit au XIXe siècle ; le rez-de-chaussée date du XVIe siècle et l’examen le plus minutieux de la maçonnerie montre qu’elle a été faite avec les matériaux d’une tour du IIe siècle. Dans la cave, nous découvrons des fondations romaines et sous celle-ci il y a une grotte obstruée sur le sol de laquelle on découvre, dans les couches supérieures, des outils de silex et, dans les couches plus profondes, des restes de la faune glaciaire. Ce serait là à peu près l’image de la structure de notre âme : nous vivons à l’étage supérieur et n’avons que vaguement conscience que l’étage inférieur est assez vieux. Ce qui est au-dessous de la surface de la terre est, pour nous, tout à fait inconscient… »

Recapitulons...Les yeux sur la queue du taon...plouf plouf...les yeux sur la queue du paon. Le mec tu lui donne des yeux et un piaf, y te fait un bouquet...

Ta jeunesse, ta santé, ton insouciance, voila les vraies richesses dont tu disposes au départ. Après, crée ton destin, ou subis le, c'est toi qui voit...

Et voila. On se gèle parce-que madame nous fait sa depression saisonnière annuelle...

Quelque chose me dit qu'il va y-avoir un( six plutôt) pepin quelque part dans cette histoire...

Ben justement, c'est toute la question. Se resigner, rester en rade...ou pas. Si tu perds tes rêves et tes aspirations, alors tu ne deviens qu'un être qui fonctionne au lieu d'être. Bien sûr qu'on arrive pas toujours à ses fins, que le voyage est difficile parfois, mais se resigner, perdre ou ranger sa boussole et rester à l'arrêt c'est la pauvreté qui me ferait le plus peur perso.

T'es pauvre quand t'as perdu ou jamais trouvé ta boussole, que tu subis, que tu ne vis pas selon tes prores aspirations profondes, et ça , que tu sois plein aux as ou sans le sou.

je ne suis plus ce que je me sentais être immédiatement, je suis cette image de moi que m’offre le miroir. Il se produit, pour employer les termes du docteur Lacan, une » captation » de moi par mon image spatiale. Du coup je quitte la réalité de mon moi vécu pour me référer constamment à ce moi idéal, fictif ou imaginaire, dont l’image spéculaire est la première ébauche. En ce sens je suis arraché à moi-même, et l’image du miroir me prépare à une autre aliénation encore plus grave, qui sera l’aliénation par autrui. Car de moi-même justement les autres n’ont que cette image extérieure analogue à celle qu’on voit dans le miroir, et par conséquent autrui m’arrachera à l’intimité immédiate bien plus sûrement que le miroir. L’image spéculaire , c’est » la matrice symbolique où le je se précipite en une forme primordiale avant qu’il ne s’objective dans la dialectique de l’identification à l’autre. «

Surement qu'il refusait de ne pas être responsable en plus de coupable? Si je me souviens bien, pour lui, l'idée que le fait d'être manipulé par son inconscient se reduisait à excuse facile pour ne pas assumer, non?

Depuis les amants infidèles font ça dans le noir en loucedé. A cause de l'autre balance là...

C'est de là l'expression jeter mémé dans les orties?

Le stade du miroir comme formateur de la fonction du Je...

https://youtu.be/V0qOpth5Y_A

Alors disons que tu ne peux pas couper ton couteau en utilisant ton couteau,